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TOTO
FALLING IN BETWEEN


Le 24 Février 2013 par PHOTOHALL


Exactement, parler d'album de maturité pour un groupe comme Toto c'est complètement absurde. Vu le niveau des membres du groupe, ils étaient déja matures dés leur premier album, maintenant c'est clair qu'on peut pas être au top tout le temps et ce groupe là a connu des sommet comme pas mal de creux aussi.
Cet album est plutôt un album coup de chance, car maintenant Toto fait partie des groupe 70's et 80's produisant encore pour ses fans et ayant acquit une certaine ancienneté.
Maintenant parler du plus aboutit est un peu déplacé quand on pense au "IV", "7th One" ou le premier ...
Je trouve les voix originales des Simpson pas si terribles que j'aurai pensé, pour certain c'est pas mal, Homer, Marge, les enfants, mais quand on entend la voix de cul de Krusty le Clown, c'est vraiment de la merde, Apu est plus marant en train de baragouiner un anglais à sa façon c'est mieux que la VF mais Burns je la préfere franchement ne VF, avec une fois nasale et fine, qui va mieux pour un type à long nez crochu que la voix originale ne faisant pas cruel du tout.
C'est d'ailleur étonnant pour une version originale ...





DEAD CAN DANCE
ANASTASIS


Le 24 Février 2013 par MADARKA


Emphatique, pompeux, souvent à la limite de l'auto plagiat, Anastasis est l'exemple type du disque qui, artistiquement, n'apporte rien dans le parcours d'un artiste. Si bien entendu, on exclut l'aspect financier de la question...





Bob DYLAN
TEMPEST


Le 24 Février 2013 par BAYOU


RAMON, tu fais exactement ce que tu reproches à DYLAN.
Tu te racontes une histoire, ton histoire de DYLAN, avec tous les fantasmes classiques.
La légende surpasse la réalité ? Et les concerts d'un bout à l'autre du monde sont virtuels?
DYLAN depuis très longtemps, ne commente plus les informations et les rumeurs sur son compte, il fait juste ce qu'il a envie, de toute façon il est en même temps la légende et la réalité.
Après, c'est évident qu'il ne fera plus un nouveau Blonde On Blonde ou Higway 61, mais sommes-nous obligés d'étalonner tous ses disques sur ces bases?
Et DYLAN même en roue libre, ce qui par ailleurs reste à démontrer, demeure quand même au dessus du lot.





DEAD CAN DANCE
ANASTASIS


Le 24 Février 2013 par MAITRE KUROSAWA


Deja la pochette est magnifique. Pour moi il s'agit là de leur meilleur album. La raison principale étant que DCD s'est orienté cette fois vers des horizons electro et Dark Ambient majestueux. Auraient ils écouté Arcana? Du reste la production est devenue juste énorme et donne une puissance émotionnelle à ce disque assez forte, avec en plus un charme oriental qui imprègne l'ensemble des titres. Une oeuvre inclassable et intemporelle.





MSG
ONE NIGHT AT BUDOKAN


Le 24 Février 2013 par RED ONE

@ RAMON :

Merci merci, après je ne sais pas si tu as vu, mais ce n'est pas moi qui chronique le MSG, hein ... ^^





MSG
ONE NIGHT AT BUDOKAN


Le 23 Février 2013 par RAMON

@Red One Le problème du Mc Auley Shenker Group, c'est que les ai vu à bercy en première partie de Def Leppard et c'était franchement pathétique, ce que j'ai entendu par la suite n'a pas corrigé cette impression initiale. Sinon total respect pour tes chroniques.





Bob DYLAN
TEMPEST


Le 23 Février 2013 par RAMON


Bob Dylan grand manipulateur, a compris ceci de l'Amérique: "si la légende surpasse la réalité, imprimez la légende". Ce principe, il l'applique à la lettre sur le très long titre éponyme en narrant sa vision de la tragédie du Titanic. Mais la légende qui est racontée ici, c'est tout même plus celle du Zim devenu légalement Dylan, laissant courir toutes sortes de rumeurs sur ses origines et ne démentant jamais les plus épiques, voire même les entretenant auprès de ses proches. Ce qui froissera beaucoup Suze Rotolo sa muse italo-américaine convaincue d'avoir affaire à un gosse fugueur, initié au blues par d'obscurs autant que mythiques musiciens noirs, parti sur les traces de Rimbaud et de Woodie Guthrie. Dylan est un imposteur, un imposteur de génie auquel on pardonne beaucoup, mais un imposteur quand même, et il s'en délecte, un peu trop parfois...comme ici.
Suze a mis les voiles depuis très longtemps, refusant d'être la septième corde de la guitare de son amoureux mais a permis à Bob de devenir le songwriter que l'on sait, probablement le meilleur parolier du siècle dernier, le dernier prophète encore vivant (les autres: Lennon, Marley, Morrison et même Cobain ne sont plus): une légende, on y revient donc...
Dylan sur cet album très loin d'égaler ses chef-d'oeuvres passés, choisit donc délibérément d'imprimer la légende, recycle le riff du Manish Boy façon Muddy Waters, pond des titres à partir de boucles, tantôt country, tantôt folk en épiçant le tout de blues et chante avec une voix d'outre tombe, seule démarche ouvertement sincère dans l'interprétation de cet album: Dylan ne ment pas sur son âge.
Et puis comment ne pas mentionner Jake Frost, le producteur....Qui n'est autre qu'un (énième) avatar de Bob Dylan: au moins celui-là ne risquait pas demander à son turbulent poulain de s'appliquer un peu plus dans la conception des mélodies de son album, pourquoi donc rappeler le bien moins malléable Daniel Lanois?
Alors avant parution, on laisse courir une rumeur de plus: Le nouveau Dylan sera mystique, voire religieux! Eh puis non, trop fatigant et dans un sens ça vaut mieux notamment quand on se rappelle du naufrage de Saved, autant éviter deux Titanic sur un même album, Roll on John, and no religion too...
En résulte une collection de chansons paresseuses, d'où émergent (que d'eau, que d'eau!) Duquesne Whistle, single pas vraiment représentatif du reste de l'album et ce malgré tout très réussi Tempest, mais comme on est chez celui qui est passé maître de l'illusion, on se laisse bercer et on pardonne cette imposture...une fois de plus!
Conclusion: Un Dylan en roue libre qui se moque des temps qui changent. Note réelle 2,5





The BEATLES
PLEASE, PLEASE ME


Le 23 Février 2013 par RAMON


Au sujet de Please Please me, je ne peut m'empêcher de citer Philippe Manoeuvre qui disait:"album enregistré en moins de douze heures, soit le temps qu'il faut à un ingénieur du son post-moderne pour régler le son d'une caisse claire!" Voilà, tout est dit...





Steven WILSON
GRACE FOR DROWNING


Le 23 Février 2013 par MAITRE KUROSAWA


J'avais acheté le premier dès sa sortie et je l'ai revendu au bout d'une semaine... Mais celui-ci... comment dire... est ce l'ambiance sombre ? les influences crimsonniennes ? la prod énorme ? la voix de Lord Wilson (car il a quand même une belle voix !) ? les passages jazzy ou bien ce style prog rock incomparable ? Bref, dur à ingérer au début mais le goût apparaît prog-essivement bien succulent en fait. J'ai un peu peur pour la cuvée 2013 par contre.





MSG
ONE NIGHT AT BUDOKAN


Le 22 Février 2013 par RED ONE


Un très bon live, oui, probablement l'album le plus connu de Schenker en solo.

@ RAMON : MacAuley/Schenker Group, horrible ? Allons donc ! Mais bon après, les goûts et les couleurs ...





ECLAT
L'ESPRIT DU CERCLE


Le 22 Février 2013 par ILôNIL


J’ai découvert ce disque il y a quelques mois déjà et l’adhésion fut totale dès la première écoute. Vous avez du connaître ça un jour, ça se passe de mots et de commentaires, ça se ressent tout simplement. Il y a rencontre, fusion, vous écoutez, et vous vous repérez comme si la Méditerranée était votre petit jardin et tout ça vous parle comme une évidence. D’un bout à l’autre de l’album une cohérence et une résonance hors du commun. Vous dire mon titre préféré ? - Impossible ! La quête suscite l’écoute et l’écoute relance la quête, sans cesse sans jamais m’en lasser depuis des mois… Au fil des tranches de vie, un titre l’emporte parfois, j’avoue avoir consolé des chagrins à coups de « médication », retrouvé le calme au « fil de l’eau » et avoir chaviré sur « émotion » ! Vous dire qu’Eclat a été brillant sur ce coup serait céder à la facilité ! Aussi je préfère vous dire, écoutez et faites bien attention, car il se peut que, comme moi, vous preniez, les morceaux d’Eclat, en plein cœur !





SCORPIONS
LOVE AT FIRST STING


Le 22 Février 2013 par RAMON


Il y a bien eu un avant et un après "Tokyo Tapes" : l'avant nous présentait des albums certes imparfaits, sans réelle direction, ni production cohérente, mais son ancrage seventies parfois bordélique recelait de véritables pépites proto-metal(he's a woman, she's a man), ainsi qu'un charme certain de par ses prises de risque(fly to the rainbow).

Rien de tout cela ici, on est résolument dans l'après, le quatrième album de l'après même, d'où seul surnage Animal Magnetism, car Lovedrive et Blackout malgré quelques bons titres lorgnaient outrageusement sur la bande FM, US notamment. Déjà la pochette trop classieuse pour être honnête laisse entrevoir le pire, et le pire on y entre derechef dès l'ouverture de l'album avec des bad boys d'opérette qui n'ont de sauvage que l'odeur frelatée de leur parfum de supermarché. Loin du groupe très permanenté, l'idée d'effrayer les parents des ados qui se ruent à leurs concerts et achètent leurs disques, c'est à croire qu'ils ont inventé à eux seuls le concept du "politiquement correct".

Rock you like a hurricane enfonce le clou de la médiocrité prévisible et ultra formatée. Ce qui suit est à l'avenant, avec un Big City Nights qui ferait passer Beverley Hills pour une série subversive, un Crossfire démago comme pas possible, et puis cette horreur absolue qu'est Still living You prototype de la ballade à déconseiller aux diabétiques, où l'on croit entendre Klaus Meine chanter: "ce soir j'ai les pieds qui puent" (si, si tendez bien l'oreille, c'est à mourir de rire!)

Parlons des musiciens justement : Herman Rarebell et Francis Bucholz sont les deux punis, réduits à assurer la pompe, mais n'est pas AC/DC qui veut. Matthias Jabs, c'est un fait, n'arrivera jamais à la cheville de Michael Schenker ni d'Uli Jon Roth, faute d'inspiration plus que de technique, tous ses soli sont frelatés. Rudolf Shenker se croit lui obligé d'en jouer un de solo, sur l'horreur que vous savez et cet excellent rythmicien joue ici de façon tellement mécanique qu'on jurerait qu'il a été remplacé par un androïde . Klaus Meine enfin n'a jamais été aussi insupportable tant il surchante l'emphase et s'assoit sur toute velléité de simplicité.
Et puis il y a le gourou Dieter Dierks aux manettes qui réussit l'exploit, une fois de plus de rendre la chose encore plus abominable qu'espéré en surproduisant et sursurlignant le moindre battement de cil de ses prorogés, histoire que n'importe quel neuneu puisse assimiler jusqu'à l'indigestion ce produit qui a bien plus à voir avec le marketing qu'avec une quelconque forme d'art. A vomir!





MSG
ONE NIGHT AT BUDOKAN


Le 22 Février 2013 par RAMON


Je me souviens de ce concert diffusé à la radio à l'époque et que j'avais enregistré sur cassette (oui, oui!). Quelques mois plus tard le voilà édité en double vinyle, sans aucune retouche, je peux donc l'affirmer, puisque je possède les deux copies.
A cette période Michael Schenker est au faîte de son art, il produit des titres inspirés, puissants et mélodiques, accompagné par un groupe au dessus de tout soupçons,des morceaux bien supérieurs à ceux de son premier groupe qui à l'époque commence à dériver dangereusement vers des albums ultra-calibrés FM pour midinettes et surpassant également ceux d'un UFO en cours de dislocation. Armed and Ready annonce la couleur d'entrée, il n'y a pas de tromperie sur la marchandise! Energie et feeling à tous les étages emportent tout, portant la voix de Gary Barden vers les cimes... Et puis, il y bien sûr, évidemment la guitare en fusion de maître Schenker, présente comme aux plus beaux jours de UFO, précise,sans jamais être trop bavarde ni démonstrative, et quelque chose me dit que le "petit" Slash n'y est pas resté insensible (Attack of the mad axeman)...Cela au moment même où certains guitaristes de metal commencent à se complaire dans des exécutions (dans tous les sens du terme) de vitesse pure (n'est-ce Mr Malmsteen?), Schenker ne sombre jamais dans le ridicule ni dans la facilité d'ailleurs. Are you ready to rock? Plutôt deux fois qu'une, cet album se pose d'ailleurs très régulièrement sur ma platine et il n'a pas pris une ride.
La suite ne sera malheureusement pas à la hauteur des promesses laissées par ce témoignage, avec la séparation de ce formidable line-up, et l'avénement quelques années plus tard de l'horrible Mc Auley Shenker Group à combiner avec le caractère peu amène du Schenk en proie à de multiples addictions. En visionnant les concerts sur Youtube, on le voit trop souvent jouer en roue libre accompagné par des musiciens peu inspirés et surtout par des chanteurs à la peine.





TRYO
MAMAGUBIDA


Le 21 Février 2013 par BABAR


La chronique est pas mal et il n'y a pas grand chose à y ajouter, en revanche je ne suis pas d'accord pour les paroles.
Je ne conteste pas leur naïveté mais c'est juste que, objectivement, on s'en tape totalement en fait ! Quand j'écoute Tryo c'est pas pour entendre parler de réalisme économique. Ce sont des chanteurs, pas des politiques, leur but n'est pas un seul instant de donner une leçon de politique, juste de dénoncer un système.

Sur le reste, je te rejoins tout à fait ;)





The BEATLES
THE BEATLES


Le 21 Février 2013 par BABAR

Parti comme ça les Sonics l'ont inventé en 66 et les Kinks en 64.
On peut attribuer la création du hard rock (ou de n'importe quel autre genre d'ailleurs) à qui on veut et on aura toujours tort.


Par Forces Parallèles

Effectivement on a tous le droit d'avoir une opinion sur cet épineux sujet de la genèse du Hard Rock. Pour moi, cela se joue en 63 entre Avril ou les KNGSMEN sortent leur version de "Louie louie" et Juillet ou ELVIS sort "Little sister".

Ce qui est sur, c'est que le décès prématuré de Eddie COCHRAN aura retardé son éclosion, le riff de "Somethin else" et l'intro de "Pretty girl" dès 1958 le prouve. Eddie avait une approche sophistiquée et révolutionnaire de l'instrument pour l'époque.

Erwin





The BEATLES
THE BEATLES


Le 19 Février 2013 par RIKKIT

Euh non, ils n'ont pas inventé le hard rock je crois pas en fait, non non. Si on joue à "qui c'est qu'a été le plus bourrin avant l'autre" Blue Cheer l'a été sans comparaison avec son Vincebus Eruptum en janvier de cette même année et il en va de même pour In-A-Gadda-Da-Vida de vous savez qui sortit en Juin 68. Donc, que les Beatles soient des p***** de génies, je le veux bien et je suis le premier à le revendiquer, j'adore ce groupe. Mais rendons le Hard Rock à ses vrais géniteurs. On n'y touche pas à lui, interdit.





Antonio VIVALDI
LES QUATRE SAISONS (IL GIARDINO ARMONICO)


Le 19 Février 2013 par CéDRIC


magnifique une oeuvre grandiose les mots me manquent une de mes préférés avec le requiem de mozart , la cinquième de beethoven et le lac des cygnes de tchaikovsky





Jean-luc LENOIR
OLD CELTIC & NORDIC BALLADS


Le 18 Février 2013 par MR TINKERTRAIN


Marrant ça, on a offert ce CD à ma compagne pour les fêtes (quel bon choix de cadeau !) et je me surprends à l'écouter de plus en plus. Etant fan de musique celte et de dark ambient (Arcana et DCD surtout), je ne peux qu'adhérer au concept, à la musique et aux mélodies, assez magnifiques en fait. Bref, avec un packaging sublime, ce disque mérite la note parfaite. Voyage garanti en Avalon avec votre ami l'elfe.





Mike OLDFIELD
TUBULAR BEATS


Le 17 Février 2013 par VANQUISH


Peut-on encore croire en Oldfield après avoir écouté cet album ? Dure question, et bien que je fasse partie de ceux qui placent la sainte quadrilogie (Tubular Bells, Hergest Ridge, Ommadawn et Incantations) ainsi qu'Amarok parmi les plus grandes oeuvres des dernières années, je suis tenté d'abandonner tout espoir de revoir le véritable Oldfield. Ce Tubular Beats est un massacre de bout en bout, une insulte jetée aux visages de ceux qui rêvent sur Ommadawn et se laisse envouter par les tourbillons d'Incantations.

A oublier et enfouir au plus profond de la discographie d'Oldfield. En espérant que le prochain album studio tienne - enfin - ses promesse !





DIRE STRAITS
LOVE OVER GOLD


Le 16 Février 2013 par MR TINKERTRAIN


Il s'agit là du premier chef d'oeuvre de Prog que j'ai écouté. Quoi?!!? diront les uns, Dire Straits du Prog?!!? Et bien pour moi c'en est : les 2 pièces majeures du groupe et du Rock "Telegraph Road" et "Private..." sont là pour le prouver. Dommage que Mark Knopfler se soit embourbé dans la mélasse qu'il pond régulièrement. Comme dirait son vigoureux (et mauvais) disciple Zakk Wylde: "Hey Dude, what the fuck are you doin'???"







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