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Elton JOHN
ROCKETMAN (MUSIC FROM THE MOTION PICTURE)


Le 18 Octobre 2024 par BRADFLOYD


Autant je n'ai pas aimé Bohémian Rhapsody, autant j'ai beaucoup apprécié ce film sur E.J, tout comme j'ai adoré Elvis. Ce mélange de film rétrospective et de comédie musicale est une excellente trouvaille. Et comme la musique est bonne, je l'ai vu plusieurs fois.





Elton JOHN
THE ONE


Le 18 Octobre 2024 par BRADFLOYD


Je veux bien que la chanson fasse référence à Freddy Mercury, peu de temps après sa mort. Mais je ne peux m'empêcher de penser que cela renvoie avant tout aux relations conflictuelles que E.J avait avec son père, notamment à cause de son homosexualité. La mort du chanteur de QUEEN n'est jamais qu'un prétexte, je pense.
Sinon, j'aime beaucoup cet album, même s'il ne s'agit pas de mon préféré.





URIAH HEEP
FIREFLY


Le 18 Octobre 2024 par MASTERFAN


Une nouvelle ère s’ouvre en 1977 pour Uriah Heep avec l’arrivée à la basse de Trevor ‘Spiders from Mars’ Boulder et de John Lawton au chant. Deux très bonnes pioches au mercato, même si le second nommé ne fera hélas pas de vieux os avec le groupe, à l’inverse de l’ex-compère de David Bowie.

FIREFLY, déjà le 10ème album, débute la trilogie 'John Lawton' du Heep, enregistrée à cette période en même pas deux ans. En 1977, cela semble d’ailleurs être une mode de sortir deux albums par an (Bowie, Iggy, et j’en oublie), tant mieux pour nos oreilles. Avec son faux air de Gene Simmons, un côté moins théâtral que chez David Byron mais avec un charisme supérieur, John Lawton a le privilège de vivre les toutes dernières grandes heures du Heep.

Le premier titre, "The Hanging Tree", démontre que, comme son prédécesseur, Lawton dispose d’une voix hors du commun. La production retrouve des couleurs, le son une certaine profondeur, l’album commence bien. Il décolle carrément avec "Been Away Too Long", petite merveille de finesse signée Ken Hensley avec en prime un super solo de Mick Box, on se rapproche tout doucement des classiques du début de la décennie 70 heepienne.

Le morceau rock survitaminé de Lee Kerslake, "Who Needs Me", donne l’occasion à Trevor Bolder de prouver qu’il ne s’est pas retrouvé ici par hasard. Sans surprise vient ensuite la classique ballade de Ken Hensley, "Wise Man", single peut-être un poil trop sirupeux, mais les choeurs et la puissance du chant finissent par emporter l’adhésion.

La seconde face repart en trombe avec le nerveux "Do You Know" et son côté aussi purpulien qu’heepien. Impression double également avec le calme et raffiné "Rollin’On", autre belle pièce de cet opus classieux, évoquant Free à son apogée.

"Sympathy" est l’un des morceaux les plus connus de cette période du Heep (avec "Free Me") : John Lawton y montre qu’il sait aller aussi haut que son prédécesseur dans les aigus, ce qui n’est pas donné à tout le monde. L’album s’achève en beauté avec le bijou "Firefly", empreint de la nostalgie des 70’s et qui revient discrètement repointer le nez du côté du prog.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : "Been away too long", "Rolling’on", "Firefly". SEDUISANT (4) : "The hanging tree", "Sympathy", "Wise man". PLAISANT (3,5) : "Who needs me", "Do you know". Bilan 4 et Top 5 à 4,30 : FIREFLY cote pour moi 4,15 soit 16,60 / 20.

Le line-up change mais la qualité et le plaisir d’écoute sont toujours au rendez-vous pour ce premier heep crû Lawton. Comme ANIMALS de Pink Floyd, FIREFLY, à contre-courant total de son époque punk, se tient droit dans ses bottes et impose le respect.

Côté session, rab de quatre titres sur la version CD 2004 de FIREFLY. "Crime of passion" (3,5) et "I always Knew" (3,5) valent largement le coup de prolonger l’écoute. "Dance dance dance" (3) est moins primordial. Le début tranquille de la Démo "A far better way" (4) induit en erreur puisque la suite monte progressivement en intensité, pour une compo qui avait tous les atouts pour être 'albumisée'.





La FEMME
PSYCHO TROPICAL BERLIN


Le 18 Octobre 2024 par BLUEMASK


En 2024, La Femme est toujours là, toujours hype, avec toutes ses qualités et quelques défauts.
Ses qualités bien présentes sur ce disque fondateur, ce sont ces morceaux bien troussés, faciles d'accès, pop dans son acception la plus noble, brassant large avec une vraie identité. Le mélange de new-wave français 80's, de pop 60's (Gainsbourg, Hazlewood, Hardy), de guitares surf et d'electro-club n'est pas forcément une évidence sur le papier, mais le devient sur ce disque frais, immédiat, hédoniste et naïf.
Le défaut, ce serait un genre de truc difficilement qualifiable, au-delà de la hype et du côté branchouille qui peut irriter les vieux crabes. Identité et personnalité, La Femme en a, mais il y a un je-ne-sais-quoi de superficiel, d'artificiel dans la musique et les textes.
Mais la qualité l'emporte haut la main.





SUEDE
NIGHT THOUGHTS


Le 18 Octobre 2024 par MASTERFAN

@ IEN, je crois qu'il y a quelques erreurs dans ton décompte (il faut multiplier par 4 et non par 3).

Ton Top 5 est bien à 4, 20 mais ton bilan me semble être à 3,29 donc ton ressenti sur cet album est à 3,75 soit 15/20.

J'aime mieux ça, j'ai failli avoir une crise cardiaque en voyant ton résultat pour un album que je trouve personnellement magnifique et qui doit donc être un peu plus haut me concernant.

Je me lancerai dans toute la discographie de SUEDE un de ces jours, pour l'instant c'est vrai qu'il nous manque encore deux éléments ici.





Alain SOUCHON
C'EST COMME VOUS VOULEZ


Le 18 Octobre 2024 par SEB


Précédant l'album-consécration "Ultra Moderne Solitude", Alain sortait en 1985 ce vinyl déjà fort sympathique qui contenait pas moins de 3 classiques de La Souche. Un genre de tour de chauffe avant la déferlante !

Après une écoute brève auprès du disquaire de mon patelin (oui je sais ça remonte l'époque des disquaires indépendants), acquisition que je ne regrette pas, même si je ne suis pas un grand fan averti. À titre perso, ce disque je l'adore, le morceau-titre notamment. Souvenir d'une époque révolue... Bon ok, on nous en a abreuvé sur les radios à l'époque : "C'est comme vous voulez", "La ballade de Jim" qui finit dans un hôpital ou encore le très explicite "J'veux du cuir". Mais le reste de l'album n'est pas forcément à jeter, même si bien sûr quelques faiblesses ressortent ("Faust", "Vous êtes lents"). Mais l'ensemble reste agréable !

Bien sûr, Souchon nous sortira par la suite des caviars d'anthologie, des titres signatures, des classiques ! Mais je trouve qu'à cet instant, il nous servait quand même un bon petit hors-d'oeuvre !





SUEDE
NIGHT THOUGHTS


Le 18 Octobre 2024 par IEN


Pas mal écouté à sa sortie, il y a des titres vraiment marquants mais sur la première partie du disque seulement. Le reste est une succession de titres assez mous.
Je soupçonne aussi une utilisation un peu trop forte d'autotune.

A noter que je l'avais acheté en vinyle à l'époque et qu'il a été pressé comme un maxi 45 tours au lieu d'un 33T classique, c'est assez surprenant à la première écoute quand on a pas bien réglé la platine :-).

Mon ressenti selon l'échelle de Masterfan :
TRIPPANT (5) : "outsiders"
DELECTABLE (4,5) : "like kids"
SEDUISANT (4) : "No tomorrow" "What I'm Trying To Tell You"
PLAISANT (3,5) : "When You Are Young"
INTERESSANT (3) : "I Don't Know How To Reach You" "pale snow""
EMOTION LIMITEE (2,5) : "tightrope" "learning to be" "I Can't Give Her What She Wants" "When You Were Young" "The Fur & The Feathers"
AUCUNE EMOTION (2) :
DEPLAISANT (1,5) :
PENIBLE (1) :
Bilan 3,04 et Top 5 à 4,20.
Night Thoughts cote pour moi 3,62 soit 10,86 /20.

Marrant comme notation, la moyenne pour un album moyen.

L'album suivant sera dans la même veine.
En revanche "Autofiction" de 2022 sera bien plus enthousiasmant (à quand la chronique d'ailleurs ?)





CIRCUS MORT
CIRCUS MORT


Le 18 Octobre 2024 par H.


Mieux que le premier EP des Swans, mais pas indispensable non plus.





LCD SOUNDSYSTEM
LCD SOUNDSYSTEM


Le 18 Octobre 2024 par BLUEMASK


Sur 1h40, LCD Soundsystem alterne l'excellent et le moins bon, voir pire. En version courte, nous aurions tenu un excellent skeud, dommage... Oscillant entre house, new wave et rock bruitiste, tenant autant de Daft Punk que des Talking Heads, le disque se termine par 30 min de pure dance-rock prenant et hypnotique avec les 2 versions de 'Yeah' et 'Yr city is a sucker'. Avant cela, on aura été irrité par un 'Disco infiltrator' proprement horripilant, un 'Tired' qui effectivement fatigue, un 'Too much love' manquant de groove, gâchant un peu la fête de 'On repeat', du tube 'Daft punk is playing at my house' et de la ballade electro-crooning 'Never as tired as when I'm waking up'...
Un disque n'est pas une rave party, James Murphy corrigera le tir sur un second album plus centré.





The BEATLES
A HARD DAY'S NIGHT


Le 17 Octobre 2024 par MASTERFAN


C’est ici que ça devient sérieux et pas qu’un peu. En ce début d’année 1964, les BEATLES trustent les cinq premières places des charts aux States. Tout ce qu’ils touchent se transforme en or. A HARD DAY’S NIGHT est le premier album '100 % Beatles', il va faire passer la Beatlemania à un cran encore supérieur.

La première moitié provient de la B.O du film éponyme qui les consacrera superstars au mois d’août. Si le film n’est pas un chef-d’oeuvre du cinéma, musicalement, c’est une autre histoire.

Quatre morceaux de John pour commencer. Le titre éponyme "A Hard Day’s Night" reste un régal que les années n’ont pas altéré. De même que "I Should Have Known Better" et son harmonica bien séduisant ainsi que la mélodie de "If I Fell", brillante. Quel début, Mr Lennon ! "I’m Happy Just to Dance With You" est gracieusement laissé à George, c’est clairement un peu moins bon.

J’apprécie plus "And I love Her" de Paul aujourd’hui qu’autrefois. Cela reste un morceau important car c’est la première ballade acoustique du groupe. Ce n'est toutefois pas la version que je préfère (d'autres sont sorties depuis). "Tell Me Why" (encore John) est survitaminé, allez un 4 juste pour le moment délicieux du pont où les gars passent à l’unisson dans les aigus : ce type de plan ne se reproduira plus par la suite. Paul est moins prolifique sur cet album mais ne fait quasiment que des perles et "Can’t Buy Me Love" en est une, indéniablement.

Re-John avec "Anytime at All", copié sur les accords de "It Won’t Be Long" puis "I’ll Cry Instead", viré au dernier moment du film pour être remplacé par "Can’t Buy Me Love". Le morceau pour moi le plus inoxydable de l’album, après une centaine d’écoutes, est "Things You Said Today" de Paul. John achève le tout avec un triplé. Si "When I Get Home", d’influence Motown et "You Can’t Do That" inspiré par Smokey Robinson, me paraissent un cran au-dessous, "I’ll Be Back", reste mon second coup de coeur ici : simple, lumineux, magnifique.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : "Things we said today", "I’ll be back". DELECTABLE (4,5) : "A hard day’s night", "If I fell", "Can’t buy me love". SEDUISANT (4) : "And I love her", "I should have know better", "Any time at all", "I’ll cry instead", "Tell me why". PLAISANT (3,5) : "I’m happy just to dance with you", "When I get home", "You can’t do that". Bilan 4,15 et Top 5 à 4,70. A HARD DAY’S NIGHT cote pour moi 4,43 soit 17,72 /20.

Ce n’est pas la grille que j’aurais laissée dans ma jeunesse mais après un nombre d’écoutes pléthorique, je pense être en accord avec moi-même. A HARD DAY’S NIGHT est à jamais le tout premier grand classique des BEATLES et de la pop.

Quelques autres morceaux étaient également joués en concert à cette époque, des B-sides pas exceptionnelles telles "Thank you girl" (3) , "This boy"(3), ou "I call your name" (3).





OMD
CRUSH


Le 17 Octobre 2024 par NONO


J'ai réécouté cet album à l'instant... Pfff... je ne sais pas ce qui m'a pris de mettre un 4/5 il y a 10 ans car même à l'époque j'avais fondé ma critique sur les souvenirs que j'en avais.
J'avais acheté le skeud aux alentours de 1993 et je l'avais aimé, cet album.
Mais maintenant... punaise... C'est juste plus possible un album aussi boiteux !
En clair, OMD tente de s'approprier un style qui ne lui convient pas : de la pop/rock bas de gamme. C'est pas juste un changement de style : ça s'est fait dans l'urgence, sur les décombres de Dazzle Ships qui avait été un échec (et pourtant un sacré bon album, en ce qui me concerne). Pour rebondir très (trop) rapidement, le combo a dû enfiler le mauvais costard pour attirer de nouveaux fans. C'est encore plus visible maintenant qu'à l'époque.
J'aime toujours beaucoup les 4 titres d'affilée So in Love / Secret / Bloc bloc bloc et dans une moindre mesure Women III, mais après, c'est RIDEAU, POUBELLE, RAUS SCHNELL ! Note exacte pour moi : 2.5 / 5





WU-TANG CLAN
ENTER THE WU-TANG (36 CHAMBERS)


Le 17 Octobre 2024 par BLUEMASK


Personne ne nous oblige à ça, mais s'il fallait citer le plus grand album de rap de tous les temps, je citerais sans trop hésiter '36 chambers'. Nous tenons là le 'Raw Power' du hip hop, l'album novateur et sauvage, qui a changé durablement la trajectoire du genre tout en étant un sommet artistique largement inégalé des années plus tard.
Collectif de rappers aux flows distincts et complémentaires entre, entre autres, la précision de RZA ou Raewkwon, l'animalité de Method Man et l'animalité malade de Ol' Dirty Bastard, cette série de titres percutants est satellisée par le génie arrangeur de GZA. Basse profonde, groove lent et enveloppant, samples addictifs et inventifs, les instrumentaux sombres et, attention oxymore, richement minimalistes redéfinissent le genre.
Durée parfaite, ce qui deviendra rare dans le rap, belle pochette. Le genre de détails en plus.





LED ZEPPELIN
PHYSICAL GRAFFITI


Le 17 Octobre 2024 par FOUDROCK


Mon préféré du groupe, peut-être pas leur sommet absolu (le quatrième album reste ce qu'il est, un album parfait), mais un immense album, un vrai monstre qui, selon les mots du rock-critic Nick Kent, "bouffe "Houses of the Holy" au petit-déjeuner". Un des double-albums les plus réussis qui soient avec le Stones, le Beatles, le Stevie Wonder et le Elton John (celui de 73).
Je ne me lasserai jamais de ces 82 minutes.





Sabrina CARPENTER
SHORT N' SWEET


Le 17 Octobre 2024 par BAKER

Je reviens à la charge car je suis tombé sur UN titre franchement moins bon. J'ai vu le clip, à la plage donc de mauvais présage (hein aha ?) Et ce n'était pas immonde mais bon, même si elle revenait...

...je crois bien que rien n'y ferait... ^^

Heureusement après il y a eu "Des milliers de je t'aime" de Slimane qui m'a rappelé de passer à la droguerie acheter du Harpic WC. Vous savez ce que c'est, il y a des choses, plus on tire la chasse et plus ça s'incruste.





OMD
CRUSH


Le 17 Octobre 2024 par LA MINGUIA

L'ayant découvert récement, j'ai été sur le cul d'entendre à quel point cet album est mauvais. Je ne reconnais plus le groupe des 4 premiers albums. Autant dans Junk Culture il y avait quelques morceaux qui sauvaient l'honneur, autant ici c'est mauvais partout. Passé les 2 premiers morceaux, on s'emm..de grave. La moins pire reste "Secret", la première est passable sans être exceptionnelle du tout, le reste au secours !





The ROLLING STONES
A BRUSSELS AFFAIR


Le 16 Octobre 2024 par BLUEMASK


Attention, disque en fusion !!
Ce bootleg plus ou moins officiel, que j'ai eu la chance de chopper il y a quelques années en version physique ( et ça tombe bien, il n'est pas dispo sur Apple Music) est le meilleur live des Stones qu'il m'ait été donné d'entendre. Pourtant depuis quelques années, il y a eu pas mal de sorties de lives officiels de la 'grande' époque, tous excellents ('ladies and gentlemen' de l'époque Exile, 'Some Girls: live in 78'), mais vraiment aucun n’atteint ce dégré d'intensité. La set-list est pourtant constituée en grande partie de titres connus, re-connus, archi-connus, auxquelles s'ajoutent quelques titres excellents et très rock du pourtant décrié 'Goat's head soup'.
Mais le sujet n'est pas la set-list, mais l'urgence qui se dégage de ce disque, très très loin de 'Flashpoint', par exemple, la façon dont le groupe joue soudé et tout en intensité, tous, tout le temps Mick Taylor y est pour beaucoup, il est partout, tout le temps, véritablement ce disque est son testament.
Un live qui justifie le fait qu'un live est utile et peut surpasser tous les disques studios, quand il saisit un 'momentum'





L'AFFAIRE LOUIS TRIO
CHIC PLANèTE


Le 16 Octobre 2024 par RICHARD

Comment ne pas se souvenir effectivement de Licence IV ? Je crois que c'est aussi pour ceci que les années 80 peuvent tant être détestées. Concernant cet album, il est à l'image de sa pochette. Fun, naïf, coloré, festif. Il faut assurément le prendre pour ce qu'il est : un album zéro prise de tête. Un peu comme le superbement caféiné "Bois Ton Café" qui paraîtra sur l'album suivant. C'est effectivement sans doute l'image que l'on peut se faire de cette décennie. Une certaine forme d'hédonisme.
Cet album est d'autant plus déroutant lorsque l'on sait que le trio a sorti en 1993 le superbe "Mobilis In Mobile" qui est une très belle galette de Pop hexagonale.





NEW ORDER
TECHNIQUE


Le 16 Octobre 2024 par BLUEMASK


Cet album a la réputation d'être le disque qui a fait verser New Order dans la house et le dance-rock... Soit... L'introductif 'Fine Time' est bien ce tonneau et a d'ailleurs super mal vieilli, c'est une quasi horreur désormais. Il y a aussi les élans house de 'Mr Disco' et le beat terrible introduisant 'Vanishing Point' et un poil plus de synthé sur les autres titres. Mais au final, la compil 'Substance' regroupant les singles hors albums est antérieur et est vachement plus orienté dance-floor. Ici, en majorité nous retrouvons le New Order des albums soit electro-pop-rock classieuse menée par la basse de Peter Hook et des guitares carillonnantes ou acoustiques. Si on aime ce New Order aussi, alors c'est un bon disque. Personnellement donc c'est un bon disque, même si la voix monotone, dans le sens mono-ton, et un peu lisse de Summer, m'irrite à la longue, car montone, dans le sens un peu chiant.





L'AFFAIRE LOUIS TRIO
CHIC PLANèTE


Le 16 Octobre 2024 par SEB

Que de souvenirs, que de souvenirs ! Cette période bénie que nous avons traversée, les années 80, avec leur lot de groupes improbables (qui se rappelle par exemple de Licence 4 ?), ou de chansons colorées, gaies et entraînantes comme l'Affaire Louis Trio, du moins sur cet album avec leur fameux "Chic planète" !

Bon faut reconnaître qu'aujourd'hui ce tube a assez mal vieilli, tant au niveau musique axée très 80's (normal on était en 1987) que des paroles un peu simples voire niaises. Mais à l'époque ça a cartonné ! Oui on était dans une période un peu insouciante, bien moins individualiste, où tout était possible.

"Amis terriens, amies terriennes, jusqu'à la fin dansons main dans la main..."





Lenny KRAVITZ
CIRCUS


Le 15 Octobre 2024 par MASTERFAN


Désormais intronisé superstar, Lenny Kravitz revient en 1995 avec ‘Circus”, son 4ème album.

“Rock’n roll is dead” déçoit autant en ouverture que “Are you gonna go my way” avait enthousiasmé : le riff est moins efficace et surtout le refrain interroge. Erwin emploie le mot idoine à son sujet : in-di-gent.

Heureusement derrière, bon rétablissement : “Circus” ne déroge pas à la tradition des seconds morceaux d’albums superbes de Lenny, avec le grand retour des arpèges montants descendants de MAMA SAID et du son guitare vintage, je kiffe à mort.

Si le lancinant “Beyond the 7th sky” s’en tire bien au bout du compte, le funky “Tunnel vision” me laisse en route, jamais trop accroché.

Le coeur de l’album est bien solide : le retour à la ballade beatlesienne de “Can’t get you off my mind” et le léger “Magdalene” passent sans aucun souci dans le gosier. Le morceau planant de service est ici “God is love”, dans la longue lignée des hommages à John Lennon.

Baisse de niveau sur la fin avec un “Thin ice” trop quelconque pour emporter l’adhésion, tout comme “Don’t go and put a bullett in your head” qui en finit par flirter avec l’ennui.

Enfin du Kravitz pur jus (peut-on dire ‘sans surprise’ au bout seulement du 4ème album ?), assez classieux : “In my life today”.

Ah non, il y a encore “The resurrection” derrière, comme le reggae du précédent album, je l’avais oublié aussi celui-là… C’est vrai qu’il m’avait assez peu marqué et pourtant, à la revoyure, il a quelque chose...

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : "Circus". SEDUISANT (4) : "Can’t get you off my mind", "Magdalene", "In my life today". PLAISANT (3,5) : "Beyond the 7th sky", "God is love", "The resurrection". INTERESSANT (3) : Néant. EMOTION LIMITEE (2,5) : "Rock’n roll is dead", "Tunnel vision", "Thin ice", "Don’t go and put a bullett in your head". Bilan 3,36 et Top 5 à 4, CIRCUS cote pour moi 3,68 soit 14,72 / 20.

S’il y a de bonnes choses sur CIRCUS, cet album constitue quand même une nette baisse de forme par rapport aux précédents albums. Lenny peut faire mieux que ça, il le fera.

Eval exacte: 3,5







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