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CELKILT
STAND


Le 20 Mars 2017 par RIROUXE


Un album génial et plein de vie. Du rythme comme on aime et comme on attend. Plutôt rare d'avoir du bon son celtique français. Un album complet même si on en redemande.





DIRE STRAITS
ON EVERY STREET


Le 19 Mars 2017 par POPOL PAS VUH


A sa sortie je n'etais pas fan de cet album, que je trouvais un peu décousu, manquant de l'unité qui caractérise tous les autres albums du groupe.
Le réecoutant récemment je dois réevaluer mon avis. Ce n'est pas le meilleur Dire straits, mais cela reste un très bon disque, sur toutes ses plages (et oui!) à l'exception de My parties (une scie au refrain insupportablement dénuée de toute imagination) et de Planet of new orleans, insipide et inutile.
Une fois supprimé ces 2 titres on se retrouve avec un album sympa, bien rythmé, bien structuré, porté par des titres accrocheurs comme On every street, when it comes to you (excellent, mon préféré avec You & your friend), the bug; titres où l'on retrouve (un peu...) le Dire straits des débuts. Calling elvis, titre moyen, lance bien l'album et How long le clos en douceur.
Pas le meilleur Dire straits, mais pas mal quand même. Agréable à écouter.





Chuck BERRY
AFTER SCHOOL SESSION


Le 19 Mars 2017 par YAN LE COADOU


Une excellente publication est sortie en 2002 "let it rock" Sous label Chess qui propose une compilation de 24 titres avec un très bel emballage.
Chuck Berry a influencé tous les grands guitaristes des années 60 de Beck à Page ,en passant par alvin lee qui a repris plusieurs titres du maître et dont l'un des albums solo porte le titre de ce morceau de chuck.Un hommage sans doute!





Chuck BERRY
AFTER SCHOOL SESSION


Le 19 Mars 2017 par IRONGE_MAIDENT


Salut a un des grands qui aura laissé sa marque.
Je n'ai qu'écouté quelque piste par ci par là au fil du temps.
Les grand disparaissent leur musique elle reste intacte.





MUMFORD & SONS
SIGH NO MORE


Le 17 Mars 2017 par BORAHKRETH

Bonjour ! Pas de note pour l'instant, il est encore trop tôt. C'est la chronique de l'EP qui m'a rappelé l'existence de ce groupe, que j'avais découvert via une reprise à la batterie de "Lover of the light" par un handicapé ayant perdu un bras, et la musique tout autant que la performance m'avaient marqués (au point que 5 ans plus tard, je me rappelle de l'anecdote).

Du coup, j'ai voulu me remettre dans Mumford & Sons, et effectivement, j'aurais un ressenti globalement proche du tien concernant Sigh No More, qui est une pépite à laquelle j'accorderais presque un 5/5 direct tant il est arrivé à un moment de ma vie qui avait besoin de ce genre de musique, et tant sa musique se connecte parfaitement à mes émotions. Babel par contre, est un peu plus redondant en dehors de certains morceaux, là où celui n'a quasiment rien à ajouter (je trouve les deux derniers morceaux un peu moins bons, mais pa de quoi crier au scandale).

Je pense donc prochainement me lancer sur Wilder Mind, et reviendrai plus tard pour donner un avis définitif (si j'y pense...)

Simple question : que peut-on trouver de proche d'un point de vue émotionnel/musical ? Je connais assez mal Chuck Ragan mais le peu que je connais m'a soufflé (OST de Flame in the Flood + un ou deux autres albums), et je suis preneur de groupes s'en rapprochant.





Sylvie VARTAN
SYLVIE


Le 17 Mars 2017 par YM

Les "adaptations" des succès US sont catastrophiques, en particulier celle de Ray Charles.
Les Johnny et Sylvie et autres Yéyés, c'est le versant culturel du plan Marshall : on vous a donné des sous, maintenant 'faudra bouffer nos produits.
Bon, on est en France ! Exception culturelle ! Alors on va adapter le truc, faire une version "langue de Molière", et vous allez voir ce que vous allez voir ! Résultat : catastrophe !
Préférez les originaux !





Dimitri CHOSTAKOVITCH
SYMPHONIE N°10 (KARAJAN)


Le 16 Mars 2017 par CLANSMAN57


Je m'attendais à quelque chose de plus lumineux de la part de cette dixième symphonie.
Le long Moderato ouvre l'oeuvre d'une manière bien lugubre...
Le tyran est mort, mais la mémoire est bien affectée et très marquée.

L'Allegro est explosif, c'est un peu comme si un malade mental emmenait une fille danser, la malheureuse partenaire est bousculée dans tous les sens et à la fin du mouvement, il ne reste plus grand chose de cette pauvre fille.

L'Allegretto offre le contraste entre ombre et lumière, cependant cette dernière n'est pas tellement vive.
La partie plus dansante semble normale jusqu'à ce que la folie l'emporte à nouveau.
Un peu comme si la partition avait absorbé les larmes empoisonnées du compositeur.

Le dernier mouvement offre à nouveau cette joie emprunte de folie.
A croire que cette émotion était depuis trop longtemps enfermée dans le coeur de ce peuple meurtri et qu'au moment de sa libération, elle devient démesurée dans son explosion, totalement incontrôlable.
Une joie qui fait peur, en somme.

J'ai parfois l'impression de perdre les pédales quand j'écoute cette symphonie et les deux autres que je connais.
C'est génial, mais il ne faut pas en abuser, sous peine de finir en camisole de force avec un entonnoir sur la tête.

Une symphonie qui semble vouloir démontrer qu'on n'arrivera pas à retrouver la joie telle qu'on l'avait connue, après avoir vécu des évènements tragiques.





The PIROUETTES
CARRéMENT CARRéMENT


Le 15 Mars 2017 par BAAZBAAZ


Très jolie électro-pop néo-80s, bien composée, dansante et mélodique. Le cœur de l'album, de "L'escalier" à "2016" est de haute volée, avec un sens de l'écriture particulièrement aiguisé. La fin, plus mélancolique (notamment "Grand Bassin"), donne à tout cela une ampleur et une gravité inespérées. Ces jeunes-là sont très talentueux.

J'ai passé une partie de l'année 2016 à écouter ELEPHANT et LA FEMME, et je trouve cette nouvelle scène (si c'en est bien une) absolument délicieuse, pleine de surprises et de bonnes chansons.





GENESIS
WIND AND WUTHERING


Le 15 Mars 2017 par REALMEAN


Je vais plussoyer cette chronique déjà largement plébiscitée par les autres commentaires, mais aujourd'hui encore, il me semble salutaire de rappeler la clairvoyance et la pureté de "Wind & Wuthering", une perle exceptionnelle parmi les exceptionnelles, et pas seulement dans la discographie de Genesis. Une perle, et un ovni: car tout cela pourrait bien tenir d'une étrange allégation, tant il est vrai que nombre de fans n'ont jamais décelé sa véritable substance - dans cette phase transitoire, d'ailleurs, beaucoup lui préfèrent "A Trick of the Tail".
Alors oui, au sens démocratique, "Wind and Wuthering" n'est sans doute pas le meilleur album de Genesis. Et j'admets sans peine qu'il n'a pas la puissance cérébrale de la période Gabriel. Ni encore l'accessibilité du néo-prog moderne que Genesis va déployer à partir de "Duke". Mais pour moi, c'est justement là que se trouve sa valeur: "W&W", c'est le meilleur des deux mondes. C'est un pont magnifique entre l'ésotérisme des "Trespass", "Foxtrot", "Nursery Cryme" et autre "The Lamb lies down...", et le ton direct, incisif, s'appuyant sur des mélodies fortes et des arrangements somptueux, que le trio restant va encore dispenser au travers des "Duke", "And then...", "Mama", "Invisible Touch"... "Wind and Wuthering", c'est un album où Phil Collins démontre qu'il peut être un chanteur fantastique (davantage avec Genesis que jamais en solo), capable de véhiculer une foultitude d'émotions, un album où Tony Banks se révèle en compositeur génial (haaa, 'One for the Vine'... le chef-d'oeuvre oublié, délaissé en concert !...), où Steve Hackett met en lumière toute la valeur ajoutée de son inspiration éclectique et de son jeu d'interprète. Tout le monde est à sa place. Tout est juste. Et personne n'en fait trop. Une oeuvre peut-elle être géniale, sans en avoir l'air ? Lorsque l’ami Phil nous décoche son ultime « I miss you more ! » en conclusion de la prestation scénique d’ 'Afterglow', sur l’enregistrement de 1982, c’est fini, on n’en guérit plus, l’émotion est fossilisée à jamais. Que dire de plus, si ce n’est « The meaning of all that I believed before, Escapes me in this world of none … »





JETHRO TULL
MINSTREL IN THE GALLERY


Le 14 Mars 2017 par DARKPOET


Je n'ai pas mis 5/5 à cause de la production, du son. qui manque d'amplitude, de pêche ; trop étriqué à mon oreille.
Par contre les compos sont sompteuses. Un bémol pour le titre éponyme que je trouve inabouti et répétitif. Le reste est juste subtil et génial.
J'adore notamment "Baker St Muse" L'artwork est top à l'instar d'Aqualung.





JETHRO TULL
THE CHRISTMAS ALBUM


Le 14 Mars 2017 par DARKPOET


Un album que je mets le 24 décembre au soir entre le fois gras et la dinde
Et puis mon petit neveu adore ! C'est joli et ça cadre bien avec une ambiance feu de cheminée et flocons de neige.
J'ai hésité au début… Tino Rossi ou Christmas Album
Non, sérieusement les adaptations sont plutôt réussies.





JETHRO TULL
THIS WAS


Le 14 Mars 2017 par DARKPOET


Ouaipp ! LEO
Il est attachant ce premier album ; pas le fomat du Tull qu'on connait, certes.
Du blues bien fait et bien produit.
Il me fait penser à "On Parole" de Motorhead par rapport à la suite.
"This was" s'écoute distraitement allongé sur le canapé en attendant la sieste.





JETHRO TULL
DOT COM


Le 14 Mars 2017 par DARKPOET


C'est juste mauvais et pathétique.
J'ai écouté en zappant chaque titres avant la fin.
JT ne parviens même plus à se singer.
Qui écoute encore ce type de musique ?





JETHRO TULL
THICK AS A BRICK


Le 14 Mars 2017 par DARKPOET


Les pour et les contre… Je préfère de loin les albums découpés, de titres longs (6/7 mn) rythmés par des petits interludes de 2/3 mn façon "Aqualung" ou "Songs from the wood" Il y a de très bons moments sur ce disque mais difficile quand de l'écouter d'une traite sans lassitude. Histoire de goût… Par contre, il faut louer l'incroyable travail de cohésion des musiciens. Ici aucun temps mort ! de la musique non stop "ras la gueule" pas de remplissage pseudo atmosphérique émaillé de nappes de clavier ou d'arrangements divers pour combler.





JETHRO TULL
BENEFIT


Le 14 Mars 2017 par DARKPOET


Je ne déteste pas cet album. Le problème, encore une fois, reste la production juste insupportable…une basse étouffée, une guitare criarde, des échos à outrance, une stéréo typée 60'.
Et puis Anderson, foumillant d'idées en fait trop. Cela manque de cohérence
Le professionnalisme sera appliqué sur Aqualung, à tous les niveaux.





JETHRO TULL
STAND UP


Le 14 Mars 2017 par DARKPOET


Je n'ai jamais compris pourquoi cet album était porté au pinacle… Déjà la production est juste extrêmement datée et étouffée. Même le premier album était mieux enregistré… Et puis les titres ne sont pas tous géniaux. Bon "Bourree" c'est sympa 5 mn et dire que "Hotel California" est une redite de "Back to the family" il faut pas charrier. Non j'aime pas ; je préfère de loin l'étrange suivant "Benefit"





JETHRO TULL
BROADSWORD AND THE BEAST


Le 14 Mars 2017 par DARKPOET


Je l'aime bien aussi cet album; Il faut le prendre dans son conteste.
c'est pas aussi alerte et sautillant que les précédents ; mais le parti-pris est honnête. Au moins Anderson n'a jamais répété la même formule. A part peut-être pour "Heavy Horses". il y a peut-être 2 titres que je trouve un peu mièvres et pompeux (Watching me… Cheerio). Cet album est injustement mal aimé. Il est pourtant bien composé et attachant.





JETHRO TULL
CREST OF A KNAVE


Le 14 Mars 2017 par DARKPOET


Complètement d'accord avec LEO.
L'écoute de cet album est juste agéable mais aussi léthargique…
L'ombre de Dire Strait (chant et guitare) est risible.
Jethro tull vieilli est ne sera plus que l'ombre de lui-même.
Je pense même n'avoir jamais écouté entièrement tous les albums qui lui succède.
Revenant inlassablement vers "Songs from the wood", "A", "Minstrel" Bref, la période d'or.





JETHRO TULL
UNDER WRAPS


Le 14 Mars 2017 par DARKPOET


Très bonne analyse de LEO.
Ce qui pêche vraiment reste l'utilisation d'une boîte à rythme…
Anderson en voulant sonner "moderne" , "New wave", se ringardise totalement.
C'est terriblement daté 80', dans le mauvais sens du terme.
Cependant les compositions sont vraiment excellentes ; il n'y a pas foutage de gueule, ni remplissage. on sent un gros travail y compris sur les lyrics.
A mon sens le dernier album créatif et aventureux du groupe.
Après, c'est le pilotage automatique, avec des albums sirupeux et sans âmes.





JETHRO TULL
AQUALUNG


Le 14 Mars 2017 par DARKPOET


On adore ou on déteste Aqualung… Il faut aimer la flute et l'ambiance folk, champêtre qui s'en dégage, c'est certain. On ne peut nier l'importance de cet album et le song writing incroyablement créatif de Anderson. Ce qui peut rebuter, notamment pour les plus jeunes, reste la production très datée début 70' Mais c'est aussi ce qui fait son charme. J'avoue ne plus l'écouter maintenant. un peu comme les albums de "Police" qu'on a aimé mais trop ingurgité ! Mais bon Aqualung restera dans les annales comme une œuvre culte.







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