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The DOORS
THE SOFT PARADE


Le 19 Décembre 2024 par MASTERFAN


Ma première approche de THE SOFT PARADE remonte à la fin des années 80. J’étais prévenu, ça pouvait ne pas être terrible. L’intro part et - stupeur ! ils ont fait une erreur de gravage. Je n’ai pas les DOORS mais, à la place probablement, la compil de la fanfare de Farfouilly-Les-Haridelles, à moins que ce soit le best of ‘Thé dansant’ du grand orchestre de Robert Quibel, mais c’est bizarre, je n’avais pas souvenir de ce style de cuivres chez Robert.

Au bout du compte, il s’agissait bien des premières secondes de "Tell All the People" et ce n’était qu’à moitié rassurant. Pourtant, en dépit de cet effrayant enrobage, ce morceau affiche au final une belle cohérence et une attraction certaine.

Comme disait Antoine de Caunes à NPA, ils nous refont le coup avec "Touch me", les bougres. Et le pire là-dedans, c’est qu’à mon sens, il s’agit d’un tout bon morceau des DOORS, les cordes contrebalançant bien la lourdeur des cuivres. En troisième position, "Shaman’s Blues" s’écoute aujourd’hui fort bien. Et même le dispensable "Do It" a relativement bien vieilli aussi.

"Easy Ride", à part le très court pont, c’est vrai, c’est pas terrible. Si ça avait été les BEATLES, ils l’auraient refilé à coup sûr à Ringo. S’agissant des DOORS, c’est plus compliqué. "Wild Child" est une des compos les plus séduisantes de [i]Parade[fi], du 100 % Morrison qui se tape la discute et se marre en plein milieu du morceau. Le couplet de "Runnin Blue" aurait pu être pas trop mal mais les cuivres prennent beaucoup trop vite possession du morceau. Et puis surtout, il y a cet intermède ‘country au bal des aînés’ qui relève carrément de la mauvaise farce.

Un peu trop facile, "Wishful Sinful" s’en sort grâce à certains arrangements à la LOVE lui donnant un certain charme. On termine avec le morceau éponyme tentant de renouer avec l’esprit prog et baroque des précédents morceaux de clôture de leur œuvre, on ne dira pas que c’est une grande réussite. Cela dit, il y a quelques bons moments, c’est très loin d’être un ratage complet. Un peu à l’image de l’album finalement.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : "Touch Me". SEDUISANT (4) : "Tell All the People", "Wild Child". PLAISANT (3,5) : "Shaman’s Blues", "Wishful Sinful", "The Soft Parade". INTERESSANT (3) : "Do It". EMOTION LIMITEE (2,5) : "Easy Ride", "Runnin’ Blue". Bilan 3,44 et Top 5 à 3,90 : THE SOFT PARADE cote pour moi 3,67 soit 14,68 /20.

On peut comprendre que THE SOFT PARADE soit souvent le mal aimé, parmi les albums des DOORS, du côté des journalistes critiques musicaux. Il y a peu de chances que la question de sa réhabilitation soit un jour en jeu et pourtant, c’est loin d’être un album infamant. Robby et Ray ont souvent pris les affaires en mains ici, leur demi-Dieu de chanteur étant plus affairé à certains outrages ou à entamer une mue progressive en Archimède le Clochard.





Chris REA
AUBERGE


Le 18 Décembre 2024 par METALPROG84


Très bon album de Chris Réa. Il n'y a qu'un seul titre que je trouve moyen: c'est "Red shoes", un peu pompé sur "Auberge" mais en moins bon. Sinon, c'est quasiment parfait. Peut-être un peu trop de ballades à mon goût, mais heureusement, elles sont vraiment inspirées...
Mon album préféré de l'artiste reste "Dancing with strangers" mais celui-ci (ainsi que "The road to hell") arrive juste derrière. Un bon 4/5.





BLACK JOE LEWIS
SCANDALOUS


Le 18 Décembre 2024 par BLUEMASK


La proposition d'un James Brown survolté accompagné par un groupe de rock garage fait saliver. Et est validé avec ce disque incandescent, gorgé de cuivres, d’électricité, chargé de sexe, de sueur, de cris et porté par un groove funk qui ferait danser une enclume. Mort à Lenny Kravitz, gloire à Black Joe Levis.
Niveau songwriting, c'est peut être parfois léger, mais franchement il faut savoir juste se laisser porter et accueillir.
Un 5/5 de coeur, plus que de raison.





Lenny KRAVITZ
BAPTISM


Le 18 Décembre 2024 par MASTERFAN


Action - réaction. Après des dernières pochettes d’albums un peu quelconques, Lenny KRAVITZ ne fait pas dans la demie mesure en 2004 avec ce drôle de baptême dans la peinture. Au moins, lui n’a pas failli crever d’une pneumonie comme Roger Daltrey pour la pochette de THE WHO SELL OUT (qui n’était pour le coup pas un trip ‘peinture’, mais un trip ‘beans’ similaire).

Cela semble hier (20 ans déjà, pas possible) et pourtant le placard ‘COPY CONTROLLED’ sur le 7ème CD de Lenny, intitulé donc BAPTISM, évoque les stigmates d’une époque aujourd’hui totalement révolue. Profitons une dernière fois de la nôtre, avant que les magnifiques objets CD ne disparaissent totalement.

Ce qui reste constant avec Lenny, c’est l’absence de surprise sur les titres d’ouverture toujours très imagés, syndrome ‘poids des mots’. Après « Rock’n roll is dead » ou « Battlefield of love », voici le bien nommé « Minister of Rock’n roll ». Je veux bien un poste dans ton administration, Lenny. J’étais assez sceptique à l’époque sur ce morceau. Le fait est que les multiples écoutes ont fait leur travail et qu’il passe vraiment bien aujourd’hui. De même « Lady » et « I don’t want to be star » ont su franchir les années en se bonifiant. A l’inverse « Calling all angels » s’est quelque peu ramolli avec le temps pour accuser désormais quelques longueurs.

Le refrain de « California » n’est pas d’une grande subtilité mais le morceau suffisamment entraînant pour qu’on adhère (quand on pense que le mec fait comme souvent tous les instruments à lui seul, on ne peut qu’être admiratif). Je n’étais pas fan de « Sistamamalover » au début, ce morceau m’énervait, bizarrement beaucoup moins maintenant. « Where are we runnin » ? Vers l’efficacité, bien sûr ! Morceau net, clair et sans bavure. «Baptized » est une nouvelle petite sucrerie mid-tempo dont Lenny a le secret, et ce pont… superbe. Je ne suis pas loin de craquer.

On n’en a pas assez, « Flash » réaccélère le tempo, séduction immédiate (même le saxo est appréciable, c’est dingue), basse super-vivante, court solo sympa de Craig Ross. Ensuite le morceau Lennonien habituel, « What did I do with my life ? », facile.

A ce niveau-là, l’album est déjà très bon. Peu importe que « Storm » soit à l’inverse un morceau sans grande envergure, avec en plus la malchance de se retrouver pollué par du rap via l’intervention de Jay-Z. On termine avec « The other side » (certains diront peut-être que c’est toujours le même morceau qui revient, mais en tout cas ça reste très beau) et la tranquille guitare sèche de «Destiny », plutôt réussi.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : “Baptized”, “Where are we runnin”, “Flash”. SEDUISANT (4) : “Minister of rock’n roll”, “I don’t want to be a star”, “Lady”, “California”, “What did I do with my life”, “The other side”. PLAISANT (3,5) : “Calling all angels”, “Sistamamalover”, “My destiny”. INTERESSANT (3) : Néant. EMOTION LIMITEE (2,5) : Néant. Aucune émotion (2) : “Storm”. Bilan 3,85 et Top 5 à 4,30, LENNY cote pour moi 4,08 soit 16,32 / 20).

Eh oui, il fut un temps où Lenny faisait de vraiment chouettes albums. Très peu de faiblesses ici, BAPTISM fait partie de ses meilleures productions et termine non loin de ARE YOU GONNA GO MY WAY au niveau de mon ressenti, ce qui ne me surprend qu’à moitié.





PINK FLOYD
THE EARLY YEARS 1972 OBFUSC/ATION


Le 17 Décembre 2024 par FOUDROCK


Le moins intéressant des coffrets. Mais ça rsste de la haute musique, c'est évident. Le cru 72 du Floyd est clairement mon préféré du groupe, et leur live à Pompéi est immense. Pour ce dernier, je préfère nettement mon bootleg complet à cette version officielle incomplète et remaniée.





LOUISE ATTAQUE
AMOURS


Le 17 Décembre 2024 par LE STO


"Amours est un live bruyant" et j'ajouterais fatiguant.
Ce qui passe probablement bien quand on est dans la salle passe tellement mal en disque. Les tentatives de drainage de foule par Gaetan m'ont gonflé et rend l'album inécoutable sur la longueur. "Paris t'es fatigué? Paris t'est fatigué? Paris t'es pas fatigué là? Paris est-ce que tu es fatigué" AAAAArghhhhhhhhhhhhhhh!!!
Cela dit, j'ai bien aimé Encore et encore avec M.

Bref, 2 étoiles max et retour aux albums studio!





Nick DRAKE
BRYTER LAYTER


Le 17 Décembre 2024 par LE MERLE MOQUEUR


Une découverte pour moi que ce jeune garçon de l'autre siècle .

J'avoue être conquis par cette voix qui contrairement à ce que l'époque proposait ne se veut pas racoleuse. Une instrumentation soignée pour ce dépressif qui nous aspire dans sa musique. Un troubadour qui s'enfonce dans un chemin d'où nul ne revient...

Quel dommage pour nous vais-je être tenter de dire... pour nous les égoïstes toujours à l’affût de la beauté fatale qui ne nous coûte rien.





MOTÖRHEAD
1916


Le 17 Décembre 2024 par SWISSIDOL


Je ne suis pas méga-fan du groupe mais cet album-ci est excellent ! Dynamique ("R.A.M.O.N.E.S") tout en restant accessible ("Make my day"). Lemmy s'y montre plus sensible qu'à l'accoutumée ("1916", "Love me forever") et il n'y a quasiment aucun titre faible (peut-être "Nightmare/ dreamtime").





RUSH
HEMISPHERES


Le 17 Décembre 2024 par BONJOUR J'AI 999 ANS

Indigeste, je ne vais pas aller jusque là, mais pour ma part il a l'air aussi un peu inférieur aux autres de la même période. Farewell est meilleur, Hemisphere moins intéressant (pour sa premiere plage surtout) et un peu trop court aussi.





BLONDIE
AUTOAMERICAN


Le 16 Décembre 2024 par HDPE 79


Mais album mou sans relief ...





VAN ZANT
ALWAYS LOOK UP


Le 14 Décembre 2024 par ABéE RANT


Je suis allé écouter la grande messe et c'est cheeaaaap. Ils aiment peut-être leur Seigneur mais ils ne lui ont pas réservé de meilleur d'eux-mêmes. Les arrangements sont basiques, les instruments, de simples programmations ... vite fait, vite torché ! Aucun effort. Enregistré sans aucun doute à la maison, sur un ordi.
Je serais le Seigneur, je serais pas content !

Lévitique 22:20-22 :
“Vous n’offrirez rien qui ait un défaut, car cela ne serait pas agréé. Vous n’offrirez pas à l’Éternel une bête aveugle, estropiée, mutilée, ulcérée, galeuse ou pourrie : vous ne la présenterez pas en offrande sur l’autel de l’Éternel.”





Robert HENKE
SIGNAL TO NOISE


Le 14 Décembre 2024 par LEEQ


La chronique décrit parfaitement ce qu'on entend (et ressent à) l'écoute de cet opus : à la fois chtonien et extraterrestre, la réussite venant de ces sons électroniques qui semblent être issus de field-recording alors que tout est créé par les machines : de l"artifield processing", si je peux me permettre ce néologisme. Totalement puissant, mais à ne pas conseiller à un novice à ce style.





RUSH
HEMISPHERES


Le 13 Décembre 2024 par FREDDYROTTEN


Suis-je donc le seul à trouver "Cygnus X-1 book II Hemispheres" indigeste et terriblement décevant comparé à sa première partie? Heureusement que "La Villa Strangiato" est exceptionnel sinon je ne mettais pas 3 étoiles à cet album ...





David BOWIE
THE RISE AND FALL OF ZIGGY STARDUST & THE SPIDERS FROM MARS


Le 13 Décembre 2024 par MASTERFAN


Cette cinquième livraison ZIGGY STARDUST est la plus mythique de David. L’idée incroyable de créer un personnage double de lui-même va envoyer valser les toutes les dernières barrières et réticences qui entravaient son succès. Mais une chanson en particulier, « Starman », va aider. Un seul passage télé suffit en 1972 pour subjuguer une bonne partie de la jeunesse anglo-saxonne. La « Ziggymania » reste associée à la courte période glam, au cours de laquelle Bowie va déloger de son trône son vieil ami Marc Bolan de T.REX.

Pas super-optimiste le début. Bowie fait une fois encore tout avant tout le monde, en nous annonçant la fin du monde un quart de siècle avant Paco Rabanne. Magistrale intro. A la longue, le pourtant très bon « Soul love » devient progressivement un pont vers « Moonage Daydream », pour lequel rien que l’accord de guitare initial de Mick Ronson me fait dresser direct tous les poils de mon corps.

Nombreux sont ceux qui ont découvert « Starman » par la pub. Fini l’époque Gotainer, c’est le destin des chefs-d’oeuvre pop-rock de finir ‘empubé’ ; tous ont vocation à y passer un jour (j’ai même entendu un jour « Master of the universe » d’Hawkwind). Ça peut aider certains à aimer le morceau… et d’autres à se mettre à le détester. « Starman » fait partie des chefs-d’oeuvre d’une catégorie encore plus rare, le chef-d’oeuvre ‘immédiat’. Il a pourtant failli ne pas se retrouver sur ‘Ziggy’, joint in extremis parce qu’il fallait un hit à l’album, à la demande du manager.

Faut-il regretter les changements de dernière minute effectués ici ? À moitié. Le formidable « Port of Amsterdam » (5), adapté de Jacques Brel en anglais, m’aurait mieux botté que le cinquième titre « It ain’t easy », autre reprise qui se laisse malgré tout écouter. Je n’aurais surtout jamais touché au fabuleux « Velvet Golmine » (5) qui correspondait pile poil au style de l‘album. En revanche, la reprise « Round and round » de Chuck Berry (2,5) et la seconde version de « Holy Holy » (3,5) ont rudement bien fait de laisser leur place aux deux ultimes pistes.

En sixième position, encore un must, cette fois au piano, « Lady Stardust ». Comme dirait Balavoine, Dieu que c’est beau. Léger creux ensuite - tout relatif - avec « Star » et « Hang on to Yourself », ça reste bien mais on quitte l’exceptionnel un instant, pour y revenir en fin d’album avec le classique éponyme « Ziggy Stardust », l’énorme « Suffragette city », et le génial « Rock’n roll suicide ».

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Moonage daydream, Starman, Rock’n roll suicide. DELECTABLE (4,5) : Five years, Lady Stardust, Ziggy Stardust, Sufffragette city. SEDUISANT (4) : Soul love, Hang on to yourself. PLAISANT (3,5) : It ain’t easy, Star. Bilan 4,36 et Top 5 à 4,80 : ZIGGY STARDUST cote pour moi 4,58 soit 18,32 /20.

Le monde de Bowie est majoritairement partagé entre ceux qui adulent principalement HUNKY DORY et ceux qui lui préfèrent ZIGGY STARDUST (LOW ou quelques autres obtenant parfois aussi quelques accessits). Avec 18.32 contre 17.56, je penche perso du côté des partisans de Ziggy.

Outre les morceaux déjà cités, pour ce style de Bowie, il est possible de creuser encore le filon avec les très bons « John I’m only dancing » (4) ou « Sweet head » (4).





The VELVET UNDERGROUND
THE VELVET UNDERGROUND & NICO


Le 13 Décembre 2024 par LE MERLE MOQUEUR

Que de BANANES !

Symbole de la révolution pacifique dans l'ancienne république démocratique allemande. D'autres s'en empare comme Natalia LL en 1973 dans "L'art de la consommation". Les artistes de Guerrilla la manient avec des slogans féministes vers les années 80 du siècle passé.

Les Bananes célébres : Andy Warhol "En 1967, il a conçu la pochette du premier album de The Velvet Underground & Nico - avec une énorme banane assez mûre et sa signature. « Décollez et voyez », est-il écrit sur le bâton. Si vous grignotez la peau noire et jaune sur fond blanc, vous verrez apparaître la chair de couleur rose. Les LP avec des bananes intactes peuvent désormais changer de mains pour plus de 150 000 euros."

Dernièrement pour éviter de se casser la gueule artistiquement et intellectuellement la banane de Maurizio Cattelan scotchée sur un mur blanc est vendue 6,2 millions de dollars (frais inclus)

Glisser sur un peau de banane... et c'est la merde... Remarquez que les conserves de merde (30 mg) de l'artiste italien Piro Manzoni se vendent bien... environ 1000 euros la conserve.

Tiens je vais en remettre une couche, faire un effort... avec BERLIN que je savoure depuis des années sur ma platine et écouter

MAD A GOOD FORTUNE





Cécile CORBEL
GRAAL


Le 13 Décembre 2024 par MARCO S.

Ouah mais c'est vraiment trop trop sympa tout ce que vous dites, merci beaucoup !!
Elle le vaut bien, et cet album en particulier ne serait-ce que pour la réalisation, c'est vrai. :)





Anais MVA
REMEDE


Le 13 Décembre 2024 par MARCO S.

C'est tout à fait vrai pour cette chère Olivia Rodrigo !
Et merci vraiment en retour, c'est un honneur (désolé en revanche pour le retard). :)





GENESIS
AND THEN THERE WERE THREE...


Le 13 Décembre 2024 par MARCO S.

Progje, juste une petite rectification par rapport à votre sympathique commentaire : sur Three Sides Live, il y a bien un morceau de And Then There Were Three, qui est le hit "Follow You Follow Me". :)

Les extraits live officiels de cet album sont hélas rares, le groupe n'en ayant vraiment joué plus d'un que sur deux tournées à peine (78 et 80), et déjà sur la première, pour certains titres c'était un peu épisodique ("Ballad of Big", "Down and Out"). D'autres ("Undertow", "Snowbound", "Many Too Many", "Scenes From a Night's Dream") a priori n'ont jamais été joués en live.
Au moins, le coffret Archive vol 2 a permis d'entendre sur CD officiel "Deep in the Motherlode" (qui ouvrait la tournée 80), "The Lady Lies" et "Say It's Alright Joe".





Alex NORTH
SPARTACUS


Le 13 Décembre 2024 par LE MERLE MOQUEUR


L'auteur de chansons, de pièces de théâtre, de romans et le peintre qu'il fut avant sa carrière littéraire écrit de belles lignes sur Spartacus. N'ayant plus le livre sous la main, ces lignes demeurent vaguement encrées dans ma mémoire "qui flanche" (facile). Il m'est impossible de les citer mais je me rappelle que Serge REZVANI apostrophait ses lecteurs en affirmant qu'un homme qui n'était pas le fils de Dieu fut mis en croix 73 ans avant celui dont l'église chrétienne célébrera la naissance dans une douzaine de jours et que cet homme, Spartacus, aspirait à rendre libre ceux qui ployaient sous le joug du pouvoir afin qu'ils vivent en paix et heureux... sur terre.
(libre à nous d'aller au-delà du mythe)

Ma version préférée de Love Theme est celle de l'interprétation que nous concocta en 1961 YUSEF LATEEF (Album Eastern Sounds)





MEDIAVOLO
AWAY WITHIN


Le 13 Décembre 2024 par MARCO S.

Alors autant une réaction du brave Richard était attendue pour ce type de musique, autant moins pour celle de Mr Tinkertrain est un régal d'enthousiasme, mais alors cher 'sergent Jacques' (avec votre permission), quelle surprise assez incroyable et quel plaisir vraiment, sans aucun embêtement mais bien au contraire !
Merci, merci beaucoup, pour le petit lever du voile comme la fidélité !! :)
A galon !!







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