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The Jimi HENDRIX EXPERIENCE
ELECTRIC LADYLAND


Le 10 Janvier 2016 par ADRI


Je ne peux pas m'empêcher de trouver cet album trop long et honteusement sujet au remplissage. Il y a bien des joyaux sur cet opus, comme le sont les deux gros morceaux "Voodoo Chile" et "1983... A Merman I Should Turn to Be", ou l'entraînant "Crosstown Traffic", le très rock "Voodoo Child (Slight Retrn) ou bien sûr l'immense reprise de "All Along the Watchtower". Quelques autres morceaux sont sympas ("Gypsy Eyes", "Long Hot Summer Night") mais tout de même, certains titres sont de trop ("House Burning Down", "Moon..." ou "Little Miss Strange" que je trouve peu inspirés. "Axix : Bold As Love" me paraît plus équilibré, mais ce "Electric Ladyland" est tout de même un très grand disque, même s'il ne peut plaire à tout le monde.





ZZ TOP
TRES HOMBRES


Le 10 Janvier 2016 par ADRI


Un album souvent réduit à son tube "La Grange" mais les autres titres ne sont pas en reste. Les 3 premiers sont géniaux, un peu plombés par "Master of Sparks" ensuite, mais la qualité globale de l'album est très bonne, relevée par des titres comme "Shiek" ou le so bluesy "Hot Blue & Righteous". Pas le meilleur album du Top selon moi, mais un grand classique.





PINK FLOYD
THE FINAL CUT


Le 10 Janvier 2016 par DEJAVU


Quant on sait ce qui sera publié par la suite, "A Momentary Lapse Of Reason", "The Division Bell" et "The Endless River", on se dit, après plusieurs écoutes, que "The Final Cut", mérite bien plus qu'une étoile.





Ennio MORRICONE
POUR UNE POIGNEE DE DOLLARS


Le 09 Janvier 2016 par KOBAN


Pour ceux qui se sentiraient frustrés par cette bande originale incomplète, je signale une édition italienne chez GDM qui possède beaucoup plus d'atouts que cette pauvre édition qui n'est que la version CD du 33 t d'époque :
- 17 morceaux (mais pas la suite finale), soit l'intégrale
- bon travail de remastérisation
- notes de livret avec les noms des musiciens.

Les pistes supplémentaires sont mono mais celle-ci vaut largement ses 4 étoiles.





Paul MCCARTNEY
BAND ON THE RUN (WINGS)


Le 09 Janvier 2016 par LEO


Band On The Run est un album quasi-parfait du début à la fin!
Il n'y a juste que "Picasso’s Last Words (Drink To Me)" qui ne m'a jamais emballé. je trouve même cette ballade (incluant un collage de divers thèmes de l'album) tout à fait inutile et longuette. mais c'est bien le seul point noir en ce qui me concerne!
Le morceau qui donne son nom à l'album est intelligemment construit avec ses rutptures et changements de thèmes durant les 2 premières minutes.
Le plus enlevé "Jet" a presque une tonalité glam-rock (on est en plein dans la période d'ailleurs!).
"Bluebird" est le pendant de "Blackbird" mais cette fois l'emballage est bien plus riche car la guitare acoustique est agrémentée de basse, de percussions, d'une partie de batterie (discrète), de choeurs et même de saxophone!
Viennent ensuite le joyeux "Mrs. Vandebilt", le plus bluesy "Let Me Roll It" (avec l'écho dans la voix de Macca qui donne un p'tit côté Lennon à la compo), la jolie ballade "Mamunia" avec son titre faisant référence à un hôtel de Marrakech, tandis que le plus court "No Words" (Co-composé avec Denny Laine) peut faire songer à une compo de George Harrison (il y a pas mal de réminiscences que ce soit dans la voix ou les guitares).
Je ne reviendrai pas sur "Picasso’s Last Words (Drink To Me)" que j'ai déjà évoqué plus haut.
L'album se termine en apothéose avec "Nineteen Hundred And Eighty Five", un de mes morceaux favoris de McCartney, avec son final grandiose qui inclut un grand orchestre.
Parmi les bonus en version CD, on retrouve le très rock "Helen Wheels" paru en single 2 mois avant l'album, et sa face B "Country Dreamer" (enregistrée en 1972) qui rappelle vaguement "Heart Of The Country" sur RAM.





Elton JOHN
THE BIG PICTURE


Le 08 Janvier 2016 par NONO


Très mauvais disque.
"The big picture" est pour moi la troisième pointe du triangle des Bermudes, dont les deux autres pointes sont "Victim of love" et "Leather jackets".
D'une platitude désespérante, ce disque est mollasson, manque de passion, manque d'inspiration.
Beaucoup trop de ballades, mais des ballades froides, cliché, sans relief.
Album sans intérêt, coincé entre deux grands albums, eux très réussis.
Note : un tout petit 2/5





Elton JOHN
BLUE MOVES


Le 08 Janvier 2016 par NONO

Je ne connais pas ce disque (à part le tube "Sorry seems... , évidemment), mais de l'avis général, ce disque est souvent perçu au mieux comme "assez bon sans plus", au pire comme "ultra-chiant".
Donc, ma foi comme Terry, c'est pas demain la veille que je me l'achèterai.
C'est quand même bizarre car, à entendre Elton himself, cet album est son préféré visiblement.
Comme quoi, les goûts et les couleurs....





Elton JOHN
THE ONE


Le 08 Janvier 2016 par NONO


Un album spécial, que j'aime beaucoup.
Ca sonne plus authentique, plus "acoustique" que les précédents albums, avec un effet d'espace dans la production, donnant l'impression que l'enregistrement s'est fait dans une salle immense.
J'aime absolument tout ici, même si ça reste assez conventionnel il faut l'avouer....
Seul "Understanding women" est un peu en-deçà, à mon avis.
Ce coté "chansons courtes mais solides et classiques" reprend un peu la formule "sécuritaire" du précédent album (Sleeping with the past), mais avec davantage de panache, de majesté, de grandeur dans la production je trouve.





DREAM THEATER
AWAKE


Le 08 Janvier 2016 par THETHINWHITEDUCK


Djinn quel dommage de ne pas avoir persisté ! C'est le premier album que j'ai découvert du groupe, j'ai depuis décroché (aux alentours d'Octavarium), et c'est de loin mon préféré.

Si en effet la seule chose que tu retiens c'est le refrain de Caught in a web, tu es passé à côté du disque car c'est sans doute un des morceaux les plus faiblards.

J'aime beaucoup l'ambiance sombre et froide de cet album (jusque sur la pochette). Comme dit dans la chronique, il n'y a pas le côté kitsch des débuts et leur ton et leurs sonorités se sont durcis et assombris. Je me souviens qu'à l'époque dans les magazines, ce disque était catalogué comme "trop technique" pour véhiculer quoi que ce soit... alors que pas du tout !

Les moments forts pour moi : toute la tripotée de soli de Petrucci (sur Voices, Lie notamment), quant à Scarred, c'est pour moi le sommet de l'album : les breaks, les solis, les ambiances...c'est un titre long mais qui passe bien plus vite que Caught In a Web ou Innocence Faded.

Je ne suis au final peut être pas objectif car c'est une peu avec cet album que tout a commencé pour moi, mais c'est dommage de rester sur une mauvaise impression..





U2
RATTLE AND HUM


Le 08 Janvier 2016 par DAVID HEWSON


Etrange qu'il n'y ait que 2 critiques de cet album majeur de U2. Que de souvenirs à son évocation et au film retraçant la tournée! U2 s'accrochait encore à son firmament. Il faut dire que "The Joshua Tree" avait placé la barre tellement haute que celle-ci n'était pas encore redescendue. "Rattle & Hum" sera pourtant, au niveau des ventes, un semi-échec. Le concept versions studio/live, bien qu'alléchant, n'a pas eu l'effet escompté. Bono était encore spontané, délaissant provisoirement ses excès de mégalomanie pour chanter avec ses tripes. Pas mal de ses textes dégoulinent de puritanisme, mais on en fait fie car il y en a toujours de bien meilleurs. The Edge est aussi égal à lui-même, lové autour de sa fender stratocaster à poser des riffs de killer à coup de delay. Et la base Mullen/Clayton est toujours d'une efficacité à toute épreuve.

Ce qui frappe sur "R&H", ce sont les versions 'live' qui ne sont pas au niveau de celles des 'studios'. A commencer par les reprises bancales et criardes de "Helter Skelter", "All Along", "Star Spangled Banner" ou mêmes celles du groupe, "Pride", "Silver & Gold" ou un "Still Haven't Found" ampoulé par des gospels qui n'en finissent plus. Côté créations, on a "Desire" qui a toujours autant la patate, l'adaptation du traditionnel "Van Diemen's Land" qui montre le côté folk de The Edge et "All I Want is You", qui est de loin le meilleur morceau de l'album. Epique, lyrique, montant progressivement en puissance et doté d'arrangements de violons si purs que les larmes montent facilement aux yeux. La quintessence même de ce que U2 savait faire de mieux dans les 80's. L'influence du blues sur le groupe est présente sur "Hawkmoon 269", "Love Rescue Me" (avec Dylan) et "When Love Comes to Town" (avec BB King). C'est pas mal mais on aurait pu s'attendre à beaucoup mieux avec ces guest stars de légende. On se demande toujours à quoi sert l'incartade "Freedom for my People". God Part II" fait dans le grandiloquent. L'impressionnante rythmique basse-batterie est quand même terrible. Mais il reste deux très bons morceaux sur cet album : "Heartland" et "Angel of Harlem". Deux belles ballades. La 1ère est du U2 au top de son inspiration. Il lui manque un poil de folie. La 2ème fait la part belle aux cuivres. Le côté soul de U2.

A l'aube des 90's, U2 parait quelques peu en fin de cycle, usé par la monstrueuse tournée "Joshua Tree World Tour". "Rattle & Hum" peut-être considéré, à bien des égards, comme le testament, la consécration définitive d'une époque révolue. 3,5/5





U2
POP


Le 08 Janvier 2016 par DAVID HEWSON


U2 a absolument voulu aller jusqu'au bout de ses expérimentations électroniques abordées sur "Achtung Baby". Après le rock electro inspiré, la pop electro 'dépôt', c'est au tour du rock/pop/electro mélancolique. U2 perd ici sa pêche d'origine afin de développer des ambiances avec de nouvelles technologies lui ouvrant les portes de l'indus voire de la dance! Là où "Zooropa" s'essayait avec une désespérante maladresse à créer des atmosphères, "Pop" y parvient déjà un peu mieux. On retrouve les infrabasses façon "Achtung Baby", les parties de batteries parfois robotiques, un The Edge impressionnant de maitrise des effets et un Bono fidèle à sa modestie légendaire. Ce sont les arrangements électroniques et autres nappes synthétiques qui donnent surtout la couleur de l'album.

Ce qui n'empêche qu'avec U2 dans l'electro, c'est soit bon soit mauvais. "Pop" n'y coupe pas" et se place plutôt dans la 2ème catégorie. Déjà, il faut mettre de côté les classiques de U2, genre "Last Night", "If God", "Staring", "Please" ou l'excellent "Wake Up". Rien de bien neuf ici. U2 a toujours eu des facilités pour satisfaire les ondes FM. Maintenant, on rentre dans le vif du sujet. "Discotheque" montre un u2 à l'opposé de son image des 80's, encore plus que sur "Achtung Baby". Déroutant mais plaisant à petite dose. "Do You Feel Love ?" rentre dans la catégorie 'atmosphérique'. C'est sympa mais insipide sans les effets. "Mofo" n'est simplement pas du U2. Les Irlandais se prennent pour ce qu'ils ne sont pas. C'est prétentieux. "Gone" est l'avant-garde de ces chansons sirupeuses et complaisantes dont U2 abusera sur les albums suivants. Du Coldplay en avance sur son temps. "Miami" est loupée. Pas de mélodie. "The Playboy Mansion" est une gentille ballade. L'utilisation des effets de The Edge est simple et de toute beauté."If You Were" met du temps à démarrer avant que les quelques gimmicks de The Edge viennent agrémenter le morceau. On reste malgré sur sa faim. Quant à Bono, il fait une consommation habituelle de ses drogues ('Jesus', 'God' et compagnie), mais il est plus naturel avec une voix posée, parfois presque susurrée, qu'en forçant les falsettos et les 'yeah yeah'.

Bilan : les expérimentations sont encore loin de faire l'unanimité. Mais la production est autrement plus aboutie que sur "Zooropa". Il se dégage de ce "Pop" une grandiloquence effective, teintée d'une forme de sincérité qui se dégage ponctuellement. 2,1756839/5





U2
ZOOROPA


Le 08 Janvier 2016 par DAVID HEWSON


A l'écoute de "Zooropa", la déception est si grande que l'on se sent obligé de repasser en boucle leurs albums d'anthologie (de "War" à "Achtung Baby"), ceux qui ne vieillissent (presque) pas. C'est après "Achtung Baby" que U2 commença à sombrer dans les expérimentations grandiloquentes. La tournée de mégalo de cet album laissait déjà présager une partie de l'avenir de ce groupe. Vouloir évoluer, c'est bien. Sauf que toute évolution ne veut pas nécessairement dire 'réussite'. Même quand on est fan du groupe, il n'y a pas de honte à avouer que la bande à Bono s'est parfois méchamment fourvoyée. La production coupe l'album en deux. De "Zooropa" à "Lemon", tout est bien agencé, structuré. On sait où se trouvent les tubes. L'étrange, mais pas désagréable, "Numb" et le sans prise de risque "Stay" arrivent péniblement à nous faire espérer mieux. "Lemon" est déjà nettement moins bon. Une boite à rythme survolée par une mélodie très simple et un Bono abusant de falsettos jusqu'à l'écoeurement. Mais la 2ème partie s'enfonce dans de plates et longues expérimentations barbantes. Même le morceau electro/country avec Johnny Cash, "The Wanderer", n'apporte rien. Il manque de la créativité et de la musicalité dans cette oeuvre, finalement mineure dans la carrière de U2, aux sonorités et bidouillages électroniques qui ont mal vieillis. Et dire que The Edge voit le prochain album comme proche de "Zooropa" est inquiétant... . Mais toutes les anciennes gloires du rock font ça à chaque nouvel album pour faire saliver les fans. Argument un peu falacieux car la déception est souvent au rdv.





VISAGE
VISAGE


Le 07 Janvier 2016 par NONO


C'est justement cela qui m'a étonné à première écoute du disque : "Fade to Grey" dénote pas mal du reste de l'album. C'est, certes, un excellent titre toutefois.
En fait, la plupart des gens pensent que ce groupe n'a composé que ce titre (et éventuellement une face B).
Ce qui fait la différence, c'est que les autres titres contiennent bien sûr du synthé, mais il reste à une place honorable sans plus, et pas davantage que les autres instruments (guitare, VRAIE batterie, sax... hé oui !).
Visage donc, c'est plus rock que synth-pop, ce qui peut surprendre.
Mais dans un sens c'est une bonne surprise. Pour moi en tout cas.
Il y a même certains titres qui sont à la limite du hard-rock, même si ça reste assez inoffensif ("The Dancer" par exemple, repose essentiellement sur le trio batterie / basse / guitare, avec des riffs au son assez saturé).
J'étais très méfiant à l'achat de ce disque, pensant que seul le titre ultra-connu était bien, et le reste du remplissage. Hé ben non, même si du remplissage, il y en a un peu, la majorité des titres, aussi différents les uns que les autres, sont corrects et parfois excellents.
J'adore : "Fade to Grey" (évidemment), mais aussi : "Visage", "The Dancer", "Malpaso Man", "Mind of a Toy" et "The Steps" (quel titre flippant bon Dieu !)
J'aime assez : "Blocks on Blocks", "moon over Moscow" et "Visa-age".
Le seul titre que je n'aime pas trop, c'est "Tar", là ils essaient trop de singer "Madness" je trouve, et ça ne marche pas vraiment.
Bon album, qui a été malheureusement un peu oublié au profit du seul titre "Fade to Grey".





VANGELIS
THE CITY


Le 07 Janvier 2016 par MR TINKERTRAIN


Pour reprendre la conclusion de Arp2600, et pour aller encore plus loin, un album sans passion, avec peu de recherche musicale, en un mot: chiant.





The Alan PARSONS PROJECT
I ROBOT


Le 07 Janvier 2016 par BUDDY


Pour VIV :

Alan Parsons a été ingénieur du son des "Floyd Rose" en 1970, sur "Atom Heart Mother", et en 1973 sur "The Dark Side of the Moon"





DREAM THEATER
AWAKE


Le 07 Janvier 2016 par HEART OF STEELE


Beaucoup de plaisir à lire cette chronique... Bon la note maxi car, lorsqu'on vire Space Dye West et qu'on intervertit les tracks 9 et 10, on obtient un immense album de metal prog, qui n'a pas vieilli et dont les compositions sont géniales. Arp a raison de souligner le virage que prend le groupe ici, plus musclé. Par contre je ne pense pas que cet album soit le plus important du groupe au niveau artistique et prise de risque. Cela viendra ensuite avec Falling...En tout cas Awake est un Metal Prog brulant servi par des musiciens qui savent de quoi ils parlent. Les bougres.





DREAM THEATER
AWAKE


Le 07 Janvier 2016 par DJINN


Je ne suis pas fan de musique progressive, mais j'en écoute à l'occasion.

Vu la difficulté à la digérer, la durée des albums et le nombre de sorties, je me vois obligé de faire l'impasse sur certains albums pour mieux apprécier les autres.

J'ai gardé Images and Words, plus facile à apprivoiser, et Scenes from a memory, parce qu'il est d'une grande qualité générale.

J'ai revendu Awake, dont après de multiples écoutes, je ne retiens que le refrain de Caught in a web, qui n'est pourtant pas un sommet artistique. L'album pose certainement les bases du style DREAM THEATER, et à ce titre est sûrement une référence.

Mais les bases ce n'est pas tout.





Pharrell WILLIAMS
GIRL


Le 07 Janvier 2016 par BAAZBAAZ


Album ludique à la production merveilleuse (si l'on aime quand ça brille...), mais finalement très inférieur à ce que Pharrell WILLIAMS a fait avec les excellents N.E.R.D., plus inventifs et plus excitants.

J'ai écouté ce disque à sa sortie, je l'ai apprécié, je l'ai trouvé assez homogène et réussi... Mais je m'aperçois avec le recul qu'il n'en reste plus rien. J'avais quasiment oublié son existence et je suis incapable de me souvenir d'une seule chanson (à part le fameux tube, un peu agaçant d'ailleurs) ce qui prouve les limites de la chose.

D'ailleurs son premier album solo prend depuis longtemps la poussière sur mes étagères...






VANGELIS
BLADE RUNNER


Le 07 Janvier 2016 par CéDRIC


sans aucun doute une des plus belles b.o jamais faite elle fait partie de mes préférées tout le talent de vangelis se retrouve dans cet album blade runner est un incontournable pour les amateurs de b.o





The ROLLING STONES
STICKY FINGERS


Le 06 Janvier 2016 par NONO

En fait, c'est vrai : d'une certaine façon, les Stones ont cette "dualité" qu'ont les grands groupes, les grands artistes ou les personnes célèbres en général : ils sont autant adulés que détestés. Pas de demi-mesure. C'est mathématique. Les Stones, comme les Beatles ou Led Zep, sont aussi géniaux qu'ils peuvent agacer car "trop célèbres", si on peut dire ainsi.







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