Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

32 minutes au paradis. Un disque fantastique à écouter pour se détendre, idéal dans presque toutes les situations : bricolage, apéro avec des amis, moment de détente en solo, trajet en voiture ou en transports en commun, fond sonore de lecture...
J.J. Cale fera plein de super albums de ce genre, mais celui-ci reste mon préféré.

Le 17 Mars 2025 par RICHARD

Vous avez suscité ma curiosité, les collègues.
Je me suis donc prêté au jeu (l'album est sur le Tube) et je dois dire que j'ai parfois séché. Ce sont parfois les textes plutôt bien trouvés généralement qui m'ont fait découvrir les artistes imités. Il y a naturellement à boire et à manger dans ces 24 titres, mais le JONASZ (un faux air Jesse GARON) et LAVILLIERS ont nettement ma préférence. J'aime bien l'idée de Martin la Botte concernant les 3 types de SEBASTIEN aussi, c'est bien croqué. N'hésite pas BAKER à faire des retours de ce type. Relire tes chros est toujours pour moi un régal !

Le 17 Mars 2025 par BLUEMASK

13 ans après "10 000 Days", TOOL renoue avec sa musique unique. Tension, ambiance orageuse, grondante, sans jamais vraiment d'explosion, énorme section rythmique pachydermique et élastique, voix éteinte, au service de morceaux qui déploient une transe et un mysticisme dans la longueur. Le groupe évolue vraiment à la marge.
Au chapitre des évolutions, peut-être des morceaux encore plus longs, moins immédiats, rien n'ayant jamais été immédiat chez TOOL, une voix qui module un peu plus, un break de chant 'digitalisé' sur "Invincible" avant un pont instrumental rythmique de 2 minutes proprement tétanisant.
Le disque est magnifique, intermèdes compris, et musicalement, c'est haut la main un 5/5.

Mais un petit quelque chose me gêne. TOOL a toujours eu un certain goût pour le mystère, et cultivé le secret et la différence, à la fois par goût personnel, c'est certain, probablement un peu aussi par plan média. Mais peut-être avec "Fear Inoculum" arrive-t-on au moment où cela devient un poil du foutage de gueule ? Au final, 6 'vrais morceaux', si l'on retire les instrumentaux/intermède (qui, il est vrai, font partie du disque et de son ambiance, à titre personnel, je ne zappe pas) en 13 ans, sans grande évolution notable, c'est peu. Entourer cela d'une volonté de ne rien délivrer en distribution physique, sauf via un package coûtant un bras, me gêne d'autant plus. Alors oui, le plan média, c'est que "TOOL" c'est de l'Art, un tout, de la musique, mais aussi une expérience, etc etc etc. Ok, soit. Soit on est membre d'une secte, soit on est des pigeons, remarquez, c'est la même chose.
Bref, quelle musique quand même ! Sur Apple Music, donc, pour moi.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Un chef-d'oeuvre méconnu, trop souvent négligé. OK, il fait suite à "Exile...". Oui, mais il n'y peut rien.
Un album fantastique, vraiment, rempli de grands moments (parmi lesquels la ballade "Angie", oui).
Le riff de "Dancing with Mr D" est sans doute le plus grand du groupe, et accessoirement un des plus grands au monde. Il vous entre dans le crâne pour n'en plus jamais ressortir.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Fuyez la version ricaine (11 titres, 42 minutes, photo couleur et lettrage bleu) comme la peste ou votre belle-mère défoncée au crack, et ne privilégiez que la version anglaise (14 titres, 53 minutes, photo rosâtre, celle du site donc) qui est juste géniale. Le premier triomphe total du groupe.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Je dois avouer que la pochette de cet album ne cessera jamais de m'intriguer.
Pourquoi avoir demandé au plus sérieux et sobre des Stones (même si Wyman ne riait que quand il s'entaillait le doigt) de poser, tout sautillant comme un golio sous ecstasy, à côté d'un âne à l'air vaguement embarrassé et portant des instruments (et Watts aussi, d'ailleurs) sur, apparemment, une route ou une piste d'aérodrome ? Avec, comme titre, "sortez vos joyeuses, les Stones sont en live" ?
Hein, pourquoi ?
Heureusement, ce live est, musicalement, au-dessus du moindre reproche, sa courte durée mise à part.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Le disque beatleslen des Stones. Un album presque charmant. La version ricaine offre les deux singles de l'époque ("Ruby Tuesday", "Let's spend the night together") en lieu et place de "Yesterday's papers" et "All sold out" (du moins, je crois, pour la seconde chanson retirée). La version anglaise est meilleure, et encore, de peu. l'album est excellent, quelle que soit la version, en fait.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Le disque psyché/barré/à-vous-la-Terre-ici-Alpha-du-Centaure des Stones. Ici Stoned.
Sous une pochette qui rend hommage à/se fout de la gueule de (choisissez le terme) "Sgt. Pepper" et "Magical Mystery tour" (pour le cadre nuageux autour de la photo), cet album est une anomalie dans la discographie du groupe, comme si Barbara avait sorti un disque de skate-punk ou comme si Patrick Fiori avait sorti un bon album.
Tout n'est pas parfait ("Gomper" sent bon le champignon hallucinogène périmé et "Sing this all together (See what happens)" est une trop longue jam zappaïenne bordélico-fumeuse qui ne mène à rien, sauf à finir la face A d'une manière bancale), mais le meilleur y est exceptionnellement exceptionnel : "2000 Light years from home", "Citadel", "She's a rainbow", "The Lantern", "2000 Man".

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

La pochette chiottarde ne plaira pas à Decca (curieux, d'ailleurs, eux qui avaient refusé les Beatles en 62 parce que selon eux, "les groupes de guitare c'était du passé", avaient certainement des goûts de chiottes, quelque part) et le disque sortira sous une pochette blanche.
Les Beatles sortent le "double blanc" à peu près à la même période de 1968.
Calamitas, les Stones sont accusés de copier - encore. Alors qu'y z'y étaient pour rien. Quand on pense que leur album suivant s'appellera "Let it bleed" et celui des Beatles sera "Let it be"...

Bref.

Un excellentissime album de roots rock. Un fantastique album, même.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Un des grands classiques du groupe, considéré, il me semble, par Jagger lui-même comme leur meilleur album. Son préféré en tout cas.
Je lui préfère les deux suivants, mais oui, c'est un des meilleurs. Bon Dieu, "Gimmie Shelter", rien que ça...

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Niveau prestation, c'est aussi bon que le précédent live. La setlist est très intéressante.
Mais quel son pourri, mon Dieu ! Ceux qui trouvent que "Live Cream" sonne mal n'ont peut-être pas écouté ce deuxième volume. Quel dommage, parce que sinon...
4/5 quand même.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Qualité audio un peu moyenne, mais prestation franchement excellente. Le groupe jouait LOURD, en live, tellement que Clapton était parfois assommé par la puissance de la rythmique sortant des baffles.
Le morceau studio inédit, "Lawdy mama", est un peu intrus ici, mais c'est correct.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

La première fois que je l'ai écouté, cet album, je l'ai détesté, vraiment. Pourtant, j'avais adoré "Wheels of Fire" ! Cherchez pas, je devais être con, à l'époque. J'étais sûrement trop vieux à l'époque, mais je suis bien plus jeune maintenant, comme le chantait Dylan.
Un des meilleurs albums de la vague psyché britannique. Un morceau comme "Tales of brave Ulysses" suffit au bonheur du fan de psyché rock lambda.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Excellent premier album, rempli de classiques (quand le groupe se reformera en 2005 pour leurs concerts du Royal Albert Hall, pas moins de 6 titres de cet album seront dans la setlist), parmi lesquels "N..S.U." dont je me demande bien la signification du sigle de son titre.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Double-album sorti sous pseudonyme ronflant et sous une pochette curieuse = bide commercial assuré.
Rassurez-vous, ça a été le cas.
Mais quel album ! Clapton en parlera comme de son sommet absolu. Il a raison, le con. Complètement héroïné à l'époque, amoureux fou de la femme de son pote Harrison (elle quittera George pour Clappy en 1974. Les deux resteront, au final, moins longtemps ensemble que le couple qu'elle forma avec Harrison ; qui, lui, de son côté, trouvera l'amour avec celle qui deviendra sa veuve), il enregistre, à Miami, avec l'aide de musiciens issus du groupe de Delaney & Bonnie et l'aide du guitariste du Allman Bros Band Duane Allman, cet album magistral. Du blues-rock terminal qui n'oublie pas de rendre hommage à HENDRIX (reprise de "Little Wing") et au chien du pianiste du groupe Bobby Whitlock ("Thorn Tree In the Garden").
Le morceau "Layla", on en parle ? Non, tout a déjà été dit dessus. C'est MONUMENTAL. Comme les 13 autres titres, au passage.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Sorti sous une pochette des plus risquées (on imagine aisément le scandale à l'époque !), cet unique album d'un supergroupe monté par deux anciens Cream et un Traffic (plus un Family) est un chef-d'oeuvre. Seulement 6 titres, dont une reprise et un morceau d'un quart d'heure dégueulant du solo par tous les orifices, mais il n'y a rien à jeter.
Les managers ont un peu trop pressé le citron à Blind Faith, l'attente était trop forte, si bien que le groupe splittera comme des connards à peine le disque sorti.
Winwood reviendra dans son Traffic après un tour chez l'Air Force de Ginger Baker, et Clapton fondera Derek & The Dominoes, prendra de la came à fond, et se lancera en solo.
Et Ric Grech ?
Ah, vous ne savez pas ? Je crois qu'on s'en fout, non ?
Plus sérieusement, pour Grech...i l suivra Winwood, en gros.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Tuerie absolue.
Le meilleur disque de hard-rock j'ai dit "'hard rock", pas "metal") des années 80, le "Dr Feelgood" de Mötley Crüe et le "Pump" de Aerosmith juste derrière.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Un authentique chef d'oeuvre de hard-rock surproduit et hautement jouissif, une collection de chansons mémorables, et qui se paie le luxe de se finir sur un doublé poignant ("This I love" et "Prostitute", avec ce final qui file les poils).
Totalement sous-estimé et surtout, totalement et injustement incompris.

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Un opus infernal, vraiment excellent, qui se paie le luxe de se finir sur un morceau bien bluesy et presque de rock traditionnel plutôt que de metal.
Encore une fois, pas de grosses surprises à l'horizon, mis à part ce dernier titre, mais certains albums du groupe sont plus maîtrisés que d'autres, et celui-ci l'est plutôt !

Le 17 Mars 2025 par FOUDROCK

Un bon petit cru, sans grande surprise, rien d'exceptionnel, rien de nul non plus. On passe un bon moment à l'écouter, et au casque, ça ramone bien les oreilles.