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Bruce SPRINGSTEEN
GREETINGS FROM ASBURY PARK, NJ


Le 14 Janvier 2013 par IEN


Un très bel album. Personnellement le débit de paroles ne me gêne pas. Ce disque est rempli de titres fougueux et d'autres plus calmes.
Par ailleurs je trouve la pochette superbe ; c'est drôle mais celle-ci m'a fortement marqué dans mon enfance.





Frank ZAPPA
STUDIO TAN


Le 13 Janvier 2013 par FRANCK


J'ai écouté un nombre incalculable de fois Studio Tan et ça fait plaisir d'en découvrir un peu l'histoire (j'pige que dalle en anglais et écouter du Zappa sans comprendre la langue c'est plus que dommage) par contre contrairement à la chronique je trouve que RDNZL est un très très bon passage.





TALK TALK
THE PARTY'S OVER


Le 13 Janvier 2013 par WALRUS


Excellente chronique, j'ai particulièrement apprécié les premiers paragraphes qui traduisent les sentiments de tous les adorateurs de la seconde période de Talk Talk.

Concernant l'album, ses qualités ont été fort bien résumées : la voix de Mark Hollis et son talent de composition (la mélodie de The Party's Over, de Today...) qui annonçaient déjà les trois grands - que dis-je, immense ! - albums, de Colour of Spring à Laughing Stock. Le reste des titres ne se distingue à mon goût pas assez de la production de l'époque.

Un must have quand même, afin de bien se rendre compte de l'évolution phénoménale de ce groupe !





TALK TALK
THE PARTY'S OVER


Le 13 Janvier 2013 par BENNETT


Pour moi, ce serait davantage "It's my Life" qui serait l'album dispensable de Talk Talk, tout le reste étant bon, confinant même au génie avec "Colour of Spring", formidable album de transition entre les deux époques de Talk Talk.

The Party's Over, c'est du pur bonheur de new wave régressive mais mélodique en diable où j'avoue ne trouver aucun titre faible. Un indispensable qui tourne en boucle sur mon Ipod, je m'en lasse pas, foi de mélomane ! ;)





Robbie WILLIAMS
TAKE THE CROWN


Le 10 Janvier 2013 par THALLIA


Je trouve un petit peu simpliste de qualifier ce nouvel opus de Robbie de "pop facile".
Il revient aux sources, lui qui a tant fait d'albums différents dans sa carrière, mais sans pour autant se répéter.
Encore une fois, avec ces 13 TITRES (j'insiste sur le chiffre, vu que dans cet article, ont été oublié l'énergique "Reverse" et l'intimiste "Eight Letters", excellentissimes mais uniquement présent dans la version "de luxe" de l'album, il arrive à nous offrir une palette très large de chansons aux styles variés (est-ce cela la "variété"? Alors si c'est ça oui, j'adhère!!), en évitant (ce qu'il a toujours su faire) ce travers dans lequel beaucoup trop de ses "collègues" tombent, à savoir faire 12 chansons quasi identiques dans un même album, quand ce n'est pas faire la même chose, album après album.
Soyons francs: Take The Crown renferme quantité de chansons que beaucoup de chanteurs ne pourraient pas chanter, surtout en live.
Robbie pratique encore cette pop "à l'ancienne" qui n'utilise les artifices tel que vocoder uniquement pour ce qu'ils sont, à savoir mettre un effet donné, et non pas corriger une voix fausse.
C'est sans doute ce qui en fait un des meilleurs (le meilleur?) artiste live à l'heure actuelle, parce qu'il peut quasiment tout faire, parce qu'il a la carrure qu'il faut pour porter le show sur ses seules épaules, ainsi qu'il l'a encore prouvé en novembre derneir; avec ses 3 fantastiques concerts à l'O2 Arena de Londres (3 concerts à 20 000 places par concert, sold out en...1 heure!!).

Alors oui, ne boudons pas notre plaisir: Robbie, c'est du pur bonheur, un grand artiste qui fait sérieusement un métier qu'il qualifie lui même de "pas sérieux", un touche-à-tout de génie, et c'est ça qui fait la différence.




Par Forces Parallèles

Hello
je trouve osé de mettre 5 étoiles à un tel album. J'en ai mis 3, ce qui lui donne un statut moyen agréable à mon sens.
Je lui préfère nettement de plus anciens opus.
Ensuite, c'est une question de goût et tu as bien raison de défendre Robbie.
Bien à toi, charmant patronyme.
Erwin





Avril LAVIGNE
GOODBYE LULLABY


Le 10 Janvier 2013 par RED ONE


@ IEN :

Eh oui, Goodbye Lullaby ne passe pas, ni à la première, ni à la 67865e écoute (car oui, j'ai tenté de lui redonner sa chance plusieurs mois après ma chronique assassine) ...

Je suis vraiment désespéré par le cas Avril Lavigne. Elle est censée sortir un cinquième album d'ici quelques mois, j'espère vraiment pouvoir mettre une à deux étoiles de plus qu'à Goodbye Lullaby, qui reste vraiment selon moi l'un des pires albums de ce début de décennie 2010 ...






ESBJÖRN SVENSSON TRIO
LEUCOCYTE


Le 10 Janvier 2013 par ILôNIL


Jour 1 : Vous avez lu la chronique et c'était prometteur. Vous avez fièrement brandi l'album et vous et vous êtes rué pour l'écoute. Dès les premières minutes vous vous êtes félicité du choix en savourant la maîtrise, la justesse et le talent, car soyez-en sûrs, on joue ici dans la cour des grands, des pro, des rois même, peut-être. Mais au fil du temps et des minutes vous avez peu à peu perdu de votre superbe. Au bout d'un quart d'heure, vous n'étiez plus ici sur les sentiers battus et rebattus dont vous vous targuez et vous avez vite senti que vous étiez totalement hors piste. Lorsque vous avez commencé à grincer des dents, vous vous êtes demandé pourquoi vos années d'écoute, de jazz-rock-fusion-free, ne vous étaient d'aucun secours. Et bêtement vous en seriez arrivé à dire assez hâtivement que vous n'aimiez pas, ce que vous étiez pourtant dans l'impossibilité de qualifier de mauvais. Car avouez-le étrange, raviné, obscur, rimait malgré tout, avec pureté, style, précision et orfèvrerie. C'est finalement agacé pour que vous avez affûté votre plume, prêt à en découdre avec le chroniqueur qui, pour un peu, vous en aurez vantez les mérites avec ces 5 étoiles... Mais à la relecture de la kro, point de duperie, vous ne pouviez que souscrire et applaudir des deux mains devant la pertinence et la justesse de l'analyse. Du coup vous étiez seul avec vous même, aux prises d'un excellent album : parfaitement inécoutable.

Jour 2 : Ce qui allait se produire vous ne l'attendiez pas. Certain de ramener l'objet chez le disquaire pour en changer, l'appel d'une dernière écoute est venue accroître l'hésitation et renforcer le doute persistant de la veille. Finalement vous avez persévéré et vous avez différé la revente...

Jour 3 : A la question : Qu'est-ce qui pousse un être humain lambda à s'infliger l'écoute d'une musique repoussante ? Vous avez répondu : Le talent j'imagine ? La volonté de dominer, de comprendre, peut-être. Avant de trancher, comme dans tout bon procès, par : L'intime conviction, je crois ! Car vous le sentez bien, que vous êtes sur la mauvaise pente ? Vous le sentez depuis quelques écoutes déjà. Il en faudra encore un peu, mais inévitablement vous allez finir par aimer, et pas qu'un peu !

Jour 7 : Et oui, ça y est, vous êtes dedans jusqu'au cou. Enfin disons jusqu'au x oreilles, voire jusqu'au cerveau... C'est addictif ce truc en plus du reste ! Vous affûtez votre plume pour en découdre avec le chroniqueur... mais il est inattaquable... il vous l'avez bien dit "Leucocyte emportera dans ses visions l’auditeur avec la facilité et l’irrésistibilité d’un vortex temporel." Décidément vous n'écoutez rien ! Enfin, si ! Leucocyte en boucle ! Justement...

Jour 10 : Vous êtes dans l'ivresse des cimes, la ligne du hors piste, vous la suivez très bien ! Et l'expérience hallucinatoire qu'on vous avez promis tient toutes ses promesses. Vous vous félicitez de l'achat, même si vous savez, de fait, que le plaisir va rester un peu solitaire... Plus question à ce stade, d'en découdre avec chroniqueur, vous devenez compatissant. C'est qu'il a du s'en poser des questions sur son intime conviction lui aussi ! Et qu'il a du y réfléchir à deux fois avant de publier le papelard, sous peine de voir débarquer en urgence les petits hommes en blouse blanche, envoyés par les modérateurs.

Jour 20 : L'autosatisfaction sera grandissante, les lignes mélodiques difficilement mémorisables feront de l'ouvrage une infinie découverte, tandis que le tempo martèlera les sens. L'étrange cédera le pas à la rêverie, et la pureté des harmoniques cisèlera l'ensemble pour lui donner un caractère unique, abyssal et cristallin. Ce qui était à craindre ne se produira pas, on ne se perdra pas dans cet album, Ariane veillant sur nous, dans chacun des tableaux ! Du grand art pour cette pièce de jazz contemporain (c'est ainsi que je l'entends) que je vous conseillerais d'exhiber, de face, sous verre et bon éclairage dans votre cdthèque ! Et si après écoute, l'envie vous venait d'affûter votre plume pour en découdre avec le chroniqueur... Laissez tomber... Inattaquable vous dis-je ! L'effet "Leucocyte" sans doute...





RENAUD
A LA BELLE DE MAI


Le 09 Janvier 2013 par IEN


Dernier album de Renaud avant sa descente en enfer, sa voix est encore très bonne.
Les arrangements et le son sont vraiment excellents.
La plupart des chansons sont très bonnes mais surtout : "La Ballade de Willy Brouillard", "A la belle de mai", "C'est Quand Qu'on Va Où ?", "Son Bleu" et "La médaille".





Avril LAVIGNE
GOODBYE LULLABY


Le 09 Janvier 2013 par IEN


Désolé mais vraiment celui-la il passe pas, c'est mauvais de chez mauvais.





Avril LAVIGNE
THE BEST DAMN THING


Le 09 Janvier 2013 par IEN


Oh la honte ! J'adore ce disque !
J'y peux rien c'est plus fort que moi, c'est cul-cul et parfois à la limite du supportable mais je l'écoute régulièrement en voiture.





SUM 41
ALL KILLER NO FILLER


Le 09 Janvier 2013 par IEN


Assez brouillon mais pas mal.
Certaines chansons sont très bonnes mais à la longue l'album est fatiguant.
J'ai tendance à zapper la plupart des titres pour arriver à la dernière; j'adore ce genre de petit trip à la fin de certains albums ( dans le genre il y a "Heavy Metal" de "Ugly Kid Joe" qui est encore meilleure )





Les INNOCENTS
POST-PARTUM


Le 08 Janvier 2013 par ANJE


Leur meilleur album à mon goût. Je trouve qu'il a mieux vieilli que Fou à Lier niveau prod et est plus abordable que l’éponyme. Un son plus organique et des mélodies magnifiques.





EMINEM
THE EMINEM SHOW


Le 07 Janvier 2013 par SLIM SHADY


Très bonne review! C'est très certainement l'album qui m'a le moins marqué de la discographie de notre rappeur blanc (avec le très énigmatique RELAPSE). Mais pourtant, je suis tout à fait d'accord avec tes notes et tes arguments.
Ce qui donne un très bon aperçu de la carrière fulgurante de ce bonhomme, surtout que l'album ENCORE est pour moi une claque encore plus grande, et ne parlons pas des "Slim Shady" et "Marshall Mathers".
Bref, ce "Eminem Show" est tout simplement excellent, il renferme de belles perles qui sont aujourd'hui des classiques.





JON & VANGELIS
PRIVATE COLLECTION


Le 06 Janvier 2013 par ARP2600


Cet album n'est pas mièvre, non, c'est bien pire que ça. Gluant et mal écrit, insupportable pour un fan de Yes et de Vangelis. Je suis parfaitement d'accord avec Walter Smoke, ce n'est pas une déception mais une infamie qui mériterait un 0 si cette note existait sur le site.
Franchement, je ne vois même pas comment on peut ne être agacé en entendant ça en musique de fond.

Et encore, je me retiens...





Ozzy OSBOURNE
NO MORE TEARS


Le 06 Janvier 2013 par POWERBEAUF

Hé hé ! Merci, Tonton Clem. Mais je n'ai cité que certains incontournables de la rentrée 91. Quelques mois auparavant, "Slave to the Grind" avait enflammé l'été ! Ce que je m'en veux de ne pas avoir découvert le Hard 1 an ou 2 plus tôt...





JON & VANGELIS
PRIVATE COLLECTION


Le 06 Janvier 2013 par POWERBEAUF


Un navet de plus dans la collaboration de ces 2 artistes aux références et aux talents pourtant incontestables. Mais que voulez-vous ? Les relations humaines ont ceci de particulier qu'elles défient souvent (toujours ?) les règles mathématiques. Ainsi, 1+1=3, parfois, quand un duo marche du tonnerre. Mais la même opération peut donner 0,5, ou même moins si le duo manque clairement d'inspiration, de motivation ou n'arrive pas à s'entendre. C'est le cas de cette association, où un seul rai de génie (la chanson-titre de l'album précédent) ne suffit pas à éblouir une maigre discographie où le pompeux flirte avec le gnan-gnan.

Cet album s'écoute, bien sûr. Il est même idéal comme fond sonore discret, tellement il est inoffensif. Mais quoi ? Ne pouvait-on en attendre un peu plus de la part de ces 2 grands noms ? En fait, non. VANGELIS cartonne en écrivant des BO d'excellente facture ("Blade Runner", "Missing", et bientôt "Antarctica"). ANDERSON, de retour au bercail chez YES après avoir compris que le groupe pouvait très bien s'en sortir sans lui, est reboosté par l'arrivée de Trevor Rabin et la présence de Trevor Horn aux manettes. Alors, pensez donc, pourquoi gaspiller du temps et de l'énergie pour un nouvel album qui sera un four, de toutes façons ?

Note réelle : 1,5/5





FRANKIE GOES TO HOLLYWOOD
WELCOME TO THE PLEASURE DOME


Le 06 Janvier 2013 par POWERBEAUF


Un disque dantesque par les tubes extraordinaires qu'il contient, par sa plage titulaire-fleuve, par la voix unique de Holly Johnson et par la production signée Trevor Horn. Mais c'est aussi un disque victime de sa démesure... ou plutôt de la prétention de son producteur.

Pourquoi ? Parce que cet album a été réalisé dans l'urgence après le raz de marée "Relax". Trevor Horn somme alors ses poulains de bosser d'arrache-pied et convoque ses copains de YES et d'ART OF NOISE pour donner une caution artistique inattaquable au premier album du quintet. Il en résulte un double-album qui, comme tous ses congénères, contient de l'excellentissime, mais aussi du dispensable (en particulier la dernière face). Si Horn avait eu les yeux moins gros que la tête (en clair, si cet album avait été simple), alors ce disque serait inattaquable d'un point de vue critique. Ce n'est pas tout à fait le cas, mais quel disque, tout de même !

Concernant le contexte dans lequel ce disque est sorti, une précision s'impose. FRANKIE GOES TO HOLLYWOOD a effectivement cartonné au moment où de nombreux groupes ou artistes pop ont affiché ouvertement leur homosexualité et ont milité indirectement pour l'acceptation de leur différence : BOY GEORGE avant eux, BRONSKI BEAT peu après (cf l'excellent clip de "Smalltown Boy"). Pour autant, en 83-84, le SIDA est une maladie tout juste isolée qui reste méconnue du grand public. Rock Hudson n'a dévoilé sa maladie qu'en juillet 1985, soit quelques semaines avant sa mort. C'est cet événement qui va provoquer la médiatisation autour du virus, parallèlement à l'augmentation des décès qui lui sont dus.





Johnny HALLYDAY
GANG


Le 06 Janvier 2013 par POWERBEAUF


Un bien bel album bourré de tubes qui a permis à JOHNNY de squatter le Top 50 pendant près de 2 ans. Il faut dire qu'il est difficile de résister à l'énergique "L'envie", à la power-ballad "Je te promets", ou au très joli duo avec CARMEL. "Gang" a beau être un album de GOLDMAN sur lequel HALLYDAY pose sa voix, difficile de nier que le talent des 2 hommes a donné un disque réussi.

Bon, je trouve la musique de "Laura" un peu trop légère ; "Toute seule" sent un peu trop le remplissage ; "Je t'attends" et son refrain sans imagination me cassent les pieds. Il n'empêche que l'ensemble reste crédible plus de 25 ans après, malgré une production avouant son âge.





Howard SHORE
THE HOBBIT : AN UNEXPECTED JOURNEY


Le 06 Janvier 2013 par JULLIAN


Encore un fan entièrement voilé par sa subjectivité envers les films vient mettre un gros 5/5 à la BO du Hobbit??

Peut-être, sauf que..

Cette BO ne représente en rien un travail facile, ou les principaux thèmes de la précédente trilogie seraient simplement repris à l'identique.
Les thèmes connus sont "recyclés", mais dans le sens positif du terme. En effet, Howard Shore apporte des variations charmantes et attachantes (The Adventure Begins, avec un thème des hobbits remanié et enjolivé).
Est-ce le bon choix que de reprendre ces thèmes venant de la précédente trilogie? Personne ne peut affirmer le contraire. Voulant garder une certaine cohérence/continuité avec sa précédente oeuvre, Jackson n'avais pas d'autres choix que de les utiliser.
En effet, qui ne voudrait pas voir la comté et ses hobbits sans leur sempiternelle musique? Si ce n'était pas le cas, cela détonnerait..

Cependant, je n'aurais pas donné la note maximale à cette BO si il ne s'agissait que d'une ré utilisation, certes réussie, des précédentes musiques.

Toute la subtilité d'écrire une BO pour Le Hobbit venait de cet équilibre à trouver entre les anciens thèmes et l'insertion de nouveaux tout aussi marquants que ceux du SDA.

Mission accomplie grâce au thème des nains, fédérateur, grandiose et aussi réussit que le thème de la communauté à son époque! Magistral! (deuxième moitié de Roast Mutton, WOW!, Hidden Valley, WOOOW!!!)

Un petit bémol, mais qui vient du montage : certaines pistes toutafait magnifiques ne se font pas remarquer lors du visionnage du film car l'action ou les dialogues nous en empêche. "Out of the Frying-Pan" en est un cuisant exemple, à partir de 3min40 !!

A l'instar des précédentes BO, nous pouvons nous attendre à un grand nouveau thème par film, et cela laisse présager le meilleur pour la suite.

Cette BO mérite la même critique que le film : Recréer la magie, innover sans pour autant détoner avec la précédente trilogie. Peut être pas autant surprenant, mais mieux maitrisé. Et qui va acquérir le statut de grande oeuvre, sans aucun doute.





BLOOD OF THE SUN
BURNING ON THE WINGS OF DESIRE


Le 06 Janvier 2013 par POWERBEAUF


Je me suis procuré cet album après avoir lu une chronique précisant que cet album de Hard faisait la part belle à l'orgue Hammond. Les disques du genre (dans lesquels la guitare n'est pas reine) étant beaucoup moins nombreux qu'on ne veut le dire, j'ai foncé et je n'ai pas été déçu. Du moins pas tout de suite... En effet, si vous adorez le son du Hammond, les voix râpeuses, et la musique brassant la poussière des années 70, cet album va vous enchanter de bout en bout. Si ce n'est pas le cas, alors passez votre chemin.

Il y a 1 ou 2 semaines, j'aurais donné 4/5 sans hésiter à cette rondelle. Depuis, mon jugement est moins enthousiaste. Le problème de cet album vient du fait qu'il finit par lasser, malgré sa briéveté. Est-ce, comme l'écrit Bayou, par le côté répétitif de ses titres ? C'est bien possible. Je pense aussi que la trop grande homogénéité de l'album finit par lui nuire : tous les titres sont agréables à écouter et s'enchainent très bien, mais aucun ne ressort vraiment, ni ne se retient. C'est dommage, car le savoir-faire des musiciens est évident.

Aujourd'hui, je lui accorde 3/5, mais rien ne dit qu'à l'avenir, je pourrais à nouveau réviser ma note à la baisse.







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