Le 22 Janvier 2014 par CHARLES

Salut. Pour moi qui suis un peu hors de la boucle HM, mais qui connait quand même bien JUDAS PRIEST, c'est l'album que j'écoute le plus du groupe.
Je me suis en fait lassé de l'époque HM du groupe et c'est ce Point Of Entry que j'écoute le plus. Je le trouve frais, pro', efficace, fun parfois... je ne vois pas trop ce que je pourrais lui reprocher, surtout que la période " US festival 83", avec la moto, le Metal en fusion et tout, et tout, ce n'est déjà plus trop mon truc (même si j'aime bien).
Je me retrouve du fait davantage dans ce PRIEST plus mainstream, plus organique et détendu, très sûr de son talent mais néanmois sans esbroufe... presque "groovy"...la classe, quoi ! Et j'aime bien "You say yes".
Une mention spéciale au jeu très sobre de Dave Holland, bien plus à sa place içi que sur les albums à venir où son style tout en sobriété et en feeling ne sera plus adapté. Il finira d'ailleurs par être remplacé par une boite à rythme (l'album après Turbo), c'est dire que le groove va très vite mourir chez JUDAS (snif...)... avec une "apogée" sur l'album de 1990, genre double grosse caisse à fond la caisse... là je passe, ce n'est plus "mon" PRIEST". C'est "too much".
Point Of Entry est à redécouvrir, avec un regard peut-être décalé, un peu de recul. C'est aussi peut-être la fin d'une époque, celle où on pouvait encore un peu dévier de la route au niveau artistique. JUDAS PRIEST prisonnier de son image ?

Le 22 Janvier 2014 par POWERBEAUF

L'un des meilleurs albums de Heavy Metal de tous les temps, selon moi.

Je trouve que le groupe a réussi à surpasser le génial "Screaming for Vengeance" en alignant une série de tubes phénoménaux et en les parant d'une production encore plus puissante. Avec un Rob Halford en transe tout au long du disque, une paire de guitaristes inspirés comme jamais, une section rythmique qui tient parfaitement la baraque et un Tom Allom phénoménal derrière la console, on tient là une pierre angulaire du genre.

Inutile de détailler les titres un par un, tous (à part "Night comes down" qui est "seulement" bon) sont des hymnes dignes de figurer dans n'importe quelle compilation du genre. Pour ne rien gâter, l'édition remasterisée de 2001 contient en bonus une ballade sublime. J'espère que pour fêter les 30 ans de ce chef d'oeuvre, nous aurons droit à un DVD de la tournée qui a suivi. Croisons les doigts !

Note réelle : ~ ∞/5 (soyons fous !)

Le 21 Janvier 2014 par POWERBEAUF

Un live qui n'est ni mauvais, ni génial, mais à l'image des 2 albums studio du groupe : les réussites côtoient le remplissage lourdaud.

Pour notre plus grand bonheur, les chansons sont parfaitement exécutées (alors qu'il n'y a que 3 musiciens sur scène) et à peine rallongées par rapport à leur version studio. "RDV 6:02" reste un titre extraordinaire (bien que le début, l'effet de pleurage au synthé me casse les oreilles), "Nothing to lose" un bijou de pop progressive, et les titres du premier album sur la face B passent très bien. Même l'inédit "Night after night" qui ouvre le disque est sympa, malgré un début peu engageant.

En revanche, quel dommage que les 2 faces s'achèvent sur des titres aussi décevants que "Caesar's Palace Blues" et l'insupportable "As Long as You Want Me Here". "Thirty Years" et "The only Thing she needs" les auraient avantageusement remplacés.

Au final, un live plutôt agréable qui clôt pour très longtemps la carrière de UK, un groupe éphémère qui aura quand même laissé une poignée de grands titres.

Le 21 Janvier 2014 par POWERBEAUF

FA-BU-LEUX de bout en bout, cet album est encore plus fantastique dans sa version "30th Anniversary" sortie il y a un peu plus d'un an : l'inédit "Prisoner of your Eyes" (déjà présent sur l'édition remasterisée de 2001) est génial et le DVD enregistré à l'US Festival Show de 1983 permet de revivre un immense moment de Metal !

Et dire que le groupe fera encore mieux en 1984 !

Le 21 Janvier 2014 par LEO

Ce live fait partie des plus grands disques enregistrés en concert.
Même si la musique de U.K. partage pas mal de points communs avec ses glorieux aînés du prog, la musique du trio (ex-quatuor) n'est à l'inverse jamais lourde et boursouflée comme cela a pu être le cas en particulier chez ELP et YES ou farcie d'impros expérimentales bruitistes à n'en plus finir que l'on pouvait trouver chez KING CRIMSON autant en studio que sur scène.
Les 2 albums studio de U.K. ansi que ce live vont justement à l'essentiel sans s’embarrasser de trop de longueurs inhérentes au genre pratiqué.
Le seul regret que l'on peut avoir avec cet album live, c'est qu'il soit simple et non double, d'autant que les titres "Danger Money", "The Only Thing She Needs", "Thirty Years" et "Carrying No Cross" furent joués ces 2 soirs du 31 Mai et 1er Juin '79 au Japon.
La set-list était également composée d'une impro pour chacun des membres du groupe, mais je dois dire (pour avoir entendu des bootlegs tirés de ces concerts) que l'on a pas perdu grand chose ! c'est même le contraire puisque ces 3 passages en solo auraient alourdi et cassé la belle unité et l'urgence que l'on peut ressentir à l'écoute de ce Night After Night.
Dommage que le trio n'ait pas continué encore pour 1 ou 2 albums car U.K. était autrement plus intéressant et excitant que cette horreur de supergroupe de variétoche dans lequel a sévi John Wetton & Co. ... Je veux parler d'ASIA bien sur!

Le 20 Janvier 2014 par FREDJ

Premier album que j'ai écouté du Priest... Imaginez le choc ! Dès l'intro, le groupe annonce la couleur : ça va chier ! Et la paf on se prend "Electric Eye" dans les dents enchaîné sur "Riding on the wind" ! Ouch, on a connu plus calme pour commencer un album ! Mais déjà les clavicules se décoincent et ne ne sont pas prêtes de se reposer !

"Bloodstone" fait bien mal aussi avec son intro presque planante et surtout un riff de dément, "take these chains" calme le jeu, mais le Priest en profite pour imprimer à jamais le refrain dans le crâne.

Et vous pensiez que le groupe allait se calmer pour la suite de l'album ? MOUAHAHA le morceau éponyme bien speed va vite vous mettre par terre ! Arrive LE tube "you've got another thing coming", un Ovni que seul le groupe est capable de nous pondre.

On termine par "Devil's Child" avec son riff et son refrain assassin !

Inutile donc de résister : Judas Priest signe ici son meilleur album, une énergie incroyable se dégage de ce disque, l'essayer c'est l'adopter !

Le groupe signera un autre chef d'œuvre 2 ans plus tard, mais ce sera pour la prochaine chronique ;)

Gloire au Priest !

Le 20 Janvier 2014 par BABAR LE LOUBARD

J'ai été un grand fan de cet album, que j'écoutais fréquemment d'une traite lorsque je l'ai découvert... il y a 7 ans (déjà!).

En fait, cet album possède 2 problèmes (on va commencer par là):
-Premièrement, ses nombreuses expérimentations qui le composent: "Pig" part dans tous les sens et en devient fatigant, "The road to the mt Cavary" ne possède quasiment pas de mélodie (des nappes de clavier, des chœurs puis des cris de souffrance... bof), les 3 dernières minutes de "Down Deep Into The Pain" ne servent à rien... Tous ces détails cassent vraiment le rythme de l'album.
-Ensuite, (et là je vais me faire des ennemis) l'autre problème c'est Devin Townsend : on sent ici qu'il n'est pas encore très mature artistiquement. J'adore ce chanteur, mais sur des morceaux comme "Sex and Religion" ou "Dirty Black Hole", il en fait vraiment des tonnes... Heureusement il sera moins "hyperactif" sur ses albums solo... quoique...

Ces deux points sont vraiment frustrants, d'autant plus que l'album possède en contre partie des morceaux groovy, mélodiques, puissants... bref qui frôlent la perfection. "Here and Now", "Survive", et surtout l'immense "Still my Bleeding Heart" (et son "solo" de voix assez magistrale à la fin) justifient presque à eux seul l'écoute de cette galette.
Les autres pistes, même si elles n'atteignent pas le même niveau, contribuent à la cohésion de l'album font passer un bon moment à l'auditeur (Télérama bonjour).

En bref, avec le recul, cet album côtoie l'anecdotique et la perfection. Un bon gros 3/5, ni plus ni moins pour ma part.

Le 19 Janvier 2014 par RAMON

Après cinq disques qui révélaient le talent éblouissant de ce groupe américain fortement inspiré par les groupes Prog anglais (Genesis en tête, mais Yes aussi, Jethro Tull également et Tutti Quanti) et le Hard Rock tout aussi Briton d'un Deep Purple, voire d'un Uriah Heep, KANSAS avait fini par délivrer LE LIVE ultime: "Two For The Show", à classer parmi les tout meilleurs jamais enregistrés, un machin dont on peut dire que si tu ne l'as pas écouté (pas entendu: écouté et même religieusement écouté), bah y'a rien à faire, il te manquera toujours une référence dans ta culture rock'n'rollienne tant que tu n'auras pas comblé ce manque, que dis-je ce trou béant.
Toute la période que je viens de décrire étant ignorée sur ce site ainsi que sur le site frangin (NIME), le lecteur devra se rabattre pour se faire opinion de la chose sur ce que le groupe a produit de moins intéressant et c'est là une lacune inexplicable.
Ignoré également, Monolith, l'album paru en 1979 à la pochette post apocalyptique splendide mais au contenu totalement indigent, un peu comme si Genesis était passé directement de "Seconds Out" à "And then they were three.
Nan... ils l'ont fait ?!?

En 1980, déboule "Audio Vision" et cette fois-ci c'est la pochette qui est nulle, par contre, niveau musique, la formation reine du groupe se ressaisit par rapport à son prédécesseur et contrairement aux dires du chroniqueur, on trouve quand même ça et là quelques bon trucs tout à fait dignes de s'aligner dans la succession des classiques enregistrés pendant la période dorée (et même multi-platinée) du sextet: Relentless marque dès l'entame un retour aux bonnes intentions musicales mais si on est en deçà, niveau qualitatif des plus grands standards du groupe, on se situe quand même pas mal.
Il y a Curtain of Iron qui s'inscrit exactement dans l'empreinte de l'œuvre passée, sans apporter rien de nouveau mais comme c'est bon, ça passe très bien. Loner qui dégomme bien avec son riff accrocheur sans parvenir à passer la stratosphère faute de prendre son temps, contient un bon solo toutefois.
Et puis il y a surtout la sublime ballade Hold On qui est un classique absolu, chose d'autant plus méritoire que réussir à passer le cap de l'exercice ultra exigeant de l'écriture, de l'interprétation et de la production de ce type de morceau est ultra périlleux, la plupart des artistes se prenant allègrement les pieds dans le tapis en se vautrant dans la niaiserie.
Après on oubliera vite fait les Anything for you, Got to Rock on ou encore Back Door, vraiment nuls (qui a mentionné Toto ?) pour ne retenir qu'un ensemble agréable, ce qui n'est pas si mal surtout si on le compare à ce qui a précédé et à ce qui va suivre.
Kansas restera un monstre de scène malgré le départ de Walsh, Elefante étant parfaitement capable de lui succéder sur les titres de la grande période, en revanche le potage FM des plus indigestes qui s'ensuivra en studio laisse à penser que la bande aurait du se contenter de rester sur les planches et si le retour du chanteur emblématique avec Steve Morse dans ses bagages ne sera pas (à mon sens) aussi catastrophique que ce qui en est dit sur les deux sites de Nightfall, on ne se lèvera pas non plus pour crier à l'injustice après avoir découvert les critiques assassines qui accompagnent les deux albums incriminés.

Kansas c'est avant tout cinq disques studio (les cinq premiers) et un Live mythique (il faut le marteler !), mais c'est aussi des prestations magiques visibles via internet sur LE site bien connu pour cela, quel que soit la formation en exercice, avec comme point d'orgue un concert filmé à Atlanta en 2002.
La géniale inspiration s'en est peut être allée mais la classe des interprètes, elle, est toujours bien présente.
Sinon cet Audio-Visions ?
Un tout petit 3/5 en souvenir du (glorieux) passé et c'est bien assez comme ça !

Le 18 Janvier 2014 par TERRY

Excellent album de Nanard ! Son meilleur depuis "If", sans doute.

Le 17 Janvier 2014 par ALPHATAURUS

Chronique absolument magnifique pour un disque qui l'est tout autant. De bout en bout, j'étais en totale extase et communion avec les mots de l'auteur.

Le 17 Janvier 2014 par TONY

Chaque nouvel album de Mylène Farmer depuis 1999 me semble plus mauvais que le précédent mais "Anamorphosée" est un petit bijou finement ciselé. Ici pas d'électro de supermarché ou de paroles aguicheuses, juste des chansons bien écrites qui restent longtemps dans la tête et qui vieillissent très bien... Son meilleur album probablement!

Le 16 Janvier 2014 par FREDJ

Cet album est clairement le "maître étalon" du Heavy !

Pour faire simple : si vous n'aimez pas cet album et bien arrêtez tout de suite d'écouter du Métal, c'est que cette musique n'est pas faite pour vous !

Mais que contient cet album au juste ? Et bien des hymnes à s'en époumoner pendant les concerts !

Rien que l'enchaînement Rapid Fire sur Metal Gods ... je ne sais pas quoi dire de plus si ce n'est que le Priest est au sommet en 1980 (et le restera un bon moment).

Et puis on a les tubes breaking the law et living after midnight dont je ne me lasse toujours pas malgré les nombreuses écoutes.

Bref vous l'aurez compris : British Steel est un chef d'oeuvre tout simplement (et encore je préfère screaming for vengeance et defenders of the faith !)

Le 16 Janvier 2014 par RED ONE

Après quelques écoutes rapides, j'avoue ne pas trop comprendre l'intérêt artistique d'un tel album....

Panique Celtique II était un disque opportuniste quasiment assumé de par son simple titre. C'était médiocre mais le but commercial de sa sortie était évident, et il n'y avait pas lieu d'en attendre des miracles.

Là, l'emballage est beaucoup plus étrange : Martial Tricoche se la joue "album intimiste" (d'où une pochette moins kitschouille que celle de Panique Celtique II), et on s'attendrait du coup à un disque dans la veine du second album de MANAU, "Fest Noz de Paname", voir du troisième "On peut tous rêver"...
Sauf que non, c'est toujours le même délire "rap médiéval mystique", plus commercial et opportuniste que jamais, et le contenu des paroles tout comme les rîmes sont quand même d'une pauvreté affligeante. Seules les instrus sauvent un peu la mise.
Mais un disque de rap seulement réussi pour ses instrus, c'est quand même assez naze et c'est même antinomique...

Dommage.

Le 16 Janvier 2014 par JEFF KANJI

Parfaitement résumé. L'album culte par excellence, absolument pas parfait mais c'est aussi ce qui lui donne son charme. Bien que je lui préfère le Heavy plus radical de "Screaming For Vengeance", il faut avouer qu'en 1980, il fallait sortir un opus de cette trempe au milieu de la razzia NWOBHM ambiante dans laquelle JUDAS PRIEST semble bien mieux à son aise que tous les ténors du Heavy des 70's.

Le 16 Janvier 2014 par RIKKIT

Absolument génial cet album. Le premier Death in June qui me soit tombé sous la main.

Le 16 Janvier 2014 par POWERBEAUF

Un disque un brin inégal, mais tellement bon ! A lui seul, "Rapid Fire", avec son break phénoménal, en justifie l'achat. Et que dire de l'hymne "Breaking the Law" (au clip hilarant), de "Rage", de "Steeler", de ... ? Même le très (trop ?) facile "Living after Midnight" passe comme une lettre à la poste ! Je suis un peu moins fan de "United" et "You don't have to be old to be wise", mais cette légère baisse de régime n'est pas rédhibitoire du tout.

5/5, bien évidemment.

Le 14 Janvier 2014 par POWERBEAUF

Sans être un inconditionnel du PRIEST des '70s, "Unleashed in the East" (ou "Unleashed in the Studio ", comme l'avaient surnommé ses détracteurs...) est un incroyable concentré de puissance, de maîtrise et de mélodie. Quel fan de Metal peut résister à une telle déflagration ? Pas moi, en tous cas... Et tant pis pour le son "trop parfait pour être honnête" : depuis le temps, il y a prescription. Et puis, combien d'enregistrements live officiels n'ont pas bénéficié d'overdubs ? Sûrement pas tant que ça. Alors...

5/5 sans hésiter. Le pire, c'est que ce n'est même pas mon live préféré du PRIEST !

Le 14 Janvier 2014 par LE OUISTITI

Merci pour l'explication concernant la captation "live ou pas live" de ce... live.

Sans jouer les fanatiques du 100% brut de pomme, c'est un peu dommage que Robinou ait du refaire ses parties de chant ensuite. L'alchimie du concert, ces moments d'extase sonore qui allient les guitares et le chant, ces instants de totale osmose ou au contraire de fougueuse joute vocalo-guitaristique y perdent fatalement un peu d'ame.

Pour moi Unleashed In The East est un beau temoignage de la puissance du Priest, mais il souffrira eternellement de ces soucis d'enregistrement, dommage...

4/5 parce que cela demeure la musique officielle des Enfers sur Terre.

Le 13 Janvier 2014 par BAYOU

Un peu sévère quand même, le problème est surtout le manque d'un autre instrumentiste en live ce qui laisse la part trop belle à Eddie Jobson.
Et Terry Bozzio, quand il sort du studio, il accompagne Jeff Beck.
Rien que cela !

Le 13 Janvier 2014 par FRAGDOKTOR

Ah bon? C'est un live ça? Les "fans" devaient être au nombre de...4 et n'ont rien pu faire face à ce naufrage...une fois de plus, c'est un album studio avec quelques cris ça et là histoire de rappeler que l'on est dans une salle de concert...

Tellement retravaillé que côté émotion, c'est vraiment proche de zéro et les 4 kikis du début qui font encore semblant d'y croire...autant avant j'avais des frissons sur certains titres (tournée 1996 par exemple) que là, c'est cardiogramme plat et c'est bien dommage.

Mais quelques bonnes surprises malgré tout et comme expliqué dans la chronique, de jolies choses qui m'ont séduit. Y a rien à faire, elle saura toujours comment me prendre la Mylène...du coup, il me fait oublier (sans effort) la daube précédente. J'ai apprécié davantage Bleu Noir. Certes pas top génial mais au moins plus honnête...

Note: 3/5.