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Eddie VEDDER
INTO THE WILD


Le 09 Février 2017 par MR LARSEN


Une superbe BO mais aussi un très bel album pris sans les images. Coups de coeur pour "No Ceiling", "Long Nights", "Hard Sun", "Society" et "The Wolf". Il n'y a pas à dire : Eddie Vedder est un sacré chanteur.





Joseph HAYDN
SYMPHONIE N°49 LA PASSION (KOOPMAN)


Le 09 Février 2017 par CLANSMAN57


L'une des plus sombres du compositeur et celle qui me touche le plus, personnellement.
Des trois symphonies que je connais de Haydn, c'est celle-ci que j'emmènerai sur une île déserte.

Une sensation de flotter lorsque je l'écoute et sa beauté m'enchante au point de presque en pleurer.





Joseph HAYDN
SYMPHONIE N°45 LES ADIEUX (KOOPMAN)


Le 09 Février 2017 par CLANSMAN57


Je l'apprécie moins que "La Funèbre", son Adagio ne me transporte pas tellement, mais je me dis que je manque encore d'un peu de recul et que le temps fera peut-être son oeuvre?

Le mouvement final est intéressant, car divisé en deux parties.
Son Adagio en guise de conclusion, avec les musiciens qui s'en vont progressivement, est une idée plutôt originale.






Lenny KRAVITZ
STRUT


Le 09 Février 2017 par VIV


J'adore Lenny kravitz, mais personnellement je trouve que cet album manque de creativite et de personnalité. C'est pas mauvais certes, mais comparé à un "let love rule" très frais et inspiré, un "mama said" et un "are you gonna go my way" qui mettent les poids à la verticale, et un "5" funky et novateur, ce "strut" n'est pas mauvais mais sonne comme un copier-coller d'une recette déjà élaborée et qui marche. Pour découvrir et apprécier le génie de L.K. ; jettez vous plutôt sur les premiers albums si vous recherchez des sensations fortes.





Eddie VEDDER
INTO THE WILD


Le 08 Février 2017 par YM


Excellent.
Society, qui est d'ailleurs une reprise de Jerry Hannan, j'ai dû l'écouter... moult fois !
Un défaut : les morceaux sont parfois trop courts : on reste sur sa faim, car on se dit que cela aurait mérité d'être développé.





EURYTHMICS
IN THE GARDEN


Le 08 Février 2017 par LEO


Je n'ai pas du tout le même point de vue qu'ERWIN sur ce 1er 33t d'EURYTHMICS, qui est pour moi l'album le plus réussi du duo et également celui qui a le mieux vieilli avec les années contrairement à ceux qui vont suivrent qui seront beaucoup plus marqués au niveau de leurs sonorités datées.
Idem en ce qui concerne l'album 1984 (For The Love Of Big Brother) qu'ERWIN ne semble pas porter pas dans son coeur mais qui est de mon point de vue bien plus intéressant que les horribles Sweet Dreams et Touch et dont l'originalité se démarque plaisamment dans la discographie assez balisée d'EURYTHMICS.
Donc pour moi qui ne porte pas habituellement en très haute estime la musique du duo, In The Garden et 1984 sont les 2 OVNIS que je retiendrai chez EURYTHMICS.





Eddie VEDDER
INTO THE WILD


Le 08 Février 2017 par LONG JOHN SILVER

@ Jasper Lee Pop
Le souci avec cette maxime, c'est qu'elle arrive comme une grosse ration de crème sucrée sur un pancake déjà bien bourratif. Pour l'équilibre on repassera. Partager, tout le monde est pour à la base, surtout si c'est du bonheur. Qu'est-ce que le bonheur ici ? Réponse : la BO du film et ses splendides paysages.





METALLICA
HARDWIRED... TO SELF-DESTRUCT


Le 08 Février 2017 par NOORS

Lars est devenu pathétique. Nul de chez nul. James fane tout ce qu'il chante. Il tue l’énergie d’antan de chaque titre désormais. Il suffît d'écouter la différence de chant sur le titre Master of Puppets LP et sur un Live récent. C'est accablant. Kirt fait figuration. Démasqué depuis longtemps maintenant.
De plus METALLICA est devenu une machine à broyer dans la médiocrité des bassistes parmi les plus talentueux de leur génération en les réduisant au silence. On connait le cas NEWSTED. On oubliera bientôt que TRUJILLO est un des bassistes les plus doués, complets, techniques du Metal. Un excellent musicien tout court. METALLICA l'étouffe déjà.
Les compos ne sont toujours pas au niveau de ce qui a fait la grandeur du groupe.
MEGADETH et TESTAMENT, même SLAYER ont largement fait mieux sur leurs dernières production.
Évidemment, il y a quelques passages qui émeuvent et réveillent la nostalgie. De ce qui n'est plus. Le final de Halo of Fire... Spit Out The Bone... C'est bien résiduel. Et tellement en dessous de mes attentes en tous cas.

Dans la musique, le mal est bien souvent la facilité. On y est. Depuis 25 ans. je le pense aussi.





TRANSATLANTIC
THE WHIRLWIND


Le 08 Février 2017 par MR TINKERTRAIN


Il n'y a aucun commentaires sur ce disque et ça ne m'étonne pas. C'est moi ou c'est long, long, chiant et creux? Incompréhensible après deux chefs d’œuvre prog d'affilée...77 minutes de médiocrité absolue.





Eddie VEDDER
INTO THE WILD


Le 08 Février 2017 par JASPER LEE POP

@ Long John Silver
Tout d'accord, pirate. Sauf avec ta réserve sur la maxime finale. "Happiness only real when shared" Le bonheur ne vaut que s'il est partagé. Je ne la trouve pas fourre tout. Moi, elle m'avait fait l'effet d'un crochet à l'estomac sur ses dernières images, c'était la conclusion idéale de la fuite du héros. C'est sa simplicité désarmante qui touche. Et comme nous le rappellent souvent les Knackis Herta, ne passons pas à côté des choses simples.





SHARON JONES & THE DAP-KINGS
NATURALLY


Le 07 Février 2017 par BAAZBAAZ

On écrit, on débat, on confronte nos goûts, on pinaille, on s'engueule... Et puis on s'arrête et on se tait enfin pour écouter : parfois il suffit d'une voix.

Merci aux trois chroniqueurs pour ce bel hommage à Sharon Jones.





METALLICA
HARDWIRED... TO SELF-DESTRUCT


Le 07 Février 2017 par BAAZBAAZ

25 ans... Un quart de siècle. Je viens de faire le calcul. Je savais bien que ça faisait longtemps mais je n'avais pas pris conscience de l'énormité de la chose.

Ainsi, lorsque que les critiques rock s'ingéniaient à trouver des qualités aux albums des STONES dans les 80s, seule une bonne dizaine d'années s'était écoulée depuis la période faste du groupe.

Mais dans le cas de METALLICA, il y a quelque chose de plus profond, de plus pathétique. Il y a l'énormité du temps écoulé, le sentiment d'un immense gâchis et le constat d'une terrible incapacité à mourir : quand ce groupe va-t-il enfin disparaître pour cesser d'insulter sa propre légende ?

Riffs ternes et forcés, raretés des mélodies, autosatisfaction insupportable qui transparaît à chaque seconde dans les clips... Les sonorités "à la MAIDEN" sur "Atlas, Rise!" sont l'une des pires choses que j'ai entendues depuis bien longtemps.

Cela fait plus de 25 ans que METALLICA n'a pas sorti un album ne serait-ce qu'écoutable.





DROPKICK MURPHYS
11 SHORT STORIES OF PAIN & GLORY


Le 06 Février 2017 par JENLAIN


Le ressenti d'un CD écouté dans le confort d'une installation Hi-Fi bourgeoise (dans le sens matériel du terme) opposé au ressenti LIVE!!!!!! Je reviens de la prestation des Dropkick au Zénith de Strasbourg ce samedi 4 février où, à part Kicked To The Curb et 4-15-13, tous les morceaux de ce nouveau CD ont été joués live. Ce style de musique ne trouve sa quintessence qu'exécuté sur scène (n'est-ce pas l'essence de toute musique que d'être confrontée à la scène, dans toute sa vérité et sa sincérité????) et, des morceaux comme Paying My Way ou Until the Next Time qui ne fonctionneraient pas à 100% en studio prennent toute leur essence sur scène!!! Je connais quelques bras salvateurs dont les poils délicats se hérissent instantanément à l'écoute de Paying My Way (comme de Sandlot, Blood ou de Until The Next Time outre ceux d'albums antérieurs)... Les Dropkick sont à écouter Live et certaines de leurs productions n'ont pas bénéficié des meilleures conditions pour réellement dévoiler leur puissance. On a vu ça dans le passé pour pas mal d'albums de UFO, de Thin Lizzy, des Who, Ten Years After, tant d'autres... tant de ces groupes qui, pour le moment, jouent en bas de chez toi avant de peut-être investir des stades. Le rock ne se joue pas dans des canapés ou sur des installations audiophiles, mais en live!! Tu as ton CD? Sors de chez toi, confrontes-toi au genre humain!





OPETH
SORCERESS


Le 06 Février 2017 par JENLAIN


C'est étonnant de commencer par ce genre de considération mais que cherche t'on donc dans la musique? Et surtout, où situer le curseur entre ce qui nous fait avancer et ce qui nous conforte? Opeth me semble être le parfait mètre-étalon de ce genre de question.
La question de forme d'abord: ces gens jouent très bien, ont de très bons sons (peu importe qu'ils proviennent d'instruments d'époque ou de samples) et ont de très bonnes compétences en terme de composition. Pour le fond, je suis beaucoup plus circonspect. Je n'entend rien d'autre que je n'aie déjà entendu de la part d'une infinité de leur prédécesseurs, il y a bien des années, que ce soient les Yes, King Crimson, Gentle Giant, Camel... et tant d'autres. Tout ce qui faisait partie de l'esprit d'une époque et qui n'a que peu de chances de ne toucher que ceux qui l'ont connue.
D'autre part, l'engouement qui porte ces géniaux (opportunistes?) (mercantiles?) (conservatistes?) suiveurs ne me semble concerner que ceux qui regrettent un temps où le Punk, la New-Wave, le Metal version NWOBHM.... et leurs divers courants ont balayé ces tendances onanistes du "Rock" où la démonstration primait sur l'émotion.
En d'autres termes, quand j'écoute Opeth, depuis Heritage, je ne ressens rien!! Des structures harmoniques que j'ai déjà attendu 100 fois chez d'autres, des sons que j'ai déjà entendu 1000 fois, un esprit que ne connais que trop bien depuis ces 35 ans où j'ai pris l'habitude de, d'abord déposer une galette de vinyl sur une platine, d'ensuite insérer une galette de plastique et d'alu dans une platine CD, puis de chercher dans mes répertoires MP3 ou Flac le bon flux de mes émotions, et d'enfin demander à Deezer ou Youtube de remplacer mon Elzeimer ou ma fainéantise à trouver le bon médium à mes soirées de dillétante.
Opeth ne fait rien d'autre, selon moi, que de proposer à une génération ce que leurs parents et, parfois, grand-parents, ont écouté jusqu'à n'en plus vouloir. Je n'en fais pas partie, je pourrais toujours regretter que la génération de mes enfants ou petits-enfants n'aient l'idée ou l'envie de passer les mêmes journées vautrés par terre à écouter un de ces vinyls qui m'ont fait tellement trippé mais qu'y puis-je? Rien!! Les temps changent ("The Times They Are A-Changin'" comme disait Bob), les vieux cons restent, pour un certain temps, pour perpétuer une mémoire, et les jeunes cons arrivent pour occuper un terrain dont ils n'ont plus aucune trace de mémoire.
Et des hommes-médecine, devins, prophètes, chamans, producteurs profitent de ce genre d'amnésie normale pour occuper un terrain devenu vierge et apparaitre comme de nouveaux hommes-médecine, devins, prophètes, chamans...
Vive Opeth!!! En attendant les suivants suiveurs hommes-médecine, devins, prophètes, chamans... Ce qui n'empêche que c'est très, très, très, très bien fait! Et c'est tout le problème...





LUSH
BLIND SPOT


Le 05 Février 2017 par FRANCIS BROKA


Un retour vraiment très réussi pour Lush. Reste à espérer qu'elles s'attèleront bientôt à la confection d'un nouvel album, mais ce n'est pas gagné d'avance, d'autant qu'elles n'ont vraiment pas de chance : le bassiste Phil King vient de mettre les voiles. Encore une chose : non seulement 'Rosebud ' n'est pas "oubliable" et encore moins "agaçant", mais c'est la plus belle réussite du EP avec sa superbe mélodie qui passe le cœur. Cette fois-ci, c'est Emma qui s'est chargée de toutes les musiques, ce qui confirme s'il en était encore besoin son grand talent de mélodiste, et aussi de guitariste, soit dit en passant. Allez, les filles, ne nous faites pas attendre encore trop longtemps, on vous attend avec impatience ! Et si ce disque est trop "nostalgique", tant mieux, il a beaucoup plus de valeur que trop de merdes contemporaines...





The HEARTBREAKERS
L.A.M.F.


Le 04 Février 2017 par JASPER LEE POP


Superbe chronique du vampire de Murnau. La rumeur dit qu'un problème serait survenu lors du mastering du vinyle mais pas lors de celui de la cassette. Le mix de la cassette est en ligne sur le tube.
Quant à la note, 6/5





John CAGE
4'33


Le 03 Février 2017 par AZER


4'33'' est scientifiquement très intéressant. De par la nature de ce qu'il est censé incarner ainsi que du nombre infini de théories que l'on peut échafauder quant à son emblématique durée. Il permet derrière de soulever de nombreuses question sur la nature du silence véritable (que jamais nous humains ne connaitront, à moins d'être largués dans l'espace sans casque - auquel cas il s'agira de la dernière expérience de notre vie) et quant à son influence sur la psyché humaine (le bruit est un facteur omniprésent de notre mode de vie occidental et de ses multiples interventions technologiques bruyantes); au centre de toutes les cultures prônant la méditation, le silence serait un élément indispensable à l'atteinte du calme véritable. Enfin, le silence est l'incarnation de nos peurs les plus profondes, de toutes les questions métaphysiques qu'ont pu soulever les hommes sur la nature de l'existence, et la question du néant. 4'33 soulève autant de questions passionnantes.

Il n'est malheureusement point question de musique ici, étant donné qu'il n'y a tout simplement rien. Quand bien même seriez-vous un inconditionnel de Miles DAVIS, 4'33 n'a pas plus vocation à être qualifié de musique que n'importe quel bruit ou son, étant donné qu'il n'est lui-même qu'un bruit ininterrompu : celui du silence. Et si d'aventure on déclarait que la Musique n'a pas à suivre d'autre définition que celle d'être du son, on lui ce-faisant arrache son statut d'Art.
Comme dirait un bien connu chroniqueur sur ce site, "Tout bruit est musique, certes, mais toute musique n'est pas Art".





The HEARTBREAKERS
L.A.M.F.


Le 03 Février 2017 par LONG JOHN SILVER


Je n'émettrai pas les mêmes réserves que le Kingbee, moi je mets 5 sans même avoir à réécouter. :) Je plaisante.
C'est même le contraire, par pur esprit de contradiction keupon. D'ailleurs ayant vu que Nosferatu avait eu la bonne idée de chroniquer (c'est pas trop top !) L.A.M.F, il m'était impossible de ne pas ressortir le vinyle d'époque. Rien que "Pirate Love", qui m'a fait passer des moments cultes sur ma double cutaway, est indispensable.





PJ HARVEY
THE HOPE SIX DEMOLITION PROJECT


Le 03 Février 2017 par FRANCIS BROKA

Remarquable critique sur un gros ratage. Tout ce que j'ai éprouvé à l'écoute du disque est exprimé beaucoup mieux que j'aurais pu le faire. PJ Harvey est parait-il obsédée par la hantise de ne pas proposer deux fois la même chose... Elle ne nous donne à entendre ici qu'une resucée de 'Let England Shake, en beaucoup moins bon. Et il est enrageant de devoir constater que l'album a encore une fois été majoritairement encensé. Elle semble avoir atteint le statut d'icöne qui fait qu'on ne peut plus rien lui reprocher, comme Kate Bush, devenue une grosse dame respectable qui a perdu toute folie et toute créativité en s'éloignant pendant douze ans. Marre des icönes ! Allons vite réécouter 'Is This Desire' !





The HEARTBREAKERS
L.A.M.F.


Le 03 Février 2017 par LE KINGBEE

Une excellente chronique qui se dévore avec un plaisir. Un album marquant de l'année 77. Je confirme pour le son et le mixe pour avoir écouté plusieurs pressages. Il semblerait que le label nippon Teichu Records soit parvenu à dépoussiérer quelque peu le disque réédité sous l’appellation "LAMF Revisited", mais je n'ai jamais écouté cette publication. Un album qui vaut mérite une note oscillant entre 4 et 5.







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