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Jean-michel JARRE
REVOLUTIONS


Le 19 Février 2025 par SEB


RÉVOLUTIONS !

Bon sang que ce titre était novateur pour l'époque. Sa lente montée en puissance, son mélange mélodique oriental et moderne, sa rythmique typée techno, cette sacrée techno qui commençait seulement à sortir des sphères musicales confidentielles. Et son vocoder, il a bien servi aussi. Souvenir...

En 1988, la new-beat, l'acid-house commençaient peu à peu à envahir nos discothèques ! Et pour ceux de la génération quinquas, le Vocoder qui scande "Révolutions" ils connaissent bien ! Allez vous n'avez pas pu passer à coté, rappelez-vous de Highstreet (avec le groupe The Maxx d'Eric Koloko) ! Ils détournèrent ladite chanson pour l'adapter à leur sauce. C'était bon et ça nous venait tout droit de Belgique (comme souvent à l'époque) ! Tant et si bien qu'ils ont pendant un temps fait oublier le morceau original de JMJ pour leur sample qui déchirait les jeunes sur les pistes, dont moi. Toute une époque ! Bien sûr ça ne dura qu'un temps.

Une preuve de plus que Jarre inspira à coup sûr la jeune génération... Cela dit c'est bien le seul titre, avec dans une moindre mesure "Révolution industrielle", que je sauve de cet album inégal. Un 3 pour le souvenir, mais 2,5 en note réelle...





David BOWIE
TONIGHT


Le 19 Février 2025 par MASTERFAN


Début septembre 1984, on y croyait encore. Oui, franchement. Il faut dire que « Blue jean » marchait sur les traces des trois singles de l’album ‘boxeur’, le 45 tours passait beaucoup sur ma platine. Il n’y avait donc aucune raison que Bowie ne continue pas à dominer les années 80, comme il l’avait fait pour la décennie 70.

Puis sort dans la foulée le nouvel album, TONIGHT. Le long « Loving the Alien », malgré quelques signes d’alerte sur le couplet notamment (quelques notes de synthé plutôt moches), se révèle convaincant au global, grâce à son refrain bien senti.

En revanche, la découverte du reste de la tracklist inquiète : tous les autres titres semblent être du réchauffé et/ou relever de l'aide sociale à son ami Iggy Pop… ça en bouche un coin quand même. La reprise de l’obscur « I keep forgettin’ » n’a aucun intérêt et celle des Beach Boys, « God only knows » est ratée, je suis bien d’accord qu’on reconnaît à peine le classique des garçons de la plage.

La relative qualité de « China girl » apparaît déjà un vieux souvenir puisque les morceaux 'iguaniens' sont ici également méconnaissables, en particulier ce « Tonight » défiguré sur lequel par dessus le marché, il faut se taper l’insipide Tina Turner. « Don’t look down », chouette morceau rock de l’album NEW VALUES, devient un reggae basique. De LUST FOR LIFE, on ne reconnaît que de loin « Neighborhood threat » qui s’en sort un peu mieux que les autres, si on n’est pas trop exigeant.

L’impression générale qui ressort de ces reprises est qu’elles sont trafiquées comme des voitures volées : presque autant de naturel là-dedans que dans le personnage de travelot de Christian Clavier dans ‘Le Père Noël est une ordure’. Chacun des intervenants semble avoir savamment placé sa touche pour ne rien oublier des tics de l’époque, production 80’s putassière, cuivres affreux et synthés pathétiques.

Et ce n'est pas fini, Iggy n'est encore pas loin sur « Tumble and twirl » et « Dancing with the big boys », autres condensés de mauvais goût et de musique vaine sous fond nauséabond de mauvais rock F.M (d'ailleurs ne serait-ce pas finalement un pléonasme ?)

Mon ressenti 2025 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : Loving the Alien, Blue jean. PLAISANT (3,5) : Néant. INTERESSANT (3) : Neighborhood threat. EMOTION LIMITEE (2,5) : Don’t look down, God only knows, Tonight. AUCUNE EMOTION (2) : Tumble and twirl,  I keep forgettin’, Dancing with the big boys. Bilan 2,72 et Top 5 à 3,20. TONIGHT cote pour moi 2,96 soit 11,84 /20.

Il semble depuis toujours y avoir quasi-consensus autour de cet album sur ce qu’il y a à en retirer, c’est assez rare pour le signaler. Deux belles réussites et une jolie pochette font éviter à ce 16ème album l'incompréhension totale, c’est déjà ça, Bowie ne sera pas 'Fanny'. Par contre, il rentre définitivement dans la période la plus compliquée de sa carrière, artistiquement parlant tout du moins. Eval précise à 1,5 pour respecter les critères bas du site.





The STRANGLERS
NO MORE HEROES


Le 18 Février 2025 par PSYCHODIVER


Peu importe que le seul contempteur actuel de ce deuxième opus des Étrangleurs soit un simili troll : moi non plus je n'ai jamais aimé ce "No More Heroes". Je le considère même comme l'un des pires disques existants. Ce pour une bonne raison : l'estime que je porte aux STRANGLERS de l'âge d'or est trop haute pour que je tolère la quasi glorification d'une auto parodie même pas drôle de leur œuvre. Car "No More Heroes" n'est que ça. Surjeu. Lourdeur. Beaufitude.

Tout amateur de punk redoute la fameuse malédiction du deuxième album raté dont l'échec ira torpiller le groupe concerné voire le damner*. Cet opus funèbre en est un bien atroce exemple (malgré les louanges incessantes qu'il génère). Il est l'antithèse de "Rattus Norvegicus", son dangereux aîné dont la violence crue et l'humour cinglant noirissime n'avaient d'égal que la classe baroque comme de son successeur cold, expérimental, acéré et cérébral qu'est "Black And White". Là : zéro classe, zéro cervelle. À se demander si les quatre dingos en noir ne se sont pas lancés dans un pari suicidaire façon "on va jouer à paraître encore plus salopards que la fois précédente". Dans cet exercice périlleux qu'est celui de succomber davantage à l'agressivité comme à une posture intimidante albums après albums : peu s'en sont bien sortis en évitant toute caricature (PIL, MAGAZINE, CURE, WIRE). Ici, JJ, Dave & Co' se vautrent littéralement dans la vulgarité gratuite et la fange la plus basse du punk. Niveau textes, on est jamais très loin des exactions sodomites bientôt pratiquées par ces dégénérés de l'ANTI NOWHERE LEAGUE sur des caprins. Le trait est forcé de partout. Vocaux que l'on croirait issus d'un micro donné à l'idiot du village défoncé. Musique dont la puissance et la saturation ne font jamais oublier l'aspect quelconque voire pauvre de l'ensemble. Rien ne retient mon attention. On passe du trop facile morceau éponyme (sauvé par un mémorable playback dévastateur en direct à la télé hollandaise, parfaitement décrit plus bas par MASTERFAN**) à l'indigeste ("I Feel Like A Wog", "Bring On The Nubiles", "Peasant In The Big Shitty") jusqu'à l'ampoulé absolu avec la conclusion interminable "School Mam". Échec total.

Les STRANGLERS sont avec les DAMNED, les RAMONES, BLUE ÖYSTER CULT et KILLING JOKE les groupes que j'ai le plus écouté à une certaine époque, afin de m'ouvrir à d'autres horizons au-delà des sphères hard / heavy / old thrash par lesquelles j'ai débuté ma passion actuelle pour nos sons de références (HAWKWIND, le FLOYD et PIL plus en profondeur, le prog crimsonien, la new wave, le krautrock et l'alternatif, c'est venu un peu plus tard). Le recul veut désormais que ces cinq formations ne touchèrent au sublime qu'à quelques exceptions, mais rarement le temps d'une continuité solide. N'en demeure pas moins que je dois pas mal de choses aux Étrangleurs. JJ est un modèle de rockeur, intelligent et plus subtil qu'on le pense. Les disparitions de Dave et Jet m'avaient foutu de sacrés coups. Aussi et au risque de radoter, outre pléthore d'excellents tubes et autres pépites dispersées ça et là entre 1977 et 1986 (au pif "Duchess", "Bear Cage", "La Folie", "Skin Deep", "Laughing", "Nice In Nice") : les STRANGLERS auront proposé seulement deux 33 tours réellement incontournables, les déjà évoqués "Rattus" et "Black And White". Mais sûrement pas ce "No More Heroes" qui résulte plus d'un excès de provoc mal canalisé que d'une ambition artistique intègre.

*Il est de bon ton de massacrer "Music For Pleasure" des DAMNED, le citant comme la quintessence du second opus à bannir de par son handicapante nullité. Or, c'est bien "No More Heroes" qui mériterait ce titre, tandis que l'opus du gang de Croydon devrait être réhabilité sur le champ.

**Même si, à mon sens, ça ne vaut pas les DAMNED au Old Grey Whistle Test (1979).





Jean-jacques PERREY
PRéLUDE AU SOMMEIL


Le 18 Février 2025 par DEJAVU


Je ne connaissais absolument pas cet artiste et ses oeuvres, j'ai écouté l'album sur YouTube, j'ai été quelque peu destabilisé à la première écoute, en cherchant sur ce même site, j'ai fait connaissance avec l'Ondioline, quelle découverte, j'attends encore avant de télécharger l'album mais je suis tenté. Verra-t-on un jour une chronique sur notre compatriote Eliane Radigue et de son œuvre "Trilogie de la mort" par exemple ? Je possède cet album.





THIN LIZZY
LIFE


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


Plus généreux en durée que le précédent live, plus axé sur la période allant après celui-ci (mais on n'évite pas des doublons de setlist, 7 au total, entre les deux albums ; contrairement à Scorpions qui avait su éviter à 100% les doublons entre "Tokyo Tapes" et "World Wide Live"). Plus féroce que l'autre, moins immense, mais tout de même très réussi. Un beau testament.





THIN LIZZY
VAGABONDS OF THE WESTERN WORLD


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


Premier gros classique, "The Rocker" (et, absent de tout album mais datant de la même année et présent en bonus-track, "Whiskey in the jar" ; ahurissant que ce morceau ne figure pas sur "Live and Dangerous" quand on y pense). Première pochette signée Fitzpatrick.
L'album est, ma foi, très sympathique.





THIN LIZZY
SHADES OF A BLUE ORPHANAGE


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


Premier morceau du nom de "Sarah" (il y en aura un autre sur "Black Rose : A Rock Legend") pour Thin Lizzy qui se cherche encore. Musicalement, c'est aussi correct, mais peu mémorable dans l'ensemble, que pour le premier opus éponyme. Même note donc, de 2.5/5.





THIN LIZZY
THIN LIZZY


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


Un premier album assez curieux de hard-folk-celtique un peu bluesy, clairement le groupe (fondé sur les cendres d'un groupe du nom de Skid Row, pas le même groupe que celui, ricain, des années 80/90 et qui leur piquera le nom d'ailleurs) se cherche et ne s'est pas encore trouvé. Ca reste intéressant, plus que la pochette en tout cas. Mais rien de mémorable. Note réelle : 2.5/5.





THIN LIZZY
THUNDER AND LIGHTNING


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


Une vraie réussite de hard-rock teigneux, le plus violent des albums du groupe qui s'essaie enfin au metal, personne ne pouvait prévoir qu'il s'agirait de leur dernier album.
"The Holy war" est une tuerie totale.





NAZARETH
HAIR OF THE DOG


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


En effet, un grand cru de hard-rock bien velu. Le chanteur a des accents Axl Rose avant l'heure (et d'ailleurs, les Guns ont repris le morceau-titre). Un disque qui offre du lourd, et je pense surtout au démentiel final de presque 10 minutes, "Please don't Judas me", qui prend son temps pour installer une ambiance bien pesante et trippante.





NAZARETH
HAIR OF THE DOG


Le 18 Février 2025 par CHRISNAKE


Si vous n'avez aucun album du groupe dans votre collection, celui-ci fera l'affaire car c'est un incontournable des Seventies qui a fait un carton aux USA avec 2 millions d'unités vendues et un tube "Love hurts" classé dans le Top 15 ainsi que dans de nombreux pays européens. C'est Manny Charlton le guitariste qui se charge de produire le disque après 3 albums produits par Roger Glover le bassiste de Deep Purple. Une Face A orientée Hard rock et une ballade magistralement interprétée par Dan Mac Cafferty qui sait moduler son chant "Guilty" de Randy Newman. La maison de disques américaine AM Records a préféré mettre "Love hurts", reprise des Everly Brothers à la place. Un choix judicieux. La face B est plus expérimentale avec "Beggars day" de Nils Lofgren, on croirait entendre Brian Johnson en plus énervé. 2 titres planants aussi et le blues-funky très rock sudiste avec "Whiskey drindin woman". Un Must !





RED HOT CHILI PEPPERS
ONE HOT MINUTE


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


Le seul album que j'aime de la part des RHCP, groupe que, sinon, je n'arrive pas à encadrer. M'énervent, ceux-là.
Mais cet opus 95, pardon, quel monstre de hard-rock funkysant... Dave Navarro n'a pas fait l'unanimité parmi les fans. M'en fous, j'en suis pas un, et je trouve qu'il fait un boulot super réussi ici, on a affaire à un album de grande qualité. Clairement un des sommets des années 90.





THIN LIZZY
RENEGADE


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


Là, je ne rejoins pas du tout la chronique. On a quelques bons trucs ici ("Hollywood" et les deux premiers titres) mais dans l'ensemble, quelle baisse de niveau après toute cette série (depuis 1974, et en incluant "Chinatown") d'excellents opus. La pochette est une vraie réussite, en revanche.





THIN LIZZY
FIGHTING


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


Aussi bon que "Nightlife", avec une excellente reprise de Bob Seger en intro, un "Suicide" magistral, et un morceau sublime, sans doute mon préféré du groupe au final, "Spirit slips away". Un album un peu oublié, et c'est bien dommage...





THIN LIZZY
NIGHTLIFE


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


J'adore la pochette, vraiment.
Musicalement, ce quatrième opus est le premier à être vraiment recommandable, non pas que les trois précédents soient nuls (certainement pas le précédent direct "Vagabonds..." en tout cas), mais ils leur manquent un truc.
Là, franchement... Ce n'est pas encore parfait, mais entre "Still in love with you", "Showdown", "Sha la la", "She knows" et "Philomena" en hommage à la mère de Lynott (qui lui survivra), c'est superbe.





THIN LIZZY
BLACK ROSE : A ROCK LEGEND


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


Le morceau final est légendaire. Quel album. Et si c'était celui-là le sommet de la carrière du groupe ? Enfin, entre celui-là et "Johnny The Fox", mon coeur balance...





Michel LEGRAND
LES PARAPLUIES DE CHERBOURG


Le 18 Février 2025 par MARTIN LA BOTTE


ATTENTION, je spoile la fin du film !!!

Superbe chronique, Emma ! Je prendrai toujours plus de plaisir à écouter les b.o plus enjouées, plus joyeusement jazzy, plus "féériques" des "Demoiselles" ou de "Peau d'Âne" mais je suis toujours bluffé par le tour de force accompli ici par Jacques DEMY et Michel LEGRAND. Car, contrairement aux deux autres, "Les Parapluies" est chanté de bout en bout. Et là où rêveries, légèreté et optimisme dominent à Rochefort, tout est douleur, destin contrarié et résignation pragmatique à Cherbourg. Avec cet incroyable challenge de faire chanter chaque émotion, chaque réaction, chaque petite phrase la plus banale. Dans un final somptueux et hautement émotionnel, on est face à 2 anciens amants se retrouvant fortuitement dans une station service des années après leur bouleversante séparation (subie et souhaitée ni par l'un ni par l'autre) ayant envie de parler mais n'ayant plus grand chose à se dire, interrompus par le pompiste qui demande (fredonne) à la dame si elle veut du "super" ou de "l'ordinaire"... Ce qui donne forcément tout au long du film ces "paroles un peu désuètes et vides par moment" qui rendent aussi les situations tellement plus (hyper)réalistes. Mais une fois qu'on a accepté le concept ou qu'on s'y laisse prendre, et j'avoue y être moi-même parfois encore rétif, on peut réellement être emporté. Notamment par ce sublime thème des amoureux qui, à chaque retour, fera monter les larmes d'un cran ou de plusieurs jusqu'à la fin.
Pour donner une idée du caractère sans concession de l'entreprise, si vous recherchez la plus célèbre chanson (et scène) du film dans la track list (♪ Mais je ne pourrai jamais vivre sans toi...♫), il faudra vous rendre à la piste 11 "Devant le garage"...

Emma, même si je reste un éternel amoureux de Catherine DENEUVE, ne penses-tu pas qu'il serait légitime de citer quelque part sur ta fiche-chronique les chanteuses et chanteurs qui la doublent, elle et ses partenaires, à commencer par la grande Danielle LICARI ?





THIN LIZZY
BAD REPUTATION


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


Une pure merveille et un album, j'ai l'impression, un chouïa oublié de nos jours (comme le groupe ? Peut-être bien, hélas...). J'ai l'impression que l'on ne parle pas assez souvent de "Bad Reputation" quand on parle de Thin Lizzy. Alors qu'il n'y à rien à retirer de ces presque 36 minutes certes pas terriblement heavy, mais très très fortement mélodiques. J'aime ce genre de hard-rock !





Jean-patrick CAPDEVIELLE
LES ENFANTS DES TENEBRES ET LES ANGES DE LA RUE


Le 18 Février 2025 par POPOLOUTCHO

Je venais d’entrer au lycée en 79. À l’époque avec mes potes, on ne jurait que par le Rock et les Musiques Anglo-Saxonnes. Par contre, on méprisait tout ce qui passait dans les émissions de variétés type Guy Lux. Avec le recul il faut reconnaître que tout n’était pas à jeter, loin de là… Mais bon, on était « jeunes et rebelles », c’était comme ça.
Dans cette seconde moitié des années 70, une nouvelle forme de chanson française est apparue. Si elle n’était pas toujours typée Rock, on sentait bien que les influences étaient là et du coup, on a adhéré. Il y a eu d’abord les Souchon, Higelin, Lavilliers, Voulzy, Renaud, suivis de près par Cabrel, Thiéfaine et d’autres. Jean-Patrick CAPDEVIEL faisait partie de la vague. Mais chez lui, il y avait des choses qui nous dérangeaient. Son côté un peu forcé, poseur, à la rigueur ça passait. Par contre, ce qui ne passait pas, c’était que ses chansons étaient parfois calquées sur celles de Bruce Springsteen. Il faut savoir qu’à l’époque en France, le Boss n’était pas connu du grand public. Mais voilà, nous autres lecteurs de Rock & Folk, Best et autres mensuels de la presse Rock, on connaissait. D’ailleurs, on adorait « Darkness on the Edge of Town » qui était sorti l’année d’avant. Et il faut bien le reconnaître, quand on écoute par exemple « Prove it all Night » et juste après « Tout au bout de la ville », il y a plus que des similitudes. Dans les deux premiers albums de CAPDEVIEL, on peut en noter quelques-unes comme ça : des bouts de mélodies par ci, des morceaux d’arrangements par là… Au fur et à mesure, ça a fini par vraiment se remarquer. Les Rock-critiques s’en sont agacés et l’intérêt pour CAPDEVIEL a sans doute décliné aussi à cause de ça. Dans les années 80, il a essayé de sonner autrement, mais ça n’a pas collé. Pendant que les autres chanteurs de la vague s’imposaient largement, lui a disparu. Dommage, car il y avait des côtés intéressants et sympathiques chez lui. Il lui manquait juste un peu plus d’authenticité.





THIN LIZZY
JAILBREAK


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


Un autre grand opus de Lizzy. La face B, notamment, est absolument parfaite, rien à jeter.







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