Le 02 Février 2014 par CHIPSTOUILLE

J'avais promis il y a un an à mes coéquipiers de réécrire cette fameuse chronique des quatre saisons dont le style, il me faut l'admettre, était bien lourd. En tant que chronique la plus lue du site, chose dont je suis le premier surpris, elle s'avérait être une piètre publicité pour le reste. Je n'ai en revanche, pas su éviter l'excès au niveau longueur, vous m'en excuserez.

Ce message pourra également servir aux lecteurs qui ne comprendraient pas pourquoi j'y parle de la version de Fabio Biondi tout en affirmant ne pas la connaître dans les réponses adressées à Possopo dans la section questions/réponses. La chronique actuelle a donc été écrite postérieurement.

Mon avis n'a du reste, pas changé d'un iota. Il Giardino Armonico conserve ma préférence.

Le 02 Février 2014 par POWERBEAUF

"Jugulator" ! Qu'est-ce que ce disque a été attendu avec crainte ! Crainte que JUDAS PRIEST fasse comme IRON MAIDEN 2 ans plus tôt, à savoir se tromper de chanteur et sortir un album certes intéressant, mais doté de morceaux gâchés par des longueurs.

La première crainte s'estompe dès la plage titulaire : techniquement, Tim Owens a la carrure pour succéder à Rob Halford ; pour ce qui est du feeling, c'est une autre histoire. Mais bon, les lignes vocales de cet album bourrin ne lui permettent pas non plus de briller dans ce domaine...

Si le casting rassure immédiatement, le contenu laisse carrément à désirer. Tipton et Downing ont choisi une direction musicale lorgnant clairement vers le Post-Thrash (PANTERA, MACHINE HEAD, et même SEPULTURA au niveau du son des guitares) et le Neo Metal, un genre qui commence à faire son trou aux Etats-Unis avec KORN. Exit la production léchée de MM. Allom et Tsangarides, les duels de solos de guitares et la recherche de mélodies vocales et instrumentales. A la place, les duettistes nous sortent un album sans mélodie, bourré de grattes surcompressées et de solos brefs, bruitistes et souvent dépourvus de construction. Quant aux paroles, bonjour les clichés. Et comme pour l'album "Ram it down", cela ne passe pas non plus. Je n'ai absolument rien contre le fait qu'un groupe fasse l'effort de moderniser sa musique ou même de se réinventer, mais à condition que le contenu soit bon.

Or, le contenu de cet album n'est ni très bon, ni totalement mauvais, mais terne. Et surtout, bien en-dessous des standards de qualité que le groupe s'est imposé sous l'ère Halford. Ainsi, le titre "Jugulator" est un morceau bancal composé de parties mal assemblées entre elles, mais dont le seul but est d'introniser Owens à tout prix (et tant pis si certaines de ses montées sont inutiles). La suite est composée de morceaux débutant de manière systématique par une intro (et non plus un riff) et se poursuivant sans qu'on retienne grand chose : riffs, couplets et refrains n'accrochent pas et sont parfois même risibles (cf "Brain Dead"). Quant aux solos, c'est à croire que Tipton et Downing ont désappris la manière d'en composer et d'en jouer.

Alors, bien sûr, quelques morceaux sont meilleurs que d'autres : le single "Bullet Train" et "Death Row" sont accrocheurs, "Cathedral Spires" vaut également le détour, mais le reste... Quelle déception à sa sortie ! 16 ans plus tard, je n'en pense pas plus de bien.
Bref, un album à l'image de sa pochette pixelisée : indigne de son géniteur !

Le 01 Février 2014 par FRED87

L'album ultime du heavy, la définition même de ce que doit être le metal, painkiller donne ses lettres de noblesses à ce style.

Le 01 Février 2014 par DJINN

Une note assez juste, j'aurais cité les mêmes bons titres que RED ONE. Ceci dit, c'est un bon trois étoiles, qu'on écoute avec plaisir tout en étant conscient de ses faiblesses.

Le 01 Février 2014 par ARP2600

Je tiens à signaler que j'ai refait cette chronique, remplacée sur le site en date de ce commentaire. Le texte qui était présent auparavant était une réécriture pour combler le vide laissé par le "chroniqueur inconnu", que j'avais écrite un peu à la va-vite. Depuis, je me suis passionné pour les premières années du groupe, et il m'apparaît que ce disque est bien meilleur que ce que j'avais pensé, leur meilleur en fait (je rejoins maintenant totalement l'avis de Leo ci-dessous).
Pour être cohérent, j'ai également remanié les chroniques de New Gold Dream et Sparkle in the rain, même si je n'ai pas changé d'opinion quant à leur qualité.

Le 01 Février 2014 par COLOSSUS

Comme d'habitude, Cali en fait trop. Je ne serai pas aussi complaisant que la chronique, car je dois bien avouer qu'en ancien fan du bonhomme, ce disque m'a vraiment fatigué.

Le 31 Janvier 2014 par SABBBL

Bonjour chers amis musicophil(barney),

je ne suis pas la ménagère de 50 ans mais plutôt le ménager de 43 ans mais bon c'est pas grave.

Je veux juste dire que j'adore ce mec qui n'a pas eu le succés international qu'il méritait,et pourtant je suis un métalleux.(bon d'accord j'assume pas quand les potes viennent chez moi et je planque toute sa discographie(que je suis fier de posséder dans son intégralité)

D'ailleurs cela me donne une idée,ne pourriez-vous pas créer une rubrique des artistes qu'on adore en cachette?

Sinon bon album qui sent bon les années 80 et que j'écoute toujours avec plaisir.
a+

Le 29 Janvier 2014 par TUTU_DENTELLE

Cet album est superbe mais contient quand même quelques défauts un peu gênants. Déjà dans Dance Little Sister, la finale du morceau est horriblement répétitive. Et cette idée de répétition interminable se retrouve aussi dans Let It Shine, le refrain des cœurs est interminable. L'album est déjà fort court ça sens le remplissage gratuit.
Tout le reste est parfait.

Le 29 Janvier 2014 par POWERBEAUF

A part "Ram it Down", "Blood Red Skies" et "Johnny B. Goode" qui sont des tueries absolues, et à la rigueur le très lourd "Monsters of Rock", le reste de ce disque est beaucoup trop moyen. Pas mauvais, mais sans grande saveur.

Le PRIEST a donné à ses compos des titres hyper-clichés afin de montrer sa volonté de revenir à du Metal sans concession et de rassurer le chaland hésitant à passer à nouveau à la caisse (il faut dire que malgré son succès, "Turbo" avait échaudé énormément de monde). Peine perdue, bien que toujours enviables, les ventes vont dégringoler avec ce disque.

Entendons-nous bien, JUDAS PRIEST a toujours été un groupe jouant à fond sur les clichés. Aussi longtemps que la musique qu'ils proposaient était géniale, ça passait sans problème. Là, ça ne marche plus, et cela donne même un côté un peu ridicule à ce disque. Ce n'est pas très grave, le groupe va rapidement faire taire les sceptiques avec l'album suivant, une fois ses démêlés avec la justice US terminée (vous savez, l'affaire du soi-disant message subliminal "ayant poussé" 2 ados au suicide).

Par contre, en énorme fan des '80s, je dois dire que j'adore la production de cet album (boîte à rythmes ou pas). Pas à dire, Tom Allom est un producteur beaucoup trop sous-estimé. Quand au départ de Dave Holland, le moins que l'on puisse dire est qu'il était inéluctable depuis la tournée "Screaming for Vengeance" : le groupe a sacrément durci sa musique par la suite, et son jeu typé "Hard Rock" n'était plus adapté au groupe. Aussi bon soit-il, je n'ai jamais compris comment il a pu rester aussi longtemps dans le groupe.

Note réelle : 2,5/5

Le 29 Janvier 2014 par OPOTITI

Je suis tout à fait d'accord avec la chronique.
Pearl Jam ne se renouvelle pas, mais je fais remonter cette stagnation à No Code. En effet à partir de cet album le groupe ne fait que tourner en rond en sortant des albums sympatoches mais n'apportant absolument rien de nouveau, et la production insipide n'aide pas. Le seul regain qu'ils ont eu est avec l'album à l'avocat qui était assez bon. Sinon ça s'écoute sans casser 3 pattes à un canard, et Lightning Bolt est dans cette continuité. Sauf que l'album a fait le mauvais choix des singles, entre Mind Your Manners qui est très moyen et Sirens qui est simplement nulle et niaise. Le seul morceau qui se démarque est Yellow Moon, très joli.
Je peux pas parler de déception car je m'y attendais, mais quand même c'est dommage qu'un groupe aussi excellent fournisse des sorties aussi molles depuis si longtemps.

Le 29 Janvier 2014 par POWERBEAUF

Pour moi, cet album représente la quintessence de ce qu'est le Heavy Metal, en toute simplicité ! Je ne suis pas dupe de ses menus défauts (une certaine répétition dans les breaks ou les suites d'accords ou de notes, un dernier titre très bon mais dont les nombreux solos font plus office de remplissage et de démonstration qu'autre chose), mais franchement, que pèsent-ils face à ce déluge d'extase métallique ? Rien à mes oreilles. Cet album est extraordinaire et squatte régulièrement ma platine depuis maintenant 20 ans pour mon plus grand bonheur ! Quel disque !

Note réelle : ∞/5

Le 28 Janvier 2014 par CAPTAIN IGLOO

Très bonne chronique, je me retrouve dans les propos tenus par l'auteur.

Trois premiers titres excellents, puis Sirens arrive. Pas un mauvais titre mais aucune émotion pour ma part.
Lightning Bolt est fade.

Cela repart bien de Infaillible à Swallowed Whole et puis ... plus rien !

6 bons titres sur 12 = je donne la note de 2 car je suis accroc à ce groupe et il me déçoit de nouveau après un Backspacer très agréable.

Le 27 Janvier 2014 par AZER

En voilà un méchant commentaire Baazbaaz ! Très méchant pour un groupe aussi talentueux que les ARCTIC MONKEYS ! Leur premier album était de la folie furieuse, le deuxième pareil (je n'ai pas écouté les autres désolé), et cet album est somme toute, très sympathique voire excellent. Do I Wanna Know est un tube des plus sympathiques par ailleurs. Et s'il n'atteint pas l'excellence de Whatever People..., cet album confirme tout le bien dont je pensais (avec la moitié de l'Angleterre) des ARCTIC MONKEYS.

Le 27 Janvier 2014 par DANY

Excellent album, ça va de soi. Ce groupe a toujours bossé parfaitement pour vaincre les à priori et les stéréotypes raciaux.

Le 26 Janvier 2014 par POWERBEAUF

Un album injustement méprisé à cause de sa production plus synthétique, de ses paroles traitant de sujets "trop bassement sentimentales", et de l'absence de speederies. Sauf qu'en dépit de ces critiques, "Turbo" porte incontestablement l'ADN de JUDAS PRIEST, car quoi qu'on en dise, ce disque reste un disque de Metal : le son est extrêmement puissant, la voix de Rob Halford reste bien plus agressive que celle des chanteurs de Hard US, et malgré quelques niaiseries, les paroles restent viriles dans l'ensemble.

Pour enfoncer le clou, je rajouterai qu'en réalité, le vrai problème de "Turbo" est que le choix des titres retenus sur la version définitive de l'album n'a pas toujours été très heureux : si "Parental Guidance" et "Hot for Love" avaient été remplacés par "Ram it down" et "Prisoner of your Eyes", alors on aurait eu un album du feu de Dieu ! Parce que pour le reste, je n'ai pas grand chose à redire : "Turbo Lover" et "Out in the Cold" (malgré son intro jouée n'importe comment sur un Bontempi pourri) sont des ouvertures géniales pour chaque face, "Locked in" et "Reckless" sont rentre-dedans dans la grande tradition priestienne, et les soi-disant chansons commerciales "Private Property", "Wild Nights, Hot & Crazy Days" et "Rock You all around the World" ne le sont pas plus que "Living after Midnight" et "You've another Thing comin'" et elles sont même très sympas. Personnellement, en grand fan du son des '80s, j'ai toujours considéré "Private Property" comme un excellent hymne d'arena-rock (genre que j'affectionne particulièrement).

Bien qu'inférieur à "Defender of the Faith", "Turbo" n'en demeure pas moins un très bon album, et peut-être le meilleur disque radio-friendly réalisé par un groupe européen de Metal durant les '80s.

Le 25 Janvier 2014 par CéDRIC

Un très bon début pour Aerosmith mais le meilleur reste à venir. Chansons préférées : Make It, Somebody, Mama Kin et la ballade Dream On.

Le 25 Janvier 2014 par POWERBEAUF

Un live monumental qu'il est de bon ton de dénigrer sous prétexte que "Turbo" y serait sur-représenté et qu'"Unleashed in the East" lui serait nettement supérieur.
Tordons d'entrée de jeu le cou au second grief : les setlists sont totalement différentes, complémentaires, et représentatives de ce qu'était le groupe à 2 époques différentes ; comparer les 2 albums a autant de sens que de comparer "Word Wide Live" et "Tokyo Tapes" de SCORPIONS.

La sur-représentation de "Turbo" par rapport à "British Steel" et "Screaming for "Vengeance" est en revanche plus critiquable. Le très faible "Parental Guidance" fait tache et aurait dû être remplacé par "Rapid Fire" ou "Riding on the Wind", par exemple. A cette réserve près, la setlist proposée me convient très bien. Je considère qu'un groupe doit toujours mettre en avant ses dernières compos, surtout si elles sont de qualité. J'ai déjà écrit ici tout le bien que je pensais de "Defender of the Faith", j'aurai sans doute très vite l'occasion de faire de même avec "Turbo" ;). La sous-représentation de "Point of Entry", elle, ne me pose aucun problème : cet album a beau être intéressant, je crois que l'inclusion d'autres morceaux que "Heading Out to the Highway" aurait juré au milieu de tous ces brulots Metal.

Mais la setlist ne fait pas tout. L'interprétation du groupe est absolument irréprochable, avec un Rob Halford impérial en maître de cérémonie devant un public enthousiaste. Je trouve que tous les titres sont au moins au même niveau que leur version studio. "Out of the Cold", dont l'intro au synthé n'est pas jouée de manière hésitante comme en studio, et "Breaking the Law", rehaussée par l'ajout d'un bref solo, sont même meilleures que dans leur version originale, selon moi.

Néanmoins, la production est tellement monstrueuse et lisse que l'authenticité live est parfois douteuse. J'ai toujours été surpris de voir que les choeurs d'"Out in the Cold" sont bien présents sur disque, alors qu'ils sont totalement absents de la video "Electric Eye" captée sur cette même tournée américaine... Ont-ils été rajoutés en studio ? Au passage, rappelons que sur le Fuel for Life Tour, le groupe n'était pas composé de 5, mais de 6 membres : à l'abri des regards, Jonathan Valen jouait sur une batterie électronique et doublait les parties de Dave Holland afin de donner un son surpuissant à l'instrument. Ce batteur "fantôme" n'a jamais été crédité et autant que je sache, le groupe a toujours gardé le silence sur ce sujet...

Ce sont les 2 seules choses qui gâchent un peu mon plaisir à l'écoute de ce disque, car pour le reste, je n'ai vraiment pas grand chose à redire. Sentimentalement, je suis très attaché à ce live : il fut mon premier contact avec la musique du Priest, et la contemplation de la photo intérieure du groupe sur scène (avec les 2 guitaristes dans les bras du robot géant, et Rob haranguant le public les bras en l'air) alors que retentissaient sur ma chaine hi-fi les coups sourds de caisse claire au début d'"Out in the Cold" fut un moment décisif de ma passion pour le Heavy Metal.

Le 5/5 est sans doute exagéré, mais j'adore tellement ce disque...

Le 24 Janvier 2014 par NONO

INVISIBLE TOUCH est un album que j'affectionne beaucoup, contrairement à son prédécesseur de 1983 que je déteste. Je trouve que Genesis a bien progressé entre ces deux albums, en prouvant que "commercial" (dans le sens "tube à succès"), ne rime pas forcément avec "platitude".
Ici, évidemment, le groupe plonge totalement dans le style 80 avec tout ce que ça comprend d'effets et d'artifices, mais en gardant résolument un sens de la créativité. En clair, le groupe s'en sort très bien.
Pour moi, INVISIBLE TOUCH est un album plus progressif qu'on le croit, cuisiné avec des sons "synth-pop" malgré tout. C'est ce qui fait son paradoxe mais aussi sa richesse.
Car ne nous y trompons pas, il ne faudrait pas croire que les seuls relents progressifs du disque se cantonnent aux deux parties de "Domino", et encore pire: penser que "ça date de 1986 donc exit le progressif".... Quelle erreur mes amis !
Ne voyez-vous pas, dans bien des recoins de chaque chanson "pop" de ce disque, un solo, un pont, une petite touche de créativité supplémentaire qui justement rappelle quelque chose d'un peu plus riche qu'un simple "tube 80" ? Moi j'en vois plein : cette petite pause instrumentale au milieu de "Land of confusion", cette structure rythmique alambiquée et cette atmosphère légère de la chanson-titre que j'ai toujours adoré (pourtant ce titre est souvent détesté... j'ai jamais compris pourquoi). Et que dire du sublime "Tonight tonight tonight", et du bel instrumental final ? Si ce n'est pas progressif ça, qu'on me pende haut et court !
Alors, oui, certains peuvent dire "Pouah, c'est du 80..." Il faut pourtant reconnaître que le grand coup de maître de Genesis est d'avoir su continuer à être très créatif, en utilisant les outils du présent.
Bel album qui mérite d'être réécouté, et non de subir automatiquement tous les poncifs liés à cette époque-là.

Le 23 Janvier 2014 par CHARLES

Hello. Je me fends d'un commentaire sur cet autre album "atypique" de JUDAS, après celui que j'ai pondu sur Point Of Entry.
J'aime bien ! Dans l'esprit, c'est comparable aux deux premiers SCORPIONS : plein de bonnes choses et assez succulent à découvrir, un Rock vaguement Hard très marqué par le psychédélisme du début des 70's. En bref : un potentiel certain et du dépaysement. Pour moi, ça fait l'affaire !

Par contre, j'ai du mal à rattacher le groupe au Hard, surtout à PURPLE mk2, dont la musique est beaucoup plus Heavy.
Certes ils y a une influence BLACK SABBATH (des "pays" à eux) sur cet album, mais la musique de JUDAS est alors beaucoup moins lourde et plus expérimentale (psychédélique), plus subtile que celle du groupe de Iommi.
A ce titre, j'aime beaucoup les effluves mélodiques et progressives de Run of the mill, entre autres. C'est raffiné, et je ne trouve pas cela ni chez PURPLE, ni chez SABBATH.
Pour moi, JUDAS PRIEST n'entre dans la sphère HM qu'avec l'album suivant, où l'influence SABBATH sera là totalement évidente (un peu trop ???).
Non, cet album est une sorte d'OVNI musical dans l'histoire du groupe, un peu comme les deux premiers (le premier surtout) SCORPIONS.
Un jeune groupe prometteur dont l'écoute est dépaysante.

Le 23 Janvier 2014 par CHARLES

"Tous leurs albums à partir de 82 sonneront artificiellement surgonflés et horriblement datés avec les années (chose commune à de nombreuses formations des 70's à partir du milieu des années 80. SCORPIONS, DEEP PURPLE & Co. n'y échapperont pas!)."
C'est tellement vrai ! C'est ce qui me rend l'écoute d'un "Love at first sting"si douloureuse, malgré l'excellente tenue des compositions (comme d'habitude !!). Mais ce son de batterie... la maladie des mid-80's !!!! Le prêtre judas sera aussi malheureusement rapidement contaminé. Ce n'est pas encore le cas sur cet album, mais cela ne va pas tarder.