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A-HA
STAY ON THESE ROADS


Le 04 Juin 2025 par RICHARD

La chanson titre est juste une merveille d'émotions. Elle a ce fantastique pouvoir de rendre la mélancolie (la mienne du moins) accueillante, réconfortante. J'avais 11 ans à sa sortie et ce titre m'insufflait déjà un "spleen" (sans en connaitre le mot) incroyable, puissant. Une forme de cafard musical vers lequel je revenais avec plaisir. Les claviers, ces sons intermittents que j'ai toujours pris pour le vent froid de Norvège et cette voix, cette voix. 37 ans, pfff.





GREASE
GREASE


Le 04 Juin 2025 par NONO


Grease, oui, c'est vraiement la quintessence, le concentré, la substantifique moelle, le jus, le nectar (vous m'avez pigé ?) de toute une époque dont je ne sais plus s'il faut larmoyer de nostalgie ou se moquer poliment, tellement le monde a changé ...
Et moi là-dedans ? Je suis irrémédiablement tiraillé entre ces deux tendances : oui j'aimais à l'époque et oui, je trouve ça assez tartemuche maintenant. J'écoute encore volontiers un "You're the one I want", mais je glousse moqueusement, mais quand même empli d'une compatissance certaine, d'un "Sweet summer night"...





David BOWIE
EARTHLING


Le 04 Juin 2025 par FRANCOIS


Tiens, je me rend compte que je ne l'avais pas noté, celui-là (quelle idée aussi, de noter, on n'est pas à l'école...). Entre 3,5 et 4, arrondi à 4 pour compenser les 1 ou 2 étoiles... Il me plait pour les mêmes raisons qu'il déplaît à d'autres : influences de la drum'n'bass et du "big beat" (ou techno-rock) alors en vogue à l'époque. Le côté "daté" ne me gêne pas et quasiment tous les titres se retiennent. Faut dire aussi que je ne suis pas à proprement parler un fan de l'artiste (à part celui-ci, je n'ai que "Station to station"), cette "neutralité" doit sûrement aider.





RAINBOW
RITCHIE BLACKMORE'S RAINBOW


Le 04 Juin 2025 par KODAS


En 1975, Ritchie Blackmore , guitariste hors pair de DEEP PURPLE , monte un projet « solo » avec le groupe américain ELF qui assurait leurs premières parties .Intitulé RITCHIE BLACKMORE'S RAINBOW, l'album révèle le talent du chanteur Ronnie James Dio qui coécrit la plupart des titres avec Blackmore. Le disque , hétérogène , comprend les puissants "Man on the silver mountain" et "Sixteen century greensleeves" dont les excellents riffs rappellent les fastes de la période hard rock du pourpre profond ainsi que les très belles ballades "Temple of the king" ( gros travail sur les chœurs de Ronnie James Dio) et "Catch the rainbow" . Autre pépite ,la version instrumentale bodybuildée de "Still I'm sad" des Yard birds ( gros travail du batteur Gary Driscoll) . Le disque contient aussi une cover passable de "Black sheep of the family" de Quatermass. Le reste des titres est très moyen. Il faudra attendre l'album suivant , l’explosif "RISING" pour mesurer réellement l’apport de Blackmore et Dio dans l’univers du Hard Rock.






Todd RUNDGREN
A WIZARD, A TRUE STAR


Le 04 Juin 2025 par FOUDROCK


Un monument monumentalement monumental. 56 minutes imparables.





Todd RUNDGREN
SOMETHING/ANYTHING?


Le 04 Juin 2025 par FOUDROCK


Remarquable album. Après, le suivant sera mille fois supérieur encore !





Ringo STARR
STOP AND SMELL THE ROSES


Le 04 Juin 2025 par FOUDROCK


Regard de caniche énamouré sur la pochette et contenu musical relativement correct, ce premier cru de Ringo pour les années 80 est sympa comme tout, un peu court.





Johnny HALLYDAY
ÇA NE CHANGE PAS UN HOMME


Le 04 Juin 2025 par FIGHTITBACK


Pan 1 fan fou de Johnny (mais qui adore pas mal de titres comme presque tout le monde) j'ai découvert cet album chez un disquaire où j'étais en stage et qui tournait en boucle car grosse sortie. Bref, j'ai craqué et l'ai toujours avec une préférence pour la 1ère moitié. Sinon, je suis plutôt fan de hard/metal depuis le début des 80's et ce qui me surprend le + c'est que ces 2 titres de BON JOVI abandonnés pour "Slippery..." sont bien mieux que la plupart des titres qui le composent...?! (jamais compris le flan pour ce disque et lui préfère de loin son successeur) Superbe reprise de THUNDER (que je ne connaissais pas), inédit de P. BRUEL fabuleux (ai découvert sa version live de '95 et trouve qu'elle manque de patate par rapport à celle du taulier)





David BOWIE
REALITY


Le 04 Juin 2025 par RICHARD


C'est purement subjectif, mais 'Reality' contient pour moi deux des meilleures compositions de l'Anglais. 'New Killer Star', naturellement et la superbe 'Never Get Old' où toute la palette vocale du Londonien s'exprime à merveille.





GREASE
GREASE 2


Le 04 Juin 2025 par SEB


Quel sacrilège, et quelle bouse musicale ! Ce sera bref et succinct :

ÉTAIT-CE BIEN RAISONNABLE ET NÉCESSAIRE DE FAIRE UNE SUITE À "GREASE", UN MONUMENT D'UN GENRE DEPUIS TOMBÉ EN DÉSUÉTUDE ?

Ma réponse : N O N  !

Ma note ? Vu ce qui est marqué au-dessus elle est devinable, sans surprise...





GREASE
GREASE


Le 04 Juin 2025 par SEB


Ce film culte des 70's a ses défenseurs, ses détracteurs. On aime ce style, ou pas. Mais c'est indéniable certaines chansons de sa B.O. auront marqué musicalement s'entend, la fin de cette décennie. En millions de ventes. Et ce malgré son thème nous plongeant au beau milieu des années 50.

D'ailleurs pour planter le décor le film démarre avec la scène de la plage sur la chanson "Love is a many splendored thing", aux choeurs dégoulinants à souhait, rendue célèbre par THE FOUR ACES en 1955. Elle n'apparaît pas dans la galette chroniquée ici par @ERWIN. Cette chanson est elle-même tirée d'un autre film à l'eau de rose : "La colline de l'adieu". Tout un programme, kleenex obligatoire... Le film enchaîne avec le générique, le morceau-titre que j'adore : "Grease". Sur la même lignée que ses productions précédentes, Barry Gibb offre ici à Frankie Valli un tube disco à la mélodie et au refrain entêtants. Même s'il est aujourd'hui un peu moins célèbre que les tubes des Bee-Gees de la même époque, "Grease" aura aussi marqué toute une génération. Grease is the world...

Les titres-phares ? Hormis "Grease" il y en a 2. Ils sont connus et passés à la postérité, portés par le couple magique Travolta/Newton-Jones : "Summer nights" ou encore l'ultra-connu (et parodié) "You're the one that i want". Celui-là je ne peux plus l'écouter. Oh il est excellent ! Mais il y a quelques années un grand ami à moi a crû bon de me faire remarquer une bizarrerie dans le 2ème couplet démarré par Olivia. Depuis, plus moyen de l'écouter sans pouffer de rire à ce passage !

Et puis il y a du remplissage. Pas mal de remplissage. Passable mais dispensable. Sans parler des reprises-rocks qui sont soit atroces, horribles, au mieux sans intérêt. Par exemple "Blue moon", non pitié quel massacre ! Quant à "Hound dog" il est mort, passé sous une scie egoïne à lame émoussée, se noyant dans une mare de sang ! D'autres titres me parlent un peu plus, comme "Sandy" malgré son coté ballade-triste-amoureux-transi, le dynamique "We go together" qui signe le final de la Fête en fin de film. "Greased lightnin" même si bien rythmé, ne m'a parcontre pas laissé un grand souvenir...

Bref les 2-3 morceaux cultes donnent un peu l'impression de porter tout le film. Qui a mal vieilli. Amputée de 50% de ses titres ce serait une très bonne B.O. ! Mais voilà c'est une comédie estampillée musicale ! Et comparativement à certaines productions similaires d'époque, "Saturday night fever" par exemple pour ne pas la nommer, on est clairement un cran en dessous je trouve ! Quant à l'histoire, rasante mais typique des années 50... Euh hum bon voilà !

"Grease" pâtit poliment de trop d'inutilités. Pour moi ça sera une note moyenne, un honnête 2,5 haussé à 3 pour les tubes et les souvenirs, sans plus ni moins.





CHICAGO
CHICAGO VII


Le 04 Juin 2025 par ROMAIN DEUTROUAH

J'ai toujours aimé chez chicago surtout dans les 5,6 premiers albums le son de la batterie de danny seraphine, même si je suis pas 100% fan de ses solos la batterie est réglée au mm, s'intégrant bien au son clair du groupe.





David BOWIE
REALITY


Le 03 Juin 2025 par MASTERFAN


C'est fou qu'il ait fallu seulement un an à Bowie pour trouver un successeur au très bon HEATHEN… On ne pourra pas dire que lui et son pote Tony Visconti ont chômé en ce début de millénaire. Est-ce vraiment un simple album de plus, comme on le lit souvent ?

L’entame « New killer star » est une grande chanson, un bel hommage à la brit-pop, qu’on aurait plutôt attendu du côté de chez Blur (dont l’une des influences était bien évidemment Bowie, la boucle est bouclée). Pour moi une des meilleures de son répertoire, de celles qui ont le pouvoir de vous mettre de bonne humeur ou de vous faire bouger le corps, à chaque nouvelle écoute. Concernant la cover de « Pablo Picasso », avec ses subtiles références hispanisantes, je suis de l’avis opposé du chroniqueur. Pour moi, elle surpasse non seulement toutes les reprises effectuées post LET’S DANCE, mais aussi l’originale des Modern lovers et aussi la version de John Cale. Je retrouve ici tout ce qu’on attend d’une reprise, transcender l’original.

Un départ inattendu et idéal, comme dans un rêve, surtout que « Never get old » avec sa rythmique obsédante (et sa fin Beatles) ne fait pas retomber la pression, encore un beau moment (qu’avait bien exploité la pub Vittel avec ses clins d’oeil sympas à la ‘mythologie Bowie’, toujours visible sur le Net). Entrée en matière donc magistrale, quand on se souvient de la merde en boite BLACK TIE BLACK NOISE dix ans plus tôt, on peine à y croire.

Complet changement d’ambiance avec le calme « The loneliest guy », grand retour de Mike Garson. Titre austère lors de sa découverte mas se révélant bizarrement séduisant aux réécoutes. Le trop martial « Looking for water » peine plus à me convaincre. De même la rythmique répétitive dessert un peu trop « She’ll drive the big car », même si le morceau est meilleur.

Bowie fait ensuite dans la ballade 'légère' avec « Days ». Mélodiquement, c’est très fort, et de son timbre se dégage une belle nostalgie. C’est dans ces cas-là que le discours ‘c’est simple donc c’est nul’ m’horripile particulièrement. Composer une chanson comme ça, c’est au contraire super-difficile. On retrouve la brillance de « New killer-star » dans « Fall dogs bombs the moon », bien qu’un cran en dessous.

Bowie pense ensuite reprendre «  Try some, buy some », chanté en 1971 par Ronnie Spector. Il avait oublié que c’était George Harrison qui l’avait initialement écrit et retoqué de ALL THINGS MUST PASS en 1970 avant de l’incorporer à LIVING IN THE MATERIAL WORLD en 1973. Aussi la version très soignée présente sur REALITY est logiquement plus proche de celle de la chanteuse principale des Ronettes (et femme de Phil Spector) que de celle de George. On a presque affaire à un copié-collé ici, qui reste malgré tout une jolie réussite.

On termine avec deux morceaux complètement antagonistes. La rythmique dévastatrice choisie sur « Reality » dessert ce titre, il y avait matière à faire plus pertinent là dessus, l’énergie déployée étant intéressante. Enfin le jazzy (aïe) « Bring me the disco king ». Au départ je ne l’écoutais jamais, ça me gonflait menu. Aujourd’hui avec les réécoutes et dans l’élan, j'arrive à aller jusqu'au bout, mais ce genre de trip (qu’adorent certains au point de dire que c’est le meilleur titre de l’album, mais où sont passés mes gants de boxe ?) ne sera définitivement jamais mon truc et a fortiori encore moins chez Bowie.

Mon ressenti 2025 : TRIPPANT (5) : New killer star. DELECTABLE (4,5) : Pablo Picasso, Never get old, Days. SEDUISANT (4) : The loneliest guy, Fall dog bombs the moon, Try some buy some. PLAISANT (3,5) : She’ll drive the big car. INTERESSANT (3) : Reality, Looking for water. EMOTION LIMITEE (2,5) : Bring me the disco king. Bilan 3,86 et Top 5 à 4,50 : REALITY cote pour moi 4,18 soit 16,72 /20

Le passage au révélateur du temps montre que REALITY n’est nullement un simple album de plus, c'est un remarquable crû. La trilogie HOURS-HEATHEN-REALITY, intemporelle, sera ce qui se rapproche le plus des années Ziggy, c’est donc peu dire que ces trois-là font partie de mes albums préférés de David… Personne ne se doute à ce moment qu’il voit falloir patienter dix longues années avant le prochain… Eval exacte 4,5





TOTO
PAST TO PRESENT 1977-1990


Le 03 Juin 2025 par DAVID

Jean-Michel BYRON a été une grosse erreur de casting, c'est évident. Cette décision d'imposer BYRON a certainement été une des décisions les plus étranges de l'histoire du rock. Jean-Michel BYRON, c'était un peu comme si Georges MICHAEL rejoignait TOTO : un chanteur très compétent pour tout ce qui est funky, soul.. mais pas un chanteur de rock.
Or, TOTO est bien un groupe de rock ! Donc, dès le départ, ça ne pouvait pas coller. Alors, certes, Joseph WILLIAMS avant lui n'avait jamais caché son adoration pour Michael JACKSON, sur "Fahrenheit" et "The Seventh One"... mais, Joseph WILLIAMS savait aussi chanter du rock. Alors que BYRON... Il suffit de regarder le fameux concert Paris 1990 (que j'avais acheté en VHS... en 2001... à une époque où le DVD commençait à arriver dans le commerce, et où VHS et DVD coexistaient encore en magasin).

Le problème de ce live au Zenith 1990 provient de Luke qui a viré toutes les chansons sur lesquelles Jean-Michel BYRON était en lead vocal. Et notamment les inédits du "Past To Present" qui étaient joués live. Quelle erreur ! Il m'a fallu bien des années pour découvrir ces versions live du Zenith 1990.... quelle erreur de les avoir écarté du live officiel ! Car ces versions live des inédits de "Pas To Present" sont excellentes ! Mike et Jeff PORCARO groovent comme jamais, Steve LUKATHER est plus funky que jamais, David PAICH s'amuse comme un p'tit fou sur les synthés et Jean-Michel BYRON est bien à sa place, dans un style musical où il est à son aise. La catastrophe de BYRON en live provenait lors de l'interprétation des classiques de TOTO - il massacrait littéralement "Hold The Line" et "Africa" par exemple. Son look... particulier... et son jeu de scène (surtout quand il dansait de façon efféminée aux côtés des choristes) était trop décalé par rapport aux standards de TOTO, par rapport au jeu de scène des musiciens de TOTO - le décalage était trop grand surtout à côté de Luke, beaucoup plus rock.
Ce qui était vraiment malaisant dans ce concert du Zenith 1990, c'était de voir que BYRON commençait à être de plus en plus relégué comme simple choriste - flagrant sur "English Eyes" et "Afraid Of Love", dont ces versions Zenith 1990 sont excellentes d'ailleurs. Les couplets de "English Eyes" étaient même chantés par la choriste, car BYRON n'avait aucune agressivité rock pour la chanter, restant relégué comme simple choriste. La lose ! C'est vraiment ce qui est malaisant sur ce Zenith 1990, où, à plusieurs reprises, on se demande ce que BYRON fait là. Cette mise à l'écart progressive de BYRON était conforme à la volonté de Luke de s'imposer progressivement comme le chanteur principal de TOTO... bien pour cela qu'on peut voir TOTO mettre en avant les ballades "I'll Be over You" et "I Won't Hold You Back" chantées par Luke, versions live sur lesquelles il se montre explosif pendant ses solos. Placer Luke en chanteur principal apparaissait comme la meilleure décision possible, surtout après 4 chanteurs successifs en 8 ans ! Donc sur ce Zenith 1990, TOTO était encore un groupe... mais un groupe éclaté en deux : Steve LUKATHER, David PAICH, Mike et Jeff PORCARO, Chris TRUJILLO aux percussions, les choristes d'un côté... et Jean-Michel BYRON de l'autre côté, où tu le vois sur les images, c'est tellement évident qu'il va se faire éjecter à la fin de la tournée ! Bref, malgré que le groupe était éclaté en deux à cette époque, ce Zenith 1990 comporte d'excellents moments.





EAGLES
HOTEL CALIFORNIA


Le 03 Juin 2025 par ROGER SWAF DELOT


Hotel California la chanson qu'on peut plus blairer tellement on l'a entendue, la chanson qui nous fait jurer tous les d.ables et insulter le programmateur de la radio tellement c'est "trop facile" de la diffuser, chanson qui nous rappelle justement cette frustration de l'entendre à la radio au lieu d'une autre, jusqu'à la nausée, au lieu de dizaines d'autres chansons du groupe tout aussi intéressantes, et perso je l'aime pas cette chanson, trop convenue, le groupe visait ici le gros pognon, c'est réussi parait-il.
Je pense que je vais finir par devenir un anti-classique.
Le reste de l'album est très bon évidement, un cortege de classiques qui défilent l'un apres l'autre, évidemment cet album est un best of à lui tout seul, mais moins subtil que les précédent. Ma préférée reste Life In a Fast Lane avec son riff et sa basse remarquable.





BLUE ÖYSTER CULT
CLUB NINJA


Le 03 Juin 2025 par LE MOUNGEPEDOUN


Disque agréable à écouter, il y a 40 ans à sa sortie il passait sans souci, jamais eu de problème avec, et puis le titre 'perfect water' fait partie des régulièrement joués en live (avec le timbre de voix magique de Buck Dharma), et ça j'aime.

À noter que le combo était encore sur scène il y a quelques heures dans le mythique Olympia parisien, chapeau-bas messieurs (le 1er LP date de 1972...), et puis Éric Bloom a allègrement dépassé les 80 balais, quel sacré Hard-Rock que ce groupe quand même.





Paul MCCARTNEY
RED ROSE SPEEDWAY (WINGS)


Le 03 Juin 2025 par LEO


"Big Barn Bed" est sympa en ouverture d'album, bien que l'idée de départ date de l'époque Ram où l'on pouvait déjà entendre les prémices de "Big Barn Bed" sur la fin de "Ram On (Reprise)". "My Love" est une ballade classique de Paul. "Get on the Right Thing" est sans doute le morceau que je préfère de tout l'album, avec les choeurs de Linda bien mis en avant. "One More Kiss" n'est pas déplaisant mais n'a rien de particulier non plus. Par chance, ce morceau ne dure que 2 mn. "Little Lamb Dragonfly" c'est le genre de trucs sucrés dont est friand McCartney, mais qui ne produit rien sur ma personne, d'autant que la compo s'étale sur plus de 6mn. Je zappe direct.
"Single Pigeon" sert plus d'intermède qu'autre chose. Aussi vite écouté, aussi vite oublié!
"When the Night" aurait pu se trouver sur Ram ou Wild Life, que cela n'aurait en rien bouleversé ces deux albums. Tout cela est bien inoffensif et quelconque.
"Loup (1st Indian on the Moon)" est plus inhabituel dans le sens ou le groupe essaye de faire du Pink Floyd, mais la tentative est bien maladroite car les Wings ne sont pas sur leur terrain de prédilection. Pas fan du 'Medley' "Hold Me Tight"/"Lazy Dynamite"/"Hands of Love"/"Power Cut" qui n'est qu'un prétexte pour coller à la suite des thèmes et mélodies indigentes.
Au final, Red Rose Speedway n'est pas bien fameux! J'en retiens "Big Barn Bed", "My Love" et "Get on the Right Thing" (plus le folky "One More Kiss" à la rigueur). Le reste est du McCartney en mode paresseux.





Paul MCCARTNEY
TUG OF WAR


Le 03 Juin 2025 par FOUDROCK

Et bravo à toi pour la chronique, remarquabla malgré ce léger oubli totalement pardonnable (je plaisante, ça sera 200 euros et 3 points en moins pour la peine) !





George HARRISON
THIRTY THREE & 1/3


Le 03 Juin 2025 par FOUDROCK


Un excellent opus méconnu que ce premier album de Hari sur son propre label. Rien à jeter, en tout cas, selon moi.





DALIDA
ILS ONT CHANGE MA CHANSON


Le 03 Juin 2025 par CLANSMAN57

Je pensais détester "Darla Dirladada" jusqu'à ce que j'écoute la version de Dali'.







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