Le 23 Janvier 2025 par NONO

@SEB : "Le reste c'est malheureux à dire mais je m'en foutais complètement. Ah ces gosses..."
-- Tu parles de moi là ! J'étais EXACTEMENT pareil ! (et comme la majorité des gamins je pense), j'achetais moi aussi un album pour un seul titre ! Problème : quand c'était les K7, fallait "forwarder" la face, pile au moment où le morceau commençait, et s'il n'était pas au début c'était chiant... :-)) Je me souviens de la K7 de l'album "Thriller" qu'on m'avait offert. Il n'y avait que "Beat it" qui m'intéressait, le reste me semblait de la soupe ! En grandissant, la musique c'est comme le bon vin, on se met à aimer...

Le 23 Janvier 2025 par MARTIN LA BOTTE

"La Génération perdue", "Noir c'est noir", "La Fille à qui je pense", "Je veux te graver dans ma vie" (excellentissime)... que des titres que j'aime beaucoup, beaucoup. Mais si on rajoute ceux des 45t isolés inclus dans la réédition de 2016, "Si j'étais charpentier", "Le Diable me pardonne", "Jusqu'à minuit" et encore plus "Pour nos joies et pour nos peines" , "Je l'aime" ou "Maintenant ou jamais" qui font mon bonheur depuis si longtemps, on atteint 6 étoiles. Alors je sais, ça fait beaucoup d'adaptations dans le lot, pas grave. Dans celles que j'ai citées, je les trouve presque toutes supérieures aux V.O (sauf peut-être "In the midnight hour").
Je donne tous les BERGER, GOLDMAN, OBISPO et autres CHÉDID contre ce JOHNNY-là.
Vive les french covers !!!

En revanche, je n'ai jamais aimé le visuel recto de la pochette que je trouve vraiment moche et que même dépression ou TS ne peuvent me rendre adéquat.

Le 23 Janvier 2025 par MADELEINE

On peut aimer Jacques Brel "et" Nina Hagen, j’en suis la preuve vivante ! Je n’ai pas trop suivi le reste de sa discographie, mais cet album-ci fait partie de mes racines musicales. Et 5 étoiles parce que je l’aime en entier !

Le 23 Janvier 2025 par MADELEINE

@Martin la botte : Si vous aimez les chants de Noël classiques, je vous suggère d’écouter l’excellent Richard Verreau dans "Minuit, chrétiens" ou "Adeste fideles" ou encore "Mon beau sapin" par exemple. Une magnifique voix de ténor, trop méconnue.

Le 23 Janvier 2025 par MARTIN LA BOTTE

J'ai écouté cet album dans son intégralité et je serais d'accord avec Walter, difficile de lui attribuer une bonne note avec l'impression de fadeur qui a du mal à se dissiper au fil des pistes. Je serais cependant légèrement plus généreux que lui avec une étoile supplémentaire. D'abord parce que je dois faire partie de l'écrasante minorité qui préfère plutôt France GALL avant BERGER que pendant. Ensuite parce que la voix de la jeune France, qui me rappelle parfois dans les aigus celle de la doubleuse française de la chipie Nellie Olson dans "La Petite maison dans la prairie" peut se révéler aussi insupportable (comme lors de sa prestation en live à l'Eurovision sur "Poupée de cire") qu'agir sur moi comme un curieux mais pas déplaisant mélange quand on la plaque par exemple sur un fond jazz ("Pense à moi" sur son premier L.P).

Et justement, cette voix, étrange ou pénible, on la retrouve sur les refrains de mon morceau préféré de "Fg" : "La Rose des vents", sorte de comptine rêveuse aux accents tristes sur laquelle le timbre enfantin de GALL m'emporte. J'adore cette chanson. Et comme "Annie", j'aime aussi beaucoup "Les Sucettes", n'allez pas chercher de rapprochement graveleux.

On peut bien sûr reprocher à GAINSBOURG d'avoir été assez inélégant ou pervers de l'avoir confiée à un esprit innocent (ce serait bien moins scandaleux aujourd'hui si c'était une RÉGINE qui l'avait créée en connaissance de cause mais ce serait aussi tellement moins... choisissez l'adjectif qui vous convient). Il n'empêche que le texte, coquin à souhait, est bien troussé, que la mélodie et les arrangements sobres du plus charmant effet et qu'à nouveau, l'ambiance si singulière de la chanson est à porter au crédit de l'interprète avec sa voix juvénile d'un autre temps ou d'un autre univers presque imaginaire.

Après, je ne suis pas convaincu que ce titre soit l'une des origines de la longue période d'insuccès que connaitra la chanteuse à partir de 67/68...

Le 23 Janvier 2025 par NONO

Ah oui, la variété "fleur bleue" de la fin des années 80... tout un programme ! Je ne connais pas la demoiselle, mais je pense immédiatement à la mouvance Elsa / Vanessa Paradis / Glenn Medeiros... (Glenn, pas Elli ! Ne mélangeons pas serviettes et torchons...). bon, peut-être pas Guesch Patti mais bon...
Je me souviens bien de ce style "romantico-gentiment cucul" :-))

Le 23 Janvier 2025 par ZEJACK

A noter que le titre "I Think We're Alone Now" a connu un léger regain de notoriété en 2019 suite à son utilisation dans la saison 1 de la série "Umbrella Academy" diffusée sur NETFLIX à l'époque.

Le 23 Janvier 2025 par MARTIN LA BOTTE

Mireille MATHIEU, Noël, 17 Janvier, Forces Parallèles... Marco le Téméraire... ;)

Album indispensable pour tout contemporain fidèle du "Francophonissime" (version Georges De CAUNES), des "Sacha Show" et surtout de "SVP Disney" (version Pierre TCHERNIA) qui était diffusé uniquement les 25 Décembre.

Ça sent l'appétissant fumet de la dinde farcie d'antan et ça donne furieusement envie de retrouver la recette de la bûche de Grand-Maman. Les chants de Noël, c'est toujours puissamment nostalgique et la belle voix de Mireille, si familière et évocatrice pour les enfants nés dans les années 60/début 70 (ceux qu'ARTHUR a si justement rebaptisés plus tard "Les Enfants de la Télé") ne fait que renforcer cette douce nostalgie, ce délice suranné, au moins le temps des fêtes.
Alors, même si je préfère "Petit Papa Noël" par Tino, "Douce nuit" par Nana, "Noël Blanc" par Eddy ou "Minuit Chrétiens" par Bruno PELLETIER, l'ensemble reste de haute tenue et très classe (en dehors de la pochette, je préfère nettement la réédition de 74 avec la chanteuse toujours en Père-Noël mais seule et avec le titre à rallonge nase raccourci).
Je distingue "Les Anges dans nos campagnes", superbe.

Un petit must dans son genre et un bon 4 étoiles mérité.

Le 23 Janvier 2025 par SEB

"Radio romance" est le seul titre que je connaisse de Tiffany, et pour cause ça me rappelle bien des souvenirs d'ado, une boum d'été supersonique, la fille qui s'appelait Vanessa, mon premier vrai patin à l'abri des regards et un peu plus... Je réécoute ce titre avec une certaine émotion pour ce qu'il évoque en moi. Et ce qui ne gâche rien, la voix de cette fille est plutôt accrocheuse ! Quand j'aurai un moment je me pencherai peut-être sur sa discographie...

3,5 pour le titre. Mais un super 5 pour le souvenir ! Coupons la poire en 2...

Le 23 Janvier 2025 par SEB

Acheter un album pour 2 titres c'était tout moi ça. En y réfléchissant bien c'est pas souvent que ça m'est arrivé ! D'autant qu'il faisait partie de mes premiers 33 tours que je me suis acheté avec mon argent de poche. C'était soit ça ou des yoyos. J'ai donc opté pour le frisbee de vinyl noir ! Euh j'avais une excuse j'étais gamin !

Fallait vraiment que j'y tienne à cette galette, et c'était le cas. Quand je l'ai entendue à la radio, "Eye in the sky" la chanson éponyme m'a accrochée direct avec son putain de refrain, ses grattes et sa ligne mélodique. En plus "Sirius" qui la précède c'est une intronisation idéale ! L'autre chanson c'est l'instrumentale "Mammagamma" que j'ai passée à outrance quasiment chaque jour quand je me suis procuré la galette. Voilà. Le reste c'est malheureux à dire mais je m'en foutais complètement. Ah ces gosses...

Évidemment les années passent et on réécoute différemment ! La célèbre "Eye in the sky" j'ai toujours autant de plaisir à la retrouver. Et je dois avouer que, bon même si je ne saute pas d'extase sur mon fauteuil, l'ensemble de l'album ne sonne pas trop mal. À part "Mammagamma" dont l'overdose a fait que je ne peux plus l'entendre aujourd'hui, "Silence and i" qui traîne un peu en longueur, ou encore "Old and wyse" que je trouve plutôt plan-plan. Ce qui m'amène au constat d'un album plutôt moyen qui ne vaut que par ses classiques mais qui n'est pas pour autant déplaisant. Peut-être bien parce que la musique, en terme général, de ces époques passées exprimait quelque chose...

Un 3,5 que j'arrondis à l'inférieur à cause d'une "Mammagamma" écoutée jusqu'à l'indigestion, mamma mia...

Le 22 Janvier 2025 par FOUDROCK

Probablement le pire album des Stones des années 80. Oui, je sais, "Dirty Work" et "Undercover"...
Mais je pense vraiment que cet "Emotional Rescue" est pire. Parce que, le morceau-titre et "Dance, pt 1" mis à part, l'ensemble est d'une platitude terrifiante. Soit les morceaux sont à chier ("Send it to me", "Indian girl", "Down in the hole"), soit ils sont corrects musicalement parlant, mais ne donnent toutefois pas du tout envie d'y retourner, comme une pizza tiède en cas de panne de micro-ondes.

Le 22 Janvier 2025 par JUAN

Biensûr cet enregistrement public est essentiel pour connaître et comprendre Brel et l’énergie déployée est bien palpable déjà sur disque, mais voir les images des concerts de Brel est indispensable. Le temps a passé et les images ont vieilli, mais sur ces vidéos on perçoit encore mieux l’énergie déployée par Brel sur scène. C’est PHENOMENAL ! On est bien loin de la technologie et des light shows que l’on déploie aujourd’hui, il n’y a pas d’effet spéciaux, pas de joujoux volants, de lumières virevoltantes, d’explosion visuelle, de feux d’artifice ou que sais-je encore. Il n’y a que Brel, petit bonhomme sur une scène immense qui déploie des trésors de mimiques, de mouvements, de regards pour véritablement mettre en scène le texte de chaque chanson. On est captivé par la tension que Brel est capable d’installer (Amsterdam, mon dernier repas, les toros), par les fous rires qu’il peut déclencher alors que les textes s’envolent aux confins de l’ironie (Les timides, Les bigotes, les bonbons), par la tendresse qu’il sait dégager (Madeleine, Jef). Brel sur scène, c’était aussi 2kg de sueurs perdues sur à peine plus d’une heure de spectacle. Et dire que parfois il faisait 2 concerts par jour et qu’à certaines périodes de sa vie, il se présentait sur scène quasiment tous les jours.

Le 22 Janvier 2025 par FOUDROCK

Judy Dyble, dont ce sera la seule et unique participation à un album du groupe, sera victe éclipsée par Sandy Denny, certes, mais elle est tout de même sacrément bonne chanteuse, et ce premier album est une de leur plus belles réussites. Un disque trop méconnu, par rapport aux 4 suivants, mais qui n'a rien à leur envier.

Le 22 Janvier 2025 par FOUDROCK

Les 5 premiers albums du groupe sont mémorables, mais celui-ci en est clairement le sommet. Et pas que des 5 premiers albums, mais de l'ensemble de leur discographie. Un pur monument à la fois apaisant et entraînant, bien que parfois peu joyeux. Rien que "A Sailor's life" et "Who knows where the time goes ?" suffisent à faire de cet album une légende du folk-rock.

Le 22 Janvier 2025 par MASTERFAN

Les poses à la con sur les albums de Bowie (souvent pour copier des œuvres déjà existantes), c’est comme les sectes à une époque chez Collaro, il en existe de nombreuses. Aujourd’hui une nouvelle, celle du douzième album ‘HEROES’.

Trois instrumentaux ici plutôt que six comme sur LOW. Il semblerait que le morceau sur lequel Bowie joue lui-même du koto, le ‘japonisant’ « Moss garden » puisse parfois avoir un pouvoir d’attraction traumatisant, j’ai cette malchance qu’il n’ait pas cet effet sur moi. Pas désagréable à écouter, mais perso il m’en faut plus pour tripper. En tout cas je repenserai à ce morceau si un jour je visite le Hakone Museum : d’après ce qu’on peut en voir, les jardins ont l’air bien sympas.

Je suis déjà déjà plus sensible à « Neuköln ». En fermant le yeux, j’arriverais presque à m’imaginer dans cette belle ville de Berlin en 1977. Les instrumentaux ici sont plutôt réussis puisque « Sense of doubt » s’écoute bien aussi, globalement je préfère ces instrumentaux ‘froids’ à ceux de LOW (même si « Warszawa » semble insurpassable dans son genre).

En plus des esprits « expérimentateurs » de Visconti et d’Eno, sur la moitié des morceaux, Bowie a donc recours à Robert Fripp, invité à superposer son jeu avant-gardiste à celui plus chaud de Carlos Alomar. Pas sûr que ce soit une bonne nouvelle pour moi : si j’avoue être sensible à certaines choses (IN THE COURT évidemment, ou RED), certains des morceaux de King Crimson restent pour moi une énigme absolue (on va dire que je n’écoute pas la ‘part one’ de « Larks tongues in aspic » tous les jours).

La ‘Fripperie’ HEROES commence par un ‘Beauty and the beast’ qui ne me bouleverse pas particulièrement (l’addition de la voix de la chanteuse allemande dégotée sur place n’arrange pas les choses). Je lui préfère déjà « Joe the lion », dédié à l’artiste complètement cinglé Chris Burden, ce second titre n’étant pourtant pas non plus un chef d’oeuvre. « Blackout » ne me parle pas spécialement, l’hommage au chanteur de Kraftwerk (V2 Schneider) un peu plus.

Comme beaucoup, j’ai il y a longtemps été fortement impressionné par « Heroes » aux première écoutes. C’est une chanson exceptionnelle et pourtant, son côté répétitif lui donne un seuil d’usure fort bas, aussi ce morceau n’a plus rien à me dire depuis belle lurette. C’est aussi en ce sens que je considère LOW (qui, comme le disait Richard, a toujours quelque chose à dire) comme un anti-HEROES dont j’ai largement fait le tour. La version en français (« Héros ») évoquée par Erwin est une véritable curiosité, je suis d’accord qu’elle fait un peu rigoler, n’ayons pas peur des mots (il faudrait la faire écouter à tous les groupes français qui tentent de chanter en anglais, pour ‘prise de conscience’).

Le morceau qui se rapproche le plus de ceux présents sur les premiers disques de Bowie (SPACE ODDITY ou ceux de la période ‘glam’) est « Sons of the silent age ». En toute logique, ce sera pour certains le morceau le plus chiant du disque, mais me concernant de très loin mon préféré sur cet album (surprenant d’ailleurs lorsqu’on sait qu’Eno a placé sur celui-ci également des plans ‘aléatoires’ et d’une manière générale, je ne suis pas trop fans du hasard intégré aux process de création).

Enfin je suis assez peu sensible au titre final « The secret life of Arabia » et son rythme dansant, là encore ce genre de truc à l’air de faire bander certains (tant mieux !), clairement pas moi.

Mon ressenti 2025 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Sons of the silent age. SEDUISANT (4) : Heroes, Neuköln. PLAISANT (3,5) : Joe the lion, V2 Schneider, Sense of doubt, Moss garden. INTERESSANT (3) : Beauty and the beast, Blackout. EMOTION LIMITEE (2,5) : The secret life of Arabia. Bilan 3,50 et Top 5 à 3,90 : ‘HEROES’ cote pour moi 3,70 soit 14,80 /20.

Bowie enfonce ici le clou pour un résultat surprenant, à grands coups d’expériences, d’effets et de trouvailles sonores (comme dirait Jean Lefebvre, c’est du brut). Pour autant je trouve qu’HEROES manque de réelle émotion dans la plupart des compos, c’est la raison pour laquelle il me plaît beaucoup moins que LOW.

Je pense qu'à cette époque, David aurait peut-être dû garder pour lui un paquet d’idées qui se sont retrouvées sur les deux albums d’Iggy. J'ai une thèse très perso là-dessus : peut-être voulait-il se rattraper pour avoir saboté RAW POWER.

Le 19 Janvier 2025 par MALKO23

Bon, nous sommes loin des grandes heures d'APP, du progressif, mais l'album n'est pas désagréable.

Je suis assez d'accord avec Elk. Les mélodies restent bien et sont sympa même si je trouve aussi qu'elles sont assez mollassonnes.

J'accroche sur les deux mêmes premiers titres, "Fare Thee Well", "Urobos", "Don’t Fade Now".
Je garde aussi les deux morceaux avec en featuring Joe Bonamassa dont l'apport est trés appréciable.

Je trouve aussi que la fin est à la limite du remplissage. "Goin' home" est limite supportable et la reprise de "Be my baby" n'apporte rien et dénote avec le reste.

2,5 est la bonne note.

Le 19 Janvier 2025 par MALKO23

Je confirme la chronique d'Erwin, cette livrée est bien pauvre et trace dans une direction qui n'est pas pour moi. Le premier morceau, "Woman's world", est de loin le plus sympa, entrainant, très pop. Ensuite, le refrain de "All the love" est vraiment pas mal, mais le reste est moyen. Enfin, "Lifetimes" se laisse écouter gentiment mais sans plus. Pour le reste, je passe mon tour.

Le 19 Janvier 2025 par NONO

J'avais été un peu trop sévère dans mon dernier commentaire de 2017. Malgré sa prod très ancrée "80" (plus que pour leurs autres albums), "Running in the family" est quand même un sacré bel album. Le miracle est que malgré la grande présence de machines, le son de la batterie est très "live" (sans compression ni "reverb" à tout crin) donc ça sauve déjà bien le tout.
Je reste sur la réserve pour "Two solidtudes" et "Fashion fever" un peu en-deçà, et ironiquement je préfère le remix de "Lessons in love" que l'original. Mais dans l'ensemble cet album se défend encore très bien aujourd'hui. 4 étoiles.

Le 19 Janvier 2025 par LE MERLE MOQUEUR

Ah ce petit âne blanc qui pliait sous le poids du labeur journalier n'est pas encore au Paradis,

AUJOURD'HUI on le retrouve dans l'île de Santorin tout l'été chargé de touristes souriants alors qu'il présente des plaies non traitées ou des tissus cicatriciels preuves de blessures non soignées au niveau de la tête et des pattes. Une enquête révèle que les ânes de Santorin sont encore utilisées comme taxi. Une centaines de ces pauvres bêtes sont obligées de monter et descendre toute la journée sous un soleil de plomb (40 degrés) les 500 marches abruptes qui mènent à la vieille ville de Firá., souvent avec deux touristes en croupe par animal.
En attendant les touristes ils sont attachés si proche les uns des autres qu'il ne peuvent chasser les mouches gênantes et ils ne peuvent accéder à leur ration d'eau qui est un seau d'eau placé en haut et bas des 500 marches.

Si vous allez sur cette île magnifique de grâce montez ces 500 marches à pied ou prenez le téléphérique je suis sûr que Henri DES ne pourra que vous approuver.

Belle et tendre chanson que L'Âne Blanc mais la maltraitance est toujours actuelle.

Le 19 Janvier 2025 par SEB

Ah mais ne serait-on pas Samedi soir ? Allez faisons un petit clin d'oeil à un phénomène musical en son temps !

Il y a des livres sur l'Histoire de France, des tuttos pour réparer tout et n'importe quoi, des livres de recettes à en faire déborder des hangars, des partitions de musique qui ont traversé les siècles, des encyclopédies pour vous apprendre le Monde et ses mystères, ou encore internet et tutti quanti etc. Bref on a l'intégralité de l'Humanité dans tout son sens matériel et immatériel répertorié sur pleins de supports physiques ou numériques. Et puis on a "Saturday night fever".

Cette galette est légendaire. Dans son genre elle devrait servir d'oeuvre référence. Si un jour on devait expliquer aux enfants ce qu'est le Disco, ce rythme binaire qui fait irrésistiblement danser, "Saturday night fever" serait une excellente anthologie. Le film bien sûr, mais aussi l'album. Et vu son contenu pas étonnant qu'il soit devenu incontournable !

Ce caviar contient des grands classiques des Bee Gees, qui ont été vendus par millions et qui ont fait leur fortune :

"Night fever" la tuerie,
"Stayin' alive" une autre tuerie devenue un hymne, un leitmotiv,
la tendre "How deep is your love",
"Jive talking",
"More than a woman",
ou encore "You should be dancing".

Mais aussi des titres d'autres pointures, comme Kool And The Gang "Open sesame" ou encore KC And The Sunshine Band "Boogie shoes", sans oublier Les Trammps avec un "Disco inferno" en apothéose !

Bon le film se démode fatalement. Waaah les costumes ! Et Travolta n'est plus si svelte aujourd'hui. Mais grâce à des compos de qualité l'album lui ne vieillit pas trop mal musicalement parlant et il contient des pépites bougrement efficaces qui vous font irrésistiblement bouger les pieds... Un 5 pour ce fièvreux album !