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JOY DIVISION
UNKNOWN PLEASURES


Le 24 Février 2025 par FOUDROCK


Un premier opus remarquable et culte. Comme le suivant et dernier. Mais même si ce cru 79 est bluffant, je lui préfère quand même de beaucoup "Closer".
Après, "Shadowplay", "Disorder", "Candidate" et "New dawn fades" sont insurpassables.





SIMPLE MINDS
GOOD NEWS FROM THE NEXT WORLD


Le 24 Février 2025 par FOUDROCK


Un très bon album méconnu et négligé. Le groupe n'en était plus vraiment un au moment de son enregistrement (Kerr et Burchill seulement, soit quand même le noyau dur), et au bord de la dissolution, mais ils ont tenu bon, et le résultat est vraiment super. Nettement meilleur que les deux-trois albums qui suivront, absents du site par ailleurs ("Néapolis", "Cry", l'album de reprises "Neon Lights").





JOY DIVISION
CLOSER


Le 24 Février 2025 par FOUDROCK


Si la dépression noire (la vraie, la pure, la mortifère) avait un son, ça serait celui de "Closer", disque tellement sombre, triste et radicalement dépressif qu'à côté, Sparklehorse, c'est du Aldebert sous ecstasy. Evidemment, c'est grandiose. Mais on se remet difficilement (si tant est qu'on s'en remette) de l'enchaînement final (dans tous les sens du terme) "The Eternal"/"Decades". Ce son de mort. De la mort de Ian Curtis. De sa propre mort. Enfin, ça, on le saura le moment venu, hein ? Et le plus tard possible. Bon, allez, je vais m'écouter du Carlos, moi. Besoin d'un peu de gaieté.





Claude NOUGARO
NOUGAYORK


Le 24 Février 2025 par MARCO STIVELL

Du hasard des K7 audios enregistrées...
L'une d'entre elles faites par papa/maman au début des années 90, contenait Brothers in Arms de DIRE STRAITS face A + "Ride Across the River" d'un côté, de l'autre les trois dernières chansoks de l'album, avec juste après, trois de celles de Nougayork de Claude NOUGARO et pas les moindres : le morceau-titre, "Lady Liberty" et enfin, "Le Gardien de Phare".
Drôle d'alliance, mais ce fut un moyen de découverte des deux artistes, et pendant longtemps c'était la "cassette du dimanche soir", avec tout ce que cela comportait de nostalgie d'enfant...

Du coup, l'album n'a toujours pas été écouté en entier !

En revanche, la chronique de Ramon Perez est vraiment belle. Merci à lui de souligner que, qu'on s'appelle Claude NOUGARO ou bien PhiL COLLINS, on ne change pas d'état d'esprit simplement pour des préoccupations mercantiles. Le Toulousain avait juste cette énergie, cette soif de création qui l'ont fait passer d'un son à l'autre. COLLINS est un fan de pop et de soul qui s'est mis à faire du rock progressif à un moment, mais également parce qu'il en avait la curiosité, l'étoffe technique...

Pour compléter juste le propos du collègue, juste un petit aparté concernant "Le Gardien de Phare", morceau plein de sous-entendus coquins dans l'habileté d'écriture du Monsieur, mais aussi développant une si belle ambiance dès le début avec le vent froid, les nappes marines gris-bleu... tout à l'honneur de ce musicien de talent, Sebastian Santa Maria, que tout le monde s'arrachait à l'époque (Catherine LARA, Bernard LAVILLIERS etc), trop vite parti...
Ce morceau est aussi une perle cachée de l'œuvre de NOUGARO.





ULVER
TERRESTRIALS


Le 24 Février 2025 par AIGLE BLANC

En guise de réponse à la question qui ouvre cette chronique : "Existerait-il une musique propre à l'Univers, une musique qui retranscrirait avec perfection la froideur glaçante et magnifique du vide cosmique, une vibration qui nous reconstituerait en ondes sonores la beauté absurde des rayonnements d'atomes au milieu du grand rien ?", je voudrais mentionner l'existence d'un album correspondant à ces critères. Il s'agit de l'impressionnant "The Magnificent Void" de Steve Roach (1996) qui transformera votre salon en planétarium. Cette oeuvre difficile d'accès également, comme celle d'Ulver (que je n'ai pas encore écoutée), recrée la sensation du vide infini. C'est glaçant, vertigineux, claustrophobique, mystique...





Bob DYLAN
BRINGING IT ALL BACK HOME


Le 24 Février 2025 par BLUEMASK


C'est ici que commence la révolution dylanienne, sa rapide migration d'un folk solitaire merveilleux vers l'invention du folk-rock toujours merveilleux, énergique et sensible, doté de paroles toujours plus poétiques et d'une versatilité vocale sans pareille.
Si "Subterrean Homesick Blues", "Maggie's Farm", "Mr Tambourine man", "It's All Over, Baby Blue" peuvent être considérés comme les 'tubes', on reste sans voix devant la qualité constante des autres titres. Bien d'autres artistes pactiseraient avec le diable pour pouvoir pondre "Love Minus zero/no Limit", "Business As Usual" ici.





DURAN DURAN
THE WEDDING ALBUM


Le 24 Février 2025 par NONO


Moi qui cataloguais systématiquement DURAN DURAN comme groupe factice de "synth-pop" eighties, j'ai eu une belle claque en écoutant cet album somptueux ! En témoigne le très célèbre tube "Ordinary world", un des plus gros succès des 90s... et tout l'album est à l'avenant : aérien, mélodieux, plutôt acoustique, avec des ambiances fortes.
Très bel album.





Tim BUCKLEY
LORCA


Le 24 Février 2025 par FOUDROCK


Un album vraiment difficile à apprécier, il m'aura fallu du temps. Je donne la note maximale sans hésitation, parce qu'il fallait quand même avoir les cojones de le sortir tel quel, cet album ("Starsailor", le suivant, est également assez radical, et encore meilleur). Le morceau-titre est terrifiant. On dirait du Nico de l'époque "The Marble Index". Sauf erreur de ma part, les deux albums sont sortis sur le même label (Eketra), un label qui en avait là où il le fallait.
Evidemment, ça ne s'est pas vendu. Le contraire aurait été inquiétant.
Mais "Lorca" reste un album charnière dans la disco de Tim Buckley. Sans doute est-ce la drogue, mais on sent bien qu'il n'en avait plus rien à secouer de ne pas vendre ses albums. En tout cas, celui-là et le suivant, il n'y avait que peu de chances qu'il en vende des containers.





MOTÖRHEAD
ORGASMATRON


Le 24 Février 2025 par FOUDROCK


Une belle petite claque de plus que cet "Orgasmatron". Pas un de mes préférés tout de même, mais un des plus enthousiasmants de l'après "Ace of Spades".





MOTÖRHEAD
ROCK'N'ROLL


Le 24 Février 2025 par FOUDROCK


Souvent considéré comme un des pires albums du groupe, je pense personnellement que c'est un très honnête album un peu moyen (surtout comparé à tous les précédents albums). Mais si on veut chercher le vrai ratage de la bande à Lemmy, prière de se tourner vers "Snake Bite Love" ou "March ör Die", qui, eux, sincèrement, ne valent pas grand chose.





Jeff BUCKLEY
GRACE


Le 24 Février 2025 par FOUDROCK


Un des plus beaux et des plus importants albums de la décennie 90's. Une pure merveille dont je ne me lasserai, je pense, jamais. Il m'a transpercé comme une flèche la première fois que je l'ai écouté.





Claude NOUGARO
NOUGAYORK


Le 24 Février 2025 par FOUDROCK


Excellent album qui marque un retour en force d'un grand chanteur.





Angelo BADALAMENTI
TWIN PEAKS


Le 24 Février 2025 par MARCO STIVELL

Il y a un mois de cela, dans une courte rétrospective hommage, je disais pour Twin Peaks, le film, n'avoir jamais vu rien de la série. Sans doute parmi les rares personnes donc à avoir connu l'ensemble dans le 'bon' ordre narratif, en voyant le préquel avant. C'était il y a douze ans, début 2013.
L'univers y est bien montré, mais il est évident que Lynch avait besoin d'autre chose que du format film pour s'exprimer.
Et peut-être, l'a-t-il fait ici mieux que jamais.

Deux jours seulement après l'édito de Psychodiver, un collègue de travail plus âgé, partageant la même passion musicale (rock prog etc) et ayant vu la série à l'époque de sa diffusion, en apprenant donc mon ignorance sur celle-ci, a gentiment profité de sa pause repas habituelle pour aller chez lui et me ramener son coffret, avec les deux saisons d'origine.

Que dire, sinon que j'ai tout de suite été happé par cet épisode-pilote qui a tout d'un film, regardé le soir même et à temps, avant une petite réception ? C'était comme si le plat de résistance de la soirée avait déjà été englouti... Heureusement qu'il y avait deux convives femmes dans le lot, parées et présentes comme les plus belles actrices de la série qui en regorge, Peggy Lipton, Sherilyn Fenn, Mädchen Amick, Heather Graham (entrée super tardive mais raaah) et bien sûr Sheryl Lee !

D'emblée, superbe ambiance de petite ville de montagne étasunienne, dans l'est du Washington frontalier avec le Canada, pas si éloigné de là où Lynch est né même si c'est le Montana (seule la cheminée de l'Idaho sépare). Petite ville où il se passe tant de choses ! Au point que ses petites intrigues diverses sont aussi importantes que le meurtre de Laura Palmer.

Quand je pense qu'en France, on boude Jean-Pierre Mocky (certes, plus 'théâtre de boulevard' dans son approche) alors qu'il y a tellement de choses en commun avec Lynch : tournage rapide - car petit budget mais pas que -, goût pour les films noirs, le fantastique, les acteurs pas connus à qui ils laissent une grande place d'interprétation, les 'gueules' et autres éléments vivants iconoclastes qui suscitent l'incompréhension du grand public car jugés comme s'ils 'n'avaient rien à faire ici'... Sans oublier les injections de drôlerie là où il ne devrait pas forcément y en avoir !

Ne jamais actionner la lecture des épisodes en escamotant les introductions de la Femme à la Bûche, étrange mais qui donne des détails abstraits de chaque épisode... Et puis à l'inverse, côté évidence et même conformisme, comme cette incursion 'soap opera' est belle, avec les musiques appropriées ! Sans doute l'équilibre parfait d'un Lynch qui, par la suite, versera trop dans le noir maladif (à Une Histoire Vraie près). L'angélisme lui va tout aussi bien, au final.

En termes d'acting, Kyle MacLachlan justement est évidemment le meilleur de tous, grâce à ce personnage d'agent fédéral le plus sympathique de l'histoire (même si tous ses collègues le sont, joués par Miguel Ferrer, David Duchovny - hallucinant ! - et Lynch lui-même - tellement drôle), un Sherlock Holmes nourri de spiritualité hindoue... Les flics locaux de Twin Peaks, joués par Michael Ontkean, Harry Goaz et Michael Horse, sont tout aussi savoureux.

Il y a une belle dose de bienveillance partagée, de cohésion finalement nécessaire par rapport au mal lovecraftien qui sévit dans le coin. Tant de choses à dire encore, sur des points généraux ou précis, comme ce dernier épisode de la saison 1 au Jack-N'a-Qu'un-Oeil, prouvant que Kyle MacLachlan, s'il n'était pas né américain, aurait pu apporter sa classe toute britannique au chaînon manquant des James Bond entre Timothy Dalton et Pierce Brosnan. Lynch semble s'être amusé à nous le prouver durant quelques dizaines de minutes !
Et puis il y a encore les prestations exceptionnelles de Wendy Robie (l'épouse borgne), de Ray Wise (le père de Laura Palmer), de Richard Beymer (dans sa re-création toute personnelle de la guerre de Sécession notamment)... Tant d'acteurs pas si connus, plus ou moins pros mais complémentaires...

La série est grandiose pour cela, unique en son genre et inspirante, à commencer par X-Files bien sûr, chose d'autant plus rigolote quand on sait que David Duchovny est de la partie (peu, certes, mais remarquablement). Pour moi c'est l'une des meilleures choses qui soit arrivées à la télévision, à l'écran en général. Une oeuvre dans laquelle je me replongerai avec un plaisir certain, le plus souvent possible, moi qui ne suis pourtant pas sérievore.

Et c'est aussi grâce aux compositions d'Angelo Badalamenti, à cette vague de synthétiseur noire et grisante dont ils abusent joliment dès le pilote avec toute la partie de deuil pour Laura Palmer, ensuite pendant les moments autres de toute la première saison, un peu plus raréfié dans la seconde... Le thème de piano si romantique proposé avec la photo souriante de la jeune femme pour chaque générique final, connaissant peu de variantes...
L'ouverture de chaque épisode à la basse au médiator avec le plan sur le petit oiseau tout mignon, suivie par le piano électrique puis les nappes orchestrales, avec l'insistance sur la scierie pour revenir systématiquement au panneau d'entrée de ville, à la cascade sous l'hôtel... Bon sang, mais quelle oeuvre ! Même les thèmes secondaires, très jazz contemporain, sont à retenir, et ne parlons pas des chansons de Julee CRUISE, étoile pleine qui donne un si beau timbre aux compositions de Badalamenti, sur disque plutôt...

Dernier mot sur la VF, plutôt bonne et choisie avec soin dans ses temps forts (Patrick Poivey - son meilleur doublage, pour MacLachlan donc -, Claude Chantal, Marion Game, Eric Legrand, Claude Giraud)...

Bon. Reste à voir la saison 3, la dernière, sortie plus de vingt-cinq ans après, comme pour suivre (de façon pourtant très involontaire) certaine réplique lancée dans le dernier épisode de la 2...





SUBTEXT RECORDINGS
CYBERNETICS, OR GHOSTS?


Le 24 Février 2025 par BORAHKRETH

L'aspect compilation fait qu'il est difficile d'avoir un avis global, en particulier sans creuser davantage ce que chaque artiste fait à côté, mais je tiens à insister sur le fait que "Ore" de EMPTYSET est absolument fantastique, ça fait un moment que j'ai pas entendu quelque chose d'aussi hypnotique. Si quelqu'un connaît des morceaux similaires à cette vibe... indus ambiant (?), ça m'intéresse.





Carly SIMON
ANTICIPATION


Le 23 Février 2025 par XAVIER


Comment peut-on écrire une telle chronique et ne donner qu'une étoile ?
Cet album est un chef-d’œuvre, une pépite, un bijou qui vous fait apprécier et comprendre jusqu'à l'âme de l'artiste, sa sensibilité, sa mélancolie mais aussi sa bonne humeur à travers des titres variés dans un esprit folk de bon aloi. Plus j'écoute cette œuvre majeure dans la carrière de Carly (elle ne sortira pas que des chefs-d’œuvre par la suite, surtout dans les années 80...) et moins je comprends cette chronique subjective mais néanmoins détestable.





Buddy GUY
SWEET TEA


Le 23 Février 2025 par BLUEMASK


Buddy Guy ratisse ici sur les terres de Junior Kimbrough et RL Burnside. Gros changement, fini le Chicago Blues clinquant, gavé de solos, et bienvenue au delta blues surélectrifié, boueux et hypnotique. Ca marche, le plaisir est là. D’abord parce que ce blues est rare et ce qui est rare est meilleur et parce que B.G n’est pas un manchot non plus en terme de feeling.





FANTÔMAS
THE DIRECTOR'S CUT


Le 23 Février 2025 par BLUEMASK


Fantomas est l’enfant de Mike Patton comme MR Bungle l’était. On retrouve donc beaucoup de MR Bungle, époque ´Disco Volante’ dans ce disque. Avec les mêmes qualités et les mêmes défauts. Mike Patton est un chanteur exceptionnel, un piètre compositeur, ou arrangeur, tournant toujours les mêmes marottes et oubliant le Groove. S’extasier sur ce disque comme devant la chapelle sixtine me semble un peu surjoué, il y a du snobisme même dans le métal. Ok, c’est sympa ces revisites de B.O de films à la mode metalo-inquietante, voire souvent grind, mais y-a-t-il de quoi se démonter durablement les cervicales ou le cerveau ou les hanches? Non.





The Jimi HENDRIX EXPERIENCE
ELECTRIC LADYLAND


Le 23 Février 2025 par REMY DUBOIS


Aaaah, cet album ainsi que le précédent sont des tueries, en plus je les passais souvent autrefois quand j'étais en train d'étudier ce qui me rend nostalgique.

Remy





The BEATLES
SGT. PEPPER'S LONELY HEARTS CLUB BAND


Le 22 Février 2025 par HDPE 79

Je suis rassuré je suis pas le seul à ne pas supporter les "jeremiades" de pm. La pire pour moi reste no more lonely night.





CHRISTOPHE
OLYMPIA 2002


Le 22 Février 2025 par BLUEMASK


Je sais, moi Christophe, me fait chialer, de tristesse, de joie, d’une nostalgie diffuse, y compris ses hits des débuts qui n’arrivent jamais à être kitch ou alors avec une classe insolente… alors, ce live complet, sortez les mouchoirs…
Fantastique







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