Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 ...>...>>... 1129
Comment poster un commentaire ?


MINISTRY
DARK SIDE OF THE SPOON


Le 23 Mars 2025 par PSYCHODIVER


Cette pochette bon sang. Qu'est devenu le type (ou la gonzesse) qui a accepté de prendre la pose ?

Après passage sur le côté sombre de la cuillère, il faut croire que MINISTRY n'a pas survécu à "Filth Pig" et à sa tournée ravageuse, immortalisée par le presque irregardable documentaire "Fix" (une sorte de "Ma 6T Va Cracker" version indus US, mais en plus indépendant et moins socialo démagogue charognard). En 1999, le groupe semble vide et à l'exception de quelques beaux restes ("Bad Blood" fou et furieux, "Kaif"), Al et Paul sont en pleine errance. "Eureka Pile" et "Nursing Home" sont interminables, tandis que "Vex And Siolence" ne fait que singer vulgairement les moments les plus définitifs de "Filth Pig". Pire, d'un point de vue sonique et visuel, le combo flirte dangereusement avec le milieu neo metal. Et sa musique de céder à bon nombre de tics désagréables inhérents à ce sous genre des plus discutables.

À trop vouloir sortir des sentiers battus tout en se vendant à des tendances parasites (c'est de la schizophrénie à ce niveau là) : le duo se perd voire part complètement en vrille. En résulte un album pas inintéressant (surtout en comparaison de ce qui suivra après la démission de Paul) mais en sévère demi-teinte. La suite est bien connue. À l'exception de reprises tout à fait honorables ("The Light Pours Out Of Me") voire transcendantes et ultimes ("Supernaut") : la page du grand MINISTRY sera définitivement tournée via, entre autres, l'association du combo avec Steven Spielberg, maitre du blockbuster familial, à l'occasion d'un "AI - Artificial Intelligence" larmoyant. Pas vraiment le genre cinématographique d'où Al et Paul empruntaient leurs samples fin 80's / début 90's (niveau mise en scène, on est loin du mec en feu qui se jette sur le grillage dans le clip de "Burning Inside", enfin, c'est pas pire que Reznor qui roule pour Pixar). Quitte à squatter chez le réalisateur de "Duel" ou de s'aventurer dans son univers, autant composer pour un projet un peu plus mature ou alors se la jouer Mike Patton et faire du doublage insolite, pour le troisième "Jurassic Park" notamment (je n'y peux rien, Al et le spinosaure ont quasiment la même voix).





MINISTRY
FILTH PIG


Le 23 Mars 2025 par PSYCHODIVER


J'aurais mis du temps à le comprendre celui-là. En attendant, un 33 tours nanti d'une pochette de cet acabit n'a rien d'un ami fidèle qui se livre à vous avec délicatesse ou vous maintien la tête hors de l'eau si vous menacez de toucher le fond. C'est l'exact inverse.

Soyons clairs : ce MINISTRY là n'est pas indus. Plus doom que le doom. Plus sludge que le sludge. "Filth Pig" est autre chose. Raison pour laquelle il n'est pas rare que les anti Jourgensen se jettent sur ce cru 96 avec un dévouement qu'ils ne manifesteraient pas au sujet d'un "The Mind Is A Terrible Thing To Taste". Plus organique. Dépourvu du moindre sample ou percussion programmée. Accordant une place primordiale à l'harmonica non trafiqué (ouf, je ne connais pas de son plus abominable que celui de l'harmonica vomi par un DX7) : "Filth Pig" est sans doute l'album le plus humain de MINISTRY. Al traverse le désert sur tous les aspects de son existence et un soleil de plomb enrichi aux drogues les plus dures nous accable du début à la fin. Enfin ... Pas tout à fait. Car délesté de sa reprise peu convaincante de Bob Dylan (MINISTRY a fait et fera mieux dans le même exercice en reprenant du PIL, du MAGAZINE ou du BLACK SABB') et de son dernier morceau hors sujet : "Filth Pig" aurait été tout simplement parfait. Et sa nature conceptuelle demeurerait immaculée.

À retenir en priorité : le starter "Reload", bien méchant mais ne préparant en rien à la suite de la descente aux enfers. "Lava", quintessence monstrueuse de la barbarie lancinante et atrocement étouffante dont fut capable le groupe à une certaine époque. Et l'effrayant "The Fall", à qui l'on aurait dû confier le rôle d'outro tant cette composition incarne la fin absolue de tout (ce piano névrosé vous poursuivra longtemps, très longtemps).

Amis littéraires de nightfall : Vous avez toujours voulu savoir ce que Burroughs avait ressenti lorsqu'il passa un mois alité à fixer la pointe de ses pieds après l'injection de trop ? Vous recherchez une bande son propice à la lecture du radical et douloureux "Seigneur Des Porcheries" du regretté Tristan Egolf ? Alors "Filth Pig" vous attend.





MINISTRY
PSALM 69


Le 23 Mars 2025 par PSYCHODIVER


Réécouté dans son intégralité une énième fois : rien ne change. Ce "Psalm 69" ne baisse ni ne remonte dans mon estime. Il demeure écoutable, mais en face d'un "Filth Pig", "The Land Of Rape And Honey", "Twitch" (même si ce dernier appartient encore à la première incarnation plus electro du groupe) et encore plus devant ce chef-d'œuvre absolu qu'est son prédécesseur "The Mind Is A Terrible Thing To Taste" : ce cru 92 déçoit.

Peu inspiré ("TV II" et "Hero" font pâle figure en comparaison de n'importe quel standard thrash les ayant précédés), convenu (le morceau éponyme et "Corrosion" ne sont que des frères et sœurs cachés et un brin honteux issus d'une illustre portée indus qui comprend des monuments de cyber post punk hypnotique, glacial voire barbare de la trempe de "You Know What You Are" ou "Faith Collapsing", pour ne citer qu'eux) : "Psalm 69" est un de ces avatars de l'album à tubes qui ne doit son statut de culte qu'à la poignée de morceaux démentiels qu'il contient (ces derniers se noyant dans un indicible remplissage). En réalité, l'album n'est bon qu'à ses extrémités. Les impitoyables "NWO" et "Just One Fix" assurent un démarrage sur les chapeaux de roue avant un embouteillage monstre qui se terminera en carambolage apocalyptique sur "Grace", réellement terrifiante (ce maelstrom de sons aussi infernaux qu'inhumains a dû et doit hanter l'esprit de tout les hommes et femmes qui ont survécu à Verdun, aux Dardanelles, à la chute de Berlin ou à l'offensive du Têt).

Et au milieu ? La thèse et l'antithèse. Tout d'abord un "Jesus Built My Hotrod" prodige de conneries et qui ne peut être apprécié que s'il on a consommé au préalable les mêmes plantes que Gibby Haynes et ses BUTTHOLE SURFERS s'envoyaient à longueur de journée à l'époque. Je vais être franc, à l'exception des "ding dong dang dong ding wow wow wow" déglutis avec la cadence d'un M16 et plus risibles que percutants : j'ai pas retenu grand chose. Enfin, le parfait contraire de cette plaisanterie : "Scarecrow". Aussi majestueux que cruel et dérangeant. LE classique de cet opus. Mais dites-moi ? Cette lourdeur éprouvante ... Cet harmonica fantomatique et crasseux ... Ne serait-ce pas du "Filth Pig" avant l'heure ?

Outre ses quelques tubes inattaquables, "Psalm 69" doit sa réputation en majeure partie aux événements entourant sa réalisation (tensions accrues entre les pros Jourgensen foncedés du matin au soir et les pros Barker plus clean et désireux d'écrire du solide, tournée Lollapalooza épuisante, frasques humainement dégradantes en tout genre). Mais il n'a pas l'essence d'un chef-d'œuvre. Pire, il confère à MINISTRY l'image mensongère (pour le moment toutefois) d'un obscur collectif peuplé de crétins toxicos adeptes du bourrinage sans queue ni tête et stérile. Attendons encore 4 ans et un exil dans le fin fond du Texas pour voir le combo atteindre un sommet des plus abrasifs et inattendus.





MINISTRY
THE LAND OF RAPE AND HONEY


Le 23 Mars 2025 par PSYCHODIVER


Bon, bah là c'est certain. Dès la pochette, on comprend que ce n'est pas la peine d'espérer une suite à "With Sympathy". D'accord avec CORNELIUS sur la potentielle origine volcanique antique de ce cliché improbable. J'y vois pour ma part un martyr de Sabra / Chatila ou bien un sacrifié par Union Carbide à Bhopal. À moins que ce soit une vision du futur à l'image des victimes à venir de l'autoroute de la mort Bassora - Koweït City en 1991 ?

Le moins que l'on puisse dire après l'écoute de ce manifeste du rock underground quasi efficace de A à Z (la formule n'est pas encore au point, mais cela ne saurait tarder) : c'est que Trent Reznor a dû se le passer en boucle en plus de "The Wall" du FLOYD et "Low" du grand David au moment de la conception de "The Downward Spiral". Les méthodes de production se rejoignent. On massacre les instruments avant d'en jeter les charpies dans un Fairlight CMI ou un E-Mu Emulator pour les savater davantage. Mais là où Monsieur NIN donnera à sa musique un caractère arty, introspectif et opératique, MINISTRY ne s'encombre pas de considérations artistiques ni même éthiques. À la sortie, on a l'impression d'avoir été contraint d'ingurgiter une rasade de pétrole non raffiné saupoudré de limailles de fer. Ça sonne cru. Pas le temps de reprendre son souffle. C'est peut être d'ailleurs ce qui rend son successeur plus abouti : la variation de tons et la consécration d'une ultra violence punkoïde savamment distillée, toujours dévastatrice, acide, froide, instinctive mais aussi plus charnelle. Ici, comme précisé plus haut, ce sont les machines qui décident. Et cela au détriment de l'énergie et du feeling organiques dont manquent "The Missing" (trop rigide) et "Deity" (pas assez méchante). Il faudra patienter jusqu'en 1990 et le live indescriptible "In Case You Didn't Feel Like Showing Up" pour voir ces morceaux révéler leur potentiel respectif (et "Deity", ma préférée absolue, de devenir cette véritable bombe hardcore, digne du meilleur DISCHARGE).

N'empêche, rien que pour "Stigmata" qui n'a pas pris une ride (elle est parfaite comme elle est dans sa configuration initiale), "Hizbollah" envoûtant à souhait, "You Know What You Are" (ses samples impressionnants de virulences) et "Flashback" (ces paroles bon sang, on n'avait pas entendu pareille déclaration d'amour depuis le "Track 8" de PIL sur "The Flowers Of Romance", sauf qu'en 1981, John Lydon y allait d'une prose aussi répugnante qu'absconse, concernant MINISTRY : c'est dit cash) : cette contrée du viol et du miel est un classique légitime. À approcher avec précautions néanmoins.

"Die motherfucker !"
"Aaaaaaw ! My fucking arm !"
"Dance motherfucker !'
"Aaaaaaw ! My fucking arm !" ...





TEXAS
WHITE ON BLONDE


Le 23 Mars 2025 par KODAS




WHITE ON BLONDE , sorti en 1997, est le quatrième album du groupe écossais Texas et un gros succès commercial. Défini comme étant un disque de soul moderne par la chanteuse -leader Sharleen Spiteri qui signe avec le bassiste John Mc Elhone la plupart des titres. Le disque démarre par une série de tubes dont la plupart ont atteint le top 10 des charts Anglais ( "Halo", "Say what you want", "Black eyed boy" et le slow "Put your arms on me" ).Autres morceaux notables, les ballades folk "Ticket to lie" et "White on blonde" . On peut regretter que le groupe ne nous gratifie pas de quelques soli mais la voix sensuelle de Sharleen Spiteri nous accompagne tout le long de ce disque et c’est l’essentiel. « Everybody wants to be the winner , nobody wants to lose the game » chante Spiteri dans la superbe "Insane" , le titre phare de l’album. On est d’accord avec la jolie brune, WHITE ON BLONDE est réellement un winner …





MINISTRY
TWITCH


Le 23 Mars 2025 par PSYCHODIVER


Là, on peut réellement parler d'une première étape clé dans l'élaboration du son indus (le son MINISTRY tout simplement). Comme si la formule dark dance à l'origine de "Everyday Is Halloween" avait été associée à une touche encore plus distante et corrosive. Une touche cyber goth. La rencontre entre le PIL tribal chaotique post "Metal Box", DAF et le MODE de "Some Great Reward".

Oui. Bien que pas rock pour un sou et assumant pleinement son orientation dark EBM : "Twitch" est une réussite totale et une des incarnations les plus dignes du son mid 80's pourtant riche en atrocités. Une parenthèse entre la variétoche imbuvable de "With Sympathy" et le cauchemar biomécanique de "The Land Of Rape And Honey", certes, mais un jalon de l'électronique sombre et obsédante. Sept morceaux : sept bijoux. Et pas une ride à déplorer. Même si le triptyque final fascine moins que les autres titres. Ma préférence allant à l'inquiétant "We Believe", à l'onirique "The Angel" (preuve que Al n'est pas imperméable à toute forme de sensibilité) et à l'imparable "My Possession". Et j'apprécie beaucoup l'artwork. Lui aussi annonciateur de bien des visuels déstabilisants à venir.

Je privilégie cependant l'édition vinyle originale. J'ai toujours trouvé "Isle Of Man" trop intermédiaire et pas assez mature, dans la lignée d'un "Tonight We Murder" (future face B de "Stigmata").





MINISTRY
WITH SYMPATHY


Le 23 Mars 2025 par PSYCHODIVER


Je veux bien apporter mon soutien aux défenseurs du "Make MINISTRY Synthpop Again". Toutefois, à l'instar de CORNELIUS, je ne citerai pas "With Sympathy" comme manifeste à suivre. Ni même les diverses compilations chargées de couvrir les débuts de Al ("Twitch" en revanche ...).

Le fait est que le rebut de La Havane, quand bien même se serait-il plu à concocter de la synthé pop l'espace de deux ou trois ans (dans le genre "je dis tout et son contraire", le Jourgensen est un champion lorsqu'il s'agit d'évoquer sa première vie) : n'a su transcender la mode que le temps d'une poignée de morceaux et jamais celui d'un album studio, encore moins d'une compilation double. Un comble lorsque l'on a fait ses premières armes chez Alan Vega et Ric Ocasek à l'occasion d'un "Saturn Strip" sorti lui aussi en cette année 83 et bien plus recommandable que cet effort inaugural du Ministère.

Sur "With Sympathy", seul un tube sait tirer son épingle du jeu : l'excellent et introductif "Effigy". Irrévérencieux, bien construit, il vaut largement un CARS des grandes heures, un Gary Numan période "I Assassin" ou un Robert Calvert en pleine "Hype". Le reste était déjà confondant de niaiserie et à la ramasse avant même d'avoir été pensé. De cette ère 81 / 85, en plus de "Effigy", je retiens en particulier le méconnu "Same Old Madness" (electro punk cold dépouillée et addictive) et bien entendu l'immense "Everyday Is Halloween". Dark, dansant, émouvant, pugnace, fédérateur. Le potentiel d'un artiste destroy commençait à s'éveiller. Patience donc.





SCORPIONS
LIVING FOR TOMORROW


Le 23 Mars 2025 par CLANSMAN57


Chanson plus méconnue également présente sur le Platinum, je la trouve sympa sans plus.





The OFFSPRING
SMASH


Le 23 Mars 2025 par DARK SCHNEIDER


J'ai l'opinion tout à fait inverse que RICHARD. A l'époque j'hurlais avec la meute de metalleux et buvait les paroles de Mike Muir et Kerry King en disant que c'était de la grosse merde et surtout pas du vrai Punk (il est vrai qu'à l'époque j'écoutais des groupes de Punks locaux qui vivaient dans des squats, donc pas franchement le même esprit que le Punk californien à roulettes). Aujourd'hui j'écoute et apprécie grandement OFFSPRING pour ses qualités musicales avant tout : la voix unique de Dexter, et surtout le son de guitare assez génial de Noodles et ses riffs mythiques et enfin l'excellent sens mélodique du groupe. Excellent groupe, même si bon les derniers albums ce n'est plus ça, mais "Smash" est un classique. Par contre je ne peux toujours pas saquer de nos jours des groupes comme BLINK et surtout GREEN DAY, je n'ai pas vraiment d'explications à ce sujet, les goûts quoi...





SCORPIONS
WHEN LOVE KILLS LOVE


Le 23 Mars 2025 par CLANSMAN57


Celle-ci passe un peu moins bien par contre...
"Life Is Too Short", également tirée de "Acoustica", ne me convient pas beaucoup mieux.
Une impression de ballades obligées ou réalisées sur commande.

Dans l'un ou l'autre cas, ça sonne un peu creux.





SCORPIONS
WHEN YOU CAME INTO MY LIFE


Le 23 Mars 2025 par CLANSMAN57


Bien meilleure que "Toi et moi", il existe deux versions de cette jolie ballade.
"Are You The One" aurait pu faire un bon single également, pour rester dans ce registre et cet album.





SCORPIONS
YOU AND I


Le 23 Mars 2025 par CLANSMAN57


Bon, si "Toi et moi" s'invite à la radio, elle me fait également encore plaisir.
Certes pas autant qu'un "Wind Of Change", mais c'est okay.
Elle est plus passe-partout encore, même la mémé peut kiffer grave de ouf.
Et pourquoi pas la mémé après tout?






SCORPIONS
WIND OF CHANGE


Le 23 Mars 2025 par CLANSMAN57


Opportuniste, mais tellement belle, c'est sûrement l'autre ballade de Scorpions, avec "Still Loving You", qui a le plus cartonné, à juste titre.
C'est toujours un plaisir que de l'entendre, même lorsqu'elle s'invite à la radio sans crier gare.
C'est la dernière qui sera aussi bonne à mon sens...
"Send Me An Angel", tirée du même album, me plait aussi beaucoup.






SCORPIONS
I CAN'T EXPLAIN


Le 23 Mars 2025 par CLANSMAN57


Single-reprise bien sympathique que j'avais sur le triple coffret Platinum.
Bon, ce n'est pas la chanson qu'on doit connaitre impérativement, mais ça va.





SCORPIONS
STILL LOVING YOU


Le 23 Mars 2025 par CLANSMAN57


Evidemment, la note maximale s'impose!
Cette ballade est l'une des plus grandes de la musique.
Bien des groupes de Hard ou de Metal peineront à s'élever à son niveau.
L'auditeur pourra ressentir sans peine la détresse du personnage qui ne parvient pas à oublier sa petite dame.
Sur le papier, ça parait niais, mais lorsque la chanson démarre, et ce jusqu'à son dénouement, on se marre beaucoup moins.

Un joyau.





SCORPIONS
HEY YOU


Le 23 Mars 2025 par CLANSMAN57


Moi aussi j'aime bien cette chanson dont les couplets sont chantés par Rudolf et le refrain par Klaus.
C'est du chouette Hard bien mélodique qui reste en tête.
C'était une bonne idée que de l'intégrer sur le Remaster de "Animal Magnetism", ce dernier paraissait un peu meilleur grâce à celle-ci.






ROSE TATTOO
ROCK'N'ROLL OUTLAW


Le 23 Mars 2025 par CLANSMAN57


Un classique du Hard Rock. Quand on en a marre de AC/DC, il y a ce premier Rose Tattoo qu'on devrait citer un peu plus souvent.





ALICE COOPER
BRUTAL PLANET


Le 23 Mars 2025 par CLANSMAN57


Il ne serait pas un peu opportuniste le Alice Cooper?
La mode est aux Rammstein, NIN, Marilyn Manson et le gars nous sort un disque dans cette mouvance.
Je ne connais que ce "Brutal Planet" (et une compil et une VHS et c'est tout), mais j'ai l'impression que ce n'est pas la première fois qu'il nous fait le coup. ("Trash" qui n'a apparemment rien à voir avec du Thrash ou encore une suite d'un album culte bien plus tard).
Bon, si on aimait les groupes précités, on écoutait avec plaisir un vieux qui s'y est mis, à l'Indus (Tiens, Rob Halford aussi avec Two en 98...).
C'est plutôt bon dans l'ensemble.

A l'instar d'un Kiss, pour rester chez des légendes maquillées, je n'en suis pas dingue cependant.








MC SOLAAR
PROSE COMBAT


Le 23 Mars 2025 par BLUEMASK


Pour qui avait 20 ans en 1995, écouter ´Obsolète´ et ´Nouveau Western’ est une torture mentale désormais, tant ces titres passaient partout, tout le temps. Et nos tantes, nos coiffeurs, nos bouchers, nos caissiers, nos profs, nos voisins, tout le monde entendait, à défaut d’écouter. L’overdose.
Dommage, ce sont les meilleurs titres, clairement, mais désormais ils sont mort la France.
Tant pis, il reste suffisamment de bons titres, groove cool, samples, Jazzy, textes malins et pertinents, pour pouvoir passer un bon moment, consensuel, cela va sans dire.





The OFFSPRING
SMASH


Le 22 Mars 2025 par RICHARD

Pour reprendre le terme pertinent de CLANSMAN57 "Rock pour Teenagers d'une autre époque". En terminale, on trouve cet album à sa sortie plutôt pas mal (ce 'Self Esteem' à fond dans le walkman, c'était quand même vraiment bon) et on suit un peu les potes pour ne pas trop se sentir isolé musicalement car CORPUS DELICTI ou MEPHISTO WALZ, ça ne les botte pas trop, eux les potes. Puis après plusieurs décennies, on se surprend à le réécouter et on le trouve bon, aucunement sur le plan musical, mais pour tous les souvenirs qui s'y rattachent.







Commentaires :  1 ...<<...<... 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 ...>...>>... 1129






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod