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METALLICA
METALLICA


Le 16 Mars 2014 par EL PACHENKA

"Nothing Else Matters" était la preuve qu'il n'y avait pas que Scorpions pour faire rouler des pelles dans des bals de cambrousse! J'avais une préférence pour "The Unforgiven". Voilà pour mes archives mémorielles. De là à ressortir cet album, j'aime mieux le laisser sous terre à jamais!





KAARIS
OR NOIR PART 2


Le 16 Mars 2014 par LOUVOIR


Euh vous aurez compris je me suis planté quand j'ai donné la note, c'est bien évidemment 1/5. Désolé de l'erreur -_-





KAARIS
OR NOIR PART 2


Le 16 Mars 2014 par LOUVOIR


Je vais faire une comparaison à la noix. KAARIS est au rap ce que ENMITY est au brutal death. Bon celle-là pour la comprendre, faut à la fois être fan de rap et de brutal death, ce qui n'est pas si courant.
Mais voilà, ENMITY rassemble tous les éléments clichesques du brutal death, c'est à dire du blast en continu sur toute la durée d'un album, aucune subtilité, des riffs inexistant et des vocaux insoutenables.
Et bien KAARIS c'est pareil. Tout ce que celui qui crache sur le rap par habitude pense du rap se trouve confirmé dans les deux opus "Or Noir". Les paroles sont violentes, vulgaire et (surtout) sans fond. Les instrus sont plats, sans inventivité, parfois même très désagréables. Et le flow... non évitons d'en parler du flow, ça n'en vaut même pas la peine tellement c'est mauvais.

Cet album (et ce "rappeur"), c'est pour ceux qui veulent écœurer les gens du hip-hop. C'est album semble fait pour que les médias bien-pensants pointent du doigt ce style de musique en général et réduisent à cela tout le reste de la scène française qui ne se porte pas si mal pourtant.





Peter GABRIEL
SO


Le 16 Mars 2014 par GETGET


Je ne comprends vraiment pas l'engouement incroyable que suscite ce disque dans la discographie de Peter Gabriel. Ayant découvert l'artiste assez récemment par Ovo (porte d'entrée originale!), je prends le temps d'appréhender tous ses disques en ordre chronologique inverse, de Scratch my Back à III où j'en suis actuellement.

Scratch, Us, et, surtout, Ovo, Security et Up ont été des claques monumentales. Une musique comme je n'en avais jamais entendue, avec un mélange world/pop qui donne une profondeur chaleureuse à la musique et une intensité rares.

Mais alors, So, cet album, il ne m'a pas fait grand-chose à côté des autres. Il n'a pas l'homogénéité qui fait que Security et Ovo sont des pavés indivisibles, excellents de bout en bout; ni la caractéristique d'Up, qui était que chaque chanson était un tel monstre d'émotions et de complexité que pour le coup, il devenait difficile d'en enchaîner l'écoute en un album.

Sur So, je trouve qu'on perd beaucoup de profondeur musicale et c'est dommage (concession à l'accessibilité peut-être). Pour moi, les deux seules "grandes chansons" de So sont Red Rain (pour la rythmique, l'aspect tribal réminiscent de Security) et Mercy Street (pour la profondeur émotionnelle qu'elle a, contrairement à Don't Give Up).
En dehors d'elles, des titres pop certes exceptionnels, mais qu'on ne peut pas comparer, en composition, à ceux de Security et Up. Et qui donnent un album qui n'a pas l'homogénéité pour compenser et les faire passer l'air de rien.





METALLICA
...AND JUSTICE FOR ALL


Le 15 Mars 2014 par ALBERT


Sans doute un sommet.
METALLICA sait comme souvent se détacher du passé pour proposer une musique réellement originale, une constante chez eux, sauf sur le néanmoins très bon "Master...".
Comme d'habitude, il vont susciter des imitateurs (la vague Techno-Thrash voire Progressive Thrash), mais tout cela, on l'oublie, on critique ce groupe dont on fustige l'appât du gain, voire la compromission. Or METALLICA, c'est le contraire de la compromission, qui eut consisté en la parution de X "Kill 'em all" successifs.





METALLICA
KILL 'EM ALL


Le 15 Mars 2014 par LAMBDA


Un premier album ou Metallica trouve déjà la bonne formule, de la mélodie avec une bonne dose de soli et une pêche d'enfer ! La force de Metallica c'est que les chansons partent dans tous les sens et que c'est toujours aussi bon, c'est presque du Metal Progressif ! Il n'y a qu'a prendre le géant "The Four Horsemen" ou le désormais classique "Seek & Destroy" pour s'en rendre compte. Malgré une production qui a mal vieillie et un James Hetfield dont la voix est encore jeune, cet album impose directement Metallica comme le plus grand groupe de Thrash Metal de tous les temps !

Morceaux préférés : Hit the Lights, The Four Horsemen, Jump in the Fire, Seek & Destroy
Note réelle : 4,5/5 (-0,5 pour la prod')





METALLICA
...AND JUSTICE FOR ALL


Le 15 Mars 2014 par POWERBEAUF


Un album solide et cohérent comprenant 2 véritables joyaux intemporels ("One" et "To live is to die"). Cependant, je ne prends pas le même plaisir avec ce disque qu'avec les 4 autres de l'âge d'or du groupe. La faute à des compos denses, souvent trop longues (7'15" en moyenne !), et disons-le carrément, souvent inférieures individuellement à celles des autres grands albums du groupe (à l'exception des 2 titres précédemment cités). Toutes sont de haut voire de très niveau et forment un tout quasi-indivisible, mais n'atteignent que trop rarement l'excellence. En outre, la production de Rasmussen ne rend pas non plus service à ce disque : pas de basse, des sons de guitare rythmique trop creusés, une caisse claire insupportable (eh oui, ce problème n'est pas apparu pour la première fois sur "St Anger"...). Bref, même si j'apprécie ce disque, je n'en suis pas fan pour autant. Je lui reconnais néanmoins sa grande qualité et son influence sur des formations comme TOOL.

La suite appartient à l'histoire. Juste avant la sortie de cet album, METALLICA participe à la tournée Monsters of Rock US. Faisant figure d'OVNI, le quatuor en profite pour jouer devant des foules conséquentes, et atomise tous les soirs aussi bien les spectateurs que les poids lourds de cette affiche exceptionnelle (VAN HALEN et SCORPIONS, accompagnés des welters DOKKEN et des super-plumes KINGDOM COME). Les METS obtiennent alors leur premier disque de platine. Dans la foulée, le groupe revient sur sa promesse de ne jamais tourner de clip et tourne un scopitone pour "One" qui reçoit un soutien inespéré de MTV...





Will SMITH
BIG WILLIE STYLE


Le 15 Mars 2014 par ANGEL D

J'ai jamais été vraiment fan de ce rap là, je me rappel d'avoir écouté plusieurs morceaux de cette album à l'époque et la chronique résume un peu ce que j'en pense.
C'est bien produit, bien exécuté, il y a des titres accrocheurs mais l'ensemble reste bien sage et balisé.
Et en plus, si G funk il y a , raison de plus pour que je n'ai pas vraiment adhérer à ce disque (à part le 1er album de snoop doggy dogg dans ce style là, c'est pas ma came ).

Sinon à quand une chronique justement d'un album du groupe "DJ Jazzy Jeff and The Fresh Prince" , ou Jazzy fresh (qui n'est autre que Jazz dans le prince de Bel air), était le Dj et producteur du groupe , accompagné bien sur de Will Smith au micro ?





ARCTIC MONKEYS
FAVOURITE WORST NIGHTMARE


Le 15 Mars 2014 par AZER


Suite à l'excellence excellentissime du premier, on ne pouvait qu'attendre énormément du second. Et force est de constater que ces petits jeunes ont de la ressource !
Il est à cependant noter que quelques titres un peu moins bons se sont invités : If You Were There, Beware est moins entraînant malgré ses breaks incessants et Old Yellow Bricks ne me touche pas. Mais ne nous effrayons pas : Brianstorm est une introduction fulgurante, suivie du bon tube britpop Teddy Picker mais surtout de D is for Dangerous, bien typée album précédent et de Balaclava, composition incroyable de maitrise et d'énergie. Du même accabit l'on a Do Me a Favor (et sa fin si surprenante), This House is a Circus, The Bad Thing, 505 (magnifique) et la ballade Peter Pan Only One Who Knows (qui a parfois tendance à me lasser mais cependant très sympathique).
Mais cet album serait incomplet sans Fluorescent Adolescent, magnifique composition du sieur Turner, qui signe là une chanson parfaite (oui, parfaite), aux paroles touchantes et au refrain superbe. Cette chanson me rend fou, si bien que je ne puis ne pas accorder sa cinquième étoile à cet album.
Note finale : 4.55, arrondi à 5 pour le morceau cité ci-dessus.





METALLICA
MASTER OF PUPPETS


Le 15 Mars 2014 par AZER


Entièrement d'accord avec SASKATCHEWAN, ce disque, bien qu'excellent, n'égale pas ses deux voisins de palier. En résulte "seulement" un superbe album.





METALLICA
MASTER OF PUPPETS


Le 14 Mars 2014 par POWERBEAUF


La deuxième pierre angulaire du Metal signée par le quatuor. Comme son prédécesseur, "Master of Puppets" est un chef d'oeuvre de puissance, de technique, de maîtrise et même de mélodie (cf le solo harmonisé d'Hetfield sur la plage titulaire ou ceux de Hammett dans "Welcome Home"). METALLICA creuse encore l'écart avec ses concurrents du Thrash/Speed, et ce, au moment où la sélection est en train de se faire entre les cadors, les laborieux et les mauvais. Avec sa pléthore de classiques et ses pétites qui méritent le détour (l'excellent "Disposable Heroes", le très sympa "Leper Messiah" et le puissant "Damage Inc."), ce disque est un sommet. Et je ne parle même pas de sa pochette, sublimement évocatrice.

Juste une petite remarque sur la chronique : avec le recul, il est tentant de croire que l'Histoire était écrite d'avance et que le succès (ou l'échec) monumental d'un groupe était prévisible, voire inéluctable. Or, et c'est heureux, l'Histoire a beau être logique, elle n'en est pas pour autant prévisible. Qu'Hetfield et Ulrich aient eu dès le début des ambitions démesurées, c'est évident. Mais de 1981 à 1988, ils n'étaient pas "programmés" pour collectionner les disques de platine, car ils n'avaient clairement pas choisi un style qui permettait d'espérer devenir l'un des plus gros vendeurs de disques de la planète. Les choses vont changer lorsque, pour promouvoir "... And Justice for All", ils vont accepter de se joindre à la giga-tournée Monsters of Rock et décider de tourner le clip de "One". Mais là encore, le succès était loin d'être acquis d'avance...





Nobuo UEMATSU
DISTANT WORLDS II


Le 13 Mars 2014 par RICHTER


Ah ben j'ai de quoi lire sur FP avec toutes ces Kros spéciales JV.
Un grand merci à l'auteur.

La première moitié de la chronique fait la part belle à un certain combat final avec un certain fou à lier...sur un certain FF SNES...

Et en effet, entre FF VI FFVII et FFVIII il n’est pas aisé de décerner un 1er prix du meilleur thème de combat final. D'un côté vous avez Dancing Mad sur FFVI, un pot-pourri bien décrit dans la chronique, et qui aura laissé une trace indélébile à ceux ayant joué à ce jeu (l'OST entière d'ailleurs).

Ensuite vous avez un FFVII et son "One Winged Angel" qui globalement atteint des sommets pour qui aura pris la gifle en cette ère bénie de la PS1.

Et FF VIII... même si il n'a pas un thème aussi fort que Dancing Mad ou One Winged Angel, il reste globalement très fort.

Bref...

Pour revenir à ce disque Distant Worlds II, on ne va pas faire un track by track, sauf que celui qui a des difficultés liées au son cheap des processeurs de consoles de JV, 16bits et avant… c’est un caviar. Pour sûr, ce qui nous est proposé au menu :
Entre un Prelude délicieux à la harpe, The Man With The Machine Gun (je préfère l’original cependant), un Zanarkand, thème somptueux de mélancolie et d’espoir, un thème de Terra qui pour ma part surclasse celui d’Aerith (trop surestimé de mon point de vue), empreint d’une profonde tristesse mais un courage sans limite (imaginez-vous sur un terrain vague de nuit, recouvert de neige et sans savoir qui vous êtes ni où vous rendre).
Un Dear Friends de l’excellent FFIV et on termine avec un majestueux Jenova.
Le tout servi dans une qualité orchestrale digne de ce nom, sans jamais en faire trop pour ne pas boursoufler les pistes originales, qui se veulent « simple » et mélodieuses, entrainantes. Bref, ce n’est pas un album pour gros film Hollywoodien.
Fan de FF : vous connaissez ce disque. Sinon, découvrez l’univers FF et délectez-vous de ces merveilles musicales. Et si vous n’êtes pas joueurs de JV, tentez le coup ! Vous comprendrez peut être que la musique de JV peut sublimer ce média !

4.5/5 arrondi à 5





Mike OLDFIELD
MAN ON THE ROCKS


Le 13 Mars 2014 par MARCO STIVELL

@Dark Schneider : merci pour ce commentaire !

Simplement, pour la note par rapport à Crises, n'ayant réalisé aucune chronique précédente du père OLDFIELD, je plaide non-coupable. ^^





Mike OLDFIELD
MAN ON THE ROCKS


Le 13 Mars 2014 par DARK SCHNEIDER


Une chronique principale en sélection, trois Kros-Express : chapeau ! Les choses n'ont pas été faites à moitié sur FP pour ce nouvel album d'Oldfield, artiste qui le mérite bien !

Je me range globalement de l'avis de Waltersmoke. Ce nouvel album fera sans doute plaisir aux fans d'Oldfield et surtout à ceux qui ont aimé sa période pop des années 80, mais ne fera guère illusion quand même. L'ensemble est très agréable, ça s'écoute comme une lettre à la poste comme dirait Marco mais tout le problème est là : ce n'est rien de plus qu'une carte postale. Une carte postale bien anecdotique aux vu des anciennes missives de l'artiste.
On a tout de même un excellent titre : "Nuclear", le seul qui fait montre d'une véritable ambition artistique. J'aime aussi beaucoup "Chariots", très entraînant.
Mais il y aussi du mauvais, "Irene" qui semble être une caricature du groupe THEM, et tout le final de l'album d'une manière générale, qui s'enfonce dans la mièvrerie fadasse. L'album aurait mieux fait de s'arrêter après "Chariots", je lui aurait peut-être coller une étoile en plus.

Le résultat reste trop léger après une si longue attente...
J'avoue aussi ne pas comprendre que l'on puisse mettre à cet album une note supérieure à celle de l'excellent "Crises"...

Bref, effectivement, un album en pilotage automatique, dénué de flamme.





IRON MAIDEN
IRON MAIDEN


Le 12 Mars 2014 par RICHTER


Que dire que ce qui n'a pas encore été dit ?
Jamais je n'oublierai ces twin-guitars dans Remember Tomorrow, cette vitesse dans Phantom Of The Opera, ce chant sale et exaspéré du père DiAnno et ces refrains entêtants dans "Prowler" et Running Free...

On ne sait plus quoi dire... tout l'a déjà été.





Nobuo UEMATSU
FINAL FANTASY VIII OST


Le 12 Mars 2014 par RICHTER


Ah!! Cette intro de FF8! Ce n’est pas compliqué, il s’agit une opening les plus marquantes du JV.

Et ce pas seulement grâce à des CG qui mettaient tout le monde K.O, pas seulement grâce à la plastique sublime de Linoa, non, l'exhausteur est bel et bien la musique qui accompagne la scène...
Le Liberi Fatali en impose, de par sa qualité orchestrale et par l'énergie qu'elle envoie aux spectateurs !!!

Donc oui, quelque part, à l'image des 4 CD que comptent cette OST, ça va chercher si haut, que le reste même parfois très haut peut sembler pas si haut, et ce qui est moyen devient bas....voir très bas!

Toutefois, juger d'une OST de 4 CDs est un exercice à risque dont il faut bien prendre en compte une chose :
FF est un RPG ayant une durée de vie de +/- 40 h, il faut accompagner le joueur durant et varier l'ambiance musicale avec les lieux, les événements... dès lors, il est impossible pratiquement de proposer une qualité égale de bout en bout.

Je rejoins donc la chronique car, il est vrai que pas mal de pistes sont dispensables, certaines même casse pieds, mais j’y place un bémol.

Disons qu’on a sur ce quadruple album, contrairement aux précédents FF, beaucoup plus de « musique d’ambiance » que de thème à mélodie forte. Durant le jeu, les plus faibles passent, mais en contexte d’écoute pur, celle-ci manque d’intérêt. Clairement. D’ailleurs il s’agit d’une tendance depuis FFVII.

Il faut néanmoins savoir que cette OST comporte certaines des meilleures pistes du maestro, à savoir :

- Le Liberi Fatali,

- Don’t be afraid, le thème de combat standard quoique la lassitude peut se ressentir en « in game »,

- Force Your Way, un des tous meilleurs thèmes de combat de boss avec « Still More Fighting » de FFVII,

- The Man With The Machine Gun, que dire… probablement le meilleur thème de combat du bougre qui enterre Don’t be Afraid, qui malheureusement ne s’entend que durant les combats avec Laguna,

- Eyes on Me, dans ce qu’on lui demande, à savoir du sirupeux, elle a une jolie mélodie et remplit son job… et même très bien,

- The Landing, qui ouvre la scène du débarquement (exam des Seed), puissante, elle transporte au cœur du dilemme !

- The Castle, le donjon final (citadelle d’Ultimecia) absolument magistral,

- Et pour finir le bouquet final, celui qui ne peut décevoir, le combat de fin…. Et alors là on est gâté comme jamais :

• Premonition, thème du combat contre les sorcières, superbe, à la fois maléfique, grave… de toute beauté
• The legendary Beast – Maybe I’m A lion, transporte ce qu’il faut au cœur de l’action, de la pression grandissante du combat, à la fois rapide et énergique,
• Et pour finir, comme cité dans la Kro, The Extreme, avec sa douce mélodie à la guitare acoustique suvi du piano, pour ensuite plonger le joueur dans une lutte frénétique…intersidérale ! Du caviar…
• De même que toute la fin du CD 4 est mémorable.

Cette OST, certes inégale dans son intégralité, et surtout avec des contrastes importants entre mélodies fortes et musique d’ambiance, montre que Square et au sommet du JV.

Pour terminer, je dirai que sur 2 CD max, voir 1, on tiendrait peut être la meilleure œuvre du compositeur, sans hésitation pour ma part.
Si je devais noter ce disque comme un album traditionnel, la somme du mauvais – moyen – bon – excellent, qui fait 60 minutes, alors oui, 2.5/5.

Mais compte tenu de la quantité du contenu, et par rapport à la discographie du japonais, je donne un 4/5. Car son seul grand défaut, c’est probablement d’être trop généreux… tout simplement.





Nobuo UEMATSU
FINAL FANTASY IX OST


Le 12 Mars 2014 par RICHTER


Hello,

Pour ma part, un très bon cru de Mr Uematsu.

Je passe sur la chronique complète présentée ici, sauf pour préciser, que pour ma part le son "Bontempi" de certaines pistes donne un aspect, certes rétro (surtout avec des oreilles de 2014) mais une légèreté à l'ambiance, car ce FF IX malgré des thèmes graves (esclavage...) abordés, reste un jeu qui se veut simple (non simpliste), infantile et souvent burlesque.

Il suffit d'écouter ce thème fabuleux qu'est "Jesters Of The Moonless Night" (thème de Pile et Face), le thème de la map world, reprise de Melodies Of Life, mais qu'est ce qu'elle faisait du bien à entendre...
Ou dans un autre genre "Living by the sword", (combat factice au début) et le doublé combat final contre Kuja et Darkness!

Certes l'album ultime tiendrait sur 2 CD max, mais avec ce disque l'ami Nobuo signe un 4 hit combo (FF VI VII VIII et IX) qui sera rompu avec le suivant, franchement plus mitigé me concernant (il ne sera plus seul au manettes, et cela s'entendra).





JUDAS PRIEST
BRITISH STEEL


Le 12 Mars 2014 par LEO


Je n'ai jamais compris l'engouement général pour cet album, somme toute bien banal !!! encore un cas d'album "culte" restant pour moi un mystère insondable!
Sur 3, 4 titres de Killing Machine, on avait pu voir le groupe lorgner du côté de la facilité. ce sera encore plus flagrant sur British Steel qui renferme un nombre incroyable de morceaux simplets et manquant de subtilité.
Titres heavy ou plus radio friendly, toutes les compositions de British Steel sont basées sur des riffs monolithiques sans grande imagination. c'est évidemment le principe du genre, mais tout de même, il y avait bien plus de variété dans les compos du groupe jusque là ! (il suffit d'écouter Sin After Sin et Stained Class pour s'en rendre compte).
Je ne trouve vraiment rien de palpitant à "Grinder" ou "Metal Gods", les plus speed et heavy "Rapid Fire" et "Steeler" manquent vraiment de consistance à mes oreilles (c'est l'autoroute vers l'ennui), quand à "Breaking The Law", "United" et "Living After Midnight", ces "hymnes" à la noix m'ont toujours porté sur les nerfs et ce, depuis la 1ère écoute!
Seuls les mid-tempos "You Don't Have To Be Old To Be Wise" et "The Rage" me plaisent. ces 2 mid-tempos ne dérogent pourtant pas à la règle de la simplicité et de la facilité mais ils diffèrent pourtant un peu des autres titres de l'album et j'aime beaucoup l'atmosphère particulière (sans doute un peu plus sombre) qui s'en dégage. ce sont certainement les morceaux qui se rapprocheraient le plus de l'album suivant Point Of Entry (album lui aussi plutôt simple en terme de songwriting, mais bien différent quand à son rendu car bien plus varié et qui est une vraie réussite artistique de mon point de vue!).
La subtilité et la finesse, c'est ce qui manque aussi au nouveau batteur Dave Holland dans ce cas précis. je dis bien dans ce cas précis, car avec Trapeze il avait un jeu bien plus diversifié et nuancé ! (il le prouvera également sur
Point Of Entry, mais ce sera bien la seule fois au sein du PRIEST !).
Il va sans dire que je préférais Les Binks, mais bon... Halford & Co. en ont décidé autrement.
J'ai toujours trouvé également que la place de cet album était presque une anomalie dans la carrière du groupe. j'aurais mieux vu Point Of Entry succéder à Killing Machine que British Steel (qui par certains côtés, est stylistiquement plus proche de Screaming For Vengeance et de ses sonorités 80's).
Je vais certainement choquer pas mal de monde mais pour moi British Steel n'est pas un album remarquable et il préfigure les productions du groupe à partir de Screaming For Vengeance (il va sans dire que j'exècre ce dernier
ainsi que les suivants).







MOTÖRHEAD
OVERKILL


Le 10 Mars 2014 par NORTHMATHR


Cet album est une tuerie, que des tubes ! Le speed en pleine effervescence, une production encore typée seventies qui lui donne cette aura particulière spécifique du pont inter-décennies (période transitoire importante et truffée de pépites!). Et puis le début de la grande période de Motörhead et son meilleur line-up avec Fast Eddie et Taylor en gratte et batterie. Ça respire le Rock, le cuir, le fond de bar, le whisky ; c'est bouillant, c'est classe et ça déchire tout !





Mike OLDFIELD
MAN ON THE ROCKS


Le 10 Mars 2014 par TONY


Enfin Mike Oldfield revient à de vrais instruments! "Man on the rocks" est plus proche de "Crises" que de "Tubular bells", c'est donc un album porté par la guitare de Mike et le chant du jeune Luke Spiller. Le ton est ouvertement pop ("Moonlight shadow" n'est pas loin) mais dans l'ensemble, les titres dégagent une belle énergie.
Rien de révolutionnaire mais de la musique très agréable avec des mélodies de toute beauté et une poignée de solos très réussis ("Castaway"!). Pas mal pour un artiste qui hésitait à se retirer il y a quelques années.

Mention spéciale à "Moonshine" et "Nuclear"

PS: Le prochain album devrait être un album instrumental d'après les déclarations de Mike.







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