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Michael JACKSON
BAD


Le 09 Décembre 2020 par NONO

@Richard : Et dans ma grande naiveté, je pensais que le duo était un groupe à lui tout-seul : Fab Morvan étant le chanteur (cette voix chaude sonnait forcément comme une voix "black" pour moi), et Rob Pilatus était le mec aux synthés qui composait les titres. Mais un truc m'épatait, je me demandais comment ils arrivaient à composer de tels morceaux avec sans arrêt des changements de rythmes, de voix, etc. Or gamin, j'ignorais que tout ça était concocté en table de mixage et très peu (voire pas du tout) sur des synthés...
Et c'est vrai quand on y pense : Milli Vanilli avait une particularité : ils avaient des tonnes de versions pour chacun de leurs tubes. On avait LE tube version "single" et autour gravitaient des versions longues, qui partaient dans tous les sens, avec l'aide de tonnes de samplings, sur une base rythmique qui ressemblait à un "shuffle". Girls You Know It's True et Baby Don't Forget My Number , par exemple, sont les mêmes titres, à quelques notes près ! Mon titre péréfér d'eux était "Can't you feel my love" !!





VAN HALEN
3


Le 09 Décembre 2020 par FEELGOOD


Nombreux sont les commentateurs qui vomissent leur haine absolue des tics sonores des années 80. Même si je ne suis pas un fan absolu de cette période, ayant toujours eu un faible pour les glorieuses seventies, je pourrais citer des dizaines d'albums estampillés eighties que j'adore. Dans le lot, il y aurait la quasi-intégralité des albums de Van Halen sortis durant cette décennie. Même « Diver Down ». Et « 5150 ». Ainsi que « OU812 ».
Mes pires expériences d'ordre musical eurent lieu dans les années 90, plus particulièrement dans la seconde moitié de cette décennie. S'il est un moment de l'Histoire où j'ai eu le sentiment d'être totalement largué, c'est bien entre 1996 et 2000. Tout ce que j'adorais semblait devenu détestable et tout ce qui était tendance sonnait détestable à mes oreilles. En 98, le « grand retour » discographique de Kiss ne fut pas à la hauteur des attentes et celui de Black Sabbath se solda par la sortie d'un « greatest hits » live.
J'attendais beaucoup de ce Van Halen lors de sa parution au point de l'acheter, sans écoute préalable, dans une grande surface anonyme. Passons sur la laideur de l'emballage, le groupe n'ayant jamais eu droit à une pochette réellement marquante (à part pour son premier album et, peut-être, pour « 1984 »). De toute façon, Van Halen faisait partie de ces groupes donnant la priorité à la musique.
Il m'est impossible de passer en revue les titres de ce « 3 ». Certains lecteurs de Forces Parallèles n'étaient sans doute pas nés la dernière fois que j'ai fait l'effort d'écouter ce disque dont je me suis débarrassé il y a une éternité. Je me souviens vaguement de « Neworld »... à moins qu'il ne s'agisse de « One I Want »... Sais plus.
« How Many Say I » ne me déplaisait pas, même si on était loin de « Unchained ». En fait, le seul titre qui me plaisait s'intitulait « Fire In The Hole ». Pas de quoi garder le CD que je me suis empressé de revendre... à perte. Chaque fois que je pense à ce « 3 », j'éprouve une atroce nausée.
Si 2020 restera comme une année désastreuse, sans doute l'Everest des années de merde, 1998 n'est pas loin derrière, du moins en ce qui me concerne.
Cette année-là, seul le « Heaven Forbid » du Blue Öyster Cult trouva grâce à mes oreilles...





PIXIES
DOOLITTLE


Le 09 Décembre 2020 par ESKAPEESKAPE


On commence avec "Debaser": une ambiance garage avec un rif punk, une voix métal et des chœurs surf !
Cela donne un album frais, sans artifice, bien produit et happy; partant dans tous les sens avec cohérence en enfonçant le clou dès le second titre Tame": basse new wave, batterie proche d'une boîte à rythme punk, voix limite parlée et refrain métal avec des chœurs féminins qui ahanent !
L'album alterne ainsi sur 15 titres rock alternatif, punk, métal et surf /garage avec brio.

Eh oui ce sont les Pixies, donc inclassables.

Mon album préféré après 'Trompe le Monde' +15 étoiles





EXTREME
WAITING FOR THE PUNCHLINE


Le 08 Décembre 2020 par BAAZBAAZ


J'aurais bien aimé être un ponte chez A&M en 1994 et débarquer dans le studio pour dire au groupe d'arrêter de courir après le Grunge et, surtout, de ne pas nous faire le coup de l'album au son brut, live, pourri ou je ne sais quoi.

J'aurais dit à Nuno que "III Sides To Every Story" était bel et bien l'un des chefs-d'œuvre des années 90, qu'on se contrefichait des ventes, et qu'il avait carte blanche pour aller encore plus loin, pour se lâcher complètement, et faire en sorte que le groupe rivalise définitivement avec QUEEN. J'aurais fait venir des montagnes de synthés, une chorale, un orchestre, un Big band. Je leur aurais dit de composer cette foutue chanson de 20 mn, ce monument épique de funk symphonique religieux où les cuivres auraient pleuré la mort de Dieu.

Mais bon, je n'étais pas là, j'étais en studio avec VANILLA ICE.





VAN HALEN
3


Le 08 Décembre 2020 par BAKER

@BAAZBAAZ : Le problème de la voix subitement détériorée de Gary date déjà selon moi de 1994, perdurant jusqu'à la fin des années 90, jusqu'à Tribe of Judah. Et c'est vrai que certains titres de III m'énervent un peu sur ce point.

Heureusement, ayant remonté la pente, il chante désormais presqu'aussi bien qu'en 92.





VAN HALEN
3


Le 08 Décembre 2020 par BAAZBAAZ

Mon problème avec ce disque, c'est Gary Cherone. Chanteur exceptionnel et inoubliable avec EXTREME, il me semble ici à côté de la plaque. Je ne retrouve pas sa "voix" et on dirait qu'il a voulu singer Hagar en hurlant. Or, s'il sait indéniablement hurler, Cherone n'est pas Hagar. Cela donne l'impression qu'il a été poussé en studio à être en sur régime (sur "Year To The Day" c'est assez flagrant) alors que son registre idéal, plus personnel, est plus nuancé, moins criard (Cherone a un léger feeling soul dont Hagar est totalement dépourvu).

Cela dit, les chansons sont intéressantes, mais un peu ennuyeuses. J'imagine qu'il faut donner une chance à cet album, se plonger dedans, l'explorer. Ce que je n'ai jamais eu envie de faire pour ma part.





VAN HALEN
3


Le 08 Décembre 2020 par BAKER


FP va rester dans les annales comme un des très, très rares sites de chroniques où V.H III ne sera pas jeté aux orties.

Et je suis d'accord avec ce recul sur l'oeuvre. Un disque qui est truffé de soucis, ça on est d'accord, mais aussi de bonnes choses, et c'est une sacrée surprise de lire Erwin défendre How Many Say I, * LA * chanson la plus haïe par les curieux de la V.H Connection. Je l'aime bien, moi. J'ai du mal à comprendre qu'on puisse aduler Leonard Cohen tout en conchiant cette chanson.

"Once", "A Year to the Day" (trop long ceci dit) et "Neworld" contribuent à faire de ce disque un opus à écouter au moins une fois. Pour se faire une idée. Sans préjugés.


Deux petits addendums :

1/ en live, Gary tuait le game. Mais vraiment. Il faisait du David, du Sammy et du Gary.

2/ il y a des petits frémissements tout à fait nanométriques mais bien réels comme quoi, maintenant qu'Eddy est allé là où plein de marketeux mériteraient de finir, les démos et faces B de la période Gary pourraient voir le jour. Je suis Impatient.





The SMITHS
THE QUEEN IS DEAD


Le 08 Décembre 2020 par VALEK


Un jour, j’ai rencontré un dépressif dans un asile qui écoutait la discographie de The Smiths. Moi le Metalleux, ma culture était différente. Je n’avais aucune connaissance de la scène Rock et New Wave. Cette rencontre m’a conduit jusqu’à ce groupe que j'ai trouvé immédiatement fabuleux. Bref, on fumait sec en discutant musique dans la joie et la bonne humeur. En devenant adulte, je me suis débarrassé de mes vices, je suis maintenant heureux et en bonne santé. La musique a fortement contribué à mon évolution dans la vie. J’ai brisé tous les clichés et je suis devenu un sportif sans aucune addiction. En devenant adulte, on devient raisonnable.





Michael JACKSON
BAD


Le 08 Décembre 2020 par RICHARD

Non Nono, il ne faut surtout pas brûler ses premières amours musicales et tous les souvenirs d'enfance et d'adolescence qui s'y rattachent :) On peut sans doute en rire ou en être un peu gênés mais, comme dirait l'autre, je ne regrette rien. J'ai un an de moins que toi et je me souviens de la "folie" qui touchait quasiment toute ma classe avec ce duo franco-allemand. Plus qu'une arnaque quatre étoiles, je retiens surtout la sordide fin de l'un des membres. Le cynisme de l'industrie musicale portée à son paroxysme. Puis, peut-être pour te sentir moins seul, je me réécoute très régulièrement Cache Cache Party de Pijon et Femmes du Congo de Raft et j'aime ces deux titres comme il y a trente ans.





Eric CLAPTON
UNPLUGGED


Le 07 Décembre 2020 par CLANSMAN57


Celui-ci tournera régulièrement, je ne lui trouve rien à redire.
Ce Blues-Folk m'émeut autant qu'un Neil Young.
C'est tellement magique qu'on oublie bien vite que la plupart des chansons sont des reprises.

Chef d'oeuvre intemporel.

PS : Je cause de la version cd.





Johnny WINTER
STEP BACK


Le 07 Décembre 2020 par CLANSMAN57


C'est bien. Je connaissais juste de nom et de ganache, c'est une bonne surprise.
Je ne pense pas le ressortir souvent, mais c'est une constante avec les quelques disques de Blues que je possède, excepté le "Naturally" de JJ CALE que je me sors régulièrement.
C'est au minimum bon, bien que j'aime certaines pistes plus que d'autres et les duels entre guitaristes ressemblent à quelque chose.

Sympa.





VAN HALEN
F.U.C.K.


Le 07 Décembre 2020 par NONO


Je vais faire la fine-bouche. Honnêtement j'ai été un peu déçu de cette livraison, qu'on m'avait présentée comme étant "un album top-génial". Oui, c'est vrai, c'est du bon. Oui, on laisse un peu de côté les synthés envahissants (qui étaient d'ailleurs plus discrets sur OU812).
Mais... car pour moi il y a un "mais": j'ai l'impression que les titres ici se ressemblent tous plus ou moins, avec souvent un rythme binaire toujours un peu le même. Ca dépote, c'est puissant, certes, mais un peu trop "monolithique" pour moi. J'aime bien, mais je n'ai pas eu le coup de foudre pour autant.





MIDNIGHT OIL
THE MAKARRATA PROJECT


Le 07 Décembre 2020 par SAGA55


Quelle tristesse que la disparition du bassiste Bones Hillman, très peu de temps après la sortie de ce superbe E.P qui marque le retour discographique des Australiens !
Après deux tournées triomphales de retour en 2017 et en 2019 (où j'ai enfin pu les voir), ils sont clairement inspirés et n'ont rien perdu : la production est superbe ( une batterie bien puissante).
A savoir qu'un album complet est enregistré et qu'il sortira l'an prochain, vivement !





Ed SHEERAN
X


Le 06 Décembre 2020 par VALEK


Certains artistes sont exceptionnels. On peut même qualifier une minorité d’ovni. Les projets du blondinet étaient ambitieux, sa musique laisse des traces indélébiles, ce n’est pas étonnant qu’il gagnât le cœur du public. Depuis JAMES BLUNT on n’a pas eu quelque chose de si surprenant.





Michael JACKSON
BAD


Le 06 Décembre 2020 par NONO

@Bad Taste : Remarque c'est pas mieux, moi je trippais sur "Milli Vanilli"... et en 1989 c'était franchement cool. J'avais 13 ans... et de toutes façons ce style technoide / funky avec moult séquences et autres "samplings" étaient totalement hype !
De Milli Vanilli, on ne garde que l'image de Frank Farian le producteur escroc, mais on oublie de signaler que leurs tubes eux-mêmes n'étaient que des collages de samplings empruntés à d'autres ! De véritables mosaiques de samplings et de piratages ! TOUTE l'affaire Milli Vanilli (management et musique) n'était qu' une escroquerie musicale.





SIMPLE MINDS
LIFE IN A DAY


Le 06 Décembre 2020 par METALPROG84


Un premier album qui n'a pas grand chose à voir avec ce que proposera le groupe ensuite. Sans être très original, "Life in a day" est agréable à écouter hormis (et c'est un comble) les 2 titres proposés en single (le morceau-titre et "Chelsea girl"). "No cure" rappelle franchement les premiers Roxy Music (un cran en-dessous quand même). "All for you", l'inquiétant "Pleasantly disturbed", "Wasteland" et "Destiny" sont à mon avis les meilleurs morceaux.





MIDNIGHT OIL
THE MAKARRATA PROJECT


Le 06 Décembre 2020 par FREDOUILLE


Gros fan de MIDNIGHT OIL durant les années 90, j'ai pas mal écouté la discographie complète des Australiens avec une préférence pour "Red Sails In The Sunset", "Diesel And Dust" ou bien encore "Blue Sky Mining". Il a fallu attendre 18 ans pour que l'on trouve donc du nouveau matériel et surtout un successeur à "Capricornia", même s'il ne s'agit là que d'un E.P bien garni cependant (sept titres pour un total de presque 34 minutes tout de même!).

Mais quel Come Back des Australiens ! Cet E.P dédié à la défense des droits des aborigènes est musicalement une énorme réussite avec des titres absolument fantastiques à commencer par ce "First Nation" de toute beauté. Titre agrémenté de quelques phrasés Rap (Tasman Keith au chant), de chœurs nous ramenant à l'époque de "Diesel And Dust" (qui a dit "Put Down That Weapon" ?), et pétard quel refrain avec cette voix féminine ! Un véritable hit ! On mentionnera également le plus classique "Gadigal Land", titre très dynamique et doté de cuivres et quelques voix féminines là aussi. Du très bon boulot là aussi et bien MIDNIGHT OILien au bout du compte !

Pour le reste c'est un peu plus calme avec quelques titres où l'on peu entendre des chants aborigènes, du piano ("Change The Date"), de l'acoustique avec ce très beau "Desert Man, Desert Woman", et ce très joli "Terror In Australia" (magnifique voix d'Alice Skye), ballade au piano tout en douceur là aussi et sur lequel Peter Garret qui n'a rien perdu de sa superbe n'intervient pas. "Wind In My Head" reste enfin et également un titre très élégant et séduisant avec un refrain bien sympathique.

Bref, un superbe E.P, très diversifié mine de rien, où l'on retrouve avec joie toute la patte et toute la classe de MIDNIGHT OIL. C'est une véritable bouffée d'oxygène. Vivement un vrai album, le groupe australien semble littéralement inspiré quand il s'agit de la défense du peuple aborigène. Hâte d'écouter une suite !





Charles MINGUS
TH BLACK SAINT AND THE SINNER LADY


Le 06 Décembre 2020 par VIEUX MOTARD QUE...


Je l'ai, çui-là... Un de ces disques de jazz qui réussissent à dépasser les barrières auditives fomentées par deux décennies d'écoute de musiques "faciles" (pop, heavy metal, techno...). Et ouais, le jazz c'est comme tout, ça s'apprend. Mais quand on s'est acclimaté, 90% du reste paraît ensuite bien fade.





Alain BASHUNG
FANTAISIE MILITAIRE


Le 06 Décembre 2020 par ARTY SHOW

Bon, je vais faire mon chieur. Alors certes, c'est singulier (très important dans une époque où tout s'uniformise), inspiré, poétique, les musiques aussi sont très travaillées, un bel équilibre dans ces années 90 entre l'acoustique et l'électronique, mais... n'est-ce pas un peu "poseur" (d'ailleurs, ça plaisait beaucoup aux Inrocks, un signe qui ne trompe pas. Je vous avais dit que je ferais mon chieur...) ? C'est vrai qu'il y a une musique pour chaque instant, mais ce n'est pas ça qui va nous refiler la banane en cette période morose ("période morose", j'ai déjà entendu ça en 2001, 2005, 2008, 2015... euh... presque toutes les années depuis des lustres, en fait). Allez, je vais me repasser "Toute première fois", "Libertine" et "Marcia Baïla", moi... Ou "Vertige de l'amour" et "L'arrivée du tour" si on veut rester chez le bonhomme.





INXS
X


Le 06 Décembre 2020 par METALPROG84


Même si j'aime bien la plupart des morceaux de "Kick", je n'ai jamais été fan d'Inxs. Sur "X", je zappe la plupart des titres. Seules "Suicide blonde", "By my side", "Lately" et à la limite "The stairs" et "On my way" sont sympas. Je trouve le reste assez plat et ennuyeux. Je préfère de loin "Blue sky mining" de Midnight Oil ou "Violator" de Depeche Mode sortis aussi en 1990.







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