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BLACK SABBATH
BORN AGAIN


Le 24 Mai 2021 par THE NEW ANGEL D


Quel chanteur a le niveau pour remplacer Ronnie Dio ? Il ne doit pas y en avoir des masses. Ian Gillan était donc pour moi le meilleur choix possible : il apporte la maîtrise et la puissance, mais aussi de la hargne et de la folie. Bref, tout ce dont le groupe a besoin.
Et si finalement c'était lui, LE vrai chanteur de Black Sabbath ?

Il y a plein de choses à dire sur "Born Again", ne serait ce que sur cette production.
Elle est de mauvaise qualité mais paradoxalement, elle apporte un certain charme à ce disque.

Musicalement, "Born Again" est plus proche de "Mob Rules" que de "Heaven And Hell". C'est à dire un Heavy Metal pêchu qui ne renie pas la passé du groupe.

La puissance de "Disturbing The Priest" (avec une prestation vocale de fou furieux,
digne du Metal God : rien que ça !) et la lourdeur de "Zero The Hero" conforme mon propos: ce sont deux des meilleurs titres de l'album.
Même sur le plus direct et speed "Trashed", le groupe est capable de proposer des ambiances et se montre convaincant.
Il y a aussi la ballade "Born Again", titre lent et mélancolique à souhait qui fait partie des meilleurs moments de l'album.

Le reste est un ton en dessous et plus convenu. Ceci dit, "Digital Bitch" envoie le bois et son refrain est accrocheur. Il y a juste en fait ce "Hot Line" qui déçoit, avec un bon début mais qui s'embourbe par la suite.

Ce n'est pas leur meilleur album mais c'est le dernier bon Sabbath pour moi et c'est (si on excepte certains album période Ozzy) celui que j'écoute le plus maintenant. Le groupe, à mon avis, n'aura pu grand chose à dire par la suite : entre le heavy fm banal et très typé 80"s avec Tony Martin ou le Heavy Doom poussif avec Dio.

3.5 arrondi à 4.





JACKSON 5
VICTORY(THE JACKSONS)


Le 24 Mai 2021 par THE NEW ANGEL D


Sur "Victory", on note le retour de Jermaine mais est ce que les Jacksons sont encore un groupe ? Ici, on remarque généralement que chaque frère enregistre et produit son où ses titres de son coté.
Il y a également la participation de David Paich et de Steve Porcaro du groupe Toto qui jouent et sont à la production sur deux titres. Enfin, Steve Lukather joue aussi sur un titre.

Musicalement, c'est du synth-funk avec une touche de pop et de rock. On n'est pas très loin d'un "Thriller" mais également de certains albums de la même époque comme le "Emergency" de Kool and the gang où "Private Dancer" de Tina Turner.

Même si la production a un peu vieillit et que certains morceaux sont moyens, "Victory" est un bon disque dans l'ensemble.

Il y a quelques pépites comme "torture", funk rock pêchu où le duo Michael-Jermaine est carrément à la hauteur. Certains passages me font penser au "maniac" de Michael Sembello.
La ballade "be not always" avec le chant tout en nuances de Michael et ses arrangements de toute beauté vaut largement le détour.
Enfin le pop rock "wait" avec la participation des membres du groupe Toto est une vraie surprise. Un mélange Jacksons - Toto de qualité avec un très bon solo de guitare.

J'aime beaucoup également l'entrainent "we can change the world" de Tito qui mélange funk et sonorités reggae.

Le reste de l'album est un ton en dessous mais jamais désagréable.
La ballade de Randy, "one more chance", qui peut faire un peu penser à "human nature" n'est pas trop mal je trouve. Tout comme le funky "body" et son groove à la "wanna be startin something.
Quand à "the hurt" avec sa ligne de basse solide et le chant de Randy, elle a un certain potentiel mais ne tient pas toutes ses promesses.

Je suis un peu mitigé par contre sur le quasi hard rock "state of shock" avec Mick Jagger. Censé être un temps fort de l'album, ce morceau trop répétitif sonne un peu comme un "beat it" du pauvre mais aussi comme une démo. Heureusement que Michael et Jagger apportent un peu de relief au titre.

Cet album ne vaut pas un Destiny où Thriller mais il est dans l'ensemble franchement pas mal.





Ty SEGALL
SEGALL SMEAGOL


Le 24 Mai 2021 par GUILLAUME THE ELDER


Ty Segall pointe le bout de son nez sur FP... Parfait.

Pour ceux qui ne connaissent pas encore, ce EP, que je ne possède pas, n'est pas le premier méfait d'un jeune artiste américain...

Ty Segall, 33 ans, c'est 12 albums depuis 2008, une demi-douzaine de EPs (Fried Shallots, fuckin' love you !!), des collaborations diverses, des tournées, des tournées (ce concert de cinglés au Cabaret Sauvage en mai 2016 lors de la tournée d' "Emotional Mugger").

Psyché, Garage Punk, Rock Garage, Lo-Fi... A ranger juste à côté de ses amis les Thee Oh Sees, les mecs qui se déplacent avec 2 batteries, qui sortent des LPs qui doivent être lus en position 45 tours... Vous êtes prévenus, tout ça, ça cartonne sec.

5 étoiles pour l'ensemble de l'oeuvre.






Les RITA MITSOUKO
MARC ET ROBERT


Le 24 Mai 2021 par FRANçOIS


Plutôt d'accord avec la critique, à ceci près que je remplace "Perfect Eyes" par "Tongue Dance" et ses interventions cuivrées (trompette) parmi leurs indispensables. Un titre sorti en single mais qui ne figure pas sur leurs compilations, hormis l'album de remixes "Re" (1990).





MADONNA
EROTICA


Le 24 Mai 2021 par FRANçOIS


Contrairement à l'opinion générale qui retient "Ray Of Light", celui-ci est mon préféré de la Madonne dans les années 90, en dépit de sa longueur excessive (14 titres ! Mais c'était fréquent dans cette décennie de remplir les disques à ras bord). Il y a bien sûr quelques hits dansants et j'aime bien la veine "ambiance jazzy sur beats hip-hop".





SHEILA
VENUE D'AILLEURS


Le 23 Mai 2021 par MARCO STIVELL

De rien et merci à toi Richard, c'est aussi ça le but de notre site : au-delà même du goût, une fonction "documentaire" et généraliste !





THROBBING GRISTLE
THE SECOND ANNUAL REPORT


Le 23 Mai 2021 par THIERRY RAOULT

Je remercie FORCES PARALLÈLES de chroniquer cet album. Je n'ai jamais entendu parler de ce groupe. Je n'arrive pas à écouter tous les titres à la suite. Mais c'est très intéressant, il y a parfois des moments intenses. J'imagine que ça a inspiré différents groupes par la suite.
(Je m'abstiens de mettre une note.)





The BEACH BOYS
PET SOUNDS


Le 23 Mai 2021 par DEJAVU


"Pet Sounds" est le premier album solo de Brian Wilson. Les autres membres, frères, cousin et copains forment la chorale dirigée par le génie. Pour moi, c'est le premier véritable album collectif des Beach Boys et "Sunflower" et j'en ai fait mon favori, à l'instar de Bruce Johnston. A ce propos, j'attends toujours sa chronique et celle de "Surf's Up", "Carl and the Passion" et "Holland". Merci.





Klaus SCHULZE
X (SECHS MUSIKALISCHE BIOGRAPHEN)


Le 23 Mai 2021 par DEJAVU


Seule ombre au tableau, pas de morceau qui honore Jean-Sébastien Bach, curieux...





JACKSON 5
2300 JACKSON STREET(THE JACKSONS)


Le 23 Mai 2021 par THE NEW ANGEL D


Ce "2300 jackson street" n'est pas très palpitant. Les Jacksons se mettent à la mode du new jack swing et proposent un album totalement dans l'air du temps, uniforme et très banal.

De plus, Michael n'est pas présent sur ce disque à part sur le titre "2300 jackson street", une ballade très sympa. Un des rares morceaux qui sort du lot avec la très pêchu "maria" et ses sonorités latines.

Sinon il y a bien "art of madness"ou "private affair" qui passent bien mais c'est tout.

Bon, cette album n'est pas non plus une catastrophe mais il est quand même décevant et très dispensable .





BON JOVI
7800° FAHRENHEIT


Le 22 Mai 2021 par THE NEW ANGEL D


On sent effectivement que le groupe essaye ici de faire son "Pyromania", avec un Jon Bon Jovi qui imite même parfois le chant de Joe Elliot. C'est à mon sens leur album le plus hard, ce qui n'est pas pour me déplaire.

Mais comme toujours avec eux, le résultat est inégal.

Ici, c'est la face 1 qui est vraiment au rendez vous. Il y a les deux singles ("the price of love" et "only lonely") mais j'apprécie même le titre introductif " in and out of love", le pêchu "king of the mountain" et la ballade "silent night" (qui me rappelle étrangement à certains moments le titre "bad" de U2).

Le reste n'est pas mauvais (je préfère même ses titres à certains morceaux mièvres du disque qui suivra) mais c'est un ton en dessous quand même. En plus, la production de l'album n'est pas terrible et ne met pas beaucoup en valeur les compositions.

Ce qui est dommage car ce "7800° fahrenheit " est plutôt sympa.





The ROLLING STONES
THE LONDON YEARS (SINGLES COLLECTION)


Le 22 Mai 2021 par FEELGOOD


Ce coffret, véritable caverne d'Ali Baba, acheté il y a plus de trente ans, constitue une sorte de Graal pour le fan des Stones. Tous les singles du groupe sortis entre 1963 et 1971 ! Historiquement et musicalement, c'est inestimable. Certains titres ont avant tout une valeur archéologique : « Come On », leur premier 45 tours, « I Wanna Be Your Man », composition signée Lennon/Mc Cartney, le sympathique instrumental « Stoned »...
On retrouve aussi la série de tubes signés Jagger/Richard qui marquèrent (changèrent ?) irrémédiablement la face du Rock : « The Last Time », « Satisfaction », « Get Off Of My Cloud », « 19th Nervous Breakdown » « Paint It Black » et son fameux sitar.
L'édition britannique de l'album « Aftermath » est bien représentée avec « Stupid Girl », « Mother's Little Helper » et « Lady Jane ».
Le 45 tours « Let's Spend The Night Together »/« Ruby Tuesday » est naturellement présent, la période Pop du groupe couvrant essentiellement le deuxième CD sur lequel on retrouve les morceaux plus ouvertement psychédéliques : « Have You Seen Your Mother, Baby, Standing In The Shadow ? », « We Love You » et l'extraordinaire « 2000 Light Years From Home », véritable trip cosmique  magnifié par l'utilisation d'un mellotron par le regretté Brian Jones. Ce magique « 2000 Light Years From Home » constituait la face B du sublime « She's A Rainbow » arrangé par John Paul Jones et magnifié par le piano de feu Nicky Hopkins. « She's A Rainbow » a d'ailleurs été récupéré ces dernières années par d'opportunistes « fils de pub ».
Des titres rares, souvent sortis en face B, sont présents : le trop méconnu « Long Long While », face B de « Paint It Black », le charmant « Dandelion », l'une de mes chansons préférées du groupe. Tout comme l'excellent « Child Of The Moon », face B du cinglant « Jumpin' Jack Flash » qui marqua, en mai 68, le retour des Stones à un Rock saignant.
Le troisième CD reprend à la fois des titres très connus, figurant notamment sur l'indispensable « Beggar's Banquet ». Le célèbre «You Can't Always Get What You Want » de « Let It Bleed » est présenté dans une version éditée. « Honky Tonk Women » n'a bien sûr pas été oublié. Notons que la version de « Memo From Turner » qui apparaît ici est la même que celle figurant sur la B.O. du cultissime "Performance"de Donald Cammell, avec un Mick Jagger accompagné par des musiciens de studio. Ce n'est pas plus mal puisque la version enregistrée par les Stones et figurant sur « Metamorphosis » est plus courte et bien moins intéressante avec son tempo rapide.
Le principal intérêt de ce troisième CD réside justement dans la présence de quatre extraits de « Metamorphosis », disque de raretés sorti en 1975 et qu'il n'était pas évident de se procurer en 1989 (il a été réédité en 2002). Outre la version playback de « Out Of Time » (sur laquelle Jagger est le seul Stone présent), il y a le sympathique « Try A Little Harder », l'excellente reprise de Stevie Wonder intitulée « I Don't Know Why » et le brûlot « Jiving Sister Fanny ».
Le coffret « Singles Collection : The London Years » constitue ainsi l'une des clés de voûte de l'histoire du Rock et sa possession s'avère indispensable à tout amateur éclairé de cette musique.





GUNS N' ROSES
APPETITE FOR DESTRUCTION


Le 21 Mai 2021 par FRANçOIS

@Feelgood
Oui, je parlais bien du hard-rock en général, auquel je ne goûte désormais qu'avec parcimonie.





The ROLLING STONES
FLOWERS


Le 21 Mai 2021 par FEELGOOD


Le printemps étant la saison des fleurs, c'est en avril ou mai 1983 que je me suis procuré ce vinyle, peu de temps avant d'acquérir Their Satanic Majesties.... Flowers est ainsi venu compléter ma collection de 33-tours des Stones, en particulier Aftermath et Beggar's Banquet si l'on s'en tient aux seuls albums des années 60.
Outre les quatre extraits de l'album Aftermath, à savoir le tendre "Lady Jane", le cruel "Out Of Time", le cynique "Mother's Little Helper" et ses ménagères shootées, sans oublier "Take It Or Leave It", sa batterie caverneuse et ses obsédants « ohlalalatatatatalalalala », cette compilation oubliée, mais certainement pas « obsolète » ne contient que des pépites.
Dans les années 60, les Stones prenaient des risques, expérimentaient, comme le son de guitare de "Have You Seen Your Mother...", qui n'est pas sans évoquer le Morricone de "C'era una volta il West". Les guitares distordues et les bruitages de "Please Go Home" créent une ambiance psychédélique unique, du genre bad trip.
Ce qui frappe, c'est la qualité des mélodies. Les Stones sont alors dans leur période « chansons » et tout amateur de Pop sixties se doit de connaître les petites merveilles intitulées "Ruby Tuesday", "Backstreet Girl" et son accordéon (instrument que je déteste d'ordinaire). "Let's Spend The Night Together" demeure l'une des meilleures chansons du groupe, avec son intro au piano jouée par Jack Nitzsche et ses chœurs irrésistibles.
Les trois inédits, tirés des sessions d'Aftermath, sont de la même veine Pop. La reprise des Temptations, "My Girl", est particulièrement réussie et témoigne de l'influence de la Motown sur les jeunes Anglais. Quand je pense qu'ils n'avaient qu'une vingtaine d'années lorsqu'ils enregistrèrent ces perles, je n'en suis que plus admiratif. L'entraînant "Ride On, Baby" et "Sittin'On A Fence", dans la même veine que le futur "Waiting OnA Friend" de "Tatoo You", achèvent cet album en beauté.
J'ai beaucoup réécouté Flowers ces dernières années. Rien que pour ça, je ne peux qu'être en désaccord avec l'idée que ce disque « ne sert plus à rien aujourd'hui ». Les vieilles fleurs des sixties ne sont pas fanées et dégagent encore une fragrance entêtante.
4,5/5 (rien que pour la qualité intrinsèque des compositions).





GUNS N' ROSES
APPETITE FOR DESTRUCTION


Le 21 Mai 2021 par FEELGOOD


Permettez-moi de revenir rapidement sur mon commentaire précédent, rédigé un peu rapidement après le turbin. Il fallait bien sûr comprendre « réactions épidermiques » et non pas « hypodermiques », même si ce terme nous renvoie aux pratiques de certains membres du groupe dans les années 80. Quand je parlais de KISS, réduit désormais à la paire Stanley/Simmons, je faisais allusion au groupe actuel, tel qu'il est depuis le deuxième départ de Criss et Frehley, soit depuis une bonne vingtaine d'années ! Enfin, je ne faisais pas référence à l'excellent « Pyromania » de Def Lep, mais au très (trop !) sophistiqué « Hysteria », sorti quelques semaines après « Appetite... ». Fatigué je suis.
François : tu parles d'une « agression quasi constante ». Certes, mais n'est-ce pas inhérent au style musical pratiqué ? Au moins, on ne peut pas dire qu'il y ait tromperie sur la marchandise (ne serait-ce que le titre « Appetite For Destruction », particulièrement explicite et pas mensonger, pour une fois).
Baazbaaz : même si j'apprécie le fameux dessin avec le robot en rut, idéale illustration intérieure ou cultissime miniposter, je préfère moi aussi la pochette « classique » avec la croix.
Croquignol : oui, avec deux ou trois titres de moins, le disque aurait été parfait. En règle générale, mes albums préférés font une quarantaine de minutes.
En tout cas, même si les années 80 sont loin et si l'âge d'or du Rock est révolu, il s'agissait d'une époque mémorable. Excessive aussi, mais le fait qu'on en parle encore avec nostalgie infirme l'adage affirmant que tout ce qui est excessif est insignifiant.
Avec cet album puant le Jack Daniel's et la sueur, Guns N' Roses (éternelle histoire du lièvre et de la tortue) a laissé derrière lui le gentillet et consensuel « Hysteria » de Def Leppard que certains critiques mettaient au même niveau que « Sgt. Pepper's » (coucou Jean-Pierre Sabouret) !!!





TRUST
FILS DE LUTTE


Le 20 Mai 2021 par THIERRY RAOULT


C'est un bon album. Pas le meilleur de Trust, mais sortir ça après 40 ans de carrière, chapeau !
Le son est très bon, les guitares envoient, Bernie est très en voix, la basse et la batterie assurent. J'ai parfois un peu de mal avec les textes.
J'ai une préférence pour les titres suivants: "On va prendre cher", "Ce n'est pas la Corée du Nord" et "Delenda".
J'adore le riff d'intro de "Corée". Trop jouissif!
Il n'y a pas de mauvais titre. "Tendances" est un peu lourd, mais ça passe. "Miss Univers" est intéressant, pas assez impertinent.
Grâce à cette chronique, je me le suis réécouté plusieurs jours de suite, avec plaisir.
C'est quand même une belle surprise, 2 bons albums sur 2 ans. Bravo !





GUNS N' ROSES
APPETITE FOR DESTRUCTION


Le 20 Mai 2021 par CROQUIGNOL


Réécouté pour la peine, ça a vieilli, évidemment, mais c'est encore très chouette, avec quelques morceaux bof bof tout de même (Out To Get Me; Anything Goes). Dommage, l'album faisant 53 min, ce qui fait environ 10 min de trop pour un album de rock selon moi, il aurait pu être parfait.

Sinon, l'attitude, le look ou les fringues peuvent paraître ridicules aujourd'hui, mais enfin, ça vendait du rêve aux ados de l'époque. Et au risque de faire le vieux con, eh ben, on avait tous envie de faire son Slash –chapeau, clope au bec et bouteille de Jack– alors que maintenant la majorité des groupes de rock ressemble à mes voisins de palier, c'est un peu triste, non?





GUNS N' ROSES
APPETITE FOR DESTRUCTION


Le 20 Mai 2021 par BAAZBAAZ


Heureusement que cette pochette moche a été finalement changée. Je mettrais volontiers une petite pièce sur le fait que l'autre pochette, celle avec la croix, a contribué au succès de l'album en lui donnant un arôme plus solennel. Le fond noir dominant claquait vraiment dans les bacs.
Car, voyez-vous, c'était une époque où la pochette comptait.

D'ailleurs on ne soulignera jamais assez le coup de génie qu'a été ensuite celle de UYI.






Pierre PERRET
CE SOIR C'EST FêTE - COEUR CABOSSé


Le 20 Mai 2021 par NESTOR

Et encore, nous ne sommes qu'en 1989, soit un peu avant l'arrivée à la moitié de sa carrière...





GUNS N' ROSES
APPETITE FOR DESTRUCTION


Le 20 Mai 2021 par CHRIS06


J'ai eu un effet madeleine de Proust en lisant cette chronique...Ahhh mes 20 ans !
Un pote était fan des Gun's à la Fac et cet album m'avait soufflé. Bizarrement, 17 ans plus tard, cet opus me plaît toujours autant. Il sonne brut, sincère et avait réussi à porter l'Energie punk sur du hard bien teinté 70's (Slash aurait put être de cette époque).
Ca sonnait libre, sauvage on y croyait !
Et puis, quand on lit leurs biographies, c'était loin d'être des bourgeois quand même !

Ce disque restera toujours dans les références qui ont compté pour moi.







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