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Diana ROSS
DIANA


Le 29 Novembre 2018 par FOLLOW THE TORTOISE


Les albums produits par chic sont tous pareil, on dirait du Chic époque "Risque" mais avec d'autres chanteurs au micro, bon c'est relatif pour certains mais ici pour Diana Ross c'est encore plus flagrant qu'avec les autres collaborations du groupe. Cela dit, avec tout les musiciens du groupe pour l'accompagner il y avait des chances que ça donne un tel résultat.





GRAND FUNK RAILROAD
CLOSER TO HOME


Le 29 Novembre 2018 par JOEY JOJO


Le pire, c'est qu'on se laisse prendre au jeu des GFR. On a envie de retrouver un autre "Red Album" mais ici ce n'est pas le cas car c'est plus calme, ce qui rend cet albums moins bon que le précédent. Cela dit, "I'm Your Captain" et "Sins A Good Mans Brother" sont les meilleurs moments. Après, il y a du remplissage comme "Get It Together", un instrumental, puis le choeur finit la chansons comme si c'était une fin de morceau inachevé.
"Aimless Lady" dont l'intro est probablement inspirée de Uriah Heep avec leur Look At Yourself pour la rythmique reste sympa, tout comme les autres, mais beaucoup moins agressif que l'album précédent, sêrement une réaction aux critiques qui fusaient à l'époque, traitant le groupe de "bourrins sans talents". Mais le plus intéressant restait à venir jusqu'à leur aboutissement avec We're An American Band et quelques hits les années suivantes, d'un style plus pop.





GRAND FUNK RAILROAD
GRAND FUNK


Le 29 Novembre 2018 par JOEY JOJO


L'album est, comme la chronique le dit, homogène et aussi le plus représentatif de Grand Funk à leurs débuts. C'est pas de la grande virtuosité certes, mais l'ensemble reste agréable à l'écoute et la "naïveté musicale" que dégage cet album fait légèrement sourire et c'est justement ça qui rend l'album plaisant. C'est un album qu'on aime bien parce que ça décape, pas pour le jeu technique du batteur (loin de là) ni pour la souplesse du guitariste ou la voix et la justesse ou l'émotion du chanteur. Dans "High Falootin' Woman" lors du deuxième couplet quand le piano arrive et que monte le volume, on dirait qu'on tape au marteau sur le clavier, jamais vu qu'on pouvait jouer aussi fort du piano. Mais le comble de l'inutile casse oreille c'est "In Need", la chanson commence bien, l'harmonica arrive c'est sympa. Puis le ton change, pourquoi pas? Mais à 2 minutes de la fin, le guitariste fait je ne sais quoi avec sa guitare, un truc qui vient tout seul, gratuitement, sans contexte, comme un débutant qui veut faire du Blackmore en se la pétant mais n'a aucun talent. Je me dis "Ah, c'est sûrement la fin" et quand on voit qu'il reste autant de temps avant la fin de la chansons ça fait peur. J'ai envie de me dire "Merde qu'est- ce qu'ils vont faire après ? Exploser tout ?". "Paranoïd" est tout aussi chiante à écouter et idem pour "Inside Looking Out" dont la version des Animals était non pas plus calme (ça criait bien aussi) mais au moins il y avait de la musicalité.





DISNEY
LES INDESTRUCTIBLES


Le 29 Novembre 2018 par LORDI2


C'est un chef-d'œuvre ce film. Les fans de super héros seront comblés ! Dommage que les indestructible ne soient pas des MARVEL. L'histoire est crédible et le scénario bien écrit.





DISNEY
LES INDESTRUCTIBLES 2


Le 29 Novembre 2018 par LORDI2


Un bon film pour les enfants et les fans de super héros! Il est bien, mais le premier est largement supérieur et de meilleure qualité. Je ne suis pas déçu, je le trouve juste un peu court dans la durée. Ma notation révèle la qualité du film pour vous donner une idée de mon opinion. Je n'ai aucun regret de l'avoir vu.





The CURE
FAITH


Le 29 Novembre 2018 par NONO

@Richard : Et "Head On the Door" : le synthé ! (quoique discret, contrairement à ce que sera "Kiss me kiss me").





The CURE
FAITH


Le 28 Novembre 2018 par RICHARD


Seventeen Seconds, ce fut la guitare.
Pornography sera la batterie.
Faith est la basse.
Une basse sur lesquels sont construits tous les titres. Une basse qui sert de point de départ à la création de superbes atmosphères au spleen cotonneux. Il y a encore de l'espoir. Ce sera comme le disait Smith à l'époque en l'Homme, et rien qu'en lui. Constat d'autant plus douloureux et vain que sur Pornography, Fat Bob nous déclarera quelques mois après et ceci de façon définitive qu'il devra combattre ce mal, trouver un remède...
Faith est pour moi l'un des meilleurs albums de la bande de Crawley. Il est la quintessence de la cold wave.





The CURE
PORNOGRAPHY


Le 28 Novembre 2018 par POSI


Un des meilleurs albums de The CURE et un aller simple direct pour la dépression dès les premières notes de One Hundred Years c'est le bad trip assuré.





Patrick BRUEL
ENTRE-DEUX


Le 28 Novembre 2018 par NONO


J'aime beaucoup la remarque pointant le fait qu'à trop faire minimaliste, ça devient tout simplement... vide ! Ca me rappelle furieusement les assiettes de certains grands chefs : l'assiette fait 50 cm de diamètre et on a un millimètre-cube de nourriture au milieu : un radis, une larme de sauce, 3 graines .... là ou beaucoup nous dirons que c'est le "nec-plus-ultra du design", d'autre diront tout simplement qu'ils n'ont rien becté et se sont fait élégamment arnaquer.
Et puis sinon, Bruel qui chante du bal musette façon "Bébert-au-comptoir-d'en-face", ça sonne pas vraiment naturel, quoi.





Al JARREAU
BREAKIN' AWAY


Le 28 Novembre 2018 par NONO


Je possède 2 albums d'Al Jarreau : "Breakin away" et "Jarreau" et je ne sais pas lequel je préfère, j'ai du mal à me décider. Breaking Away est plus jazzy donc plus spontané mais aussi un peu moins accessible que "Jarreau" (album suivant), qui est nettement plus pop mainstream mais excellent néanmoins.





The CURE
FAITH


Le 28 Novembre 2018 par LEO


Tout comme je l'ai fait avec Pornography l'année passée, je reviens vers Faith après avoir laissé passer dix longues années sans l'écouter.
Comme dit dans mon commentaire précédent de Mars 2007, cet album fut très longtemps un de mes favoris de THE CURE puis avec les années, j'ai fini par le délaisser et ne plus y prêter attention, sans doute à force d'écoutes trop répétées à sa sortie et dans les quelques années qui suivirent.
Si Seventeen Seconds était un album brumeux, Faith s'enfonce un peu plus dans les ténèbres.
Ce troisième opus de la formation a un peu le cul entre deux chaises si je puis dire. Logiquement intercalé entre Seventeen Seconds et Pornography, il garde l'aspect brumeux et mélancolique du premier plus le côté neurasthénique et sombre de son futur successeur (mais sans la folie et l'aggressivité de ce dernier).
La musique du groupe se fait plus froide et sépulcrale qu'elle ne l'avait jamais été jusque là et bien que Matthieu Hartley ne soit plus de la partie, les claviers (tenus cette fois par Robert Smith) prennent de plus en plus d'importance au point que le chanteur en vient à délaisser totalement sa guitare au profit des claviers sur "All Cats Are Grey" et "The Funeral Party".
À la réécoute, ce 33t m'a agréablement charmé de nouveau après toutes ces décennies passées loin de ma platine.
Il est quand même très loin de valoir la formidable cohérence de Seventeen Seconds. les plus enlevés "Primary" et (l'horrible) "Doubt" viennent briser la fluidité des morceaux qui les entourent, cependant les six titres restants sont plutôt réussis et parviennent à capter l'attention (pour peu que l'on soit dans l'état d'esprit adéquat pour l'écouter !).
La compo que je préfère reste "All Cats Are Grey" avec son ambiance désincarnée tout à fait prenante mais "The Holy Hour", "Other Voices", "The Funeral Party", "The Drowning Man" et le morceau-titre sont tout aussi réussis dans le genre cafardeux et désenchanté.
Pour compléter la série, il convient de se procurer la version Deluxe de Faith puisque y sont ajoutés (entre autres) l'instrumental atmosphérique de 27mn "Carnage Visors" qui servait de bande son en intro des concerts de la tournée Faith (et qui figurait en face B de certains exemplaires k7 de l'album) et l'excellent single "Charlotte Sometimes" paru à l'Autômne 81.
Un bon 3,5/5





BIG COUNTRY
NO PLACE LIKE HOME


Le 27 Novembre 2018 par METALPROG84


D'accord et pas d'accord en même temps avec la chronique. D'accord sur le fait que les 3 premiers albums étaient bien meilleurs que celui-ci. Mais certains titres valent le coup, et pas forcément ceux mentionné dans la chronique (question de goût). J'aime moyennement "Republic party reptile" (très rock sudiste -pourtant j'adore Lynyrd Skynyrd-). Le mélancolique "Dynamite lady" et le très rock "Beat the Devil" valent effectivement le coup. Par contre, on finit sur 2 titres que je trouve très bons: la ballade au piano "Ships" et l'inspiré "Into the fire". "We're not in Kansas" et "Keep on dreaming" sont pas mal aussi.
Au final, 6 titres sur 12 (je ne connais pas les 3 derniers titres bonus) oscillent entre le bon et le très bon, le reste étant effectivement plutôt moyen et pas mémorable (c'est quand même écoutable). Un petit 3/5 en ce qui me concerne.





The PIROUETTES
MONOPOLIS


Le 27 Novembre 2018 par BAAZBAAZ


Album de la maturité ou album de l'ennui ? J'ai du mal à trancher... Les arrangements Synthpop sont plus travaillés, plus mûrs, moins candides dans leur approche 80s. Mais les mélodies vocales sont moins accrocheuses... Comme si une sorte de détachement cynique mêlé à l'envie de faire artiste, ou de faire sérieux, avait remplacé l'effronterie des débuts.

En fait, les chansons sont toutes structurées de la même façon, et leur intérêt tient systématiquement à la qualité du refrain. Quand cela fonctionne ("Ce Paradis", ou surtout le seul vrai tube "Medina"), le groupe tient son rang. Mais sur une partie de l'album (surtout la fin) cela sonne hélas un peu terne, un peu forcé.





Patrick BRUEL
ENTRE-DEUX


Le 27 Novembre 2018 par MR LARSEN


"BRUEL qui chante "Dans la dêche", c'est Mikael Akerfeldt qui chante "Mamma Mia"". Belle analogie BAKER, ça m'a bien fait marrer ! ^^ Pour le reste, je partage ton avis, cet album est lénifiant, BRUEL y est mièvre, même si j'aime bien "La Complainte De La Butte" avec CABREL.





YES
DRAMA


Le 26 Novembre 2018 par METALPROG84


"Drama" était le disque de l'année 1980 en matière de pronostics défavorables : après le déjà moyen "Tormato" en 1978, Anderson et Wakeman étaient partis, remplacés par les 2 "guignols" des BUGGLES, Horn et Downes. Quand en plus, on a su que l'album s'appelait "Drama", on ne pouvait s'attendre qu'au pire! Grave erreur, "Drama" s'avère excellent.
Les 3 morceaux "Machine Messiah", "Into the Lens" et "Tempus Fugit" (qui d'ailleurs représentent les deux tiers de l'album en durée) sont pour moi parmi les meilleurs du groupe (n'en déplaise à certains fans qui ne jurent que par Anderson) et auraient pu figurer sans problème sur "Close To the Edge" ou "Fragile". Les 3 autres titres, un ton au-dessous, demeurent intéressants et assez originaux (en tout cas meilleurs que ceux de "Tormato"). La voix de Trevor Horn est dans la lignée de celle de Jon Anderson, bien qu'un peu moins envoûtante.
Un super album, sous-estimé par l'absence d'Anderson (idem pour le dernier Genesis studio sans Phil Collins), mais qui mérite de figurer dans la discographie de tout amateur de rock progressif (voir de rock tout court).





GENESIS
AND THEN THERE WERE THREE...


Le 26 Novembre 2018 par METALPROG84


Après les excellents "A trick of the tail" et "Wind and wuthering" et le départ de Steve Hackett, "And then they were three" marque un peu le pas: la musique se fait plus simple, moins ambitieuse sans être encore commerciale.
Certains morceaux sont néanmoins très bons: le superbe et très dynamique "Down and out" qui ouvre l'album est mon préféré, le refrain de "Undertow" est magnifique, l'entrainant "Deep in the motherlode" est également excellent, le mélancolique "Many to many" est une réussite, "Scenes from a night's dream" et "Lady lies" valent aussi le détour. La plupart des autres titres sont bons mais un ton en-dessous. Quand au dernier morceau "Follow me follow you" (le tube), je le trouve vraiment trop convenu (ce titre annonce en quelque sorte la future orientation pop du groupe).
Bon album quand même, agréable à écouter mais c'est vrai qu'il ne soutient quand même pas la comparaison avec les albums antérieurs (de "Trespass" à "Wind and wuthering").
Note réelle: 3.5/5.





GENESIS
DUKE


Le 26 Novembre 2018 par METALPROG84


Dernier album de Genesis avant "l'ére commerciale", "Duke", sorti en 1980, est dans l'ensemble un bon disque malgré, justement, 2 morceaux déjà tournés vers les hits: "Misunderstanding" (correct sans plus) et "Turn it on again" (pas terrible).
Les autres titres sont solides dans l'ensemble, du superbe "Behind the line" qui ouvre l'album au magnifiques "Duke's travels" et "Duke's end" qui clôturent le cd, en passant par le très rock "Man of our times", et les deux ballades (le spendide "Heatheaze" et "Please don't ask" composé par Collins). "Alone tonight" est un peu plus convenue alors que "Cul-de-sac" est un morceau typiquement "Banksien", mais pas son meilleur car un peu pompeux.
Dans l'ensemble donc un album agréable à écouter, mais qui a le "cul entre 2 chaises", pas vraiment progressif et pas encore tout à fait pop-rock fm, comme ce sera le cas avec les albums suivants.
Note réelle; 3.5/5.





GENESIS
WIND AND WUTHERING


Le 26 Novembre 2018 par METALPROG84


Sorti fin 1976, après l'excellent "A trick of the tail", cet album est tout aussi bon, mais dans un style un peu différent: un peu moins direct, plus sombre, plus mélancolique aussi.
Seuls bémols, "Your own special way", ballade un peu quelconque, ainsi que l'instrumental "Wot gorilla": non pas que ces morceaux soient mauvais, mais en comparaison de tous les autres titres, ils ne font pas le poids. Du majestueux "Eleventh earl of mar" à la magnifique ballade "Afterglow", en passant par "One for the vine" avec son intro à la flûte et sa partie centrale sautillante, ou par le sublime "Blood on the rooftops" avec sa guitare acoustique ou encore par le monumental instrumental "...In that quiet earth", sans oublier le dynamique "All In A Mouse's Night" ou les claviers sont omni-présents, le groupe signe là son dernier grand album.
Genesis réalisera ensuite deux albums qu'on pourra encore qualifiés de "progressifs" ("And then they were three" et "Duke" ), bien que moins ambitieux et déjà plus accessibles. Ensuite çà sera de la pop-rock FM parfois indigeste.





GENESIS
THE LAMB LIES DOWN ON BROADWAY


Le 26 Novembre 2018 par METALPROG84


Dernier album de Genesis avec Peter Gabriel, sorti en 1974, ce double album était assez différent des précédents (même la pochette). Plus tendu, plus hard, morceaux beaucoup plus courts, cet album est un véritable chef-d'oeuvre du rock progressif et du rock tout court. Créativité , originalité, mélodies superbes ("Hearless hair", "Carpet crawl","The lamia"), maitrise technique, les mots manquent pour décrire ce monument. C'est vrai aussi qu'il est un peu moins accessible que les autres albums, il faut quand même quelques écoutes pour saisir toute la subtilité de ce fantastique album.
Genesis réalisera ensuite encore 2 très bons albums, bien que beaucoup plus classiques ("A trick of the tail", "Wind and wuthering") avant une descente "progressive" vers une musique de plus en plus commerciale.





Al JARREAU
BREAKIN' AWAY


Le 26 Novembre 2018 par BAAZBAAZ


Splendide... Un classique du début des années 80. Jazzy et chic, presque de l'Easy Listening. Dommage que la reprise de "Blue Rondo à La Turk" frôle le grand n'importe quoi.

Le son est typique de l'époque. Glacé et maniaque, un peu comme sur le Give Me the Night de George BENSON. La pochette le clame d'ailleurs haut et fort : les 70s sont bel et bien terminées.







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