Le 13 Janvier 2014 par BAYOU

Un peu sévère quand même, le problème est surtout le manque d'un autre instrumentiste en live ce qui laisse la part trop belle à Eddie Jobson.
Et Terry Bozzio, quand il sort du studio, il accompagne Jeff Beck.
Rien que cela !

Le 13 Janvier 2014 par FRAGDOKTOR

Ah bon? C'est un live ça? Les "fans" devaient être au nombre de...4 et n'ont rien pu faire face à ce naufrage...une fois de plus, c'est un album studio avec quelques cris ça et là histoire de rappeler que l'on est dans une salle de concert...

Tellement retravaillé que côté émotion, c'est vraiment proche de zéro et les 4 kikis du début qui font encore semblant d'y croire...autant avant j'avais des frissons sur certains titres (tournée 1996 par exemple) que là, c'est cardiogramme plat et c'est bien dommage.

Mais quelques bonnes surprises malgré tout et comme expliqué dans la chronique, de jolies choses qui m'ont séduit. Y a rien à faire, elle saura toujours comment me prendre la Mylène...du coup, il me fait oublier (sans effort) la daube précédente. J'ai apprécié davantage Bleu Noir. Certes pas top génial mais au moins plus honnête...

Note: 3/5.

Le 13 Janvier 2014 par TERRY

Pour moi, le sommet du groupe. Inaltérable.

Le 12 Janvier 2014 par AL

BLACKFOOT poursuit son bonhomme de chemin et évolue vers une musique plus personnelle, loin des influences Southern Rock. Tant pis pour les puristes, mais qu'est ce que c'est bon !

Le 12 Janvier 2014 par DJINN

A l'échelle du PRIEST, cet album est une déception.
Killing Machine est une véritable régression après les trois précédents opus, magistraux. Non pas que l'orientation commerciale soit en soi à blamer, mais le résultat sera bien plus réussi sur British Steel.

Heureusement que le live qui va suivre va tout fracasser.

3,5/5

Le 12 Janvier 2014 par NONO

Autant j'adore des albums comme "Super Trouper" ou "Arrival", autant ce "Voulez-vous" m'enchante moins.
Il y a une chose qui me fait tiquer quand j'écoute ce disque, c'est ce coté "disco, coûte que coûte".
Dans son commentaire, Erwin le dit d'ailleurs très justement: "Ici, place à la dynamique (et à l'efficacité), et moins à la mélodie". Il faut faire danser. Bon, c'est une volonté tout à fait honorable mais il est dommage qu'Abba perde un peu son âme pour des considérations dance-floor.
Alors évidemment, j'aurais tort de généraliser car ce disque offre aussi un certain nombre de très belles choses qui restent du Abba traditionnel, sans grand rapport avec le disco. Exemples: "Chiquitita", "I have a dream" ou encore "The king has lost his crown", trois chansons que j'aime énormément.
Sinon, bien que très disco dans l'âme, "As good as new" et "Angeleyes" gardent des mélodies mémorables... ce qui pour moi n'est pas du tout le cas de "Summernight city", et encore moins de la chanson-titre qui m'a toujours insupporté (c'est comme ça...).
"If it wasn't for the nights" (une sorte de redite de "Dancing Queen"), aurait pu être parmi les meilleures de l'album si cette chanson n'était pas aussi longue et répétitive.
Reste "Lovelight", "Lovers", "Kiss of fire" qui valent le détour mais sans me laisser une impression magistrale pour autant. Du potable, quoi....

En bref, pour moi ce disque contient des moments intéressants avec 2 ou 3 pépites incontournables, mais dans l'ensemble ça reste un peu décevant quand même. C'est écoutable et agréable, mais Abba a clairement fait mieux.

Le 11 Janvier 2014 par MR G

Un très bon 1 er album, avec de bons morceaux bien blues rock, des ballades dont "Saviour", morceau que j adore! Un chanteur qui a de la voix, des musiciens talentueux, bref un très bon moment de rock! A noter , le dvd très sympa qui est fourni avec certaines versions! Bref, écouter c est l aimer!

Le 08 Janvier 2014 par NONO

Que dire de plus?
Rien d'autre... si ce n'est que, oui, comme Erwin, cet album figure parmi mes tous-favoris, un disque indémodable, parfait, divin... c'est vraiment celui qu'on emporte avec soi sur une île déserte.
Absolument tous les titres sont bons ici, pas un seul faux-pas.
Bien sûr, cet opus regorge de tubes (et quels tubes !), mais en-dehors de ces chansons connues, je voudrai surtout parler des autres titres, tout aussi réussis que les hit singles.
Pour moi, le meilleur titre de l'album est peut-être "Me and I". Il est d'ailleurs très surprenant que cette chanson ne soit pas sortie en single ! C'est même une chanson quasi-inconnue, on a donc autant de surprise à la découvrir... comme un bijou caché! Cette chanson est encore mieux qu'extra, elle est la perfection-même: mélodie totalement envoûtante, chœurs plus divins que jamais, production impeccable. Je n'ai pas de mots assez forts pour décrire combien j'aime cette chanson, vraiment parmi les meilleures de toute leur discographie, rien de plus clair.
"Our last summer" est fantastique, une chanson belle à tomber (tout comme nos deux chanteuses, d'ailleurs ;-)
"Andante andante" a souvent été critiquée. J'ignore pourquoi. Oui, certes, ça a un coté un peu "bal populaire", cette ritournelle... mais là aussi, la mélodie est incroyablement belle.
Le vrai génie d'Abba est de savoir rendre une mélodie simpliste complètement irrésistible, avec pas grand-chose en plus: quelques chœurs çà et là, quelques accords de transition.... ils font de l'or avec juste deux ou trois accords simples. C'est fort quand même !... et sans se répéter en plus!
"The piper" aussi est un titre qui mérite le détour, avec son style médiéval.

Ma conclusion est par contre une répétition de mon introduction: disque extraordinaire, un chef d'œuvre absolu.
S'il s'agit là d'Abba a son plus haut point créatif, c'est aussi -et malheureusement- à cette époque précise que les tensions internes au groupe sont les plus fortes puisque en cette année 1980, Benny et Anni-Frid sont en pleine instance de divorce (comme c'était le cas pour Bjorn et Agnetha peu de temps auparavant). Ambiance !...
Mais tous ces problèmes ne les ont pas empêché de produire ce disque magistral, leur meilleur, sans conteste.

Et puis... sous d'autres horizons... n'est ce pas aussi dans leurs années de tumultes les plus noirs que Supertramp a accouché de l'album "Breakfast in America" ??

On pourrait donc croire que des tensions dans un groupe stimulent la créativité ...

Le 07 Janvier 2014 par SHARRJIN

Mouvant, fluide imprévu, rebondissant, exceptionnel.

Le 06 Janvier 2014 par QUANTUMPHILIPS

mon album préferé de Judas Priest. Un chef d'oeuvre

Le 05 Janvier 2014 par POWERBEAUF

Un album quelque peu inégal, mais remarquable néanmoins. Composé et enregistré au moment où le rock progressif est en plein déclin commercial, ce disque né de l'association de fines gâchettes contient une face A de toute beauté : le "tube" In the Dead of Night bien sûr (magnifiquement repris par YNGWIE MALMSTEEN en 1996 dans son album "Inspiration"), mais également ses 2 prolongements ("Presto Vivace and Reprise" a forcément inspiré DREAM THEATER) et le très beau "30 Years". La face B est plus quelconque sans être déplaisante pour autant. On peut en effet parler de ventre mou pour les 2 premiers titres, mais les 2 chansons finales relèvent le niveau.

Malgré cette réussite artistique, les dissensions vont rapidement apparaître au sein de ce supergroupe : peu disposé à se laisser diriger, ni à jouer une musique plus accessible (pour ne pas dire commerciale), Allan HOLDSWORTH va rapidement être poussé vers la sortie, bientôt suivi de son propre chef par Bill BRUFORD. Les 2 dissidents vont d'ailleurs très vite travailler ensemble. Les 2 rescapés, eux, vont poursuivre l'aventure sans guitariste, et en embauchant un jeune batteur prodigieux qui a fait ses classes chez ZAPPA...

Note réelle : 3,5 aussi, mais que j'arrondirai à 4, rien que pour "In the Dead of Night";)

A noter que la version CD de ce disque est disponible en neuf seulement à un prix exorbitant. Il est néanmoins possible de la trouver d'occasion à un prix quasi-honnête. Ce n'est malheureusement pas le cas de "Danger Money", l'album suivant...

Le 05 Janvier 2014 par TAUPE BARBUE

En effet ici on est en plein dans la pop progressive et ça s'arrangera pas sur leur second (et dernier) album studio "Danger Money". Le meilleur moment de cet album est pour moi la face A, en tout cas le triptyque du début In The Dead of Night/By the Light of the Day /Presto Vivace and Reprise, avec un aspect typiquement progressif, puis Thirty Years est assez intéressent, mais la suite est plus du même niveau, dommage, c'est encore un de ces albums qui nous font voyager au début et qui ensuite nous laissent bien tomber pendant la suite, c'est typique de certains albums (sans doute une stratégie marketing).

Le 05 Janvier 2014 par MR G

Album qui a marqué ma vie et je peux meme aller jusqu'à dire que cet album m'a sauvé à une période ou j'allais très mal! Album que j'ai écouté très souvent, un album divin, atypique et qui a le mérite d'avoir en son sein le divin Twilight Cruiser, morceau magique et rempli de feeling! Juste merci Lenny wolf pour avoir été là sans le savoir! Un de mes albums mythique!

Le 04 Janvier 2014 par LEO

Avec DEEP PURPLE de 1969 à 1973, la période du IAN GILLAN BAND est pour moi la plus intéressante du chanteur.
Même si il fera encore par la suite de très bons albums avec son groupe GILLAN jusqu'en 82 et l'épisode sympa Born Again en 83 avec BLACK SABBATH, plus jamais IAN GILLAN n'atteindra cette originalité si particulière, qu'il eut avec les 3 albums studio du IAN GILLAN BAND.
Contrairement à RED ONE, je ne trouve pas cet album peu facile d'accès et surtout pas sa 1ère face très dense qui démarre de fort belle manière avec un "Lay Me Down" groovy à souhait mais non dépourvu de mordant!
Pour moi, on reste presque dans la suite logique d'un Who Do We Think We Are! mais avec quelques touches funky en plus.
Je ne vois pas non plus où sont les choeurs dissonants sur "Shame" mais après tout, chacun a sa propre perception des choses...!
Le plus tranquille "Down The Road" (qui refermait la face A sur le vinyl) fait la jonction entre les titres plus 'rock' du début et les 2 derniers morceaux plus proches du courant prog et du jazz-rock.
Clair Air Turbulence qui suivra cet album sera plus dans la veine de ces 2 derniers titres avec des compos à rallonge alors que sur Scarabus (3ème et dernier album studio du IGB), les compos seront plus courtes et punchy sans oublié néanmoins les tendances jazz-rock entendues dans les 2 disques précédents.

Le 03 Janvier 2014 par FRED

L'album est moyen certes, mais je pense que le problème vient d'ailleurs, depuis que Alan Wilder est parti, il manque un autre compositeur/arrangeur au groupe, du fait que toutes les compositions viennent de Martin L. Gore on se retrouve d'album en album avec les mêmes recettes, les mêmes tempo, Wilder amenait de la technique, de l'expérimentation dans le groupe, aujourd'hui DM se sert de ses acquis et n'explore plus, ce qui explique votre déception.

Le 02 Janvier 2014 par FRED

"Rien que pour passer un bon moment de doom vintage et afin de comprendre en quoi BLACK SABBATH ne cesse encore d'influencer de jeunes groupes plus de 40 ans après son premier album, je vous conseille d'écouter ce deuxième LP d'ORCHID."
Totalement exact, et je prends honteusement un plaisir un peu malsain à écouter ce disque fascinant. Déjà le nom... ORCHID... et tous ces passages "empruntés" à BS... la pochette... et pourtant... Il y a aussi un chouia de NWOBHM section WITCHFINDER GENERAL-WITCHFYNDE, sans oublier CATHEDRAL, qui eux tous aussi déjà... Ah tiens, y a même des passages acoustiques au milieu des morceaux(See you on the other side...) comme chez... et la pochette en plus... tiens, j'ai déjà entendu ce riff, ce passage, ce break, cette intro de BLACK... non, de ORCHID, pardon. ORCHID, vous dites ? Vous êtes sûr ? Ainsi, c'est sous ce nom qu'ils se sont réincarnés ?
Bon, ça, c'est 0 ou 5, pas d'autre choix... Pour moi, c'est 5, parce que c'est l'album que BLACK SABBATH aurait dû sortir depuis des années ! C'est celui que j'attendais, tout au moins. Alors merci BLACK SABBATH, heueuh ? ORCHID vous dites ? Vous êtes sûr ?

Le 02 Janvier 2014 par RAMON

Deep Purple, groupe dont on peut suivre la carrière scénique à la trace presque depuis ses débuts: même le Mark I a eu droit à sa sortie officielle en Live avec un concert d'une heure enregistré en 1968 et aujourd'hui avec internet tu peux aussi voir des trucs corrects avec Joe Lynn Turner ou encore Satriani, les Live Tapes qui vont avec l'excellent Now What ?! sont déjà disponibles, donc c'est une affaire qui roule, rien d'anormal quoi.

Le Mark II l'équipe de référence du Pourpre avait même commencé avec la parution d'un album Live, ne l'oublions pas. Sauf que, le vrai morceau c'est quand même Made in Japan,le témoignage mythique de 1972 et qu'il faut attendre 1976 et l'arrêt du groupe pour avoir droit à l'excellent Made in Europe puis 1977 pour endurer le catastrophique Last Concert in Japan (mais pourquoi, pourquoi ?!?), en 1980 et en 1982 In Concert et Live in London viennent raviver la nostalgie des fans inconsolables des Mark II et (ou) III, mais tout le monde espère le Vrai retour de la légende sur scène et l'annonce de la réunion, si elle fit grand bruit pouvait aussi mettre en avant une certaine forme d'opportunisme qui donna droit à des déclarations du type:"on ne fait pas ça pour l'argent, seul le plaisir et la musique nous guident et patati et patata et le cul de la crémière sur ma commode."
Deep Purple fait une halte à Bercy en 1985, le groupe assure mais Gillan est (grave) aux fraises.
Et sinon en 1988, on a eu le plus que médiocre Nobody's perfect et depuis on sort les Live à la pelle. Comme "In absence of Pink" justement, que j'ai dans une édition improbable nommée "Best on Stage", le son est très bon et le concert de 1985 également, il est juste moins long que Perfect Strangers Live, pas de Child in Time, mais l'interprétation est parfaite (un an de tournée dans les pattes, ça le fait !) et Gillan va bien,merci pour lui.

Il va même mieux que sur ce Perfect Strangers Live où certaines attaques vocales râpent un peu mais dans l'ensemble c'est quand même la pêche et on a droit à un Child in Time tout en puissance, donc chapeau bas et le groupe assure déjà méchamment.
On atteint le sommet de la grandiloquence (pour rester soft) avec Difficult to cure, mais comme Blackmore est parfois sympa, il laisse à Lord le soin de mettre en lumière ses claviers, préférant prendre le rôle du grand inquisiteur sur le final de Space truckin quand Gillan réendosse le costume de l'homme aux congas, l'humanisme c'est ça aussi.
D'ailleurs le côté bordélique des prestations de la "grande époque"est en grande partie gommé, Exit The Mule et Ian Paice est prié de faire résonner ses tambours ailleurs, mais surtout (un peu) moins longtemps, de même le final de Space Truckin est écourté, les nouveaux titres débarrassé de leur production studio apportent de la concision et les deux locomotives du dernier disque en date que sont Perfect Strangers et Knocking at your Back Door s'inscrivent parfaitement dans une set list qui ravive la flamme de Made in Japan.
On cite Burn sur le final de Speed King et quand le groupe fait durer le plaisir avant de conclure Smoke on the Water, Gillan remercie l'audience d'avoir écouté les nouveaux titres. Good Night !
Pas mal, ouais !

On ne recrée pas la magie de 1972, mais tel n'est pas le but recherché, avec Perfect Strangers Live on écoute un groupe dont le retour fait la une, attendu au tournant alors que la NWOBHM occupe l'espace et que le Hard FM se vend par palettes entières. Deep Purple fait figure de dinosaure et mine de rien inaugure la mode durable des reformations improbables.
La réponse se fait sur scène, avec du rock, du gros son, du bon gros rock qui continue d'affirmer une identité ancrée dans sa genèse mais pleine de fougue aussi.

Le 02 Janvier 2014 par IEN

Cet album est loin d'être le désastre annoncé. Malgré vos critiques, j'ai quand même offert cet album à mes filles et finalement rien est à jeter, je trouve même "Hello Kitty" très rigolote (ne surtout pas l'écouter deux fois de suite par contre...).
"Give you what you like" est vraiment superbe et les deux duos de bonne qualité.
Certaines chansons sont certes faciles mais après tout ça reste du pop/rock.

Le 02 Janvier 2014 par DARK SCHNEIDER

C'est un gag cet album ?

Je n'ai jamais vu un groupe pompé autant un autre groupe !

Au pif :

Mouth of Madness = ligne de chant de Children of the grave plus riff de Megalomania
ligne de chant de Mountains of steel = A national acrobat
intro de Leaving all Behind = Paranoïd qui se mue en After Forever

et il y'en plein d'autres comme ça, ça concerne tous les morceaux !

Alors certes, le son est super, ça sonne grave, le chanteur a un chouette timbre de voix...

Mais bon sang, autant de plagiat : à quoi bon ? sérieux ?

C'est juste un énorme blind test de la disco du Sab dans les 70's...

Et même si on peut parfois prendre un plaisir coupable à son écoute, tant l'ensemble sonne bien, comment cautionner un tel groupe ? Car au final il me donne surtout envie de ressortir toute la disco du Sab avec Ozzy.

Alors certes, il est évident que le groupe assume et revendique à fond sa démarche, mais bon, un peu plus de personnalité ça ne leur ferait pas de mal non ? Surtout que Theo Mindell a un vrai talent !

Quoiqu'il en soit, on est très loin de la pertinence d'un SAINT VITUS et autres PENTAGRAM.

Impossible de noter cet album...

Le 02 Janvier 2014 par AZER

Même si au départ je trouvais My Red Hot Car supportable, cela s'est vite mué en un dérangement malsain, puis insupportable. Pour supporter ce truc sur le long terme, il faut être psy. Le pire, c'est que tout l'album Go Plastic! est comme ça... Serait-ce une publicité pour les "painkillers" ?