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The Alan PARSONS PROJECT
PYRAMID


Le 23 Décembre 2016 par VIV


L' introduction "Voyager" et " What Goes Up..." sont vraiment superbes. J'en ai des frissons à chaque fois. Et la transition entre les deux morceaux on en parle ?





The Alan PARSONS PROJECT
EYE IN THE SKY


Le 22 Décembre 2016 par VIV


Autant je trouve l'introduction "sirius" détonnante, et magnifiquement enchaînée avec notre bon vieux "eye in the sky" des supermarchés et des ascenseurs (que j'aime beaucoup au passage), le reste manque de saveur. Reste à sauver l'instrumental "mamagumma", qui comme à l'accoutumée sur chaque opus de Parsons, apporte une touche singulière à l'album. Et l'instru reste généralement la meilleure track en ce qui me concerne.





Iggy POP
POST POP DEPRESSION -LIVE AT THE ROYAL ALBERT HALL


Le 20 Décembre 2016 par FINISHERFRANKY


C'est exactement ça, Long John le dit parfaitement : Iggy nous régale depuis des années, indifférent à son âge, réussissant à nous rendre nous-même indifférent. Je dirais même qu'il affiche maintenant son corps vieillissant comme un manifeste : voyez mon corps, touchez-le, il est flétri et pourtant je suis toujours là plus vivant que jamais. Peut-être que le seul à rivaliser serait Mick Jagger; mais là où on discute toujours de sa sa longévité, on ne se fait pas la même remarque sur Iggy. Iggy réussi ce tour de force d'être à fond dans le présent même avec ses vieux titres. De fait on ne va pas à un concert d'Iggy en pèlerinage, comme pour les autres. Quant au CD et au DVD de Londres, ce sera le souvenir-témoignage d'un moment unique, à défaut de Paris où nous étions (que France Inter a diffusé un temps)





VANGELIS
ROSETTA


Le 15 Décembre 2016 par NORTHMATHR


À la première écoute de ce nouvel album, on y décèle du VANGELIS d'époque, on se dit que ça fait plaisir, on suit alors Mr. Papathanassíou tout du long de ces 53 minutes avec un certain intérêt.

Et à la seconde écoute....
Sauf qu'il n'y en aura pas, et paradoxalement après avoir terminé la première, qui s'écoula comme un long fleuve tranquille et doucereux on se dit qu'il n'y avait en fait pas grand chose à voir (ni à écouter dans ces vastes étendues stellaires, "dans l'espace personne n'entend VANGELIS").

C'est triste, parce que réellement on décèle du VANGELIS d'époque, une soudaine flamme, malheureusement trop fugace... mais c'est quand même assez pauvre dans l'ensemble, bien que pas foncièrement désagréable à l'oreille, ça ne tique pas c'est déjà ça !





PINK FLOYD
THE FINAL CUT


Le 15 Décembre 2016 par VIV


Cet opus n'est clairement pas mon préféré des Floyds, mais force est de constater que cet album prend aux tripes.
Dès "the post war dream" et "your possible pasts" le ton est donné : l'atmosphère sera froide, mais malgré tout portée sur les émotions tant la voix de Waters est dépressive, criarde ou rassurante, proche et douce. (je tiens à préciser que je suis plutôt Gilmourien que Watersien).
A écouter au casque, cet album est un délice, plein de richesses et de détails. Bon ok, je vous vois venir, c'est valable pour de nombreux albums tant les ingés son ont été bons avec les productions floydiennes, mais là on est sur le podium à mon avis en matière de prod'. C'est très précis.
Je ne comprends pas non plus pourquoi cet album est tant décrié et "the wall" si adulé.
Ce "final cut" est loin d'être des chutes de studio et fonds de tiroirs de "the wall" comme on peut bêtement le lire par-ci par-là sur la toile.
Bon, j'avoue ne pas aimer du tout le milieu du disque "get your...", "the fletcher memorial home" et celle qui suit, trop en mode "waters dépressif". "not now John" fait un bien fou, il est vrai (et rappelle sans contester l'époque "the wall" !)
Même s'il est peu crédité, les quelques solos de David Gilmour mettent un peu de baume au coeur à l'ensemble.
Bref, ça reste un album à ne surtout pas délaisser !





PINK FLOYD
THE FINAL CUT


Le 13 Décembre 2016 par POPOL PAS VUH


Bravo à Elliott et Streetcleaner d'avoir dépassé le snobisme qui consiste à rejeter The final cut d'un coup d'oreille dédaigneux et s'empresser d'aller mettre 5 étoiles a the wall, qui de mon point de vue manque un peu d'unité et pêche par quelques longueurs pour mériter la note absolue que Final cut mérite lui largement.
The wall c'est un mythe, un film et un grand album. Final cut est, comme le dit si bien Elliott "le plus vulnérable des albums de Pink Floyd", mais peut être aussi l'un des plus addictifs une fois qu'on s'est laissé prendre par le virus de cette puissance contenue omniprésente, dont la libération fait tout l'intérêt de "not now john" qui serait juste un très bon rock s'il n'arrivait en climax de toute la tension accumulée dans les plages précédentes. En un sens, The final cut est plus la suite de l'album Animals que de The wall.
Je convie l'auditeur ne connaissant pas ce disque ou l'ayant laissé tomber un peu vite d'y revenir avec attention. Le bonheurest au bout du chemin.
Sans doute un des Floyd que je prend le plus de plaisir à réecouter sans cesse.





THEM
THE ANGRY YOUNG THEM


Le 13 Décembre 2016 par LE KINGBEE

Mais non mon Pirate. Ce sont des erreurs à la Wikipedia. Pas d'erreur ... c'est Lesieur!
Par contre pour les titres qui vont suivre c'est parfois le micmac. Les musiciens eux mêmes ont des souvenirs parfois diffus. Ils mélangent parfois les concerts et les séances studio et le groupe a multiplié les shows pendant 2 ans.





John MCLAUGHLIN
NOW HERE THIS


Le 12 Décembre 2016 par FC


J'aime beaucoup le style pratiqué par John Mclaughlin sur cet album, les compos, le jeu flamboyant du maître (j'adore son son de guitare)... mais pour moi le gros hic reste le mixage ou la production (je ne sais jamais), notamment de la batterie, qui rend l'écoute assez fatigante, c'est dommage.





THEM
THE ANGRY YOUNG THEM


Le 12 Décembre 2016 par LONG JOHN SILVER

"Très excellente" chronique sur un groupe majeur à l'origine de la vague british blues. Il me semble que Page tient également la basse sur "Baby Please Don't Go", la face A du single, ce qui est logique s'il joue sur "Gloria", sa face B. Chroniquer un groupe sixties est vraiment une gageure, tant de choses ont été écrites mais pour autant les infos authentiques sont difficiles à trouver, sauf s'il s'agit des Beatles ou des Stones, et encore. Quelle époque tout de même, à croire qu'il suffisait de taper à une porte de garage à Londres pour trouver : Stones, Yardbirds, Animals ou Them.





Devin TOWNSEND
TRANSCENDANCE


Le 11 Décembre 2016 par TONTON JO


Superbe !! tout simplement.

Sur le podium de ses meilleurs albums, mais aussi de ses plus accessibles !!
à découvrir d'urgence, pour le fan comme pour le néophyte.





YELLO
SOLID PLEASURE


Le 11 Décembre 2016 par GUILLAUME THE ELDER


Points communs entre Pulp et Yello? Un talent plus que certain, une disco fournie et excellente dans sa majorité, les deux groupes totalisent 0 commentaire! Après avoir réparé la tare pour les Anglais, je rends aujourd'hui justice aux Suisses...

Oui, c'est un plutôt expérimental, plus ou moins électronique (en 80, on ne dit pas électro mais électronique!), indus, atmo (certains passages font penser à Tangerine Dream)... Je n'écris pas que tout cela n'est que bidouillage, on a de vraies mélodies, de vraies chansons, avec beaucoup de titres accrocheurs sur cet album et tout au long de la carrière des Yello.

Une synth-pop que je trouve moderne, pas très éloignée de la scène électro-pop actuelle.





Kate BUSH
AERIAL


Le 11 Décembre 2016 par VIV


Ce double album est plein de subtilités qui se révèlent au fil des écoutes.
L'atmosphère y est vraiment douce, subtile, sensuelle et prenante.
Mention spéciale à "king of the mountain", "nocturn" et "aerial", pour ne citer que 3 titres.
On ressent l'énorme investissement de l'artiste.





NO ONE IS INNOCENT
NO ONE IS INNOCENT


Le 11 Décembre 2016 par EL PACHENKA


A l'époque, j'avais ressenti No One Is Innocent comme une réaction urgente à l'émergence de Rage Against The Machine. Je crois que F'o'UN'e' Radio, la station des pubères dépucelés et révoltés jadis, passait souvent ce titre. Un bon album, bien que "Epargne-Moi" suinte le mélodrame mal joué. Dans la mouvance dite Fusion, viendront d'autres groupes comme Lofofora, Silmarils et Oneyed Jack.





Devin TOWNSEND
TRANSCENDANCE


Le 11 Décembre 2016 par SALAMAN


Claque en règle avec cet album !
Indéniablement Devin nous pulvérise, c'est beau, grand, la prod est une tuerie.
Que dire à part : à écouter d'urgence.
Ah, si, deux choses :
HIGHER
et STORMBENDING ( avec le clip vidéo encore mieux)





Igor STRAVINSKY
PETROUCHKA (BOULEZ)


Le 11 Décembre 2016 par CLANSMAN57


Une petite merveille ce "Petrouchka".
Moins brutal que "Le Sacre du Printemps", mais tout aussi réussi à mes oreilles.
Plus coloré, effectivement, ainsi que féérique comme peut l'être "Ma mère l'Oye" de Ravel, pour comparer avec un autre ballet mettant en scène un conte (ou plusieurs pour le Français).

Et pour le coup, contrairement au "Sacre...", j'adore m'imaginer en train de me promener au milieu de cette foire très animée à Saint-Petersbourg.

Un mage donne vie à trois marionnettes, à savoir Petrouchka, le Maure et la ballerine.
Les trois personnages principaux sont des poupées qui peuvent ressentir des émotions telles que l'amour, l'indifférence, la jalousie etc...

Belle description de la chambre de Petrouchka, qu'on imagine sans peine très sobre avec une petite table poussiéreuse en son milieu, le piano enjoué démontre qu'il ne s'y déplait pas et qu'il possède un bon fond.
Le domaine du Maure contraste pas mal avec celui du héros, la ballerine danse pour lui, sans doute enivrée par ses richesses, Stravinsky y dépeint un personnage méchant par des notes plus sombres.
Les deux amants finissent par danser une belle valse.

La caméra délaissera la pièce et se tournera vers d'autres évènements qui se déroulent lors de cette foire, des numéros divers interprétés par des humains.
Une chouette compilation brève de ces numéros plein de vie.
Puis l'objectif se dirigera à nouveau sur la scène de théâtre lorsque le Maure et Petrouchka se battent, sans doute pour le coeur de la ballerine.
J'adore cette mise en scène qui permet de "voir" autre chose que la pièce et qui revient sur celle ci lorsqu'elle se veut plus violente.

Petrouchka perd la vie et pendant les dernières scènes, la foule semble cesser toute activité, bouche bée devant le corps inerte de la marionnette.
Les plages qui suivent sont quasi silencieuses et bien raccord avec cet évènement tragique.
Quel contraste avec les tableaux précédents si animés!

Bref, c'est un réel plaisir que de se plonger dans cette oeuvre encore une fois très cinématographique et carrément magique.
L'influence Debussy est moins présente je trouve, voire inexistante, à part pour le pendant "imagé" de l'ouvrage.

Et puis maintenant je sais que Petrouchka, c'est un mec!











MANO NEGRA
BEST OF


Le 10 Décembre 2016 par VIV


Je connais bien les albums de la Mano, et bizarrement j'adore ce Best of, et y trouve de l'intérêt, au delà des inédits. Les Best of sont bien souvent remplis d'impasses, ou alors sont édités sur 2, 3 disques voire un coffret multi cd, du coup on peut se retrouver a ne plus savoir quoi ecouter entre albums et les compilations multi disques. Ici, cest simple tout tient sur un cd. Le choix des morceaux et surtout leur agencement et enchaînement ont été parfaitement étudié. Je recommande à 200% ce best-of à ceux qui ne connaissent pas, ou peu, ou juste de nom... ce groupe.





MANO NEGRA
CASA BABYLON


Le 10 Décembre 2016 par VIV


Album très lassant et décevant, peu d'intérêt comparé aux trois premiers de la Mano. Je ne conseille pas cet album, à part pour compléter sa collection éventuellement...
Le joyeux bazar, plein de richesses musicales et de prise de risques tous au long des autres albums est passé.
Album sans âme, contrairement aux premiers albums solo de Manu Chao qui seront quelques années après, bien plus intéressants !





MANO NEGRA
KING OF BONGO


Le 10 Décembre 2016 par VIV


Du rock bien cuivré ! Ce joyeux bazar deborde d'énergie et mélange pas mal de styles, plein d'humour et de bons riffs, tous instruments confondus. Mon préféré de la Mano.





DIRE STRAITS
BROTHERS IN ARMS


Le 09 Décembre 2016 par ESKAPEESKAPE


La pochette est très belle, mais je trouve cet album pénible au possible.
Je n'aime pas le son, il est lassant, c'est mou etc.
On écoute Money for Nothing et puis on n'y revient pas.





LINKIN PARK
MINUTES TO MIDNIGHT


Le 09 Décembre 2016 par AZER


"Vois tu, petit, le monde se divise en deux catégories. Ou trois. Voir même quatre, dix, une infinité, dépendant de ce que l'on considère. Mais une chose est sûre, quelque soit ta position dans ces catégories, les faits sont têtus. Ce qui varie c'est la capacité de tout un chacun à les reconnaître."

Il y a 6 ans cet album était mon préféré. Je l'écoutais en boucle, persuadé que rien de meilleur n'existait. Il m'a tenu compagnie durant de nombreuses veillées toutes adolescentes, et je me persuadais un peu plus à chaque fois que chacun de ses morceaux étaient géniaux, et que LINKIN PARK avaient accouché d'une œuvre intemporelle. Jusqu'au jour où, lassé, je me suis lancé à le recherche d'un autre artiste à écouter. Et un autre, et encore un autre. Jusqu'à sortir du Métal pour écouter de la musique électronique. Puis du Rock. Puis de la pop. Puis du rock progressif, de la musique contemporaine, et ainsi de suite.
Ma culture musicale (et générale) a évoluée, chaque œuvre supplémentaire étant une étoile de plus dans ce qui commençait à ressembler à une galaxie. Galaxie donc chacune des branches se classait selon les astres qu'elle contient,plus ou moins brillants. Le monde est resté identique, seule ma façon de le percevoir a évolué.
Cet album est resté le même, malgré les années. Mais si son contenu n'a pas changé, mon recul par rapport à la lumière qu'il émet, est lu, bien plus important. Et que cet astre est terne, étriqué, commun, par rapport aux superbes nébuleuses gorgées d'étoiles scintillantes dont l'espace regorge. Il eut été dommage de rester fasciné par une naine bleue quand il suffisait d'un peu se reculer pour contempler tant de lumières plus intenses.

Il est facile de se dire que l'on connaît le monde si l'on n'observe que ce qui demeure sous notre nez. Plus notre vision se fait nette et affûtée, plus cette impression illusoire de tout savoir s'efface, pour laisser place à l'appréhension et l'angoisse de l'inconnu, heureusement secondé par l'émerveillement que ce dernier suscite.

A bien y réfléchir, il n'y a que les simples d'esprits pour se contenter de ce qu'ils voient. La vérité se cache bien au delà de la ligne d'horizon.








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