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MIDNIGHT OIL
BREATHE


Le 24 Juillet 2016 par JOHN MACCARTNEY


En voulant prendre un virage musical folk-rock tout en revenant sur les bases d'origine, Midnight Oil s'est fourvoyé. La production est en cause. Comme par le passé (époque "Place Without a Postcard"), les Oils ne sont pas du genre à se laisser faire si quelque chose ne leur plait pas. Rob Hirst, le coeur du groupe, ne s'est clairement pas entendu avec Malcolm Burn. A côté de très bons morceaux ("Underwater" aux allures légèrement psychédéliques, le morceau folk "One Too Many Times", la pop song aux magnifiques choeurs de "Barest Degree" et "Gravelrash" debout sur son longboard), il y a des expérimentations mal développées ("Sins of Omission", "In The Rain" et "Home"), et le restant est une sorte de copié-collé pas désagréable (mais parodique) de ce qu'ils ont pu faire à leurs débuts. A noter le duo improbable Garrett-Emmylou Harris sur "Home". Même textuellement, le groupe ne s'est pas foulé. Les sujets habituels sont là mais sont plus effleurés que développés. Le fait de retrouver les membres du groupe à échanger leurs instruments selon les chansons donne l'impression d'un groupe en roue libre, sans réelle motivation. Aussi bons que soient ces musiciens, les compos manquent de l'énergie brute, de l'esprit contestataire et de ce style si singulier qui ont mené le groupe au sommet du rock de 1987 à 1993. Les quelques versions live existantes sur le net sont bien plus fluides et rock que celles de l'album. Même si on ne peut refaire l'histoire, il est probable que le groupe n'aurait pas disparu 'commercialement' s'il avait sorti "Redneck Wonderland" avant "Breathe". En 1996, le grunge était mort et l'électronique envahissait le rock.





NINE INCH NAILS
THE FRAGILE


Le 23 Juillet 2016 par CLANSMAN57


Nouvelle mue effectuée, NIN donne dévoile différentes facettes cette fois ci.
C'est personnellement celui que je préfère, le voyage est d'une sacrée richesse...

Certains y verront un manque de cohérence, d'autres se délecteront de cette diversité extrêmement généreuse.

Le sommet du génie Reznor, à mon sens, on pourrait écrire des pages et des pages pour chaque pièce de ce "Fragile".





NINE INCH NAILS
THE DOWNWARD SPIRAL


Le 23 Juillet 2016 par CLANSMAN57


C'est beau la mise à nue d'un artiste.
Reznor nous propose de sonder son âme torturée, le suiveur fera un voyage
des plus glauques, le courage sera un allié de premier choix.

Trent assène l'auditeur à grands coups de souffrance, de haine et de tristesse.
La douleur est palpable... âmes sensibles s'abstenir.

Cette oeuvre est bruitiste, violente, déformée, froide, abyssale et surtout très effrayante.

Les programmations sont les reines sur "The Downward Spiral" et leur règne
en impose en matière d'ambiance déshumanisée... cependant, des émotions fortes passent au travers, des émotions humaines.

Par ailleurs, "Closer" devrait passer dans les boîtes de nuit jusqu'à la fin des temps.
Elle est parfaite pour danser.









OMD
ORCHESTRAL MANOEUVRES IN THE DARK


Le 23 Juillet 2016 par BUKO


Je me lance dans la disco d'OMD. Je trouve que pour un premier album il est plutôt sympa. C'est un peu dur de dire que la moitié du disque est "limite desespérant voire presque nul". Hormis "Almost" et "Dancing" qui ne sont pas très bons (sans être nul), le reste m'emballe bien. Après ma deuxième écoute je dirais tout de même que le meilleur est pour moi le bloc "mistereality" jusqu'à "julia's Song".
Si le meilleur est à venir, j'en salive donc déjà. Bon par contre, je viens tout juste de découvrir que "Enola Gay" était d'OMD. Est ce que je l'ai trop entendu sur la FM? Parce que ce qui me vient à l'esprit c'est "Aie aie aie". J'espère que le reste sera d'un autre niveau. Merci pour vos chroniques.





NINE INCH NAILS
BROKEN


Le 23 Juillet 2016 par CLANSMAN57


Le premier opus réellement intéressant de Reznor, à mon sens.

On retrouvera cette rage électrique sur un certain "Antichrist Superstar".
Lorsqu'on écoute "Suck", on ne doute même plus des points communs entre ces deux oeuvres.

Intemporel et essentiel (pour qui s'intéresse à NIN), l'âge d'or de Reznor commence ici.







GLENMOR
LA COUPE ET LA MéMOIRE


Le 23 Juillet 2016 par MAPIHAN GRALL

N'on ket 'vat !
Va mamm-gozh a-berzh mamm an hini eo 'oa ur « C'hrallez » anezhi, hag hi kar-pell da Xavier, evit doare, 'welez ket ! Bihan-sod ar bed, neketa ?
'Pezh a vank d'ar re yaouank hiriv-an-deiz ? Ar goustiañs politikel, sed ahe !
Complètement d'accord avec toi sur le constat. Mais des exceptions, il y en a aussi (te, na pa ve ken !!!)... Dre chañs ! N'eo ket achu an abadenn c'hoazh !
Merci pour tes chroniques documentées, éclairées, engagées, passionnées et courageuses.
A galon.





GLENMOR
LA COUPE ET LA MéMOIRE


Le 22 Juillet 2016 par JOVIAL


Merci pour ton commentaire MAPIHAN GRALL !

Je suis on ne peut plus d'accord avec toi. Même si le discours des deux compères ne plaisait pas à l'époque, je l'entends de plus en plus revenir dans la bouche des bretonnants âgés désormais, qui se rendent compte que le monde que tentait de défendre Glenmor et Grall est parti du mauvais côté.

Je suis d'ailleurs actuellement aux Fêtes de Cornouaille pour le boulot et je ne peux m'empêcher de penser ce qu'en aurait penser Glenmor aujourd'hui. Tout ça pue le fric, le folkore ... ça n'a plus rien de breton. Je suis jeune et je n'ai guère connu les traditions rurales non plus, mais tout cela va trop loin et perd de son essence !

Bref, je m'arrête là, ça va gueuler !

(Mapihan ? Serais-tu le petit fils de Xavier Grall donc ?)





GLENMOR
LA COUPE ET LA MéMOIRE


Le 21 Juillet 2016 par MAPIHAN GRALL


Grall-le Scanff, quel contraste, c'est tellement vrai...
Mais quel résultat, aussi, quelle synergie, quelle coopération créative !
Deux êtres habités par une flamme vive et ardente, il faut les avoir vus et entendus discourir sur la Bretagne, le Léonard et le Cornouaillais, tellement différents, mais aussi semblables, au final, portés par la même passion !
Sans vouloir jouer au vieux c.., c'est un peu ce qui manque à la Bretagne aujourd'hui, où, à de rares exceptions notables (Clarisse Lavanant...), les teneurs de la culture locale se contentent, pour beaucoup de gérer tièdement une rente de situation provenant d'un patrimoine pour la survie duquel des GLENMOR et des GRALL se sont, eux, véritablement mouillés.
A époque exceptionnelle, personnages exceptionnels, il est vrai... et la comparaison avec ces deux géants doit être dure à porter aujourd'hui, quand tout semble acquis. Pour l'anecdote, en 1979, année de la sortie de l'album, le fait de prénommer ses enfants en breton était pénalement répréhensible.







GRAVEYARD
HISINGEN BLUES


Le 21 Juillet 2016 par CLANSMAN57


Un opus de revival Hard 70's qui mérite la note maximale, ça n'arrive pas si souvent.
Ce "Hisingen Blues" n'a pas volé sa sélection du site.

Tout le long, on retrouve une très bonne alternance entre des chansons énervées et d'autres plus planantes.

La superbe voix est située quelque part entre Robert Plant et Chris Cornell, les musiciens sont bourrés de feeling et ils n'en font pas de trop.
Quel bonheur!

Pas une mauvaise chanson est gravée ici, l'ensemble s'écoute d'une traite sans ennui.
Et ça ne dure pas des plombes inutilement.

Même la chanson bonus, "Cooking Brew" est top.
On ajoute à tout ce joyeux monde une pochette loin d'être moche et on est heureux.

What else?







The GATHERING
NIGHTTIME BIRDS


Le 19 Juillet 2016 par DIEU


Chères créations,
ce petit message d'amour pour vous dire que je vous ai envoyé un ange pour vous chanter les louanges de ma création et que vous auriez pu transcender par millions à l'écoute de cette oeuvre divine.
Mais voilà, comme d'hab, vous êtes passé complètement à côté ! Vous êtes les plus grands trouduc de l'univers ! Ah ça pour acheter des âneries, y a du monde au carrouf ...
Bref, je vous pardonne et je vous laisse mon ange pour que vous puissiez un jour trouver la grâce.


Par Forces Parallèles

Note d'une des créations :

vous avez oublié le "s" à "trouduc", Seigneur. C'est qu'on est nombreux ici !

PS : Bien le bonjour à Djizeus !





Ibrahim MAALOUF
RED & BLACK LIGHT


Le 17 Juillet 2016 par DR JACK'ILL


J'ai découvert Ibrahim Maalouf au hasard d'un festival de Jazz, un soir dans le Parc Longchamp de Marseille, le soleil se couchait, le ciel rose donnait le ton, et puis les premières notes de Beirut retentirent, l'assemblée fut lentement transportée de l'autre côté de la Méditerranée, le souffle du public suspendu au souffle profond et émouvant de la trompette. Moment inoubliable d'une étonnante fusion entre l'artiste et son public, la musique et le cœur... On appelle ça une rencontre... Red et Black Light reproduit cette magie et mérite toutes ces étoiles, cinq n'y suffisent pas ! C'est un ciel étoilé qu'il faudrait pour décrire la myriade d'émotions que ces notes et ce son peuvent faire éclore. Magnifique, fragile, léger et profond, cet album comme un poème, qui parlerait des femmes, nous parle surtout d'humanité dans des ambiances modernes, vintages et orientalisantes, d'une étonnante originalité. Un grand merci Marco d'avoir fait une place sur FP à cet excellent artiste !





The LORDS OF THE NEW CHURCH
IS NOTHING SACRED ?


Le 17 Juillet 2016 par LATIMUS


Oh que j'ai adoré ce disque ! Moins urgent et apocalyptique que le premier album, plus travaillé et plus varié, avec sa production assez léchée (signée Todd Rundgren) qui fait que je l'écoutais souvent au casque (c'était la vogue du walkman, bien avant les mp3) pour en saisir tous les effets. J'aime tous les titres, et le fait qu'on entende bien la basse (c'est aussi du au fait que Brian James jouait sur Telecaster, qui envoie moins de graves qu'une grosse Les Paul). Quant au regretté Bators, sa voix était véritablement envoûtante...





CHRISTOPHE
CHRISTOPHE


Le 15 Juillet 2016 par DEJAVU

Honte à moi, je n'ai pas dit BRAVO et MERCI à WALTERSMOKE pour cette brillante chronique, voilà qui est fait !





MARILLION
SCRIPT FOR A JESTER'S TEAR


Le 15 Juillet 2016 par GOLGOTH 68


Premier album, premier coup de maitre...





MARILLION
FUGAZI


Le 15 Juillet 2016 par GOLGOTH 68


Un album qui nécessite beaucoup d'écoutes pour être assimilé. C'est surement le moins bon de la période Fish mais ne vaut clairement pas moins de 4 étoiles. Mention spéciale à "Incubus" dont j'adore le final.





ANNIHILATOR
FEAST


Le 14 Juillet 2016 par MR TINKERTRAIN


Autant j'ai aimé le précédent, autant celui-ci me laisse sur ma faim...trop bourrin, pas assez de mélodies, et surtout trop rapide du début à la fin. Comme le Deconstruction de Devin Townsend, là ça fout mal au crâne...





CHRISTOPHE
CHRISTOPHE


Le 14 Juillet 2016 par WALTER SMOKE

Merci pour vos commentaires !

@Dejavu : au moins toute la disco jusqu'à Pas vu pas pris (1980) est écrite, tout n'est plus question que de temps pour la parution.





CHRISTOPHE
CHRISTOPHE


Le 14 Juillet 2016 par DEJAVU


Quelle surprise de trouver, ici, une critique, sur cet album, qui n'en est pas vraiment un puisqu'il regroupe les 45 tours publiés au cours des années 1971 et 1972. Pour ma part, mes titres préférés sont "La petite fille du 3ème" pour sa ligne de basse et son atmosphère, "Main dans la main" (oui oui je confirme), pour des raisons exclusivement personnelles. Dans un interview récent, Christophe s'est défini comme étant un chanteur de variété et non de "Pop française", cet album le prouve mais on peut apprécier le travail apporté à la prise de son, aux arrangements sur chaque instrument (encore cette ligne de basse sur "Goodbye, je reviendrai), les arrangements des cordes sur "Oh mon amour", le solo de d'accordéon qui fait taire le solo de guitare à la fin de "Mère tu es la seule", j'attends la critique des "Paradis Perdus" .....





CHRISTOPHE
CHRISTOPHE


Le 14 Juillet 2016 par MR LARSEN

Merci à toi Waltersmoke de t'attaquer à la discographie de CHRISTOPHE, un grand représentant de la chanson française. Je ne note pas cet album que je ne connais que trop peu à dire vrai, mais j'attends avec impatience les chroniques de ces moutures les plus connues. Et en attendant, je vais me réécouter la terrible reprise des "Mots bleus" par feu Bashung.





DIRE STRAITS
LOVE OVER GOLD


Le 10 Juillet 2016 par KID66


Je ne suis pas fana de DIRE STRAITS, mais force est de reconnaitre que "Telegraph Road" est un très grand morceau de rock. Je ne vois rien à jeter sur ces 14 minutes, que ce soient les passages chantés, les superbes transitions au piano, les quelques breaks ambiancés et bien sûr le final instrumental. Un must, assurément !

La suite ne me parait pas au niveau. A vrai dire, bien que de qualité, elle m'ennuie quelque peu. "Industrial Disease" est même sacrément linéaire (malgré sa section rythmique efficace), comme le sera "Money For Nothing". Les trois autres sont jolies, subtiles, à l'atmosphère agréable, mais également lisses, trop sages, presque plates. Du rock à la papa quoi, inspiré en l'occurrence, mais peu frissonnant. La recette sera réutilisée à outrance sur Brother In Arms. J'admets que même si je n'aime pas son spoken word, "Private Investigations" est quand même vraiment pas mal.

Un bon disque, à connaître.







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