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AEROSMITH
ROCK IN A HARD PLACE


Le 15 Novembre 2024 par FOUDROCK


Aerosmith sans ses deux guitaristes ? 'reusement que Tyler est encore là, hein, parce que sinon, il aurait fallu changer de nom.
Un album décrié. Pas leur pire (salut, "Just Push Play", et surtout pense bien à aller te faire f... au rayon des soldes), mais certainement pas un des meilleurs. Le précédent, pas grandiose, semble être un authentique joyau à côté.
Bon, ici, je sauve "Jailbait", "Rock in a hard place" et, dans mes bons jours, "Lightning strikes". La reprise de "Cry me a river" est sympa, mais je préfère celle du Cocker.
Le reste ? Tu rigoles, ou quoi ?





DEPECHE MODE
MUSIC FOR THE MASSES


Le 15 Novembre 2024 par WHY EYE I YA

Je viens de remarquer que le début de Strangelove est repris d'un riff de Under Lock and Key de Cliff Richard (composé par Terry Britten). On peut plus mettre de liens ici mais c'est facilement trouvable sur youtube





PRINCE
PURPLE RAIN


Le 15 Novembre 2024 par VIV

Très fan de la prod' et de la compo "I would die for you", comme Nono et Richard, pour les mêmes raisons sous mentionnées.
Incapable par contre de mettre une note à ce disque. Je suis très mitigé sur ce skeud soi disant mythique et me surprend à ne pouvoir trancher. Je suis plutôt adepte au sens large des compos de Prince et des sonorités synth pop funk 80's et - qui plus est - kitchounettes, mais ici je reste de marbre à l'écoute, attentive ou d'une oreille distraite. Rien ne m'émeut sauf cette pépite "I would die for you" que je suis vraiment capable d'écouter en boucle.





Bob SEGER
AGAINST THE WIND


Le 15 Novembre 2024 par JEAN

Là je rejoins foudrock , je suis un inconditionnel de Bob Seger en particulier avec le Silver Bullet Band , en effet super le live de 76 et aussi celui de 81 nine tonight , j'écoute souvent night moves / stranger in Town / against the wind , un peu moins l'album the distance de 82 . J'avais été les voir à Paris en 80 . C'est justement en cherchant ce groupe que j'avais trouvé ce blog d'ailleurs . Pourquoi pas une chronique prochainement de night moves et de stranger in Town ? Je signale que cela ne m'empêche pas d'aimer et d'aller au concert d'Indochine . Jean





Lenny KRAVITZ
LENNY


Le 15 Novembre 2024 par MASTERFAN


Nous sommes encore au tout début des années 2000 et on se demande bien ce que va nous sortir Lenny après un « 5 » fortement hétérogène… Et bien justement un album simplement nommé LENNY. Va t-il être, à l’image du verso de la pochette, renversant ?

L’homme réitère le coup du morceau introductif ‘rock à l’ancienne’ et en général, ça passe ou ça casse. Pour le coup, « Battlefield of love » est un poil meilleur que « Rock’n roll is dead » sur CIRCUS, mais manque quand même d’imagination pour réellement marquer les esprits. Une petite angoisse de se retrouver dans un nouveau trip « Lenny Kraprince » vient poindre mais est vite éteinte, car viennent alors toute une série de morceaux 100 % kravitziens, plus proches de l’esprit des trois premiers albums. Adhésion immédiate au très pop et linéaire « If I could fall in love » ainsi qu’au charmant « Yesterday is gone » : les briquets sont déjà prêts pour le concert.

« Stillness of heart » reste une chouette compo que les multiples passages sur les ondes n’ont pas tant érodée que cela, comme « Believe in me », un peu moins matraquée à l’époque. Lenny tente ensuite d’accélérer la cadence avec un « Pay to play » à peine plus convaincant que le morceau de d’ouverture. Il doit s’en rendre compte en repartant sur ce qu’il sait le faire de mieux, « A million miles away », l’habituel moment Lennonien-Beatlesien de l’album, avant d’enchaîner sur une tentative d’hymne, presque réussie, pour le martial « God save us all ».

Enfin des morceaux énergiques un peu plus tranchants : « Dig in » et le rentre-dedans « Bank robber man » nous font dresser une oreille. Entre les deux, « You were in my heart » laisse plutôt un bon feeling avant que « Let’s get high », imparable, ne termine l’album dans le calme et la beauté.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : “If I could fall in love”, “Yesterday is gone”, “Let’s get high”. SEDUISANT (4) : “Stillness of heart”, “A million miles away”, “God save us all”. PLAISANT (3,5) : “Believe in me”, “Dig in”, “You were in my heart”. INTERESSANT (3) : “Bank robber man”. EMOTION LIMITEE (2,5) : “Battlefield of love”, “Pay to play”. Bilan 3,66 et Top 5 à 4,30, LENNY cote pour moi 3,98 soit 15,92 / 20.

Ce premier opus de Lenny pour le nouveau millénaire m’a toujours beaucoup plu. Pas de grands trips ici mais moins d’égarements, pas mal de cohérence, une belle constance, des mélodies efficaces : je prends.





Phil COLLINS
FINALLY... THE FIRST FAREWELL TOUR


Le 14 Novembre 2024 par BAKER

Ah oui tiens j'ai oublié  : si vous voulez ce DVD, prenez impérativement la version double collector. Vous ne le regretterez pas.





Bob SEGER
LIVE BULLET


Le 14 Novembre 2024 par FOUDROCK


Un live absolument dévastateur !





Bob SEGER
AGAINST THE WIND


Le 14 Novembre 2024 par FOUDROCK


Le dernier vrai grand cru segerien pour moi, même si c'est moins grandiose que par le passé.





Bob SEGER
SMOKIN' O.P.'S


Le 14 Novembre 2024 par FOUDROCK


Un très bon dsique de rock un peu teigneux et rustique, quasi exclusivement constitué de reprises (mis à part les deux derniers titres), et quelles reprises, du lourd dans le genre. Le titre de l'album dit tout : "piquer les clopes d'un autre".
Vraiment dommage que la disco du grand méconnu Seger ne soit pas plus représentée sur le site. Rien que "Mongrel", "Back in '72", "Seven", "Beautiful loser" et "Night moves" sont des essentiels.





Phil COLLINS
FINALLY... THE FIRST FAREWELL TOUR


Le 14 Novembre 2024 par FOUDROCK


J'étais dans la salle, à Bercy, le jour de la captation de ce DVD. Le jour précis. Forcément, rien que pour ça, j'ai une immense tendresse pour ce DVD. Même si je ne suis franchement pas fan de Phil Collins solo (mais ses ennuis de santé me chagrinent tout de même beaucoup). A l'époque, j'aimais nettement plus que maintenant.





Hubert Felix THIEFAINE
AUTORISATION DE DéLIRER


Le 14 Novembre 2024 par BLUEMASK


Pour moi, le meilleur Thiefaine, le plus dylanien, celui sachant allier ses versants folk et rock, celui sachant mêler humour, dérision et désespoir, et la touche de malaise en équilibre avec la touche de gaudriole.





TELEPHONE
CRACHE TON VENIN


Le 14 Novembre 2024 par BLUEMASK


Téléphone fait partie du paysage musical mainstream en France.
Quand j'étais gamin de 10 ans, mes cousines de plus de 20 ans écoutaient le groupe et en parlaient avec Tata le dimanche devant le rôti/haricot. Et j'ai connu plus rock que Tata.
Et puis, ils ont été repris par tout ce que la variété française compte de plus vomitif, de consensuel et de consanguin, dans les shows type Starac' and co, en mode chorale dégueulasse, notamment à cause de leur seul tube dégueulasse, l'affreux "Ca, c'est vraiment toi".
Depuis des années, Aubert et Bertignac traînent leurs regards de vieux Tonton Cocker en promo dans tous les talk-shows, si possible bobo-isant mais pas que...

Bref... réécoutons ce disque avec un œil neuf pour réaliser que Téléphone était un putain de groupe nerveux, tendu, capable de faire des hymnes de leur rock stonien punky. Sauvage mais accessible, intransigeant mais fédérateur.
Ce n'est probablement pas le meilleur groupe de rock français, encore que... en tout cas le seul à avoir su allier avec autant de succès le fond et la forme.





KRAFTWERK
EXPO 2000


Le 14 Novembre 2024 par SEB


C'est factuel, depuis les années 70, Kraftwerk a marqué d'une empreinte indélébile l'histoire de la musique électronique du 20ème siècle. Créateur de quelques-uns de ses propres instruments mais aussi précurseur, le groupe n'a eu ensuite de cesse pendant des années de repousser les limites de la création et a vulgarisé l'utilisation du Vocoder.

Ainsi, il était naturel que le groupe allemand soit invité à l'expo 2000 d'Hanovre. Pour l'occasion, sort "Expo 2000", un single qui se veut événementiel. En effet, cela faisait une dizaine d'années, 13 exactement, que Kraftwerk n'avait pas fait chauffer le studio Kling-Klang pour une œuvre originale (la compil' ratée "The Mix" de 1991 mise de côté). C'est dire que ce retour était attendu !
Au premier abord, même si le morceau est très agréable à l'écoute, point de surprise au rendez-vous. Le précédent album de 1986 "Électric café" avait fait la part belle à la nouveauté avec son univers techno-pop ouvrant la voie à ce nouveau rythme. Mais là, rien de consistant hormis une mélodie planante qui reste en tête. Ce qui n'est déjà pas mal, vous me direz ! Mais bon, 13 ans pour ça !

J'entends partout les plus exigeants se plaindre que le côté précurseur ne transparaît plus, signe non pas d'une usure mais plutôt d'une complaisance à se reposer sur ses acquis. Ce qui n'est pas faux. Après, qui va reprocher aux allemands Kraftwerkiens de ne pas trop s'être cassé le c.. sur ce coup ? La démocratisation de la musique électronique c'est eux, les balbutiements de la techno, c'est eux aussi ! Techniquement, ils ont tant apporté à la musique moderne qu'ils vont plutôt chercher à en tirer parti désormais, s'amuser à en dégager la quintessence au travers de leurs morceaux. Un peu à l'instar d'un Jean-Michel Jarre qui a connu son âge d'or jusque dans les années 80 avant que son côté novateur soit noyé dans la masse de l'industrie musicale : il ne peut plus proposer grand-chose qui n'ait pas été inventé ! Mais il lui reste sa musique.

Alors, 25 ans après, reste une petite galette qui s'écoute encore (ma pochette diffère de celle ici chroniquée), un peu datée à cause du thème, avec des 'mix' trop légers pour en être vraiment, à part le 3ème morceau. À moins d'être fan acharné de Kraftwerk, difficile de dire qu'il y avait là matière à renverser la table : pour son grand retour créatif un simple single, on pouvait espérer plus et plus couillu, même si "Expo 2000", bien que décevant à mon avis, s'écoute sans déplaisir. Heureusement, 4 ans plus tard, il composera ce qui semble bien être son chant du cygne créatif, beaucoup plus consistant et bien meilleur. Chant du cygne car il semble depuis vivoter sur sa discographie existante qu'il décline ad libitum.

Un 2.5 bof, ramené à 2 pour ce retour un peu raté.





VIOLENT FEMMES
HALLOWED GROUND


Le 14 Novembre 2024 par BLUEMASK


Un an après un premier disque essentiel, Violent Femmes remet le couvert pour le même résultat enthousiasmant. Le même résultat ? Quasiment, mais "Hallowed Ground" est un poil plus musical et chaleureux, et donc moins punk et âpre. Ainsi du folk hillbillie "Jesus Walking On the Water", du blues gospel réconfortant "It's gonna Rain", ou des délires free de "Black Girls".





The WHO
LIVE AT LEEDS


Le 13 Novembre 2024 par FOUDROCK


Réédité à de nombreuses reprises, avec à chaque fois plus de morceaux que précédemment. Le vinyle original, de seulement 6 titres, reste cependant tellement meilleur...malgré qu'on a l'impression que ce n'est pas un live, tellement l'ambiance live (clameurs du public, applaudissements...) manque à l'appel.





The WHO
WHO'S NEXT


Le 13 Novembre 2024 par FOUDROCK


Album démentiel (même si je n'aime pas "Going Mobile") construit à partir des meilleurs morceaux tirés du projet avorté "Lifehouse". Bref, un disque fait rapidement par un groupe déçu de l'échec d'un projet auquel il tenait nettement plus.
Comme quoi, on peut fabriquer des chefs-d'œuvres n'importe quand, n'importe comment. Avec en plus la pochette qui marque.





The WHO
QUADROPHENIA


Le 13 Novembre 2024 par FOUDROCK


Je ne peux que donner la note maximale à cet album pour quatre raisons totalement valables :
1/ Ce fut mon premier Who, et rien que pour ça...
2/ C'est un des plus percutants double-albums conceptuels de l'histoire du rock.
3/ C'est le meilleur double-album conceptuel de 1973 (ne cherchez pas, il n'y en a qu'un autre, "Tales From Topographic Oceans" de Yes).
4/ Il s'appelle "Quadrophenia", un titre tellement curieux, et qui sonne si bien qu'il donne envie d'écouter le bouzin directos.

Si on ajoute à ça le fait qu'il a été adapté au cinéma (comme "Tommy" des mêmes Qui) et qu'il était commercialisé avec un épais livret de photos illustrant le concept (le livret du CD est tellement épais que le boîtier reste un gros fatbox à l'ancienne : il ne passe pas dans les charnières, ce livret), et si on rajoute le fait que les Who étaient censés être au fond du trou à l'époque alors qu'en fait, ils assuraient encore, et si en plus on ajoute l'âge du capitaine et le carré de l'hypoténuse du chef-lieu de la Haute-Vienne divisé par les couilles de ma sœur au carré, alors le doute n'est plus permis : cet album bute.

Non, je n'ai pas bu.





The WHO
THE WHO BY NUMBERS


Le 13 Novembre 2024 par FOUDROCK


Clairement un des meilleurs Who, un des plus sous-estimés aussi, enregistré durant une très difficile période (Townshend n'arrivait quasiment plus à écrire, miné par l'alcool), et ça se ressent, le groupe est au bord du gouffre. Mais des morceaux comme "Dreaming from the waist", "However much I booze", "In a hand or a face" ou "Success story" (d'Entwisle) sont remarquables.
Album chiant à dénicher en vinyle d'époque : trouver un exemplaire dont la pochette n'a pas été reliée est difficile... la tentation est grande de ne pas les relier, ces points, en même temps !





L'IMPERATRICE
MATAHARI


Le 12 Novembre 2024 par BLUEMASK


Bof… Dans le sillage d’un semblant de revival pop new-wave français, avec La Femme, Grand Blanc, sort ce genre de groupe. Soit une pop 80´s funky, bien disco par moment mais franchement inoffensive et d’un intérêt assez court. On lève bien l’oreille sur "Erreur 404" ou "Le masque" mais pour fermer les écoutilles lors des affreux instrus disco caricaturaux mais surtout assez mauvais. Bref, l’attitude c’est bien, la consistance dans la composition, c’est mieux.





Neal MORSE
THE RESTORATION - JOSEPH PT 2


Le 12 Novembre 2024 par SWISSIDOL


Comment Neal Morse fait-il pour avoir autant d'idées ? Pour pondre autant d'albums-fleuves ? C'est presque trop et on finit par reconnaître des tics de composition entre TRANSATLANTIC, THE NEAL MORSE BAND et consorts. Tout n'est pas passionnant sur cet album, dont l'intérêt met un peu de temps à décoller. Mais, de "The argument" à "I hate my brothers" inclus, on a un sans faute. De grands moments nous attendent aussi sur "Bring Ben", "The brothers repent" ou "Everlasting", entre belles parties de clavier, chant en canon ou breaks salsa.
Dommage que l'album s'achève sur un titre un rien banal dans le sens où Neal nous a déjà soumis ce genre de conclusions emphatiques.







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