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METALLICA
RIDE THE LIGHTNING


Le 27 Février 2014 par AZER


DIIIIIIIIIIIE ! BY MY HAAAND ! I CREEP ACROSS THE LAAAAAAAAAAAAAAND !
Hum, excusez-moi....
Il est clair et net que nous sommes en présence d'un ultime chef-d’œuvre, alors oublions les mots et laissons parler la musique !





METALLICA
RIDE THE LIGHTNING


Le 27 Février 2014 par STRAAL


Aaaah... Ride The Lightning...
C'est avec cet album que j'ai découvert le Metal (c'était en 1995...).
Que dire si ce n'est qu'il est quasi parfait ! Du violent Fight Fire With Fire au sublime Call Of Cthulu (sans doute ma préférée de Metallica), on encaisse une méga et inoubliable baffe de Metal. Alors certes, peut-etre que Escape est un peu faiblarde, mais on va pas chipoter.

5/5 évidemment.





PNEU
HIGHWAY TO HEALTH


Le 27 Février 2014 par SFAX


Il tue quand même cet album, les riff sont là, et je lui trouve plus un côté noise que math rock (la configuration est la même que HELLA, mais pas le son, ni l'approche). Quoi qu'il en soit Pneu ça tue. L'album s'écoute super bien et super vite et la production donne beaucoup de vie à l'ensemble. Le travail sur les riff et les sonorités est immense. Enfin pour qu'une guitare s'accapare autant l'espace sonore sans pour autant étouffer, il en faut de l'ingéniosité. Pneu l'a cette ingéniosité.

(À quand des chroniques sur PAPIER TIGRE ? MARVIN ? ELECTRIC ELECTRIC ?)





METALLICA
RIDE THE LIGHTNING


Le 27 Février 2014 par POWERBEAUF


Chronique excellente, en effet. Ce disque est un véritable chef d'oeuvre. Le groupe a eu l'intelligence de se retirer de la course à la vitesse initiée avec les autres combos de la Bay Area pour travailler davantage la finesse et la variété des compositions. Au total, 8 longs titres, dont 6 sont rapidement devenus des classiques du Metal. Les 2 autres méritent eux aussi le détour : bien que tombée dans l'oubli, "Trapped under Ice" est sympathique, tandis qu'"Escape" (la seule tentative de single du groupe avant un bon moment) s'écoute tranquillement. Pour info, le groupe a immédiatement écarté ce dernier titre de son répertoire scénique (dans une interview donnée à Metal Attack en 1984, Hetfield a reconnu en riant qu'il s'agissait alors du "point faible de leur discographie").

La production n'est pas extraordinaire, tout comme la voix de Jaymz, mais quel album, bon sang ! Il suffit d'y jeter une oreille pour comprendre que METALLICA a totalement semé la concurrence avec cette galette extraordinaire ! Un sommet du Metal, rien de moins.





METALLICA
RIDE THE LIGHTNING


Le 27 Février 2014 par SAMARITHAN


Magnifique chronique. Le meilleur de Metallica pour moi (un poil devant Master ...). Que de classiques à placer au panthéon du Metal ! Et ce jeu de Burton qui donne au groupe cette lourdeur (au bon sens du terme), ce côté presque malsain que perdra Metallica à sa disparition. Must have absolu évidemment !!





Peter GABRIEL
SCRATCH MY BACK


Le 26 Février 2014 par JUJUBONU


Que cet album puisse en dérouter certain, je peux le comprendre, mais il ne peut laisser de marbre ! Contrairement à d'autres, Peter Gabriel en prenant de l'âge ne cherche pas à rester l'éternel jeune homme qu'il fut par le passé. Ces années de plus, il les a mises à profit pour nous offrir cet album concept. Étonnant à plus d'un titre, ce scratch my back prend le contrepied de bien des tendances actuelles, et pas seulement par son orchestration ou la mise en avant de cette VOIX unique. Il me semble par exemple édifiant combien de chansons depuis plusieurs décennies dont le texte profond et parfois très triste sont partiellement "édulcorées" par la musique, à croire qu'en ces temps de loisir sortir une chanson dénuée d'artifices n'est plus permis. Peter Gabriel ne fait pas dans la demi-mesure ici, et en épurant (lui le spécialiste des arrangements les plus travaillés!) complètement ces partitions parvient à leur redonner toute leur force, leur profondeur, leur densité et par là touche les cordes les plus sensibles de l'auditeur. Seul un artiste hors norme comme Gabriel pouvait atteindre cet objectif sans tomber dans la caricature ou le larmoyant. Avec cet album, il nous offre l'une des œuvres les plus engagée et les plus touchante depuis de très longues années. À l'image d'un Eastwood pour le cinéma, Gabriel est parvenu ici à se débarrasser de tout le superflu, à aller à l'essentiel et surtout à le sublimer et nous rappeler combien la musique pouvait être une force universelle. Merci monsieur Gabriel de me rappeler que la musique est aussi un vecteur de message.





Kate BUSH
50 WORDS FOR SNOW


Le 26 Février 2014 par JUJUBONU


C'est étonant comme pour ma part je suis en total accord avec cette chronique. Aerial fut pour moi à l'époque de sa sortie une véritable bouffée d'oxygène doublée d'un bonheur d'écoute que je n'avais plus ressenti depuis de nombreuses années. Aerial était évidement plus accessible que ce 50 words for snow. J'ai mis un petit peu plus de temps à m'y engouffrer (c'est si bon d'être intrigué par quelque chose de nouveau), mais ici encore, je n'éprouve qu'un immense plaisir à ÉCOUTER, à frissonner sur chaque variation de la musique. Cet album est sans concession, n'est pas conçu pour plaire, s'accepte ou se rejette, mais reste avant tout un bonheur musical, une rivière de sentiments. Il a quelque chose d'abyssal dans cette musique ; à l'écoute, il faut se laisser envahir par la musique à l’exception de tout le reste.





Curtis MAYFIELD
ROOTS


Le 26 Février 2014 par POWERBEAUF


Cet album n'est pas mauvais dans l'absolu. Il constitue même une porte d'entrée acceptable pour découvrir la musique de MAYFIELD. Cependant, de trop nombreux passages de ce disque frisent l'auto-plagiat avec l'album éponyme, et c'est en grande partie ce qu'Oncle Viande a sanctionné. Bien sûr que Curtis n'allait pas réinventer sa musique en si peu de temps, mais là, il faut reconnaître que le recyclage est beaucoup trop voyant par moments.

Malgré tout, l'ensemble reste quand même agréable à écouter.






DEEP PURPLE
IN ROCK


Le 26 Février 2014 par RGTSEPDL


Cette pochette au départ un peu prétentieuse, prends tout son sens quand on passe l'album et qu'on compare le style par rapport à ce qu'il y avait avant et ce qu'il y aura par la suite. On entends des riffs de guitare qui ont inspiré des générations de "metalleux", alors que leur gros rival Led Zeppelin avaient un style beaucoup plus blues surtout à l'époque, et Black Sabbath trop braqué dans le sinistre, ici on tombe sur un vrai album de "père fondateur"... mais bon ce n'était pas le groupe le plus régulier de l'histoire du rock non plus (peut être le plus houleux...).





Curtis MAYFIELD
ROOTS


Le 25 Février 2014 par THIERRY


Oncle Viande s'est carrément lâché sur ce pauvre Curtis. Même si je peux partager certaines de ses réserves, je ne trouve pas l'album forcément mauvais pour autant, bien au contraire il est même plutôt agréable et bien ficelé. C'est du Curtis Mayfield...funk élégant et travaillé comme lui seul savait le faire.

Pour revenir sur les réserves, bien entendu "curtis" et le suivant "superfly" sont supérieurs, enfin il n' y a pas de gros gros écarts qualitatifs, ce "roots" est effectivement dans la parfaite continuité du premier, "remake maladroit et sans imagination du premier" est une opinion négative que je trouve trop tranché. il pouvait difficilement opérer de gros changements dans ses compositions après seulement 1 an. Zappa en était capable certes, m'enfin Zappa était dingue et nous l'adorons pour ça :)
Je ne trouve pas les choeurs féminins envahissants donc cela ne gêne absolument pas à l'écoute. Le son désuet s'explique sans doute par une abondance de cordes, je suis plutôt d'accord avec ça, il a sans doute trop chargé ses compos qui n'en avaient pas réellement besoin. C'est vrai aussi qu'un ou deux morceaux ont une mélodie un peu téléphoné notamment le dernier morceau, sans doute le moins bon.
Sinon, l'album est bien rythmé, Curtis toujours aussi bon dans les arrangements, le sens du groove inné chez lui est bien présent. "get down","keep on keeping on", "underground" "beautiful brother" sont d'excellents morceaux.
Voilà pas de raison de fuir cet album.

Pour finir le titre "roots" et la pochette ne sont pas des choix très judicieux. "roots", "racines" en français enferme Curtis dans sa culture afro, ce n'est pas vendeur du tout (bon, c'est lui qu'il l'a voulu en même temps) et la pochette est raté, Curtis se fond dans le décor.





SOUND CITY PLAYERS
SOUND CITY - REAL TO REEL


Le 24 Février 2014 par RIKKIT


Je vois que les français se sont tous précipités sur cette perle vu le nombre de com. Merci à FP sans qui je n'aurais jamais entendu causer de cet album. Ce truc est une tuerie. Manque juste Neil Young.





Jeff BECK
BLOW BY BLOW


Le 23 Février 2014 par TUTLE THE TORTOISE


Point de vue style, cet album de Jeff Beck n'a rien en commun avec le Mahavishnu Orchestra, à la limite l'album Headthunters de Herbie Hancock (et encore juste pour Chameleon).
L'album est très bon certes mais, je préfère le suivant Wired plus abouti et un peu moins simpliste que celui ci.





BLUE ÖYSTER CULT
SOME ENCHANTED EVENING


Le 21 Février 2014 par RAMON


Franchement, les deux premiers titres de ce Live défoncent tout et on se dit que si ça continue sur ce rythme, on tient là un des "Everest" du genre enregistré en public, R.U. Ready to Rock écrabouille la version studio avec son piano survitaminé,ses choeurs au cordeau, ses soli de tueurs (synthé et guitare) et sa relance par un Mr Bloom au sommet de sa forme vocale, après il est impossible de ne pas as taper du pied sur ETL où Buck Dharma fait des à nouveau des merveilles.
Puis arrive Astronomy, peut-être un peu trop tôt, car si on tient encore une splendide version de ce très beau morceau, le rythme endiablé qui fait merveille sur l'entame du disque chute un peu trop abruptement à mon goût, malgré une fin dantesque signée (faut-il le rappeler ?) Buck.

La deuxième face débute en fanfare avec Kick out the Jams (brothers and sisters et non motherfuckers, mais passons ), c'est enjoué, roboratif, le groupe assure grave avec des breaks qui vont à mille à l'heure et toujours ce fucking Buck, on est scotché.
Godzilla chanté par la paire Dharma/Bloom dévaste la plaine avec un Riff simplissime mais efficace ô combien avant que LE Tube Don't fear the Reaper ne vienne faucher les plus récalcitrants.
Tout cela est fort sympathique même si force est de constater que le sentiment d'unité qui faisait la force du précédent autant que monstrueux Live On your feet or on your knees, s'est quelque peu délité passé les deux chansons sises en ouverture de cet album.
Le final sur We Gotta Get Out Of this Place calme à nouveau les esprits, alors que quiconque connait un peu BLUE ÖYSTER CULT, sait parfaitement que le groupe avait plus pour habitude de jouer de telles chansons quelque part au milieu de leur show et finissait en trombe afin de mettre une dernière fois son audience sur les genoux.

Les nuits enchantées portent tout même sacrément bien leur nom et on peu se fier à la pochette aux teintes bleu roi et orangées qui se réfèrent aux couleurs qui illustrent Agents of Fortune et Spectres en ce qui concerne l'ambiance diffusée par une musique magique aux textes ésotériques.

NB: Aux amateurs (ou non d'ailleurs) du groupe, je conseille la succulente chronique publiée par Erwin sur NIME, en vous assurant toutefois d'avoir la possibilité de vous préparer un bon gueuleton derrière, sinon vous risqueriez de rester sur sur votre faim !





WU-TANG CLAN
ENTER THE WU-TANG (36 CHAMBERS)


Le 21 Février 2014 par DARK SCHNEIDER

Rien sur le fait que cet album renferme de nombreux samples issus de films de la Shaw Brothers ? Le moine San Tse ne serait pas content !

Wu Tang Clan a su attirer mon intention grâce à cette imagerie forte, sublime alliance entre les ghettos noirs américains et les films populaires asiatiques qui furent pendant plusieurs années le seul produit culturel qui symbolisait une revanche du tiers monde sur l'occident blanc et tout puissant. Mais les gars du Wu Tang Clan ont eu le bon sens de s'inspirer des films pleins de sagesses et de pédagogies de Liu Chia Liang plutôt que des brûlots nationalistes et vindicatifs de Wang Yu ou Bruce Lee (mais il faut dire que ces films sont moins connus aux USA que les films de Liang ou des Venoms).





STEVE MILLER BAND
BOOK OF DREAMS


Le 21 Février 2014 par PAPOU A POUX

Tres bon album, pour moi le meilleur, avec le précédent. J'ai une préférence pour jungle love et sacrifice. Tout comme le précédent il y a bcp de chansons se répetant mais cela reste très bon a l'écoute. Peut etre un peu plus lent mais ils sont tout aussi bien construit et homogène. Les albums suivants ne seront malheureusement plus du même niveau et steve miller ne fera pas davantage en sorte que cela se reproduise. Le très médiocre circle of love et le trop commercial et inintéressant abracadadra sont loin du niveau de cet album.





IAM
... IAM


Le 19 Février 2014 par MARTIN


Je ne suis personnellement pas d'accord avec la chronique et les commentaires.

Lors des premières écoutes, j'étais en effet fort déçu par ce nouvel IAM, ça faisait album sortie à la va vite, sans réel soin apporté, et le fait que les tracks non retenues d'Arts Martiens se retrouvent ici se ressentait fortement.

Mais après plusieurs écoutes, je trouve l'album très bon, presque (un chouïa en dessous) du niveau d'Arts Martiens. Certes ce nouvel album ne joue pas dans le même registre, il est plus terre à terre, plus noir, prête moins à l'imaginaire, au voyage, mais il n'en reste pas moins très plaisant.

Même s'il s'agit en effet de pistes non retenues pour l'enregistrement d'Arts Martiens, une fois ce fait mis de côté, l'album reste pour moi très bon.





Chris REA
WHATEVER HAPPENED TO BENNY SANTINI?


Le 18 Février 2014 par ILôNIL

Moi, je ne suis pas encore la ménagère de 50 printemps ! Mais comme les commentateurs précédents je n'ai pas résisté au charme ! De découvertes en découvertes, je remplis mes étagères, Chris dans une case, Black Sabbath dans l'autre, j'assume le grand écart ! Album pas terrible, soit, alors je l'achèterai pour l'écharpe inoubliable !





BLUE ÖYSTER CULT
FIRE OF UNKNOWN ORIGIN


Le 18 Février 2014 par RAMON


Et allez hop, et si on se plongeait avec délectation dans l'écoute de l'album de Blue Öyster Cult dont la pochette se révèle être la plus explicite quant à la véritable signification de son patronyme (forcément) maléfique ?
Un coup d’œil sur l'emballage ?
Ambiance bleu pâle crépusculaire comme il se doit avec ces personnages encapuchonnés et masqués alignés sur plusieurs rangs, ça ne vous rappelle rien ?
Non ?
Si bien sûr ! Ce double et mythique Live "On your feet or on your knees" où l'on découvre le groupe toutes guitares dehors qui joue devant une assemblée de moines (vue de dos) pas spécialement catholiques, soit le disque du groupe qui assure la transition du noir et blanc vers la couleur. On flippe rien qu'en matant cette pochette et on n'est pas prêt d'oublier son contenu glacial non plus, vu qu'on devient aussitôt fan.

C'est en 1980, avec "On your feet…" que j'ai découvert la secte et j'ai foncé sur son œuvre aussi sec, tout cela sans rien y connaître, juste à cause de la fascination induite par cette pochette.
Le disque du moment "Cultosaurus Erectus", m'avait bien évidemment emballé mais voilà, un détail me chiffonnait : où était donc passé ce Logo cabalistique qui ornait le fanion accroché à la limo noire garée devant la lugubre chapelle ?
Un an plus tard, l'assemblée des moines est montrée de face, leurs robes blanches reflètent la lueur bleutée qui paraît se diffuser depuis l'huitre fluorescente sise au creux des mains du grand Prêtre qui occupe le premier plan.
Lovecraft n'est pas loin, tant la secte de l'huître bleue ne paraît pas œuvrer dans l’œcuménisme ni pour le bien être de son prochain dans la paix et l'amour partagés : Les forces du mal sont convoquées, le chaos appelé à régner.

Musicalement cet album prend clairement la suite de… Agents of Fortune, en proposant des titres pop et des ambiances malsaines nettement plus aboutis dans leur majorité que ceux qui ornaient son grand frère; déjà l'éponyme qui ouvre les hostilités avait été envisagé à cette époque puis mis de côté avant d'être repris ici dans sa version définitive.
D'emblée ce disque fout les jetons en proposant une musique musclée et carrément vicieuse, Burnin' for you est clairement une suite donnée à Don't fear the reaper sur le thème de l'amour maudit, Veteran of the Psychic Wars renoue avec les mauvaises nouvelles des étoiles évoquées par ETL, Il y a du Vampire Tatoo dans Heavy Metal: The Black and The Silver, les frissons engendrés par Sole Survivor ou Don't Turn your Back font écho à ceux de Vera Gemini ou Morning Final aussi.
Et puis il y a aussi After Dark et Vengeance (The Pact) qui n'ont pas vraiment leur corollaire sur l'opus précité mais qui s'inscrivent admirablement dans le paysage sombre projeté par les méfaits de la secte et il y a surtout Joan Crawford revenue des enfers avec son intro classique au piano qui atteint des sommets de grandiloquence jouissive avant de nous méduser par son entrain et son humeur sépulcrale.

Cet album est un must cela va de soit, c'est aussi et malheureusement le chant du cygne de ce groupe incontournable,le dernier enregistré par le line up originel.
La flamme d'origine inconnue n'allait pas tarder à s'amenuiser, mais elle n'est pas totalement éteinte puisque le groupe continue de souffler sur les braises aussitôt qu'il monte sur les planches.

RIP Allen Lanier (1946-2013)





The LAST SHADOW PUPPETS
THE AGE OF UNDERSTATEMENT


Le 18 Février 2014 par ILôNIL


YES ! Je le voulais, vous l'avez fait ! Merci ! Merci d'avoir chroniqué ce superbe album qui m'accompagne maintenant depuis plusieurs années et dont je ne saurais me passer. Et vous avez tout dit cher A.T.N, élégant, mélodique, d'un charme suranné des années 60, l'album nous balade effectivement entre musique de film et "urgence romantique", c'est si superbement bien dit, que je ne trouve plus rien à ajouter ! Je pousse la note à 5 par pure partialité, parce que c'est un coup de cœur qui dure, parce que j'adore cet album et que j'en suis addict !





CASSEURS FLOWTERS
CASSEURS FLOWTERS


Le 17 Février 2014 par ILôNIL


Le cauchemar des mères de famille continue ! Les rois de la procrastination sévissent encore, ils nous en rebattent les oreilles et j'avoue avoir beaucoup de mal à saisir "le grandiose" et à capter "la pépite" dans tout ce bordel... La musique est indigente, souvent répétitive et horripilante, quant aux textes, je vous laisse apprécier la poésie et la profondeur du titre "des putes et moi". On parle d' originalité et d'humour, et ben il va vous en falloir, et pas qu'un peu pour arriver à avaler la purée jusqu'au bout ! Une journée de rappeur, c'est à chier les mecs, c'est clair ! Et ça c'est plutôt bien vu et bien trouvé d'avoir construit l'album sur une journée. Ah c'est sûr, ça ne se veut pas conventionnel, consensuel ou familial, juste provocateur et provoquant et pour ça tous les arguments sont bons : rythmes agaçants et textes à faire grincer des dents, au fond, il faut bien un certain talent pour tenir la barre du détestable sur autant de titres ! Non décidemment, j'ai dépassé la date limite de consommation de ce genre de trucs, j'ai beau faire un effort, de l'écoute ne naît aucun plaisir, c'est dommage. Une mauvaise et douteuse compilation d'images d'Epinal de la capuche sur la casquette, j'aurais espéré mieux pour le renouveau qu'on semble nous promettre...







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