Le 19 Décembre 2020 par FINISHERFRANKY

Ah non rien à faire. Je viens de resurvoler cet album pour être certain de ne pas m'être trompé il y a tant d'années. Puis j'ai relancé le 1er et là la messe est dite. Il y pas photo, le 1er est une tuerie, parfois réellement sauvage avec Remedy, Nice Boys, Astra Wally. Ici même le punky Mamzil Madness me parait convenu. La production pourrait être responsable mais non car les guitares sont pas mal agressives. Mais il me manque le bouillonnement du 1er, ce je ne sais quoi en moins qui m'empêche de vibrer. Comme je suis déçu je devrais même ne laisser qu'une étoile mais, bon, c'est Rose Tatoo quand même.

Le 19 Décembre 2020 par FINISHERFRANKY

Pour moi Rose Tatoo aura été le groupe de ce seul album parce que dès le second j'avais décroché, ne retrouvant pas ce rock cradingue et teigneux qui m'avait soufflé. Je l'associe à un un souvenir éternel de la diffusion d'un live sur notre TV française, à l'époque par Antoine De Caune je pense. Un monument.

Le 18 Décembre 2020 par F*SOCIETY

C'est du Rock progressif sensible oui. Et je le trouve très agréable à écouter durant les fêtes.

Le 18 Décembre 2020 par VIEUX MOTARD QUE...

Contrairement au chroniqueur et aux autres intervenants, vraiment pas emballé par ce Zappa-là... Trop "pop" à mon goût. Dans le même genre, "One Size Fits All" m'apparaît bien plus réussi. Quant à parler de "funk" ici. De petites gouttelettes alors.

Le 17 Décembre 2020 par TOMMY_CALE

Merci pour la chronique.
On ne retrouvera plus vraiment grand chose de sympa musicalement chez ce groupe après Powerglide qui est un album trés appréciable (en grande partie grâce - comme tu l'as bien signifié - au regretté Buddy Cage).
L'album "The Adventures of Panama Red" à part le titre éponyme et un voire deux autres morceaux (je pense à Lonesome L.A Cowboy de Rowan également) est faible malgré sa belle pochette et sa bande dessinée qui en découle.

PS : Spencer Dryden était un neveu de Charlie Chaplin, une anecdote assez amusante (enfin pour moi).

Le 16 Décembre 2020 par DéCONFIT Né

Les mots et les notes lui coulent des doigts, à ce gars-là... :-)

Le 16 Décembre 2020 par NONO

Parmi les commentaires, beaucoup citent le "rouleau compresseur" Lange. Je suis assez d'accord et par ailleurs son cas me divise. Il a la qualité, d'une part, de produire un son "énorme", ayant su adapter avec brio et puissance le rock aux années 80, mais en contrepartie, sa production a tendance à "vulgariser" le rock ("abâtardiser" serait un terme trop dur mais l'idée est là) : en essayant de trouver un terrain pas toujours très clair entre un "rock rendu accessible" et une pop "rendue plus musclée". Du coup, ça fait un mélange qu'on adore ou qu'on déteste.
Efficacité, punch, sens du "hit qui fait mouche" : Lange y excelle. Mais aussi, inversement : "purée rock FM" serait malheureusement une objection qu'on peut comprendre.

Le 16 Décembre 2020 par NONO

@CLANSMAN57 : Le groupe "The Cars", c'est un créneau bien particulier, un style et une sonorité qu'ils ont véritablement forgés. Au carrefour du rock, de la pop et de la new-wave, on pourrait appeler cela du "rock synthétisé". C'est d'ailleurs plutôt l'alliance improbable du rock et du synthé, sans passer par la pop (sauf leur album "Heartbeat City", bien plus pop que rock).
Leur 1er album est génial, j'aime bien aussi Panorama et Heartbeat City. Candy-O me plaît moins. Par ailleurs j'ai toujours trouvé ce groupe assez proche d'un "Roxy music américanisé", à commencer par leurs pochettes et par la voix du chanteur lead (Ocasek).
"The Cars" c'est une mixture de plein de styles de l'époque, ils ont réussi à en faire la synthèse.
C'est aussi probablement le plus européen dans l'âme des groupes américains.

Le 16 Décembre 2020 par NONO

@CLANSMAN57 : Ah... Pour moi cet album est vraiment très bon, même n'étant habituellement pas un grand fan du bonhomme. Je trouve que globalement ses albums sont de mieux en mieux au fil de sa carrière. Mais j'avais beaucoup de mal à apprécier ses premiers albums (surtout les 2 premiers : l'époque "Quand la musique est bonne", "Au bout de mes rêves", etc) : probablement surtout à cause de sa voix, qui s'est heureusement bonifiée avec le temps.
C'est vraiment à partir de "Non-homologué" que j'ai commencé à apprécier sa musique.

Le 16 Décembre 2020 par CLANSMAN57

Goldman, ça ne passe pas. Déjà petit, lorsque ma soeur passait certains de ses disques (dont un avec les deux autres), ça me gavait.
Aujourd'hui, rien n'a changé, la musique de ce bonhomme ne me touche toujours pas plus.
J'aurais au moins retenté le coup avec "En Passant".

Tant pis.

Le 16 Décembre 2020 par BAKER

Bon ben finalement, si, ç'aura été une troisième trilogie, Paul Manzi laissant sa place à Damian Wilson.

Et je n'ai jamais été aussi INintéressé par un changement de line-up :/

Le 15 Décembre 2020 par CLANSMAN57

J'ai trouvé le "Greatest Hits" de ce groupe, je connaissais juste la chanson "Drive".
Et je n'accroche pas du tout à leur musique.

Next:)

Le 15 Décembre 2020 par METALPROG84

Tout à fait d'accord avec la chronique. Au niveau des meilleurs Marillion (c'est-à-dire ceux des années 80). C'est bien simple, je trouve tous les titres excellents, y compris les "Crying for help" servant d'intermèdes. C'est beau, c'est fluide, c'est varié et en même temps assez accessible pour ce style de musique. Un très grand album de rock progressif.

Le 15 Décembre 2020 par RICHARD

Marrant ça car je trouve que le "The Hated Salford Ensemble" Emulator Johnny Marr passe plutôt bien ici. C'est prenant sans être totalement lénifiant. C'est vrai que la version concerts bootlegs amène une autre approche. Je ne trouve pas nécessairement d'ailleurs que la version live soit brute de décoffrage ("The Queen is Dead", le titre, là, oui, sans problème). Au contraire, la participation de Craig Gannon sur ce morceau entre autres apporte pour moi une belle légèreté.

Le 15 Décembre 2020 par JERRY

Quelques fulgurances, sinon...

J'en étais déjà à me demander si le magazine "Rock & Folk" (Septembre 2020) avait bien écouté cet album pour élire "Songs For The General Public" disque du mois et le désigner comme "futur album emblématique des Lemon Twigs"... Les frères D'Addario,, après un "Do Hollywood" correct et un "Go To School" très disparate, demeurent ici fidèles à leur veine pop et rock saupoudrée d'une bonne couche de "glam", mais ce qu'on retient de l'album, après 2 à 3 écoutes, c'est surtout son aspect "brouillon" d'où surnagent 3 à 4 titres "cohérents" avec une production "potable" (et c'est là où le bât blesse, tant l'équilibre voix/instruments ne semble pas avoir été la préoccupation première des frères D'Addario) sur les 12 proposés. Il faut parfois se faire violence pour aller au bout de certains titres, c'est dire...

À titre d'exemples, "No One Holds You (Closer Than The One That You Have)" et "The One" emportent rapidement l'adhésion, là où "Somebody Love You" sonne comme un "Beach Boys" du pauvre et "Why Do Lovers Own Each Others ?" pourrait faire très aisément office de chant de Noël à écouter au pied du sapin...

J'attendais beaucoup mieux de ce nouvel album, et la désillusion est grande... Note réelle : 2,5/5

Le 15 Décembre 2020 par BAAZBAAZ

Non seulement un des disques de l'année, mais certainement de la décennie.

Une sorte de monument Pop, Rock, Glam qui prend des airs de génial pastiche des groupes les plus grandiloquents et excessifs des 70s.

Je salue tout particulièrement "Fight", la meilleure chanson que BRUCE SPRINGSTEEN a oublié d'écrire à sa grande époque...

Je suis toutefois pessimiste pour l'avenir : "Go To School" n'était pas bon, et on attendait que les LEMON TWIGS simplifient enfin leur propos et sortent un album remplis de tubes. Voilà qui est fait. Mais que leur reste-t-il ? A moins qu'ils n'en vendent quelques millions (peu probable), ils vont sans doute passer à autre chose... Un album Punk, Prog ? Ont-ils les épaules pour ça ?

Ce "Songs For The General Public" ressemble bel et bien à une apogée qui annonce le déclin.

Le 15 Décembre 2020 par ANDYSTREET

Il faut dire que si les chansons sont toutes splendides, la production a affreusement vieilli et ça, c'est dû à l'utilisation de l'Emulator, un synthé typiquement des eighties, et là, ça bousille la version studio de "There is a light that never goes out" avec ces cordes pincées en toc cul-cul la praline. Versions studio impossible à écouter sans grimace quand on connaît la version live brute de décoffrage.
Donc oui, il vaut mieux écouter les enregistrements audio des concerts de l'époque, qu'on trouve facilement en un clic.

Le 14 Décembre 2020 par BORAHKRETH

@BAKER : tout ça aura au moins eu le mérite de me pousser à jeter une oreille là-dessus

Le 14 Décembre 2020 par DERWIJES

Tout à fait d'accord avec la chronique, par ailleurs excellente.
C'est vrai que Under Stars était mou du genou, mais elle se rattrape ici avec un album somme toute classique pour du Amy MACDONALD, mais qui fait toujours plaisir. Elle confirme pourquoi elle est l'une de mes artistes préférées de ses vingt dernières années: elle est intègre, honnête et joue pour le plaisir une musique capable de plus de subtilités qu'il n'y paraît.


Morceaux préférés: "Statues", "Crazy Shades of Blue", "Hudson", "We Could Be So Much More" et "Something in Nothing".

Le 13 Décembre 2020 par VIEUX MOTARD QUE...

L'aboutissement d'une décennie de tâtonnements, que ce soit pour le groupe ou pour le genre "synth-pop", qui quitte l'univers étriqué des dancefloors pour les stades. J'ai toujours eu un faible pour "Policy Of Truth", en dépit de son horrible simili sax.