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Billy IDOL
REBEL YELL


Le 18 Décembre 2013 par NONO


Tout a été dit sur ce super album, je soutiens tous les autres avis positifs.
Album génial, pas une minute de repos, un vrai feu d'artifice de puissance, de mélodies, de sincérité, bref... oui, je suis tout-à-fait d'accord: un des meilleurs albums de Billy Idol et même de toute la décennie 80.
Dur de dire quel titre je préfère, je les aime tous !
Mais je citerais particulièrement: la chanson titre, ainsi que Eyes without a face, Crank Call et Don't stand in the shadows.
J'aimerais aussi parler d'un titre qui n'est jamais mentionné dans les chroniques de cet album, c'est "Daytime drama".
"Daytime drama" est un titre assez étrange, un peu rock, un peu pop... cette chanson à la fois, je l'aime et en même temps, pas vraiment. C'est un peu le genre d'œuvre qu'on ne remarque pas trop, mais qui dégage une aura indescriptible, quelque chose d'attachant malgré tout. "Daytime drama" ne possède pas de mélodie exceptionnelle, n'a pas de refrain accrocheur, c'est plutôt une suite de couplets assez linéaires. Mais son rythme musclé, sa production et sa synthèse parfaite entre pop, rock et hard lui donne un certain cachet. Et surtout, ce titre est un intermédiaire parfait entre "Rebel Yell" et "Eyes without a face", qui empêche de passer brusquement d'un rock débridé à un slow sombre.





Peter HAMMILL
THE SILENT CORNER AND THE EMPTY STAGE


Le 16 Décembre 2013 par JF LE COAD


Intense, sombre, dense, une écoute dont on a l'impression de ne pas sortir indemne, à l'instar d'albums de Janis Joplin ou de catherine ribeiro ("paix"), tant la charge émotionnelle est forte.





Peter HAMMILL
OVER


Le 16 Décembre 2013 par ONCLE VIANDE


Artiste aux mille visages, homme sans masques, Peter Hammill n’est ni un ambitieux ni un calculateur. Pour cet écorché vif, enregistrer est une nécessité. Over est à replacer dans un long processus de deuil sentimental. La frontière entre poignant et horripilant est parfois ténue mais la vibrante sincérité qui anime l’œuvre convaincra les plus réfractaires. Entre pop scintillante et complaintes déchirées, son lyrisme exacerbé prend ici des formes inattendues comme les arrangements classiques (This side of the looking glass), et touche par endroit un certain état de grâce.





Peter HAMMILL
NADIR'S BIG CHANCE


Le 16 Décembre 2013 par ONCLE VIANDE


En 1973, Neu! enregistre ‘’Lila Engel’’, curiosité binaire dans la plus pure tradition teutonne. En y ajoutant un chant énervé et trois accords, Hammill a défini les canons du punk rock. A trop se focaliser sur son statut de jalon, on en oublie que Nadir’s big Chance est d’abord un bon disque pop/rock, solide et efficace. Il marque la fin du psychédélisme et des récits fantastiques pour s’ancrer dans le réel. Textes acerbes et production spartiate annoncent le nouveau VdGG. Curieusement, c’est en flirtant avec l’image du rebelle que Hammill a produit son disque le moins dérangeant des seventies.





Peter HAMMILL
IN CAMERA


Le 16 Décembre 2013 par ONCLE VIANDE


‘’A huis clos’’… on ne pouvait trouver meilleur titre pour résumer la carrière de cet artiste essentiel superbement ignoré du public rock. In Camera clôt une trilogie éprouvante. C’est une chimère mêlant folk écorché, fresques synthétiques et rock furibard. Les ambiances amniotiques n’ont pas adouci le verbe. Douleur et introspection traversent des chansons de plus en plus inclassables. La voix chavire, les mélodies déraillent, et l’on croit Hammill définitivement perdu dans sa chambre de brome. Il ne s’est jamais aussi bien trouvé.





Peter HAMMILL
THE SILENT CORNER AND THE EMPTY STAGE


Le 16 Décembre 2013 par ONCLE VIANDE


L’alchimie parfaite entre acoustique, progressif et une certaine littérature rock de haut niveau. Ca ne rigole pas beaucoup en cinquante minutes. Les chansons dégagent une gravité et une solennité qui ébranlent profondément l’auditeur. Les compositions complexes ne remettent jamais en cause la souveraineté du texte et servent une poésie funambule d’une rare essentialité. ‘’The Lie’’ et ‘’A Louse’’ comptent parmi les pièces les plus intenses jamais écrites par Hammill. Son meilleur.





Peter HAMMILL
CHAMELEON IN THE SHADOW OF THE NIGHT


Le 16 Décembre 2013 par ONCLE VIANDE


Album âpre et difficile. Hammill y incarne un autre versant du folk anglais, tortueux et maniéré, moins essentiel que Nick Drake mais d’une force expressive comparable. ‘’German Overalls’’ porte le folk à un degré de tension insoupçonné. ‘’In the End’’ et ‘’Easy to slip Away’’ sont des joyaux d’amertume et témoignent d’une authentique classe pianistique. Seul ‘’Black Room’’ me semble en deçà de la version électrique qu’en donnait le générateur. Un beau disque d’une nostalgie vénéneuse, qui médite sur l’absence, le deuil et l’oubli.





Peter HAMMILL
FOOL'S MATE


Le 16 Décembre 2013 par ONCLE VIANDE


Disque attachant. Douze chansons de jeunesse rehaussées par des arrangements tardifs et des musiciens de qualité. On y perçoit encore l’influence des Beatles (Harrison) ainsi que toute une tradition du folk anglais (Drake, Harper, Barrett). L’originalité de Hammill s’affirme déjà dans cette façon peu orthodoxe de conduire ses mélodies, mais dépourvu pour l’heure de ce mélange d’intimité et de grandiloquence qui rendra les trois suivants fascinants, l’ensemble est juste plaisant, et ce malgré le très beau ‘’Vision’’. Une pièce mineure.





PINK FLOYD
THE WALL


Le 12 Décembre 2013 par KINGKILLING


C'est un classique du rock progressif, et du rock tout court, aucun doute dessus. Pourtant, je trouve que "The Wall" est très et trop souvent surestimé. Faut dire que passer après un album aussi phénoménal qu'"Animals" n'est pas une mince affaire. Le groupe, sur cet album, avait réussi à gommer tout ses précédents défauts pour sortir un album d'une puissance et d'une cohérence rare, le tout sublimé par un David Gilmour au top de sa forme. Bref, le panard absolu.

"The Wall" est un album solo de Roger Waters ? Je reste en terrain neutre sur cette question même si le bonhomme signe quasiment l'intégralité du double-album. Le principal problème de cet album est son nombre de titres : 26... ouach. Moi qui ne suis pas amateur des albums alignant plus de 10 titres au compteur, ça fait mal. Si encore, tous les titres étaient bons, mais là, c'est franchement inégal. Comment pouvoir passer d'un fabuleux "Another Brick In The Wall (part 2)" à un fade et ennuyeux "Mother" ? Et ce phénomène se retrouve bien trop souvent (les six derniers titres du second disque, quelle épreuve !). PINK FLOYD donne l'impression de s'être laissé aller à la facilité. Je ne m'attendais pas à pur album de progressif mais tout de même, on ne peut qu'être déçu après plusieurs écoutes poussées. La plupart des compositions donnent l'impression de n'être que de vulgaires interludes, sans queue ni tête. Il y a, certes, un concept derrière mais ces dernières passent bien mieux AVEC le film !

Pourtant, le quatuor propose quelques excellentes compositions. La très jolie "Hey You", sublimée par une mélodie à la guitare acoustique qui donne envie de pleurer, arrive en tête. Citons aussi les trois parties de "Another Brick In The Wall", "In The Flesh ?" ouvrant l'album sur les chapeaux de roue, la géniale "The Happiest Days Of Our Lives", bénéficiant d'une ligne de basse envoutante et de cris stridents et bien sûr, l'intemporelle "Comfortably Numb" apaisante et grandiose (ce solo, nom d'une pipe en bois !).

"The Wall" est donc une amère déception. Je peux comprendre tout l'engouement qui tourne autour de lui mais tout de même... les autres albums sont bien plus bons.

Chansons favorites : "The Happiest Days Of Our Lives", "Hey You", "Comfortably Numb".





PINK FLOYD
UMMAGUMMA


Le 12 Décembre 2013 par CéDRIC


Ummagumma est le disque le plus fou, le plus bizarre et le plus déjanté de Pink Floyd. Un conseil : préparez vos oreilles !





TANGERINE DREAM
PHAEDRA


Le 12 Décembre 2013 par TD VS KFT


Pourquoi toujours comparer ce qui est incomparable ? Comparer Tangerine Dream à Kraftwerk autant comparer une imprimante avec un moniteur.
Kraftwerk a exploité l'aspect mécanique, machinal et répétitif avec les moyens électroniques de l'époque, quant à TD, c'est plus l'aspect planant, les nappes de synthé, des ambiances d'évasion lointaines et floues, surtout à cette époque-là.
A partir de là on peut rien comparer, à la limite dire qu'ils sont complémentaires et reflètent bien les 2 façons dont on pouvait exploiter les synthés de l'époque (et encore maintenant même si tout est très différent).
Le seul point commun : c'est l'année de l'aboutissement de leur style, et encore, ici l'album entier est très bien fait et homogène, quant au "fameux" Autobahn de Kraftwerk, seule la face A exprime un changement et une amélioration radicale et prometteuse, alors que la face B est dans le même esprit bordélique et inutile que leurs albums précédents.





NOIR DéSIR
666.667 CLUB


Le 12 Décembre 2013 par KINGKILLING


4 années après la rage de "Tostaky", Noir Désir revient avec un album bien plus accessible.
"666.667 Club" est un bon album, voire très bon à certains moments (la doublette d'ouverture, particulièrement réussie) mais n'arrive jamais à convaincre totalement. Si le groupe est capable de sortir de petites perles pêchues ("Comme Elle Vient", ma favorite, la lancinante "Un Jour En France", le tube "L'Homme Pressé"), il tombe bien trop souvent dans une sorte de médiocrité banale où même le chant de Cantat ne sauve pas le navire. C'est visible sur les titres rock de la dernière partie de l'opus : des riffs peu attrayants, des couplets ennuyeux, des refrains bâclés... bref, ce n'est pas la joie.
Pourtant, Noir Désir rebondit sur quelques compositions, bien plus calmes et douces. Citons par exemple "A ton étoile" ayant connue un succès radiophonique à l'époque, "Ernestine" (bien qu'assez gonflante après plusieurs écoutes) et surtout la courte mais puissante "Septembre, En Attendant".

"666.667 Club" est donc un album plutôt bancal, comme l'était "Du Ciment sous les Plaines" en 1990. En entrant dans une sorte de rock moins brutal et plus easy-listening que le formidable "Tostaky", Noir Désir donne l'impression de s'être quelque peu perdu en route au profit des sirènes du grand public (la production, lisse, le montre clairement). L'opus reste pourtant un album digne du groupe (Bertrand Cantat est vraiment un excellent parolier), qui peut facilement servir d'ouverture pour découvrir Noir Désir.

Chansons favorites : "666.667 Club", "Fin De Siècle", "Comme Elle Vient".





DETROIT
HORIZONS


Le 11 Décembre 2013 par MR G


Un retour artistique excellent pour Bertrand Cantat! Je ne jugerais pas l'homme car quand on le juge, on en juge forcement des milliers! L'album est pour moi la suite de 666.667 club de qui vous savez! Je pense que l'album n'est pas si éloigné de ce que ferait Noir Desir si ils avaient continué! Quant aux textes, ils permettent de remettre certains pseudos artistes comme Saez a leur place! Cantat a une voix et une écriture inimitables a l'instar d un autre génie comme Thiéfaine! Avec le regretté Bashung, ils forment un trio irremplaçable dans le rock français! Mention particulière a la troublante et très émouvante Ange de désolation! Tout l'album est absolument bon, et Cantat est un grand artiste et ce nouveau groupe si il ne remplace pas Noir Des est sa suite logique!





A-HA
HUNTING HIGH AND LOW


Le 09 Décembre 2013 par EL PACHENKA


Je suis plutôt proche de l'appréciation de Powerbeauf, là! Hormis les hits qui sont vraiment bons, rien de bien marquant ou d'intéressant! Les sons des synthés pop, ça ne passe pas, c'est épidermique!

J'aurai peut-être une préférence pour l'album suivant, "Scoundrel Days", qui m'avait l'air un peu mieux à l'époque!

A suivre (?)...





Keny ARKANA
ENTRE CIMENT ET BELLE éTOILE


Le 07 Décembre 2013 par ZECTON


Le meilleur artiste français de l'âge d'argent du rap ( avec les deux comparses de Milk coffee and sugar) est une femme, Keny Arkana est engagée, intelligente, douée et ne fait pas du star system son objectif, du coup elle enfonce tous les pseudo-rappeurs qui émaillent la scène actuelle, pleine d'attitudes poseuses et de références foireuses.
Cet album est rempli de textes ciselés, sans concession, d' instrus travaillées, une franche réussite à laquelle il manque juste un peu de maturité, ce sera chose faite sur la suite discographique de Keny, qui se montrera encore supérieur à ce "Entre ciment et belle étoile", qui est déjà un bon album.





Keny ARKANA
ENTRE CIMENT ET BELLE éTOILE


Le 07 Décembre 2013 par LOUVOIR


KENY ARKANA fait partie de la relève du rap français, sa frange la plus satisfaisante. Loin, très loin de l'egotrip constant qu'on peut souvent rencontrer chez ces nouveaux "artistes", cette "contestataire qui fait du rap" apporte un vent de fraicheur sur cette scène.
KENY ARKANA revient aux fondamentaux du hip-hop, c'est à dire une musique contestataire, qui cherche à faire bouger les lignes.

KENY ARKANA c'est d'abord une énergie communicative. Un rap convaincu, qui vient des tripes, très facilement identifiable. C'est aussi des instrus pour la plupart réussis, ne cédant pas à la facilité du gros son électro, mais cherchant la diversité.
C'est surtout une revendication constante et continue, pas de répit. Même dans le plus léger "J'Me Barre" contient sa part de message.
On retrouve cette envie de changement, cette hargne, cet espoir aussi dans le titre majeur de l'album : "La Rage". Sur fond de riff de guitare électrique, une avalanche de lyrics agressifs, forts, qui veut voir la naissance d'une nouvelle génération de révolutionnaires. Impossible de ne rien ressentir à l'écoute de ce titre là.

Cet album est une bombe, tout simplement. Il est varié, inspiré, sincère, révolté, survolté par moments. Il met la pèche et donne envie d'aller tout bousculer.





ARCADE FIRE
REFLEKTOR


Le 07 Décembre 2013 par J. BELANGER


Probablement le meilleur album de 2013 à l'échelle planétaire, tout genre confondu. On tient ici un album qui sera souvent cité parmis les meilleurs de la décennie. Le groupe Québecois réussis ici l'impossible, frapper encore plus fort que leur dernier disque. Riches et denses, sublimes et envoutantes, les rythmes et les mélodies de chaques pièces sont uniques et s'emboitent parfaitement. Nous avons là un album très diversifié, un son rock où le groove est omniprésent, et parfois teinté d'un relent des caraibes. L'album de la maturité? Le temps nous le dira, mais c'est certainement leur opus le plus riche.





BLACK SABBATH
LIVE... GATHERED IN THEIR MASSES


Le 06 Décembre 2013 par TONY


Un bon live qui fait honneur à ce groupe de légende. Une setlist bien pensée (avec des nouveautés, les classiques incontournables et 1 ou 2 titres peu interprétés par le passé), un son monumental (bien qu'un peu plus de basse n'aurait pas été de refus) et des prises de vue très correctes pour ce témoignage de ce qui devrait être leur dernière tournée.





ANAIS
THE CHEAP SHOW


Le 06 Décembre 2013 par MR G


Plutot réussi dans le style, un bon album qui se laisse découvrir au fil des écoutes et toujours aussi fun quelques années plus tard! C'est bien fait, c'est sans prise de tète, bref c'est un bon moment!





ARCADE FIRE
REFLEKTOR


Le 05 Décembre 2013 par TERRY


Le meilleur album du groupe, et pourtant, ils font fort d'album en album. Faire mieux que "The Suburbs" était quasiment impossible, ils l'ont fait ! Absolument incroyable.







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