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Wolfgang Amadeus MOZART
SYMPHONIE N°41 JUPITER (HARNONCOURT)


Le 16 Août 2016 par CLANSMAN57


La dernière pièce symphonique de Mozart il me semble.
Plus colorée que la précédente, il renoue avec un certain positivisme.

Le dernier mouvement me pose un peu problème, à cause de sa polyphonie assez poussée...

Excellente symphonie néanmoins.


Par Forces Parallèles

Pour ne laisser aucun doute planer, il s'agit bien de sa dernière symphonie. En revanche, si l'on parle de "pièce symphonique", on peut compter les ouvertures de ses trois derniers opéras qui sont postérieures à cette symphonie Jupiter.




VAN DER GRAAF GENERATOR
GODBLUFF


Le 16 Août 2016 par CLANSMAN57


Très bon, bien que ma préférence ira sans doute toujours à "Pawn Hearts" qui m'emporte plus loin.
Lorsque j'ai jeté un oeil sur le nombre de pistes présentes, j'ai pensé que ça sera vite bouclé...
C'est tout le contraire, "Godbluff" n'est pas évident du tout, même ses paroles très littéraires n'arrangent pas cette affaire.

J'ai toujours encore du mal avec "The Sleepwalkers", un poil en dessous du reste à mon sens.

Peut-être le groupe étiqueté Prog qui soit le plus difficile d'accès, du moins à mes oreilles.
Le plus expérimental en tout cas.






Ludwig Van BEETHOVEN
SYMPHONIE N°9 CHORAL


Le 16 Août 2016 par CLANSMAN57


Très bien, mais je préfère les symphonies 5 et 7, plus concises.
J'avoue que je n'arrive pas toujours au bout de cette très longue pièce...
79 minutes, c'est très long, il me semble que le format cd a été rallongé à 80 minutes pour que cette oeuvre puisse voir le jour.

J'aime beaucoup le troisième mouvement, souvent dénigré car trop doux...
Il me fait planer, l'enchainement au mouvement suivant, très sombre, fait son petit effet, on redescend de son petit nuage illico avec la "fanfare de la terreur".







DEEP PURPLE
MACHINE HEAD


Le 16 Août 2016 par ALBIRéO


Nous sommes 2 : je n'aime pas spécialement cet album. Commençons par le plus difficile : "Smoke on the water" n'est pas si terrible dans sa globalité. Le riff est interplanétaire mais la chanson elle-même ne m'a jamais réellement emballé...
Les chansons moins connues (c'est à dire non choisies dans la tracklist de "Made in Japan") sont sympas mais sans grand impact. "Lazy", super bien troussée, est trop longue. reste "Highway Star" et "Space Truckin'" que j'adore.

En fait, cet album ne tient pas la comparaison avec "In Rock" qui, lui, n'a aucun déchet et qui envoie de l'inoubliable du début à la fin. Il mérite 5 étoiles !

Celui-ci, 3, au mieux...





YES
FRAGILE


Le 15 Août 2016 par JEP

@CLANSMAN57:
"chaque musicien propose un titre sur lequel il met en avant son savoir faire, en plus des 4 véritables morceaux qui constituent l'opus.
J'en connais aucun autre qui comprenne cette originalité."

Essaye "Works Vol. 1" de EMERSON, LAKE & PALMER, c'est un peu le même concept.





DREAM THEATER
FALLING INTO INFINITY


Le 15 Août 2016 par HEART OF STEELE

Action re-réaction. Cet album n'est pas du tout une oeuvre fade, bien au contraire. Il s'agit pour moi d'une des 3 ou 4 meilleures pièces de l'ex plus grand groupe de Metal Prog! Kro Express en cours...





GENTLE GIANT
CIVILIAN


Le 15 Août 2016 par ALEX F


Ce n'est certainement pas le meilleur album de Gentle Giant mais franchement c'est un bon petit album de pop rock. Oui les morceaux sont plus simples, taillés pour la radio. Oui quelques morceaux sont moyens, voire médiocres (I am a camera notamment, le pire morceau de l'album) mais d'autres sont vraiment bons (par exemple Inside Out est excellente). Ca me fait penser par moments à du Blue Oyster Cult de la même période. Un genre de croisement entre le hard FM et le prog.





PINK FLOYD
ATOM HEART MOTHER


Le 15 Août 2016 par DEJAVU


Adepte du camping sauvage, j'ai planté ma tente, une nuit d'été en plein milieu de la foret et j'ai écouté Atom Heart Mother en regardant la voute céleste apparaissant entre la cime des arbres, cela a donné une toute autre dimension à l'album, ce fut une très grande expérience !! :-)





DREAM THEATER
FALLING INTO INFINITY


Le 15 Août 2016 par BASTIEN


Action-réaction, sans cet album, pas de Scene from memory. Passage obligé donc. Ils ont fait ces compromis pour qu'ont leur foutent la paix au suivant. Ils se doutaient bien qu'en essayant de faire un album plus accessible...et moins complexe, ils se retrouveraient le cul entre 2 chaises, trop heavy pour certains, pas assez pour les autres, ce projet était voué à l'échec. De mon coté, je l'aime bien cet album. Peruvian sky est même une de mes pièce préféré de DT. Résumé, pas de grosses daubes ici...mais un album fade.





SKARAZULA
OSTARA


Le 13 Août 2016 par HEART OF STEELE

Oyez Oh Yeah! Quelle joie de voir chroniqué ainsi de la musique médiévale sur FP! C'est avec grand engouement que nous irons danser avec les elfes nous contant des recits païens. Que Marc Ô festoie aux cotés de Bacchus le merveilleux!





Wolfgang Amadeus MOZART
SYMPHONIE N°39 (HARNONCOURT)


Le 13 Août 2016 par CéDRIC


magnifique j`ai toujours eu un faible pour la symphonie numéro 39 que je considère comme une des plus belles oeuvres de la musique au même titre que la cinquième symphonie de beethoven et les quatre saisons de vivaldi





Jean-jacques GOLDMAN
EN PASSANT


Le 12 Août 2016 par NONO


Pour moi, un de ses 3 meilleurs, côte-à-côte avec "Non Homologué" et "Positif".





Jean-jacques GOLDMAN
CHANSONS POUR LES PIEDS


Le 12 Août 2016 par NONO


Ce disque est extrêmement dynamique et varié. Pas un moment de répit !
Le hic, c'est une impression de "fourre-tout" : on a vraiment de tout et à toutes les sauces ici !
Ce qui finit par donner un album riche, certes, mais aussi manquant de "colonne vertébrale", d'idée-phare.
3,5/5





Steven WILSON
GRACE FOR DROWNING


Le 12 Août 2016 par CLANSMAN57


J'ai déjà laissé un commentaire au sujet de ce double sur Nime, donc après réécoute, j'en laisse un nouveau sur FP, quelques années plus tard.

Cette bataille constante entre ombre et lumière me séduit toujours autant, l'obscurité étant particulièrement lugubre sur "Grace For Drowning", de quoi s'y perdre pour les plus téméraires, quitte à connaître l'effroi.

Wilson livre à mon sens son travail le plus personnel en terme d'émotions, je l'imagine très bien tiraillé comme la musique qu'il nous présente ici.
Un personnage qui aspire à la clarté, mais qui se laisse souvent envahir par les Ténèbres, de "Grace For Drowning" jusqu'à "Track One".

Arrive "Raider II" qui n'a pas grand chose à envier aux plus grandes pièces progressives des 70's.
Pendant 23 minutes, on sonde l'âme humaine dans ce qu'elle a de plus sinistre...
Rares sont les moments de recueillement au milieu de ces riffs noirs, ce saxo dégénéré et ces choeurs faussement angéliques.
La flûte et le piano apporteront un très beau moment de répit, mais c'est presque tout.

Sur "Like Dust I Have Cleared From My Eye", l'auditeur/l'auteur trouvera enfin cette lumière à laquelle il aspire tant.
C'est carrément un soulagement, il se laissera bercer par cette ambiance apaisante pour laisser cette noirceur s'évaporer de son être.
Une forme de résurrection des émotions saines qui se remettent des blessures infligées comme par magie.

Un must de la décennie actuelle, rien de moins.
















Jean-jacques GOLDMAN
ENTRE GRIS CLAIR ET GRIS FONCé


Le 12 Août 2016 par YANN


Un de ses meilleurs albums pour moi (avec En passant). C'est toujours un plaisir de l'écouter (en vinyle). Des morceaux comme "il y a", "je commence demain, doux, Tout petit monde, et surtout "Peur de rien blues" qui reste à mon goût une des ses meilleures chansons. C'est vrai aussi, avec le temps, d'autres ont mal vieilli ( Elle a fait un bébé toute seule, C'est ta chance, Il changeait la vie).





Jean-jacques GOLDMAN
CHANSONS POUR LES PIEDS


Le 12 Août 2016 par YANN


C'est un album irrégulier où JJG se perd un peu dans des rythmiques parfois BOF, et quelques thèmes superflus. Je ne comprends pas des chansons comme "les ptits chapeaux"(qu'est-ce que c'est que ça?). "Tournent les violons" qui a une composition super, mais un texte gonflant à la longue. Ce disque reste tout de même agréable à écouter, avec de très bons morceaux (les choses, une poussière, ensemble) mais rien de transcendant comparé à certains excellents albums précédents.





WEEZER
WEEZER (BLUE ALBUM)


Le 12 Août 2016 par SKYZOSHEEP


Weezer est un groupe de rock avec une posture (?) assez étrange: les losers heureux.
Cet album, c'est la fraîcheur, l'énergie et la joie avec en filigrane l'échec amoureux, le manque de confiance en soi, la difficulté à faire face à ses responsabilités et la mélancolie. Et tout ça avec une pointe d'ironie et d'autodérision. Et ça semble parfaitement naturel, parce que cet album respire l'adolescence et la jeunesse, avec sa folle énergie, son ambition, son innocence, son envie d'en découdre, mais aussi ses erreurs. Après tout quand on est jeune, qu'est-ce que c'est qu'un échec? On est encore capable de se remettre sur pied, l'avenir est encore devant nous et il parait radieux.

Pour illustrer mon propos, il n'y a qu'à regarder la façon dont sont agencées les chansons: une chanson plutôt lourde et ensuite une chanson plus légère.
La saturée My Name is Jonas suivie par l'énergique et légère No One Else.
La mélancolique The World has Turned and Left me Here et l'hymne à la joie qu'est Buddy Holly (qui cache tout de même une part de noirceur dans ses paroles).
La déprime désabusée d'Undone, chanson qui prends progressivement en puissance pour mieux retomber et s'enchaîner avec la Beach Boysienne Surf Wax America.
Enfin le doux-amer d'In the Garage et l'insouciance d'Holiday.
Finalement, on conclut avec une ballade douce qui prends son temps, Only in Dreams.

D'un point de vue purement musical, on peut noter un goût pour les arpèges utilisées en transition et parfois en alternance avec des riffs simples et lourds au son grunge qui constituent l'ossature des morceaux. Une autre caractéristique du groupe et l'utilisation régulière de choeurs (parfois cantonnés à de simples "ouh ouh" comme sur Buddy Holly ou le tube Island in the Sun du Green Album)

Une bien belle réussite que cet album, symbole de ce qu'on pourrait appeler la relative insouciance. On y voit néanmoins les prémices de ce que sera Pinkerton, l'album de la désillusion, particulièrement dans Undone, qui se conclut sur des notes dissonantes qui ne sont pas sans rappeler le début d'Accross the Sea.

P.S: Arrêtez de lire mes divagations et allez écouter ce putain d'album!





PEARL JAM
NO CODE


Le 11 Août 2016 par CONFITURE DE PERLE


1996. De l'eau a coulé sous les ponts de Seattle. Le groupe s'en est remis progressivement. Notamment grâce à l'influence d'un certain Neil Young avec lequel ils collaboreront, anonymement, sur l'album "Mirrorball". Place à l'expérimentation, tout en gardant puissance et énergie en réserve. Les solos se font très rares et souvent courts. Les guitares acoustiques apportent une touche importante de mélodie, les percussions diverses enrichissent un peu plus le tout. L'enregistrement lui-même est d'un naturel saisissant. Pas ou très peu d'effets sur les instruments. Brut de décoffrage. Pearl Jam se permet même de composer des titres aux structures inhabituelles, comme "Sometimes", "Red Mosquito", "I'm Open" ou "Present Tense".

Du côté de Vedder, on sent un gars au bout du rouleau. Ca s'en ressent clairement dans ses textes et sa voix, souvent poignante, chargée d'émotion. Pour lui, cet album ressemble plus à une forme d'exorcisme et d'apaisement. Les solos se faisant plus rares (à l'exception de ceux sur "Red Mosquito"), les 2 fabuleux guitaristes (Gossard et McCready) du groupe se complètent d'une manière plus intuitive. Gossard se met même aux backing vocals sur "Who You Are". La rythmique basse-batterie est au sommet. Le groupe a l'air d'avoir laissé à Jack Irons bien plus de liberté qu'auparavant. Celui-ci s'éclate et offre de nouvelles possibilités. Ses talents de percussionniste impressionnent sur "Who You Are" et "In My Tree". Concrètement, le jeu d'Irons était celui qui collait le mieux au jeu de Pearl Jam. Quant à Jeff Ament, il fait partie de ces grands bassistes qu'on ne présente plus.

"No Code" fait partie de ces albums un peu sous-estimés du rock. Bien des fans lui préfèreront le grandiloquent et ténébreux "Ten". Peu importe finalement. On a ici certainement l'album de Pearl Jam le plus complet (rock, grunge, folk, expérimental, pop...) et un groupe arrivé à maturité, voulant évoluer. "Yield", le plus abordable (le plus pop aussi) des albums de PJ, sera encore relativement bon en plus d'être assez conceptuel. Ensuite, PJ fera des albums en dent-de-scie, se révélant être capable de belles choses comme de se parodier lamentablement. Toutefois, les prises de risque n'existent plus depuis l'album "Riot Act". On sent un groupe qui, depuis longtemps, n'a plus rien à prouver mais qui veut continuer à (se) faire plaisir. 4,50/5





David BOWIE
THE RISE AND FALL OF ZIGGY STARDUST & THE SPIDERS FROM MARS


Le 11 Août 2016 par LONG JOHN SILVER


@Kid66
Salut à toi KID66 !
Je te rejoins dans le camp des aveugles indulgents :)
Personnellement, j'ai du mal à trouver quelconque défaut à ce skeud incontournable...





AC/DC
THE RAZORS EDGE


Le 11 Août 2016 par YANN


J'ai adoré cet album quand il est sorti. C'était "enfin le retour"!! On les croyait mort, mais non. Le son de Razor edge est plus clean et perd un peu du charme de la guitare saturée sur le vieux ampli à ampoule d'Angus, mais je trouve que c'était un come back réussi.







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