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TANGERINE DREAM
JEANNE D'ARC


Le 30 Août 2024 par BAKER


Très bon disque et surtout excellent titre, "Le Combat Des Epées", incroyable avec cette sensualité diaphane mais drivante derrière, qui prend son temps et surtout distille son son (oui oui) principal avec délectation.

Les synthésistes qui me lisent et ont trouvé un jour LE son sur LE synthé me comprendront : c'est un peu comme jouer un mi mineur sur ZEU guitare qu'on attendait.

...Merci Thorsten (et ce sera pas la dernière fois)





Robert PALMER
PRIDE


Le 30 Août 2024 par HDPE79

@Nono, si on peut déterminer le style dans les grandes lignes d'abord du pop/soul dans les premiers albums avec parfois des tons exotiques, et dans les années 80 (à part celui-ci) c'est plutôt rock bien rythmé.





The GUN CLUB
FIRE OF LOVE


Le 30 Août 2024 par BLUEMASK


Un grand disque se mesure à sa qualité propre, son imagerie et son impact.
Ici, le Gun Club signe une série de titres forts, punk-new wave-blues mais pas le blues des lord anglais, celui de Son House, Leadbelly, Robert Johnson (ici repris). En gardant le schema ultra-roots et à l'os de cette musique et en le dynamitant à l'électricité punk, les 'Sex beat', 'For the love of Ivy' (quel titre, quelle basse !!), 'Fire Spirit' et l'hypnotique 'Cool Drink of water' et quasiment tous les autres titres deviennent des standards du rock.
Question imagerie, c'est le vaudou, les années 30, le marais, s'inspirant de Screamin' Jay Hawkins, du cabaret, mais c'est aussi le parcours météore de Jeffrey Lee Pierce, sa légende de looser magnifique, sorte d'Elvis de série Z underground.
En terme d'impact, c'est festival. Frank Black et ses Pixies ont beaucoup écouté ce disque, 'Sex Beat' 'Love of Ivy', 'Fire Spirit' semblent le canevas de 'Come on Pilgrim'. Mais aussi le Nick Cave punk, Violent Femmes, 16 Horsepower, White Stripes et en France, Noir Desir. Probablement des centaines d'autres.
On peut finalement préférer certains disques de ces groupes, c'est mon cas, mais rendons à Cesar sa salade.





The Alan PARSONS PROJECT
THE TURN OF A FRIENDLY CARD


Le 30 Août 2024 par ELK


Ce disque est un pur chef d’œuvre, insurpassable dans la disco du APP. Aussi bon que les meilleurs Pink Floyd c’est dire !





The Alan PARSONS PROJECT
THE TURN OF A FRIENDLY CARD


Le 29 Août 2024 par NONO

@TOMMY_CALE : En fait "Eye in the sky" souffre de l'effet trompe-l'oeil bien répandu, consistant à faire croire qu'un énorme hit-single garantit un album excellent... Or il n'est que correct, sans plus. A part la chanson-titre j'aime l'intro "Sirius", "Silence and I", "Mammagamma" et "Children of the moon". Mais "Step by step", "You're gonna get your fingers burned", "Psychobabble" et "Gemini", varient du moyen au mauvais. Trop de "soupe" dans cet album. L'album d'après, "Ammonia Avenue" sera un peu meilleur que "Eye", mais plus pop aussi.





The Alan PARSONS PROJECT
THE TURN OF A FRIENDLY CARD


Le 29 Août 2024 par TOMMY_CALE


Détrompe-toi Nono, on est beaucoup - sinon une large majorité - à être du même avis ! Cela vaut également pour des albums comme 'Pyramid' 'I-Robot' ou 'Tales' plus aboutis et plus cohérents que 'Eye in the Sky' (qui reste un bon album cependant).





The Alan PARSONS PROJECT
THE TURN OF A FRIENDLY CARD


Le 29 Août 2024 par NONO


Je pense être un des rares à préférer cet album au assez surestimé album suivant (Eye in the sky). Ici c'est simple : TOUT est absolument excellent. Alors que l'album "Eye..." souffre de la mixture "gros tubes" cotoyant nombre de titres de remplissage (à quelques exception près...)





Dennis WILSON
PACIFIC OCEAN BLUE


Le 29 Août 2024 par FOUDROCK


Pour toujours et à jamais le meilleur album solo d'un Beach Boys (au point de rendre certains des autres assez jaloux à l'époque... surtout que ce fut le premier opus solo d'un Beach Boys), de même que le "I've got my own album to do" de Ron Wood est le meilleur album solo d'un Stones (même si Woody ne faisait pas encore officiellement partie du groupe quand il a sorti son disque en 74).
Ici, on a un chef d'oeuvre de pop lounge, californienne, teintée de soul, portée par une voix voilée, timide et bourrue en même temps. Des chansons inoubliables ("River song", "Moonshine", "Friday night", "Farewell my friend"), une production classieuse.
Et un destin brisé, un.





The BEACH BOYS
LOVE YOU


Le 29 Août 2024 par FOUDROCK


Un disque chelou, parfois à la limite du hors-jeu, un peu bancal, mais innovant et courageux. Un des meilleurs, sans doute, en tout cas un des plus essentiels avec "Pet Sounds", "Surf's Up" et "Holland". Allez, et "Sunflower", comme ça, ça fait 5.
Leur dernier grand disque. leur dernier bon disque, en fait. Je ne préfère pas dire en détail ce que je pense de trucs tels que "L.A. Album", "Summer in Paradise"...





Robert PALMER
PRIDE


Le 29 Août 2024 par NONO

@HDPE 79 : Pour être honnête je n'ai jamais vraiment compris Palmer. Il a une belle voix, certes, mais je ne comprends toujours pas où se situe son créneau musical : artiste trop versatile, trop diversifié... Certains groupes ou artistes sont capables de gérer différents styles, mais avec une touche bien reconnaissable, une "signature" musicale. Avec Palmer, en revanche, à part sa voix, impossible de faire le lien entre ses différents titres : productions et instrumentations radicalement différentes, on a davantage le sentiment d'être perdus que d'un minimum de cohérence. J'aime ses titres les plus connus, mais quand j'ai commencé à explorer ses albums, la chute a été rude...





Robert PALMER
PRIDE


Le 28 Août 2024 par HDPE 79


Cet album est bizarre : d'habitude, j'aime bien le style 80's, le son typique de cette décennie-là, que ça soit new-wave, funk etc. Mais ici, je ne comprends pas où il a voulu en venir. C'est mal fait et, comme le dit Erwin, il n'y a que "Want You More" qui se démarque. Pour ses deux reprises, "You Can Have It" n'est pas à la cheville de la version de Kool and The Gang, et sa version de "You Are In My System" de The System, c'est la même chose.





MARILLION
ANORAKNOPHOBIA


Le 28 Août 2024 par MASTERFAN


Attention, ne pas se fier à la pochette 'Télétubbies' de ce 12ème album de Marillion en 2001. ANORAKNOPHOBIA est encore une superbe réussite. L’esprit est le même que pour MARILLION.COM, mais l’alchimie ici est différente : il s’agit de tenter de mener les fans des deux bords, parqués de chaque côté de l’album précédent, vers une nécessaire réconciliation. Sans pression néanmoins, si on se réfère à l’origine du titre de l’album (déjà expliquée dans les premiers commentaires).

On commence là encore très fort avec “Between You and Me", nouvelle petite tuerie rock. On en redemande. Les amateurs de Prog ne sont pas laissés pour compte et sont à leur tour gâtés avec "Quartz" qui, sous son air inoffensif, regorge de bons moments. Plus accessible, "Map of the World" n’en est pas moins une compo charmante. La première partie de l’album s’achève avec le classique et somptueux "When I Meet God". Pas de doute, à mi-chemin, l’achat de l’album est déjà rentabilisé, comme c’était déjà le cas de MARILLION.COM.

Les cinq s’amusent ensuite à brouiller doublement les cartes. Tout d’abord avec un "The Fruit of the Wild Rose" aux différents climats. La partie centrale du morceau, très pop et aux accents radioheadiens, mélodiquement convaincante, contraste avec des extrémités 'bluesy' moins prenantes. Ensuite avec un "Separated Out" où tout le monde lâche les chevaux. Allons-y, les mecs, montrons à tous ces petits djeun’s ce qu’on a sous le capot ! Rien de bien imaginatif ni fascinant pour le coup, mais l’adjonction de parties inattendues (break fête foraine façon "Mr Kite", trip final planant) relève bien l’ensemble.

Le sommet de l’album reste sans conteste le gigantesque "This Is the 21st Century". A ce niveau, on peut dire que la musique, c’est bon pour la santé. On ne zappera pas l’ultime morceau comme sur MARILLION.COM car l’indéfinissable et tortueux "If My Heart Were a Ball..." est bien loin de conclure l’album dans la léthargie comme le précédent opus.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : "This is the 21st Century". DELECTABLE (4,5) : "Between You and Me", "When I Meet God". SEDUISANT (4) : "Quartz", "Map of the World". PLAISANT (3,5) : "The Fruit of the Wild Rose", "Separated Out", "If My Heart Where a Ball". Bilan : 4,06 et Top 5 à 4,40 : MARILLION.COM cote pour moi 4,23 soit 16,92 /20.

ANORAKNOPHOBIA donne un nouvel aperçu de l’immense talent qui habite ce groupe. La trilogie Radiation/Marillion.com/Anoraknophobia (qui supporte admirablement l’épreuve du temps) a beau être détestée d’une frange de fans, tout amateur de pop-rock curieux atterrissant par hasard dans ces contrées ne pourra qu’être ébahi par le nombre de trésors figurant sur ces trois albums.

Eval exacte 4,5





FATHER JOHN MISTY
PURE COMEDY


Le 28 Août 2024 par BLUEMASK


Magnifique disque, un folk épuré mais riche, élégant, aux mélodies subtiles. Mais effectivement, si vous êtes allergique à Elton John, mieux vaut vous rabattre sur un disque de Genesis, ce sera nul aussi mais au moins logiquement nul. Sa manière de chanter avec accompagnement au piano y est souvent mimétique.
Autre influence qui se voit comme une stratégie macronnienne pour ne pas désigner un PM de gauche, Bob Dylan. 'Leaving LA' 13 minutes de bonheur pur, où l'on retrouve la diction du barde sur une fresque folk magnifique aux belles paroles.
C'eût été un 5 s'il n'eût fallu défendre le copyright et si le disque avait fait 10 min de moins.





Klaus SCHULZE
TIMEWIND


Le 27 Août 2024 par DEJAVU


Pour tous les fans de Klaus Schulze, une biographie signée Emmanuel Saint-Bonnet vient d'etre publiée aux éditions "Le mot et le reste" : "Klaus Schulze - Le rêve éveillé".





TESTAMENT
DARK ROOTS OF EARTH


Le 27 Août 2024 par BLUEMASK


Le dernier commentaire sur NIME m'a donné envie de réecouter cet album. On oublie toujours de faire son testament, c'est le problème avec ce groupe toujours au pied du podium. C'est bien dommage car c'est excellent. Certes, le groupe ressemble depuis longtemps à un groupe de charcutiers portoricains et plus aux jeunes thrashers d'antan, mais ils s'y entendent en charcuterie.

Il faut s'y faire, TESTAMENT a essayé, s'est loupé à chaque fois, donc depuis, ils reprennent une petite affaire, une petite charcuterie et font leur bon travail en artisans, pour leurs clients habituels. Ca leur permet de vivre, bien mais sans excès, et même d'économiser un peu, histoire de faire quelques gros festivals l'été.

C'est pas follement original comme charcuterie, elle respecte à la lettre la doxa METALLICA, avec quelques growls histoire de, mais le pâté en croute est solide, digne, percutant, varié, et assez classe.





OASIS
DEFINITELY MAYBE


Le 27 Août 2024 par BAKER

Une petite pensée pour les fans de ce groupe qui sont en train de caraméliser leurs ongles avant de les ronger. Comment peut-on être si doués, x2 en plus, et si incroyablement antipathiques ?

On va voir comment "ça" va se finir, mais je crois autant à cette réunion qu'à la virginité de Duke Nukem. Et je ne parle QUE de la réunion...... pas de la "bonne ambiance de franche camaraderie" si icelle a finalement lieu.





Johnny HALLYDAY
HOLLYWOOD


Le 27 Août 2024 par PIERRE BRION


Un album ou y a beaucoup de reprises et fait à la va vite malgré les deux belle pochettes recto verso qui exprimes quelque chose sans doute . En 1979 c' est surtout le live du pavillon de Paris avec Ma gueule le derniers grand tube de Johnny avant Berger en 1985.





Klaus SCHULZE
MOONDAWN


Le 27 Août 2024 par LEEQ


Bien plus intéressant que le très surestimé Oxygene de J.M JARRE





EMINEM
THE DEATH OF SLIM SHADY (COUP DE GRâCE)


Le 26 Août 2024 par BLUEMASK


Le flow d'Eminem, sa diction claire quel que soit le tempo, le groove de sa diction, l'acidité de ses lyrics en font clairement le meilleur rappeur de tous les temps pour moi. Au point que même ses (nombreux) albums moyens voir médiocres sont dignes d'intérêt. Dans la lignée de 'Music to be murdered by', 'the Death of...' signe un regain de forme, notamment le quasi abandon de ces featuring mielleux pour un recentrage sur sa force de frappe propre.
Mais je lui préfère le précédent, au final, dont le 'Darkness' reste une pierre angulaire de sa disco. Ici, Eminem est parfois en pilotage automatique, s'auto-cite plusieurs fois ('Houdini') et le show 'Tuons mon double maléfique' est un peu redondant. Et puis surtout, franchement, on aime Eminem quand il est provocateur, grossier mais brillant, quand il est Slim Shady, quoi.... D'ailleurs, sur ce disque, lorsqu'il est symboliquement mort, d'un coup, les quelques morceaux restants semblent un peu fade. Curieux de voir la suite...





The CURE
BLOODFLOWERS


Le 26 Août 2024 par RICHARD

Oui, MASTERFAN, je persiste et signe 🙂 " Watching Me Fall" m'est tout bonnement insupportable que ce soit à l'écoute (un très rare titre de Cure que je zappe) ou en concert (cf les 2 excellents Zénith parisiens en 2000). C'est purement subjectif mais elle ne distille qu' un ennui pas du tout poli et je trouve sa durée particulièrement artificielle. Je me souviens qu'à la sortie de cet album , les Inrocks évoquaient Robert Smith en effet comme un possible rentier du spleen. Fonctionnaire n'est pas mal non plus. C'est bien l'ambiguïté toute relative du sens de 'Bloodflowers'. Smith ne voulait il que contenter les fans et assurer des ventes confortables pour faire oublier l'échec patent de la précédente galette ? Je te rejoins par contre sur la qualité du superbe single 'Cut Here' qui est un hommage des plus émouvants à Billy McKenzie le chanteur des Associates qui s'était suicidé à la fin du siècle dernier. C'est un grand Cure, simple, mélancolique et sincère.








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