Le 20 Février 2025 par FOUDROCK

Un disque épouvantable. Mis à part, à la rigueur, et encore, vraiment à la rigueur, "I'll be over you", qui en sera d'ailleurs le seul vrai hit, je ne vois rien à sauver de ce marasme. La pochette, à la rigueur.

Le 20 Février 2025 par SEB

Le seul album de KATG dans ma discothèque, un album mythique !

Au coeur des années 80, désormais installée dans le paysage musical la machine à tubes Kool n'était pas prête de raccrocher. Pour la petite histoire, dès la fin de 1983 à peine l'album "In the heart" sorti, le groupe repart aux Bahamas enregistrer cet "Émergency" au Compass Point de Nassau, un des meilleurs studios d'enregistrement. Là entre 2 rushs ils croisent notre Sheila nationale qui enregistrait alors au Compass plusieurs titres de son album "Je suis comme toi", dont "Jumbo loo". Ils ont trouvé le morceau tellement kool (ah ah ah), qu'ils sont venus y faire les choeurs en toute simplicité. Pour Sheila, avoir Kool And The Gang qui vient faire les choeurs sur un de ses titres, une nouvelle jolie carte de visite !

Retour à cet opus. Il a agité ma jeunesse et il a évidemment pour moi une valeur sentimentale. Les 2 titres ultra connus et devenus des classiques, "Fresh" et "Cherish", hantent l'album et supplantent le reste qui est pourtant d'excellente facture, le morceau-titre notamment et "You are the one" qui est mon petit péché mignon de la galette.

Un album équilibré, des titres entraînants, des claques funky et des slows chavirants, un bon album ! Un solide 4,5 que je vais hausser au maximum parce que ça me dit de le faire ;)

Le 20 Février 2025 par JOVIAL

Soliloquy For Lilith me rappelle un peu Time Machines de COIL, mais la musique est ici plus sombre, plus rude, plus chtonienne. L'un des NURSE WITH WOUND les plus intéressants en ce qui me concerne, mais il me reste encore beaucoup à découvrir chez Steven Stapleton.

Le 20 Février 2025 par FOUDROCK

Je ne peux pas expliquer à quel point cet album est important pour moi. Enfin, je vais essayer : je l'ai découvert gamin, j'avais genre 11 ans, et j'ai immédiatement adoré (je ne connaissais, de Toto, que leurs tubes via un best-of). Ce fut mon premier Toto, le best-of mis à part. Emprunté en bibliothèque, acheté en CD peu après parce que je n'arrêtais pas de prolonger l'emprunt, vu que je n'arrêtais pas de l'écouter.
Ce n'est certes pas du grand art. Je le sais. Mais comme le "'Ot'n'Sweaty" de Cactus, je ne saurais correctement vivre sans écouter ce disque au moins une fois par mois. Ce qui est bien peu par rapport à ma fréquence d'écoutes de cet album autrefois. J'en rendais limite fou mes parents.

Le 20 Février 2025 par STREETCLEANER

J'aime vraiment bien la première track, ainsi que la 5 (les 2 sont proches des atmosphères de Silent Hill) ainsi que la 7, le reste me parle moins, mais bon l'ambient c'est comme ça, c'est très cérébral, ça matche ou pas. 2 heures 25 pour les huit pistes c'est un peu long je trouve surtout quand certaines pistes (je pense à la 4 notamment) sont un peu désagréables à l'oreille. Je suis ceci étant dit tout à fait conscient du statut d'œuvre essentielle de cet album dans le milieu du dark ambient.

Le 19 Février 2025 par FOUDROCK

Oui, il y à eu de bons trucs en 84, c'est vrai. D'ailleurs, un album que j'adore, ''Isolation'' de Toto, date de cette année ! Et le ''Ocean Rain'' d'Echo and the Bunnymen, le Prince, le Springsteen...
Mais globalement...et puis, je préfère nettement les 60's et surtout les 70's !

Le 19 Février 2025 par NONO

@RICHARD : dans le monde du rock, à mon sens 1984 est vraiment l'année-charnière. Il y a eu beaucoup de très bonnes choses cette année-là, mais c'est aussi l'année où tout se "popise", se formate. Je trouve que ce sont les années suivantes 1985 à 1988 grosso-modo qui seront, elles, assez cataclysmiques pour le rock, transformant tout en synth-pop superficielle avec toutes ces chansons remplies jusqu'à la gueule de "scrouic", de "tchingg", de tous ces bruits robotiques, faux "orchestra-hits" et production clinquante insupportable.
Moi j'aime les années 80, de 1980 à 1984 puis à partir de 1989. Entre les deux il y a un triangle des bermudes.

Le 19 Février 2025 par RICHARD

@FOUDROCK, à l’aune de tes commentaires respectables, j’ai cru comprendre que les années 70 te parlaient quand même un petit plus que les années 80. J’ai décrété tout seul dans mon coin comme un grand que je devais défendre quelque peu ces dernières. 1984, Annus Horribilis ? et pourtant, les artistes suivants ont sorti de belles choses : Daho, Rita Mitsouko, Gainsbourg, Cure, Cocteau Twins, Smiths, Echo and the Bunnymen, Prince, Depeche Mode, Psychedelic Furs, Anne Clark et tant d’autres moins ‘grand public’. C’est certainement moins burné que ZZ Top et Motörhead (et encore) mais il y a quand même de quoi prendre un plaisir certain :)

Le 19 Février 2025 par FOUDROCK

Je n'aime pas le Dead (contrairement à Alice Cooper...z'avez pigé ?), excepté la période, courte, allant de 1970 (album précédent, "Workingman's Dead") au triple live "Europe" de 1972. La période folk/country.
Ah si, "Live/Dead" me plaît bien quand même. Mais à petites doses.
Cet "American Beauty", c'est leur sommet absolu.

Le 19 Février 2025 par FOUDROCK

Le live qui fout votre chaîne hi-fi, votre platine, votre autoradio, votre lecteur MP3, en feu, par la simple puissance du son.
Dommage qu'il soit si court. Même si je soupçonne les oreilles de n'importe quelle personne bien constituée de décéder avant la fin d'un double album de cette puissance.

Le 19 Février 2025 par FOUDROCK

Tuerie intersidérante. Je préfère tout de même "Overkill", de peu, mais quand même.

Le 19 Février 2025 par FOUDROCK

Pochette terriblement risible (qui parodie peut-être celle du "Ace of Spades" de Motörhead) et contenu faiblard, à quelques rares exceptions ("It's so hard", "I wanna drive you home"). Dire que j'aimais cet album autrefois, dans mon adolescence...Celui-là et les deux suivants, en fait. Qu'est-ce qu'on peut être c.n, des fois, quand on est jeune...

Le 19 Février 2025 par FOUDROCK

Un des meilleurs lives de tous les temps, en dépit d'une durée trop rikiki. D'ailleurs, je n'aime pas quand un live, surtout quand il est sorti après 1969, n'est que simple (en vinyle), ça donne toujours un peu l'impression d'un travail à moitié accompli, même si le disque est réussi (comme là), on a toujours ce sentiment de frustration, comme s'il manquait quelque chose...
Ironie du sort, le groupe sortira un double live ensuite, qui est excellent, mais ce "Full House" lui reste supérieur selon moi.

Le 19 Février 2025 par FOUDROCK

Après celui-là, le déluge de daube va submerger Rod, autant le dire. Mais ici, c'est encore très bon. Note réelle légèrement inférieure à 4/5.

Le 19 Février 2025 par FOUDROCK

Peut-être bien mon préféré (avec le cru 71), rien que pour "The Killing of Georgie" et "Tonight's the night".
Encore une fois une face lente et une face rock. Encore une fois c'est la "lente" (ici la première, sur le précédent c'était inversé) qui est la meilleure, mais l'ensemble est remarquable.

Le 19 Février 2025 par FOUDROCK

Rod débarque chez Warner avec ce disque en deux temps (une face rock, une face lente, qui est la meilleure et offre notamment trois reprises à tomber : "This old heart of mine", "I don't want to talk about it" et évidemment "Sailing").
Un de ses meilleurs albums.

Le 19 Février 2025 par FOUDROCK

L'album mal-aimé des fans, du moins pour la première période (Mercury Records), parce qu'après, franchement, il y a de la concurrence dans la catégorie "pas bien apprécié" (pour ne pas dire pire).
Je n'ai jamais pigé pourquoi, car je le trouve du même niveau que le précédent. Vraiment bon.

Le 19 Février 2025 par FOUDROCK

J'avais été surpris (et pas en bien !) par la durée de l'album : 32 petites minutes. Rikiki, limite du foutage de tronche. Heureusement que le contenu, bien que limité en durée, est de qualité ("Angel", "You wear it well") !

Le 19 Février 2025 par FOUDROCK

Le meilleur album solo de Rod, sans aucune espèce de petite conne d'hésitation. Rien à dire, rien à jeter, c'est juste génial ("Mandolin Wind", "Maggie May", "Reason to Believe", le morceau titre).

Le 19 Février 2025 par FOUDROCK

Dans le genre gros live 70's, ça se pose là. C'est même limite un peu caricatural. Mais quel kif, aussi, ce live (sorti uniquement au Japon à l'époque ; je suis très content de posséder le double vinyle original, avec obi de papier autour de la pochette et insert imprimé dans la langue de Mishima et que je ne peux royalement pas lire pour cette raison) !