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DIRE STRAITS
BROTHERS IN ARMS


Le 05 Mars 2014 par TONIO


Dire Straits, c'est un peu comme les 5 premiers albums de Metallica, la guerre entre fans ne prendra jamais fin pour élire le meilleur des meilleurs disques. Tout simplement parce que tous les albums sont bons. Tous différents, avec une forte personnalité, mais tous excellents. A chacun ensuite d'être sensible à telle ambiance, à telle sonorité...
Brother In Arms n'est pas mon préféré, trop de longueurs qui gâchent des idées sensas et des mélodies pourtant réellement sublimes. L'exemple le plus flagrant est LE morceau du groupe, Money For Nothing, titre doté d'un riff cosmique mais que Knopfler use jusqu'à l'écœurement. Ce morceau possède un potentiel démentiel mais devient finalement chiant car beaucoup trop redondant et linéaire. On l'écoute 3 ou 4 fois avec plaisir puis après on se contente de l'intro. Et c'est un peu le défaut de tout cet album.
Mais quand même, 2/5 pour un tel travail de composition, faut pas pousser !
Moi je retourne écouter "Communiqué" ou "Love Over Gold"...





FAUVE
VIEUX FRèRES PARTIE 1


Le 04 Mars 2014 par LOUVOIR


FAUVE, c'est le genre de groupe qui énerve tous les blasés. Ceux qui pensent avoir tout vu, tout entendu et qui attendent au tournant la prochaine sensation. Parce que FAUVE est faussement original, faussement rebelle, faussement sincère. Il est finalement terriblement humain et ne se cache pas, au point d'être impudique. Il ne répond à aucune attente sinon les siennes. Il ne s'adresse à aucun public en particulier, et c'est bien ça son atout majeur autant que son plus grand handicap.

Les textes sont vraiment le point fort de cet album. Normal pour du "spoken word", mais cette écriture est belle, tout simplement. Ça vient du fond du cœur et ça possède une force incroyable. Au premier abord, certes, le sens est difficile à discerner. Mais FAUVE reste volontairement flou pour une raison bien particulière : c'est à chacun d'adapter les mots à ce qu'il peut ressentir, traverser, vivre. Cela demande un effort d'interprétation, on n'est pas dans l'immédiat et dans l'urgence que peuvent faire supposer certains morceaux.
Les paroles ne sont pas dérangeantes non, je les trouve plutôt réconfortantes.

Musicalement, c'est pauvre, on est d'accord. Mais dans ce cas précis, la musique est tout à fait secondaire. Elle se contente d'accompagner la déclamation et rempli bien son rôle de ce point de vue là, c'est tout ce que l'on peut en dire.

Là où le bât blesse finalement, c'est que toutes les chansons ne peuvent pas nous toucher. Impossible car chacun est différent. Chacun aura ses favorites et ses moins bonnes. Pour ma part, la balance penche largement du côté des coups de cœurs.





MERZHIN
DES HEURES à LA SECONDE


Le 04 Mars 2014 par LAHBARI PèRE

Je plussoie et vous donne le commentaire mis sur la page Facebook de Merzhin dont je reste cependant un fervent admirateur!
"Surprise! Sans vouloir jouer au Troll dans ce concert de louanges, je n'adhère pas complètement à ce nouvel album. Où est passé votre grain de folie? Où est passée votre âme celte? Où est passé ce trait insaisissable, cette marque de fabrique qui transparaissaient sous la magie sonore de Ludovic ? Merzhin aurait-il trouvé sa Viviane qui l'aurait encagé? En public, je présume, vous saurez comme vous savez le faire, revenir à ce que vous êtes, tout simplement MERZHIN!"





EMBRYO
EMBRYO'S RACHE


Le 04 Mars 2014 par CHRISP


Entièrement d'accord avec la chronique, le climax est clairement atteint sur le diptyque "Revenge", "Spain Yes, Franco Finished", ou je me surprend à scander "Revolution is the only way". La fin est clairement décevante et prive le groupe de la note maximale, tant elle ne parvient pas à maintenir le niveau de l'album affiché jusqu'à présent.

Pas grand chose de plus à ajouter si ce n'est que sur les versions rééditées par "Materiali Sonori", on peut trouver deux bonus "Tabarinman´s Return part 1" et part 2 qui témoignent de performances live qui si elles sont bonnes, n'ont malheureusement rien à voir avec le reste de l'album.

En espérant que ces chroniques auront donnés envie à d'autres de découvrir le groupe, finalement assez méconnu et qui pourtant pouvait proposer d'énormes Jam/Fusion tout en changeant de style sur chaque album et en maintenant un excellent niveau.





GOLDMAN JEAN-JACQUES
NON HOMOLOGUE


Le 04 Mars 2014 par THIERRY RAOULT

Commentaire sur le 1er titre "Compte pas sur moi".

"un superbe solo de guitare". Tu parles ! C'est Nono (Norbert Krief) de Trust qui signe le solo !





The ALLMAN BROTHERS BAND
WHERE IT ALL BEGINS


Le 04 Mars 2014 par COLOSSUS

Dans sa chronique de "Hittin' the Note", Bayou qualifie "Where it all begins" de "terne".
Du coup je ne comprends pas bien cette chronique de ce même album qui semble au contraire l'encenser... Alors terne ou pas terne ?





JUDAS PRIEST
STAINED CLASS


Le 04 Mars 2014 par LEO


Effectivement, comme l'a souligné RED ONE dans sa chronique, à partir de Stained Class (enregistré fin '77 et paru début '78), on peut dire que JUDAS PRIEST a enfin trouvé un line-up à peu-près stable (quoique éphémère) puisque le batteur Les Binks enregistrera avec eux 2 albums en studio et 1 live (ce qui n'était pas le cas des 3 disques précédents sur lesquels officiaient 3 batteurs différents).
"Exciter" le titre d'ouverture, renoue avec une rythmique en double grosse caisse (tout comme sur "Let Us Prey/Call For The Priest" de Sin After Sin) mais cela dit, la batterie tout en étant échevelée n'est pas écrasante pour autant (tant mieux !) et l'excellent Les Binks joue tout en finesse et subtilité.
Tout l'album est de très haut niveau (compos originales comme sur la reprise de Spooky Tooth) et les arrangements sont plutôt judicieux.
Les guitares sonnent assez heavy dans l'ensemble mais point trop non plus (ça permet à la musique de respirer un minimum). J'ai le sentiment qu'une des principales influences de K.K. Downing et Glenn Tipton dans les seventies a dû être Wishbone Ash même si la musique de ces derniers n'a pas forcément grand rapport avec celle de JUDAS PRIEST.
Avec son prédécesseur Sin After Sin et son plus lointain successeur Point Of Entry (généralement délaissé par les fans, mais pourtant excellent dans son genre), Stained Class fait partie de mes albums favoris de JUDAS PRIEST.





JUDAS PRIEST
SIN AFTER SIN


Le 04 Mars 2014 par LEO


Pour son 1er album pour Columbia, JUDAS PRIEST frappe fort !
Compos variées mais d'égale qualité (ça change des 2 premiers albums) et prod soignée de Roger Glover ainsi qu'un sessionman de luxe en la personne du jeune Simon Phillips (il a tout juste 20 ans à l'époque).
Que ce soit sur les ballades (en particulier "Last Rose Of Summer", que j'aime beaucoup) ou les trucs plus pêchu, la constance est de mise.
Il n'y a guère que la reprise de Joan Baez ("Diamonds And Rust") que je trouve juste un peu en deçà, mais elle sera transfigurée sur le live "Unleashed In The East" 2 ans plus tard.
Mon coup de cœur : "Let Us Prey/Call For The Priest", une drôle de compo mi-heavy mi-prog avec sa batterie en rupture de ton et double-pédale. Pas vraiment du heavy classique donc ! certes, la rythmique est rapide mais elle reste fluide et relativement légère et elle n'a rien de pachydermique (Simon Phillips joue toute en nuance).
Bref, Sin After Sin fait partie des albums que je préfère chez JUDAS PRIEST.





JUDAS PRIEST
SAD WINGS OF DESTINY


Le 04 Mars 2014 par LEO


Sur ce 2ème album, on retrouve déjà les futurs chevaux de bataille scéniques que sont "Victim Of Changes", "The Ripper", "Tyrant" et "Genocide" mais j'avoue que je préfère de très loin leur prestation live sur l'album "Unleashed In The East". leurs versions en studio sont plutôt plates en comparaison.
Restent les sympathiques "Deceiver" et "Island Of Domination".
Le reste, n'est pas marquant.







JUDAS PRIEST
ROCKA ROLLA


Le 04 Mars 2014 par LEO


Un 1er album sympa mais sans plus.
Pour "One For The Road", "Rocka Rolla", "Cheater" et "Never Satisfied".
Le reste est un peu incongru.





FAUVE
VIEUX FRèRES PARTIE 1


Le 03 Mars 2014 par A.T.N.


Des paroles faussement dérangeantes sur un ton qui se veut rebelle et qui du coup fait rire, une boîte à rythme sans inventivité pour des morceaux qui ennuient rapidement faute d'écriture musicale, ce groupe disparaitra rapidement et dans peu de temps on les aura complètement oubliés, se demandant même pourquoi ils avaient pu susciter de l'intérêt.





FAUVE
VIEUX FRèRES PARTIE 1


Le 02 Mars 2014 par JOHN LENNON

Du chiant, rapidement clamé comme révolutionnaire.
Ça pue le déjà fait, les paroles sont vides de sens et plus que faciles, les instrus tournent en bouclent mais sont loin d'être plaisantes... Un "groupe" largement surcoté alors qu'il ne vaut pas grand chose.
Le seul mérite que ce groupe a, c'est sa com'.
Fin.





Ludwig Van BEETHOVEN
CONCERTO POUR PIANO N°5 EMPEREUR (KLEMPERER)


Le 01 Mars 2014 par JUJUBONU

A Chipstouille,

Oui bien sûr et sans vouloir faire une bataille de mots.





Ludwig Van BEETHOVEN
CONCERTO POUR PIANO N°5 EMPEREUR (KLEMPERER)


Le 01 Mars 2014 par CHIPSTOUILLE

Cher lecteur, tu sembles vouloir opposer "orchestral" et "instrumental". Je présume que par musique "instrumentale", tu entendais musique de chambre ? Centrée sur un nombre réduit d'instruments ? Tels que les sonates, trios, quatuors et diverses formations voir... concertos de l'époque baroque ?

La musique dite instrumentale est celle qui s'oppose à la musique vocale, qui fait la part belle au chant. La musique orchestrale étant la musique de l'orchestre, et non du chœur, elle est donc tout aussi instrumentale par définition...





Ludwig Van BEETHOVEN
CONCERTO POUR PIANO N°5 EMPEREUR (KLEMPERER)


Le 01 Mars 2014 par JUJUBONU

Il serait vain d'ajouter une quelconque critique à l'un des monuments de la musique orchestrale. J'aimerais par contre adhérer au commentaire ci-dessous du coadou. La musique dite "classique" est souvent approchée par l'œil de la musique orchestrale pour sa puissance, pour son importance dans la conscience populaire également, cependant l'âme d'un compositeur se traduit plus (et par définition) dans sa musique instrumentale. Dans le cas de Beethoven, c'est particulièrement flagrant et il ne faudrait surtout pas se faire une image du bonhomme seulement au travers de ses symphonies, concerti ou messes, mais aussi par ses sonates et quatuors, lesquels montrent toute l'intériorité du compositeur, ses déchirements, ses faiblesses, ses espoirs, ses passions,... que l'on se fait aisément nôtres ! Ceci n'est évidement pas propre à Beethoven, c'est aussi le cas des autres grands : Haydn (dont les sonates pourtant si merveilleuses sont si peu connues), Schubert, Bach, Brahms, Mozart et bien d'autres. La musique instrumentale reste le siège de tous nos sentiments et par là reste éternelle.





Peter GABRIEL
OVO


Le 01 Mars 2014 par JUJUBONU


OVO, l'ambigu ??? Est-ce cet album qui apparait comme hétéroclite, ou sont-ce les traditionnels aficionados du grand Peter qui sont déroutés au point de ne plus accepter ce qui constitue pourtant l'essence même de son travail : la nouveauté, l'inventivité. Ovo est bien sûr une œuvre de commande, néanmoins c'est aussi et surtout l'occasion pour l'auteur de rendre hommage à la musique de son temps. Plusieurs style sont à l'honneur, rap, folk, songwriting, ballade,... au point que je regrette même que n'y soit pas présent un brin de soul ou de jazz. Mais ce qui est ici magique c'est que malgré ces 2 prérequis (œuvre de commande et hommage musical), Gabriel parvient, en y chantant à peine, à imposer son propre univers à l'ensemble et à préserver la cohérence de l'album. Il y a de la magie dans tout cela. Ovo aurait-il pu être plus parfait? Peut-être, mais n'aurait-il pas ressemblé alors à quelque chose de trop Gabrielien ? Pour ma part, je suis rentré un peu par hasard dans cet ovovni, je n'avais lu aucune information quand à son contenu et à ses raisons d'être, j'ai probablement été dérouté à la première écoute, je ne m'en souviens guère, mais aujourd'hui encore, je garde un attachement particulier pour ce recueil qui me procure toujours plus de plaisir à l'audition. Si la douceur et la beauté de certaines plages s'opposent à une explosion d'énergie dans d'autres, le choix des voix m'apparaît ici comme capital et E. Frazer autant que R. Evans relèvent haut la main ce défis. Cet OVO est tout simplement un régal d'émotions, très coloré, il ravira les adeptes de musique avec un grand M. Que Peter Gabriel ne se contente surtout pas de nous apporter du Gabriel, car ce jour là il sera mort ! En déplaise aux nostalgiques, je préfère de loin voir P. Gabriel me surprendre à chaque nouvelle sortie (même si elles sont rares, mais la qualité n'est-elle pas l'ennemie du temps) et m'obliger à me questionner, moi humble auditeur que de l'entendre nous proposer un album "pour faire plaisir aux fans" (moi qui était même déçu qu'il fasse la tournée back to front !). La sagesse vient avec l'âge dit-on ! Alors, il est encore temps de surclasser la mêlée et de nous émouvoir !





Neil YOUNG
AMERICAN STARS'N BARS


Le 01 Mars 2014 par THIERRY


Souvent considéré comme le maillon faible de la discographie 70's de Neil, il n'en est rien si on prend le temps de bien l'écouter. C'est vrai que cet album ressemble à un patchwork de ce qu'a pu faire Neil auparavant. "bite the bullet" n'aurait pas dépareillé sur "Zuma", "hey babe" aurait pu atterrir sur "After the goldrush", "star of Bethleehem" sur "Harvest", "will to love" sur "Tonight's the night" ou encore l'exceptionnel "like a hurricane" sur "Everybody knows...".

L'album commence par deux, trois titres à forte dominance country, ça pourrait en rebuter certains mais Neil s'en tire très bien, le suivant "comes a time" aura aussi cette direction et il n'est pas non plus très bien considéré. Finalement, le problème viendrait peut-être de là, mais soyons honnête Neil sort encore de bien belles petites pépites même s'il ne se réinvente pas vraiment hormis cette orientation country sur ces deux premiers titres.

Les pochettes sont souvent chez Neil, affreusement minimalistes ou passe partout, au moins celle-ci est marrante et bien déjantée. Elle me plait bien, moi.





PINK FLOYD
MEDDLE


Le 28 Février 2014 par CéDRIC


Magnifique c'est sur cet album que Pink Floyd nous sort Echoes, probablement un de leurs meilleurs morceaux. Un moment de pur bonheur qui nous fait voyager sans oublier le reste de l'album qui est assez réussi.





METALLICA
RIDE THE LIGHTNING


Le 27 Février 2014 par ALEX


Ah, Ride The Lightning ...

Les années collège, une connaissance qui me tend une cassette vierge enregistrée avec marqué dessus ces 3 mots (et oui, c'était l'époque bénie du tape trading, que le temps file !). Le choc. Les solos de Hammet, la basse de Burton sur For Whom the Bell Tolls, Creeping Death etc... etc... je plonge alors ad vitam eternam pour le metal, 25 ans que ça dure.

Alors oui, avec des oreilles d'aujourd'hui, le son est faiblard (surtout la batterie à mon goût) et on a fait beaucoup plus extrême depuis. Mais il faut restituer tout ça, et la chronique le fait très bien: à l'époque, Metallica faisait peur (ça fait tout drôle d'écrire ça aujourd'hui).

Des titres d'anthologie toujours interprétés sur scène, la patte de Burton (et des restes de Mustaine), Hammet en état de grâce (a-t-il fait mieux depuis...?), les lyrics de "Hate"Field. Que j'aimerais écouter cet album de nouveau pour la première fois.

Définitif





ZZ TOP
LA FUTURA


Le 27 Février 2014 par TONIO


ZZ TOP... Je suis fan jusqu'à l'os des années 70 du groupe et j'apprécie énormément quelques morceaux des albums suivants, mais au compte goutte. J'exclue XXX qui pour moi est une bouse monumentale et Mescalero que je n'ai pas pris la peine d'écouter.
Ce dernier je l'ai acheté avec l'espoir quelque part idyllique que le trio parviendrait à nouveau à m'émouvoir, me surprendre de façon positive, et c'est mission à moitié accomplie.
Oui ce disque est sans commune mesure meilleur que bon nombre de réalisations précédentes. Le groupe se concentre sur le principal avec juste guitare/basse/batterie, sans chercher à colorer sa musique d'ingrédients hors de propos, sans essayer de rattraper une époque qui de toute façon l'a depuis longtemps dépassé. Ils ne referont jamais un Eliminator, ils ne vendront plus jamais d'albums par containers entiers, et ça apparemment ils l'ont pigé, alors ils reviennent à l'essentiel. Pour le meilleur et pour le moins bon. Mais pas pour le pire.
La voix de Gibbons est rocailleuse comme jamais, l'harmonica fait son retour, notre chanteur barbu retrouve un vrai feeling bandant dans les soli, toujours simples, courts mais parfois plein d'émotion, bref, on a donc la sensation que le groupe retrouve la foi après de longues années d'errance dans un désert d'inspiration. Les morceaux sonnent de façon SINCÈRES !

Tout n'est pas tout rose non plus, ainsi le duo basse/batterie donne la triste impression de se contenter du minimum, ce qui est triste quand on connait les capacités des bonhommes. L'enchaînement des morceaux est également étrange, maladroit, où sont les intro qui posent les bases d'une chanson ?
Et surtout, je ne suis pas, mais pas du tout fan de la prod de Rubin. Le son est massif, la guitare rythmique chargée à bloc en saturation, merde c'est pas du métal là ! C'est du ZZ TOP, j'aurais vraiment apprécié un son plus feutré, plus subtile, moins bourrin ! Quel dommage...

De très bons morceaux ressortent néanmoins du lot, ce qui est déjà beaucoup : Chartreuse, I Don't Wanna Lose (merde ces parties de grattes), Flyin' hight (BG a piqué le riff à A Young ?), et surtout la bluesy ballade Over You, simple et terriblement touchante, un peu brut de décoffrage mais qui me colle les poils au garde à vous à chaque fois.

Non les ZZ TOP ne sont pas bon à enterrer.







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