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LED ZEPPELIN
THE SONG REMAINS THE SAME


Le 18 Novembre 2016 par LUDWIG VON AMADEüS

Boursouflé !
Ridicule !
70's !
Cette génération fait décidemment (et avec le recul) honte à la Musique.
Dire qu'en 25 ans on est passé de la musique Classique, symbole absolu de la forme musicale la plus aboutie, à cette mauvaise farce obscène et simiesque. Bonobesque, pour résumer le tout !
C'est le symbole de la décadence putride d'une civilisation entière, dont l'aboutissement est l'invitation du rappeur raciste et anti-kouffar BLACK M à Verdun, où est mort mon arrière grand-père.
Quel champ de ruines !






PINK FLOYD
THE DARK SIDE OF THE MOON


Le 18 Novembre 2016 par FINK PLOYD

avez vous perdu la tete ou oublié vos boules quies dans vos oreilles ATN ?
Je sais qu ' il est de bon ton , tres bobo d ailleurs , d aller massacrer par une critique qui se veut tres originale voire intellectuelle une oeuvre artistique ,histoire de se faire un nom ATN ?
Pour les vrais amateurs et melomanes ce disque restera comme une des productions musicales majeures de ces 50 dernieres années au meme titre que les meilleurs beatles pet sounds vieux dylan periode 65 67 etc
oubliez cette critique et allez plutot l ecouter si vous ne la connaissez pas encore


Par Forces Parallèles

Bonjour,

le principe des commentaires est de parler du disque et non de la chronique, à fortiori lorsqu'il s'agit d'une critique de la chronique en question.

ATN est un éminent spécialiste du Floyd, même s'il ne le reconnaitra pas. Sa kro fait foi, point final. La moyenne des Kros express sur Dark side tourne autour de 3, moi-même, je lui mettrai 3,5. FP me semble cohérent sur cette chronique.

Il n'y a pas de "vrais" amateurs, il n'y a que des amateurs de musique. Tout est une question de goût, personne ne détient la vérité : de mon point de vue, je n'aime pas Pet Sounds plus que ça par exemple.

Bien à toi

Erwin





LED ZEPPELIN
THE SONG REMAINS THE SAME


Le 18 Novembre 2016 par GUILLAUME THE ELDER


C'est vrai, le concert auquel on a droit sur ce film n'est pas le meilleur du groupe, avec ses longueurs à n'en plus finir... D'ailleurs, quand j'assiste à un concert tout en faux rythme, où les longueurs tutoient le pompeux, je me fais la réflexion "on se croirait à un LED ZEP 75"...

Malgré tout ça, ce film est très important car vous le savez, il ne s'agit pas juste d'un concert du plus grand groupe des 70's. Les parties scénarisées sont oniriques, très arty, parfois inquiétantes. On peut trouver tout cela aujourd'hui désuet et ridicule. La réalité est que ces images ont profondément marqué toute une génération (voire deux ou trois), particulièrement le passage où Jimmy, de dos, joue de la mandoline ; il se retourne et se montre à nous avec des yeux rouges incandescents. Cette scène (comme celle du mendiant du moyen âge) a été tournée au manoir de Boleskine, acheté par Page en 71 et propriété d'Aleister Crowley de 1898 à 1913.


Beaucoup de mystères (très peu d'images et de vidéos à cette époque), ésotérisme et occultisme rampant, figure intimidante, parfois agressive et ultra-protectrice de Peter Grant, LED ZEP est devenu Mythe.

40 ans après, gavé de YT et de MP3, la mémoire collective s'estompe et les magies s'envolent.

Vision 2016 contre vision '76.





LED ZEPPELIN
THE SONG REMAINS THE SAME


Le 17 Novembre 2016 par NONO

@Zoso : N'importe quoi ...





LED ZEPPELIN
THE SONG REMAINS THE SAME


Le 17 Novembre 2016 par ZOSO

Au moins c'est révélateur de ce qu'était le groupe, entre beaufitude et mégalomanie.





LED ZEPPELIN
THE SONG REMAINS THE SAME


Le 17 Novembre 2016 par ESKAPEESKAPE


Non, ce n'est pas nul. Et c'est un fan du groupe qui l'écrit.
C'est juste chiant, hyper chiant...





KANSAS
AUDIO-VISIONS


Le 16 Novembre 2016 par ALEX F


Ce n'est certainement pas le meilleur album de Kansas. Quelques compos sonnent très FM (Relentless notamment). Le son de la batterie est assez mauvais, trop d'effet sur la caisse claire par exemple. Mais certains morceaux relèvent clairement le niveau : Loner (diablement efficace), Don't Open Your Eyes (pareil, super efficace), No One Together (un peu trop complexe pour rien à mon avis, mais qui contient des passages merveilleux), No Room For A Stranger (super efficace), et la dernière Back Door (qui, après un début moyen, offre une progression assez remarquable). En gros la seconde face est bien meilleure que la première qui sans être mauvaise est quand même moyennement inspirée et un peu trop FM à mon goût.





The SMASHING PUMPKINS
MELLON COLLIE AND THE INFINITE SADNESS


Le 15 Novembre 2016 par MELON CRUMBLE


Les Smashing Pumpkins furent l'une des révélations grunge de l'année 93 avec "Siamese Dream" et son single "Today". Pourtant pas époustouflant, le groupe va, sous l'inspiration délirante de son leader Bill Corgan, sortir un double album en 95. Une prise de risque énorme à l'époque. Mais quelle réussite! Les SM touchent à tout en matière de rock, passant du classic rock au grunge, de ballades folk à du metal, du psychédélique à des titres expérimentaux, de la pop au gothique. Chacun s'y retrouvera selon son style préféré. Les arrangements sont parfois géniaux, notamment dans l'utilisation de violons et de bidouillages psychés. Le niveau technique est loin d'être anodin, surtout pour créer un album de... 28 titres! Par dessus tout, la voix nasillarde de Corgan alterne le chaud et froid, selon les nombreuses ambiances, avec une aisance presque écoeurante. Pas grand chose à reprocher ou à jeter.

Il ne faut pas oublier l'importance de Flood à la production, ainsi que de Moulder. Flood était l'un des meilleurs producteurs à l'époque, ayant grandement participé au succès du chef-d'oeuvre de la pop électronique qu'est "Violator" (Depeche Mode), ou ceux du rock alternatif que sont "Achtung Baby" (U2) et "To Bring You My Love" (PJ Harvey).

Incontournable des 90's, "Mellon Collie" est -de loin- le meilleur album des Smashing Pumpkins. Avant, ce fut trop calibré 'grunge'. Après, l'attitude tyrannique de Corgan et ses mauvais choix tuèrent le groupe.

4,5/5





Phil COLLINS
NO JACKET REQUIRED


Le 15 Novembre 2016 par MARCO STIVELL

Il y a grande ressemblance oui mais "pompage intégral" est un peu osé je trouve.

Phil COLLINS n'a jamais caché son amour pour "1999" et il reconnait s'en être largement inspiré au moment de la sortie de "Sussudio".
Après, c'est le choix du rythme, le son de la drumbox et le riff de synthé qui les rapprochent, la progression aussi peut-être, c'est déjà certes beaucoup, mais chaque arrangement fait aussi la différence, choeurs féminins pour PRINCE, cuivres réels en sus du synthé-cuivres pour COLLINS...

Surtout que d'un point de vue personnel, "Sussudio" reste meilleur et plus efficace. PRINCE aura lui-même l'occasion de composer des morceaux funk encore plus réussis dans le même style ("U Got the Look", le premier qui me vient en tête).





Phil COLLINS
NO JACKET REQUIRED


Le 15 Novembre 2016 par NONO

Au fait.... vous n'avez pas l'impression que "Sussudio" est un pompage en règle de la chanson "1999" de Prince ? Je ne sais pas, mais j'ai comme un sentiment de plagiat intégral, écoutez les 2 chansons, c'est impressionnant !





Link DAVIS
BIG MAMOU


Le 14 Novembre 2016 par FRED


merci pour la découverte, c'est très sympa !





COCTEAU TWINS
HEAVEN OR LAS VEGAS


Le 13 Novembre 2016 par CLANSMAN57


J'aime beaucoup cette facette plus accessible des Ecossais.
Ils perdent certes en mystère, car les chansons deviennent plus concrètes, mais leur musique reste belle et planante, c'est finalement tout ce que je leur demande.

J'ai toujours l'impression d'entendre Liv Kristine sur "Frou-frou Foxes In Midsummer Fires".

C'est par ailleurs une bonne porte d'entrée dans l'univers des Cocteau Twins avant d'attaquer leurs oeuvres plus abstraites.







AEROSMITH
DONE WITH MIRRORS


Le 13 Novembre 2016 par SNAKE P


Je vais aller un peu à l'encontre du discours habituel au sujet de cet album. De mon point de vue il est vraiment pas mal. Son point fort réside dans le fait qu'il est moins surproduit que ses deux successeurs qui au bout d'un nombre incalculable d'écoutes, ont fini par un peu me lasser. "Done With The Mirror" est assez brut de décoffrage comparé à ce qui a pu être fait après et c'est carrément appréciable. Ses points faibles, il faut le reconnaitre, c'est l’absence de titre ultra accrocheurs (à l'exception du morceau d'ouverture) et sa relative monotonie sur l'ensemble. Mais ne boudons pas pour autant cette galette qui marque quand même le retour sur les planches d'un des meilleurs groupes de hard.





COCTEAU TWINS
GARLANDS


Le 13 Novembre 2016 par CLANSMAN57


Bien lugubre celui-ci et bien planant avec ça.
La basse ne sera plus autant mise en avant par la suite et Liz chante encore "normalement".
La boîte à rythme est plus légère que sur les deux opus suivants, elle me convient mieux ici.

Je possède une édition rallongée avec les "John Peel Session January 1983", comprenant "Dear Heart", "Hearsay Please", "Hazel" et "Blind Dumb Deaf"(déjà présente sur l'album).
Ces titres sont dans la continuité de ceux que l'on peut entendre sur "Garlands", je les trouve moins sinistres toutefois et beaucoup moins bons, "Dear Heart" mise à part.

S'ensuivent deux autres titres qui n'ont apparemment pas de lien avec ces sessions:
"Speak No Evil" et "Perhaps Some Other Aeon".
On dirait des chutes de "Garlands", car il y a la même ambiance.
Moins bonnes que les chansons de l'album, mais déjà meilleures que les précédentes chansons bonus.
Bref, une édition qui me semble pas indispensable.

5/5 pour "Garlands".







The WHO
WHO ARE YOU


Le 13 Novembre 2016 par SNAKE P


Sans doute un poil trop pop, trop "gai" (surtout en comparaison à "The Who By Number"), ou même trop travaillé, mais pas nul pour autant. En dehors du tube qu'est "Who Are You", on a tout de même un peu de mal à retenir un morceau plus qu'un autre.





COCTEAU TWINS
HEAD OVER HEELS


Le 13 Novembre 2016 par CLANSMAN57


Un excellent disque, mais le duo ne semble pas savoir dans quelle direction aller.
Son aspect un peu fourre-tout peut être une qualité ou un défaut, selon l'auditeur.
En ce qui me concerne, ça dépend des jours.
En tout cas, c'est sans doute le plus étrange de leurs albums.

L'édition comprenant l'EP "Sunburst And Snowblind" à la suite de l'album est chaudement recommandable.






COCTEAU TWINS
VICTORIALAND


Le 13 Novembre 2016 par CLANSMAN57


Si l'accès au Paradis devait m'être refusé par Saint Pierre, c'est pas bien grave, car sur terre, j'aurais suffisamment goûté au Paradis de "Victorialand", qui est peut-être plus beau que celui qui se trouve derrière ces fameuses portes.

Pour ceux qui veulent faire de beaux rêves éveillés avec des baleines sur terre et des félins dans l'océan.






Hubert Felix THIEFAINE
DE L'AMOUR DE L'ART OU DU COCHON


Le 13 Novembre 2016 par MR G


Un peu moins bon que ses deux premiers albums, cet album regorge néammoins de sacrés moments de bravoure! Un mélange de rock et de textes décalés au maximum! Impossible de résister a " Comme un chien dans un cimetière" et son rythme reggae! L agence des amants de Madame Muller et "Vendome gardenal snack" sont également 2 très bons morceaux! Le reste est un peu en dessous de ce quoi on peut attendre d un album de Thiéfaine! Psychanalyste du singe est également un très bon morceau d ouverture ainsi que le " title track" dont le texte est plutot très barré, ce qui est synonyme de qualité dans la discographie du poete!





TELEPHONE
AU COEUR DE LA NUIT


Le 11 Novembre 2016 par GOLGOTH 68


A quelques heures d'aller voir "LES INSUS" en concert, je confirme que cet album est le meilleur de Téléphone. Entre rock et punk rock, il n'y a que du bon et rien à jeter...





Steven WILSON
THE RAVEN THAT REFUSED TO SING


Le 10 Novembre 2016 par AZER


Mais ne serait-ce pas mon album préféré de toute la musique que j'aime ?

Afin de tergiverser, je m'attarderai sur le fait que "The Holy Drinker" est un peu plus conventionnelle dans son approche (les clins d'oeils au Roi Pourpre y sont assez évidents), et que "The Raven That Refused To Sing" (le titre) abuse peut-être un peu des effets de voix sur le chant de Steven sur sa fin.

A part cela, mon Dieu que dire ? "Luminol" est une explosion de créativité incandescente, "The Pin Drop" possède un jeu de montées en puissance sublime, "The Watchmaker" est d'une lumière éclatante. Quand à "Drive Home", je crains d'être tombé à court de superlatifs.

Cet album est une explosion, une spirale de formes et de couleurs, s’entrelaçant en spirales de motifs mathématiques échappés de fractales. Le résultat confine au grandiose, et confirme la capacité de Steven Wilson à n'engendrer que des œuvres majeures (ou presque). Prions pour qu'il en soit ainsi éternellement.







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