Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 ...>...>>... 1002
Comment poster un commentaire ?


CROWDED HOUSE
CROWDED HOUSE


Le 08 Juin 2022 par LE VIEUNE

"Don’t Dream It’s Over", gros souvenir musical de l’été 1987. Je n’en suis pas lassé contrairement à l’auteur de la critique présente. Par contre, je n’ai toujours pas écouté ce premier album de Crowded House.





BALDOCASTER
MOONRISE


Le 08 Juin 2022 par IEN

Rien à faire, la musique est peut-être bien mais, à chaque album de Baldocaster, je ne peux pas écouter un morceau en entier à cause de la production.
C'est ultra-compressé, je n'entends pas de nuances et j'ai l'impression d'étouffer. Pour moi, c'est inaudible.





Tracy CHAPMAN
TRACY CHAPMAN


Le 08 Juin 2022 par LE KINGBEE


L'un des albums essentiels de cette fin de décennie 80. Bien écrit et produit sans surenchère.





RED HOT CHILI PEPPERS
UNLIMITED LOVE


Le 07 Juin 2022 par JEYRAG


Plutôt surpris par les commentaires très négatifs sur ce site, je souhaite ajouter mon avis pour (tenter de) contrebalancer la tendance.
Le retour de Frusciante a visiblement fait monter des espoirs un peu fous chez certains. En réalité, il était pourtant de notoriété publique que le rock n'intéressait plus beaucoup ce dernier depuis longtemps, et notamment depuis son deuxième départ de 2008. Si la sincérité de son désir de revenir dans le groupe n'est pas forcément discutable, ce retour a sans doute plus à voir avec l'envie de rejouer avec ses frères d'armes que de créer de la nouveauté. Au final, pas de surprise donc sur ce nouveau disque, dans la continuité des précédents des années 2010.
Mais l'histoire ne doit pas s'arrêter là, car si Frusciante ne brille pas spécialement sur le disque, c'est le groupe en entier qui s'illustre. Chad joue particulièrement en avant (contrairement à la production quasi électro de The Getaway), Flea assure comme toujours à la basse, ainsi qu'à la trompette, et surtout Anthony n'a jamais aussi bien chanté que sur cet album. C'est en effet le moustachu qui emporte à mon goût la palme sur le disque. Maillon faible technique historique du groupe, heureusement compensé par son charisme, sa voix n'a jamais autant fonctionné que sur ces nouveaux morceaux. Les critiques les plus acerbes miseront sans doute sur des astuces de studio (qui a dit "trucage et autotune"?), mais en tout cas beaucoup de morceaux en sortent magnifiés. Ecoutez "Tangelo" en clôture par exemple, petit bijou folk classique mais imparable.
Au-delà de la question des performances individuelles, l'album témoigne à mon avis de la maîtrise mélodique que le groupe a gagnée année après année. La puissance de feu a été sacrifiée au passage, à part quelques passages très rock 90's par endroit, l'album restant très pop sur sa longueur, mais avec une classe et une patte très personnelle et surtout attachante.
Bien que fan absolu de la période la plus heavy du groupe (de The UMPP à l'incroyable OHM), cet album est pour moi leur meilleure sortie depuis le doublé Stadium Arcadium, et pourrait peut-être même le dépasser sur la durée.
Comme quoi, les goûts et les couleurs, hein...





MORRISSEY
WORLD PEACE IS NONE OF YOUR BUSINESS


Le 06 Juin 2022 par JOE DALLESANDRO


Mon point de vue va être radicalement différent.

Le morceau titre a une mélodie particulièrement horripilante. Je parle là de la ligne de chant qui est alambiquée comme cela ne devrait pas être permis. Il y a aussi ailleurs des poses de femme enceinte entre certains titres, avec des interludes où règne un néant total (je parle du passage juste avant I'm not a Man).

Morrissey paraît usé, et se vautre dans la facilité, en chantant des refrains où il répète inlassablement le titre du morceau en boucle, pensant que cela constituera un bon refrain - peine perdue, sur "Istanbul" notamment. Son groupe n'est vraiment pas à la hauteur, avec un multi-instrumentiste bavard, qui ne sait manifestement pas que, parfois, il faut savoir se mettre en retrait pour servir une chanson. Et quand les musiciens en place pourraient tout aussi bien faire de la figuration pour un chanteur ou chanteuse US mainstream rock, on ne peut pas espérer atteindre un niveau correct, digne de ce à quoi on peut attendre de l'album d'un chanteur comme Morrissey, avec la culture musicale qu'il a.

"Staircase at the university" frôle le vide sidéral, ça se veut catchy mais ce n'est pas de la bonne pop, tout comme "Kiss Me a Lot".

La chansons "Earth Is the Loneliest Planet" relève un peu le niveau, tout comme "Kiss the Bride Down the Aisle". Cela ne fait que deux titres, c'est peu, et encore ils sont tous les deux sabotés par un claviériste qui pense être un virtuose alors que sa participation est banale. La banalité, il fut un temps, c'est tout ce que Morrissey voulait fuir.

Cependant, aucun des deux derniers titres mentionnés n'atteint le niveau d'une b-side de l'époque 1988-1994, la faute à ses musiciens.

Un coup d'épée dans l'eau.





MORRISSEY
VAUXHALL AND I


Le 06 Juin 2022 par JOE DALLESANDRO


C'est rare quand un chanteur en solo et son backing band soient touchés par la grâce. C'est le cas ici. J'ai juste quelques petites réserves personnelles quant au premier single 'The More You Ignore Me The Closer I Get" où deux bonne chansons semblent avoir été réunies dans un même titre sans que cela ne fonctionne parfaitement.
Le reste des titres par contre, frôle la perfection; "Hold On to your Friends", "Why don't you find out for yourself", "Used to be a sweet Boy" et comme tout grand disque, le morceau final est le clou du spectacle. Le batteur est un musicien hors pair, et c'est lui qui a l'honneur de clore l'album seul l'espace d'un instant.

You're The Quarry de 2004 n'est vraiment pas un grand album à côté de celui-ci. Hormis les deux premiers singles, et deux autres titres, le reste est ampoulé, et indigeste. Le dernier morceau est d'une grande indigence. Et l'entame du disque est tout aussi décevante. Prod' américaine datée 2000s, stéroidée, obsolète avec sans arrêt des sons de percus synthétiques au dessus de la musique. Non, mais cela peut plaire au grand public, Let Me Kiss You aurait pu faire partie du répertoire de Robbie Williams. eh oui.

Ringleader of the Tormators de 2006 est meilleur dans l'ensemble, hormis les singles. At Last I am Born est un des titres les plus réussis, avec un texte bien senti.

Pour ceux qui aiment Vauxhall & I, il faudrait mieux se replier sur Viva Hate, le tout premier Lp en solo, où une chanson comme "Little Man, what now?" n'est musicalement pas si éloigné que Lifeguard... avec une prod' Spectorienne avec un son assez sixties.

Kill Uncle de 1991 est aussi un très grand disque avec There's a place in hell for me and my friends, Driving your girlfriend Home et c'est aussi le premier album de Morrissey qui comporte des samples de dialogue de films, en arrière plan qui entrent en résonnance avec les textes des chansons, préfigurant donc les arrangements sur Vauxhall & I.

Your Arsenal (1992) est un excellent disque glam, dans l'esprit de Ziggy Stardust and the spiders from Mars et de Electric Warrior. C'est concis, sec, il n'y a pas de gras. Incontestablement un autre sommet de sa carrière pour les ballades comme We'll let you know.
Voilà un autre point de vue.

Oui, les faces-b de la première période sont très bien, "I'd Love to" enregistrée pendant Vauxhall est splendide, tout comme Sister I'm Poet (1988), Michael's Bones (1989) qui préfigure aussi la prod' sur certains titres lents de Vauxhall. Et sinon, il y a la version condensée, une compil' des singles sortis durant les trois premières années de sa carrière en solo, qui s'appelle Bona Drag.





Eddie VEDDER
INTO THE WILD


Le 06 Juin 2022 par CLANSMAN57


Très bonne BO qui s'écoute aussi bien qu'un album traditionnel.
Ce n'est jamais redondant comme c'est souvent le cas avec ce type d'enregistrement.
En plus, c'est toujours inspiré, raccord avec le film sur le plan des textes, mais également sur le choix du style qui se veut essentiellement acoustique.
Quoi de meilleur que de la Folk pour traiter de la nature?
Bon ok, il y a un peu de Rock. Sur "Far Behind", le narrateur semble vouloir couper les ponts avec sa vie d'avant en bandant le muscle.

Par ailleurs, ce disque ne risque pas de prendre des rides, à l'instar de la belle et néanmoins dangereuse nature.





KISS
DYNASTY


Le 06 Juin 2022 par NONO

@Le Vieune : de toutes façons TOUT ce que touchent les Enfoirés se transforme en m....
Ah si... y avait quand même le tube de Goldman au début... mais le reste...
Le pire c'est quand ils chantent les hits anglais en français, ça fait "power pignole".


Par Forces Parallèles

Attention, on est sur un site musical ici. Vous êtes hors sujet!

(comment ça non ?)

Chipstouille

(Sinon, perso, j'avais bien aimé leur reprise de STATUS QUO...)





Manuel GÖTTSCHING
E2-E4


Le 06 Juin 2022 par CHIPSTOUILLE

Dans un tel cas, ce sont donc nos façons de noter qui s'opposent. :) Pour moi, apprécier de réécouter un album est un critère prédominant pour lâcher un 4/5 (et même un 3...)
Comme tu avais déjà mentionné cet album, que c'est celui qui a la meilleure note aujourd'hui sur FP, et que Walter m'a également redirigé en direction de GÖTTSCHING (merci pour le retour!), j'ai donc jeté mon dévolu sur celui-ci.

J'ai essayé "Sueño Latino", je ne parviens qu'à peine à détecter la différence! Ce n'est plus du sample, c'est du plagiat là ! :D (à part les bruitages nocturnes et le beat...).

J'ai reparcouru les exemples donnés par Ishkur. Acid House me semble ceci étant encore plus spécifique que House. Je vois en quoi la section rythmique s'en raproche (et en particulier les cymbales en effet). Par contre, le côté gamelle remplie d'eau que l'on frappe (je ne trouve pas meilleur moyen de décrire cette déformation de son qui part dans les aigus tout en s'étouffant ) sur E2-E4 me semble encore éloigné de ce qu'on appelle les sonorités acides (qui sont produites par le Roland TB-303, à la base destiné à faire de la fausse basse, si j'ai bien tout compris).
J'ai reconsulté le guide d'Ishkur. Dans mes souvenirs il y avait bien plus de sous-genres associés au terme Acid (et donc à cette sonorité particulière). Je n'avais pas percuté que c'était plus spécifiquement associé à la House en premier lieu. J'ai du rêver :) (pourtant des sonorités acides en Trance, ce n'est pas ce qui manque)

Après avoir creusé, je trouve que les exemples qu'Ishkur donne dans l'Acid Jazz se rapprochent un peu plus de ce qu'on trouve ici. En particulier "Rumble" de The CHICK COREA ELEKTRIC BAND, de 1986. On y retrouve un peu le côté "jam" de E2-E4 d'ailleurs. Les exemples des années suivantes sont beaucoup plus "relachés" et moins répétitifs, ceci étant, donc je présume qu'il s'agit d'une simple coincidence ou exception.

Tout ceci est bien entendu très subjectif, je ne fais que livrer des impressions à chaud. :) Merci pour tes retours.

La liste des trucs à écouter s'allonge!
Je vais déjà aller creuser côté Neu ! et Harmonia, comme Walter me le suggérait.





KISS
DYNASTY


Le 06 Juin 2022 par LE VIEUNE

Il y a pire que "I Was Made For Lovin' You", c'est le même hit hard disco mais repris par la clique des Enfoirés !





KISS
ASYLUM


Le 06 Juin 2022 par FRED


Depuis la fin des masques, KISS enquille les pochettes horribles. Malgré les vidéos atroces, les faciès patibulaires, les titres plus ou moins inspirés, il y a toujours une ou deux perles dans ces albums. Pour moi, ici, ce sera "Tears are falling", que je me repasse en boucle régulièrement, avec son du de guitares harmonisées, tout en mélodie... Contrairement à l'avis de Tomtom.
Bref, ils sont laids (d'où les masques, fut un temps?), font régulièrement preuve de (très) mauvais goût (ah, ces vidéos !!!), leurs album sont les plus souvent moyens, mais le groupe est... génial. Sans doute parce que tout le monde y trouve son compte, dans les albums, soit un ou deux morceaux à sa convenance. D'ailleurs, je pense qu'ils sont calibrés spécialement pour cela, pour ratisser large. Gene Simmons, c'est un peu l'oncle Picsou du Hard, le Mister Business du Rock 'n Roll (All Nite !), on peut lui faire confiance. Et puis, une chose qu'on ne peut leur reprocher : sur scène, ils donnent tout ! Bon, l'album ASYLUM est quand même moyen... mais pas tellement plus que les autres, finalement.





Manuel GÖTTSCHING
E2-E4


Le 06 Juin 2022 par ARP2600

Eh bien, je ne vois pas en quoi ma conclusion est si différente de la tienne. Je pense qu'il est assez évident à la lecture de mon texte que je n'aime pas tant que ça ce disque, et que ma note n'est qu'une question d'objectivité et d'importance historique. Sinon oui, c'est joli comme Göttsching l'est toujours mais c'est vraiment trop répétitif à mon goût. Je ne l'écoute que rarement, beaucoup moins souvent que la plupart de ses autres albums (en solo ou avec Ashra).

Au moins tu auras pu apprécier son jeu de guitare, mais je ne saurais trop te recommander Blackouts et Belle Alliance pour ça. À noter que, s'il n'y a du solo que dans la seconde moitié, beaucoup des sons de l'ensemble sont quand même générés par la guitare.

Sinon c'est compliqué l'histoire de la musique, je dirais donc ceci : La disco est un funk rythmique, à la base non éléctronique, ce fameux beat irrésistible ayant été découvert à la batterie classique. Le passage à l'électronique doit beaucoup aux allemands, déjà simplement via Giorgio Moroder (quand j'accélère le riff de Ricochet part I de TD et que je compare au motif de "I feel love" de Donna Summer, j'ai tout compris). Göttsching, lui, a innové, au même titre que Cluster, dès 1974 avec Inventions for Electric Guitar, puis avec New Age of Earth. Les influences indiennes sont tout à fait possibles, oui... n'oublions pas que Göttsching comme les autres viennent du psychédélisme le plus déjanté. Je t'invite à écouter le premier Ash Ra Tempel. Et aussi le premier Cosmic Jokers, tiens :).

Et donc, techno, house, trance, je ne sais pas... je ne dis pas que tout vient de Göttsching ou Cluster plutôt que Kraftwerk, bien sûr. C'est un tout, et certains ont simplement été des pionniers de certaines approches abstraites et des rythmes très réguliers. Une chose est sûre, si E2-E4 n'a effectivement pas beaucoup de beat, il a par contre des sonorités acides et des genres de cymbales qu'on retrouve beaucoup dans l'acid house. Le single house assez connu "Sueño Latino" est d'ailleurs une appropriation directe du morceau, bien au-delà du sampling...





Manuel GÖTTSCHING
E2-E4


Le 05 Juin 2022 par CHIPSTOUILLE

Je suis arrivé au bout! Ouf ! :)
Je trouve que ta chronique, une fois de plus, décrit très bien l'album. J'ai un peu envie de te faire le même genre de réponse que celle que Oncle Viande m'avait faite à propos de Ummagumma. C'est fou comme on peut trouver les mêmes choses dans une oeuvre, mais avoir des conclusions qui partent dans des directions opposées.

Bon, je ne serais pas aussi radical que sur Ummagumma (comme tu n'as pas décerné 5 étoiles non plus à E2-E4). Pas de note, mais je ne pense pas me réécouter cet album outre mesure. Mais comme dirait James Bond, il ne faut jamais dire jamais !
Nous avons là une oeuvre jusqu'au-boutiste, c'est certain. Chose très étrange, les plus téméraires sont ici récompensés par un jeu de guitare très inspiré. Jeu qui me fait un peu penser à ceux de Mark Knopfler voire David Gilmour. Bon je connais pas la moitié des grands guitaristes de l'époque, donc j'ai surement loupé un chapitre dans l'histoire (genre Eric CLAPTON ou je-ne-sais-qui... pas taper! :) ). Fallait-il attendre la moitié de l'album pour sortir la guitare de son étuit ? C'est assez gonflé. J'imagine qu'il faut cette durée pour s'accomoder de cette section électronique ultra répétitive. Je me demande si sur la version vinyle, la guitare apparait avant, pile-poil au moment ou après le changement de face ? Néanmoins, il y a toujours des variations au milieu du cycle. Quelques notes picorées, une sorte de Jam électro assez extrémiste dans son approche.

Il est absolument inconcevable d'écouter cet album en fond sonore. C'est comme du Jean-Sebastien BACH à l'orgue ou au clavecin, E2-E4 réclame toute votre attention. Sinon c'est le pétage de plomb assuré. Il faut "programmer son cerveau" pour en suivre les subtilités. Tu prends toutes les pincettes nécessaires dans ta conclusion, c'est plutôt bien vu!

En tant qu'amateur de Techno, Trance et un peu de House, c'est une expérience à vivre au moins une fois. Je recommande en particulier l'album à ceux qui sont sensibles aux charmes de la basse de SQUAREPUSHER ou aux quelques titres qui sortent la guitare sèche chez JUNO REACTOR ("Conquistador", notamment). Et donc, fatalement, inversement ;)

Je rajoute un petit élément sur le côté précurseur de cet album, que je ne remets aucunement en question. Les allemands s'étant particulièrement illustrés dans toutes les variations de la Techno dans les années 90. Mais attention tout de même, il y a également une filiation avec le Disco. La Techno c'est d'abord une musique qui émerge aux Etats-Unis à Detroit, puis la House à Chicago. J'en profite quand même pour étaler ma culture comme de la confiture. En Trance, et plus particulièrement en Goa, il y a également une forte influence de musique traditionelle indienne, qui provient en particulier des mantras que l'on peut entendre dans les temples Hindous. L'approche répétitive et plannante y est au moins aussi intense, sinon plus, et cela date de bien avant le siècle dernier. Pour avoir passé des heures à entendre des "Hari Krishna, Hari Hari Krishna" lors de quelques rares visites de temples, je peux témoigner qu'on en sort un peu étourdi. Même si ça n'a rien d'électronique, ça me semble être pré-précurseur de ce type de musique-là. Compte tenu de la proximité historique entre l'Angleterre et l'Inde, je me demande si tous les créatifs de la musique minimaliste ou des débuts de la musique électronique ont vraiment pondu de la musique aussi répétitive de façon innée. Les BEATLES avaient rajouté du Sitar sur je ne sais plus quels titres, par exemple... Il me semble que la mouvance hippie de la fin des années 60 et le rock psychédélique s'étaient déjà un peu rapprochés de tout celà, quelques années avant les pionniers du Krautrock dans les années 70. Mais bon, je ne maîtrise rien de tout cela!

Dernière question pour Arp. Tu avais l'air de dire que cet album était "vraiment house". Pour moi la House se caractérise par des basses ventripotentes et un beat très marqué, qu'on n'entend pas du tout ici (normal, je ne m'attendais pas à ça non plus). Quel est l'élément qui te fait rapprocher ce disque de la House plus particulièrement ?





Boby LAPOINTE
AU PAYS DE BOBY LAPOINTE


Le 04 Juin 2022 par LE KINGBEE


Excellente chronique pour un recueil fortement recommandable.
On ne peut que conseiller, à l'instar de certains textes de Devos, de se munir des écrits, certains jeux de mots échappant à l'oreille même après de nombreuses écoutes, d'où le talent du bonhomme.

Les chansons studios se révèlent au bout du compte plus intenses et percutantes que certains titres Live sur lesquels le public se manifeste avant tout sur les passages connus et faciles.





MORRISSEY
VAUXHALL AND I


Le 02 Juin 2022 par ROGER NELSON

Très fan de Suede et de Moz également, depuis les Smiths. Oui je te conseille You're the Quarry, Tormentor of the Ringleader. Mais si tu veux connaître Moz pour ses faces B mythiques et sublimes, procure-toi le triple cd ParlophonecYears 1988/1995. Tu appréhenderas encore mieux Moz.





Boby LAPOINTE
AU PAYS DE BOBY LAPOINTE


Le 01 Juin 2022 par RAMON PEREZ

Ma souris a du riper au moment fatidique... Je voulais mettre 5 effectivement, j'ai fait ça trop vite. Je vais voir pour rectifier





Boby LAPOINTE
AU PAYS DE BOBY LAPOINTE


Le 01 Juin 2022 par LE BARON


Je mets 5 étoiles aussi ! Boby Lapointe m'accompagne depuis toujours, et je n'en ai toujours pas fait le tour....





Boby LAPOINTE
AU PAYS DE BOBY LAPOINTE


Le 01 Juin 2022 par LE MERLE MOQUEUR


ATTARDÉ DANS l'EAU

tarie des rizières
hier l'hôte à ri
comme un veau.
L'otarie aux caries
avancées n'a pas ri
au bol de riz que l'hôte
à l'arrêt lui tendit

Mamie fière pinnipède
sous l'orage il la tient à la
laisse et la laisse en partie
sans abri. Petite à petite
l'otarie qui peaufine son
las teint et pâtit sans patrie
s'hermite en Italie

En Italie, lie toi, c'est
Berry qui le dit à Boby
quand il cherche à midi
alibi suffocant sans habit
dans la plaine du Po

Platinée à outrance
le monstre phocomèle
hôte à raie de Paris qui
servit de modèle aux
barbiers d'Ibèrie hissa
le pavillon puis souffla
sur les focs et partit
non loin

DE NAPOLI


p.s : Le 5 est pour la pointe, bien sûr. Bobby
comme Albert Marcoeur sont des incontournables.
LE MERLE aussi il va de son chant..re, non je d'étonne...







Boby LAPOINTE
AU PAYS DE BOBY LAPOINTE


Le 01 Juin 2022 par BRADFLOYD


Salut Ramon,
J'ai bien lu ta chronique qui est assez dithyrambique à l'endroit d'un véritable génie. De plus, tu l'affirmes aussi. Aussi, je ne comprends pas cette note de 4/5. A mon sens, c'est le 5 assuré dans ce style qu'il est quasiment le seul a avoir poussé aussi loin, quand bien même des chansons avec calembours ont été écrites bien avant lui. Il n'est donc pas le premier mais et le seul à ce niveau, me semble-t-il.
Ceci étant, tu as raison, il faut entrer dans son univers et là, c'est un véritable bonheur si tant est que l'on aime la langue française. Un conseil : parfois se munir des livrets pour comprendre les calembours qu'il assemble souvent à très grande vitesse (ex : ta Katie t'a quitté). Perso, j'ai "l'intégrale" en deux CD et je me les remets sur ma platine assez régulièrement et espérant que, de là haut, il se rend compte du bonheur qu'il apporte encore à travers ses chansons.





NEW RIDERS OF THE PURPLE SAGE
NEW RIDERS OF THE PURPLE SAGE


Le 31 Mai 2022 par TOMMY_CALE


Réécouté ce matin, un disque sympa d'un groupe qui en est tout autant, petit frère du Grateful Dead de Jerry Garcia.
Beaucoup de ballades (jolie Last Lonely Eagle) 2 mid-tempo de qualité à savoir Glendale Train et surtout Louisiana Lady qui clôt bien l'album. Finalement peu de psyché comme l'a fait remarquer Kingbee, dont je partage l'avis sur le manque d'accroche avec une écoute qui reste toutefois agréable (mais plate).
Un bon premier tome de Jerry avec ses copains de la sauge pourpre (il jouera du banjo de mémoire dans un titre sur le second album), souvent catalogué country-rock psyché mais on est loin par exemple de la présence de psyché dans le folk-rock du Notorious Byrd Brothers des Oyseaux.

2.75/5









Commentaires :  1 ...<<...<... 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 ...>...>>... 1002






1999 - 2024 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod