Le 17 Avril 2015 par NY JETS

Album découvert en 1991, une éternité après sa sortie... Quelle gifle! Bon, quasi intégralement composé par David Paich... de vrais héritiers de Led Zep, des solos à tomber par terre, un Jeff Porcaro ultra puissant, etc, etc. Et dire qu'à l'époque ils n'étaient que des gamins...

Le 16 Avril 2015 par CéDRIC

Un live phénoménal qui marquera à jamais le hard rock.

Le 16 Avril 2015 par JEF DE LA LUNE

Mon avis rejoint celui de Red One. Je suis tombé par hasard sur ""La vie quoi !" sur une radio qui diffusait ce titre. "C'est quoi cette daube ? On dirait un ado amoureux défoncé au poppers qui chante sa dernière composition pour le Bac blanc de Français..." a été ma pensée en entendant ce truc qui fait passer Calogero pour l'héritier de Paul McCartney, Obispo pour un chanteur pop acceptable ou le aussi pénible Stromae pour le nouveau Mickael Jackson. Cali est vraiment le chanteur bobo SURESTIME par excellence. Poubelle.

Le 16 Avril 2015 par VIV

Personnellement, je préfère également ce "100th window" à "mezzanine".
Climat glacial, atmosphérique. Le coté "dark side" de mezzanine.

On se sent un peu hors du temps à l'écoute de cet opus, de préférence seul et tard. Dans le noir au casque, c'est parti pour un voyage en auto hypnose.

A ranger pas loin de ses cousins Kin A / Amnesiac de Radiohead dans votre discothèque.

Le 16 Avril 2015 par VIV

J'ai découvert massive attack assez tard ,en 2003 avec l'album "100th window", mais c'est bien ce "blue lines" qui reste mon préféré, pour son coté melting pot funky, hip hop et soul !
Même si ça peux sonner un peu "dark" sur certains titres, je trouve que cet album dégage de la chaleur et de l'optimisme.
Le groove qui en ressort est vraiment intemporel.

Effectivement la compilation "massive classics" donne une idée de la matière première utilisée pour quasiment tous les morceaux de "blue lines" et quelques uns de "protection".

"Et là c'est le drame" quand on tombe là dessus. Un électrochoc pour celui qui connait blue lines sur le bout des doigts.
Au point de se sentir trahi d'avoir tant écouté, adoré, et recommandé pendant des années ce génial album soit disant "créateur" du genre fourre tout qu'est le trip-hop.

Mais bon avec un brin de recul et de philosophie, c'est pas du vol mais le style qui veut ça. Le travail du DJ est bel est bien de construire ses morceaux sur des beats agrémentés de samples soignesement recherchés dans des bon vieux morceaux funk soul, jazz...
Massive attack n'a pas échappé à la règle ! Et leurs DJ on fait du très bon boulot.
Un must have des 90's.

Le 15 Avril 2015 par LONG JOHN SILVER

@Terry
The family way nest pas un disque solo de MCCartney, il est signé par le duo McCartney/Martin, ce qui fait d'Harrison le premier Beatle à s'être lancé en solo.
CQFD

merci pour ton commentaire.

@Waltersmoke

Je ne conchie pas LES synthés, si tu me relis bien, tu t'en rendras compte. En revanche je suis d'accord avec toi sur les travaux effectués par certains dont "Wendy" Carlos qui sont essentiels. Quant à Maxwell au marteau d'argent, personnellement j'adore, donc…mais bon.

Le 15 Avril 2015 par JUAN

Pour ma part, cet album reste d'une beauté étherée à chaque écoute. Il s'agit d'un véritable rafraichissement sonore dans une époque matraquée par le tout au "boom boom, splatch". Rien de tout celà ici, juste un parfum de simplicité, de beauté et quand on écoute de plus près, truffé de détails aussi important les uns que les autres et tout compte fait, pas si simple qu'il n'y parait. L'écoute au casque est indispensable!

Le 15 Avril 2015 par LIQUOR

Un excellent nouvel album de celui qui ne cesse de nous surprendre et de nous séduire à chaque nouvel album de par sa voix bouleversante, ses mélodies splendides et ses textes exceptionnels.

Le 15 Avril 2015 par TERRY

Quand je pense que j’ai claqué un peu plus de 20 E il y à trois/quatre ans pour cette [mot trop vulgaire pour être reproduit ici], ça me tranche les valseuses et me les coupe en petits dés et me les fait revenir à la poêle avec un peu d’huile d’olive et des oignons rouges (servir avec un petit bourgogne à température). Heureusement, il n’est pas le plus facile à trouver des albums d’Harri, c’est déjà ça…

La seule chose de positive à dire, c’est que ce disque inécoutable à jeun aussi bien qu’après deux Yop framboise et un litre de bière italienne permet de prouver que non, Harrison n’a pas démarré sa carrière en fanfare avec « All Things Must Pass » en 70. Un an plus tôt, il se perdait dans la brume de ce…truc. Et encore un an plus tôt, il commençait sa carrière solo avec un « Wonderwall Music » meilleur (ce qui n’est vraiment pas difficile), mais pas glorieux quand même.

Mais ça, ça, oh ; ça… cet album est affligeant. Et encore, j’ai l’impression d’être gentil en disant ça.

Seule et unique raison d’être de ce disque : apporter la preuve que non, Harrison n’a pas commencé sa carrière avec « All Things Must Pass ». Il l’a démarrée deux ans plus tôt (mais ne fut pas pour autant le premier Bitteuls à se lancer en solo : Macca le fit en 1965 ou 66 avec « The Family Way », bande-originale d’un film anglais du même nom) avec « Wonderwall Music » et encore un an après avec ce disque définitivement inécoutable, aussi bien à jeun qu’après deux pintes de bière et un Yop framboise. Disque hideux, raté, foiré, tout ce que vous voulez… Seule consolation : il n’est pas facile à dénicher, et le plus souvent, à un prix assez rébarbatif (comme souvent avec les albums des Beatles, ou de leurs carrières solo). Ce qui ne m’avait pas empêché de claquer une vingtaine d’E pour l’acheter il y à deux ans. Oh, comme je le regrette…

On a en effet souvent tendance à parler de "All Things Must Pass" (ce mythique chef d'oeuvre) comme du premier album solo d'Harrison, ce qui est faux. Quand je lis ou entends ça, je fonce rectifier la bourde et je clame 'non, c'était son troisième, avant, il a fait deux albums instrumentaux franchement minables, mais ils ont le mérite d'exister, (enfin, le mérite...), et même mieux : ils ont été faits pendant que les Bitteul'z existaient encore, et, donc, quelque part, Harrison fut le premier Beatles à se lancer (pas trop loin, car ça peut faire mal) en solo'. Oui, je sais, je ne clame pas forcément ça tout du long, mais c'est l'idée générale. Et puis, en fait, le premier Beatles à se lancer en solo, ce fut Macca vers 1965 avec la bande-originale d'un film du nom de "The Family Way" (album du même titre)...

Pour en revenir à ce deuxième Harrisolo, c'est épouvantable. Inécoutable, même après trois pintes de bières et un Yop framboise. On se rassure en se disant que le CD est souvent vendu assez cher, ce qui dissuade de se l'acheter (encore faut-il le trouver, déjà... ça aussi, ça dissuade ! savoir qu'un tel disque peut coûter 22 € et qu'il n'est disponible que sous un délai de 2/3 semaines de livraison, selon les sites, ça laisse le temps de réfléchir à sa connerie si on l'a commandé ; je parle d'expérience)...

Le 15 Avril 2015 par WALTER SMOKE

J'ai écouté quelques extraits de cet album, et on est d'accord, il a l'air d'être terriblement nul.

Ceci étant, je me permets d'apporter une précision concernant l'état de la musique électronique. Beaucoup seront d'accord pour dire que 1974 est une année décisive dans l'histoire moderne du genre, mais il ne faut pas oublier 1969 non plus, année qui a vu naitre quelques albums autrement plus importants. Je pense bien sûr à Music to Moog By de Gershon Kingsley, qui avance déjà très loin dans l'utilisation du Moog, plus encore que Harrison ou même les Beatles (qu'on ne me parle pas du ridicule "Maxwell's Silver Hammer" ou bien je pète un câble !). Et aussi, comment faire l'impasse sur Wendy Carlos (alors encore Walter) qui a, un an plus tôt, impressionné bien des chants avec ses adaptations au synthé de Bach. Et s'il ne s'agit pas là de Moog, n'oublions pas les Silver Apples, dont les oeuvres sont remarquables - même si elles ont vieilli, certes - ni White Noise et son remarquable An Electric Storm.
En gros, quand Harrison débarque, il a déjà un train, voire deux, de retard, et signe une oeuvre anecdotique, inutile.

Concernant la pique sur les synthés, je ne m'étendrai pas dessus. Je me contenterai de dire que ceux qui les conchient feraient mieux d'arrêter de faire preuve de mauvaise foi.

Le 15 Avril 2015 par RED ONE

"La vie quoi !", voilà probablement l'une des PIRES choses qu'il m'ait été donné d'entendre en 2015. Je n'ai pas écouté le reste de l'album, je m'abstiendrai donc de le noter, néanmoins je fais partie de ceux chez qui la musique de CALI provoque un véritable "rejet vivace" (terme parfaitement adapté).

Quelle scie... Beuuuark.

Le 14 Avril 2015 par TERRY

Un des sommets du groupe avec "Empires And Dance" et "New Gold Dream ('81/'82/'83/'84)", mais autant le premier est arty et le second, purement new-wave, celui-ci est pop/rock. Tous trois sont aussi réussis (je préfère le premier cité quand même, dans l'absolu, s'il ne fallait en garder qu'un), et celui-ci est épique. Des morceaux parfois déchirants (le piano final du morceau-titre, après l'ultime envolée de Jim Kerr...), le plus souvent calmes, mélancoliques, inquiets...
Un "Mandela Day" inoubliable, un "Belfast Child" qui l'est tout autant, une très belle reprise de"Biko" (Peter Gabriel), un "This is your land" avec une participation rapide et sympa de Lou Reed (et un final dantesque), un "Soul crying out" qui me fera toujours frissonner (le morceau-titre aussi)... Seul "Kick it in", à la rigueur (mais vraiment à la rigueur, car je chipote en disant ça), me plaît moyennement, par rapport au reste de ces 60 minutes sublimes, un des meilleurs albums de son année (1989), de la décennie 80 aussi, et, donc, du groupe.
A noter que "When Spirits Rise" n'est pas sur le vinyle original.

Le 14 Avril 2015 par TERRY

Un album vraiment excellent, "Old Man of the Sea", "Morpheus", "White Pass" sont grandioses. Un de mes albums préférés de l'année, pour le moment !

Le 12 Avril 2015 par DYNA007

Voici quelques morceaux excellents :

"Andmoreagain", "Dirty old man", "the good humor man ... " exceptée sa fin choquante, très "easy listening"
La seconde partie de "You Set the scene ", très année 1967
"Alone Again Or" et "Maybe the people ...", latino

Un morceau moyen :

"Live and let live", "The house is not a motel", a cause de sa fin agressive.

Le plus surprenant :

"Bummer in the summer", country folk

Le 12 Avril 2015 par DYNA007

Super album à écouter du début jusqu'à la fin.
A entendre très souvent : Changes, et son riff très rock 'n roll.

Le 12 Avril 2015 par BABAR LE LOUBARD

Ahhh, que de bons souvenir avec cette album! Une Claque lorsque je l'ai découvert il y a 10 ans.

Maintenant, avec le recul, je me rend bien compte de ses limites (balades parfois sirupeuse, quelques longueurs...) mais globalement ce disque reste très bon et a bien résisté à l'épreuve du temps, surtout comparé à certains skeuds du groupe datant des années 80.

La jaquette est elle aussi magnifiques et j'ai trouvé géniale l'idée de présenter le livret comme un roman où les lyrics de chaque chanson représente un chapitre distincts.


RIP Mike Porcaro qui était un excellent musicien et qui semblait être aussi un homme humble.

Le 12 Avril 2015 par TERRY

L'album de la consécration pour Lavilliers (bah oui, sa première Victoire de la Musique), même si ça fait longtemps que, pour les fans, la consécration est arrivée ("O Gringo" ou "Pouvoirs"). Un excellent album !

Le 11 Avril 2015 par ESKAPEESKAPE

Et bien voilà, j'aime beaucoup Michael Jackson et cet album prouve l'attachement du King of pop au rock.
Ce qu'il fera encore par la suite avec l'introduction de guitares bien grasses ça et là dans ses albums.
L'album est bien produit et les seuls morceaux qui ne passent pas pour moi sont Wanna be startin', trop répétitif et le duo Girl is mine de Sir Mc Cartney pas crédible et titre pénible comme le sera Ebony et Ivory pour Steevy Wonder.
Say Say Say aura été un meilleur choix pour cet album.
Thriller, Billy Jean et Beat It sont des bombes et "Baby Be Mine", "Human Nature" et "P.Y.T." des expérimentations osées et efficaces.

Le 11 Avril 2015 par LONG JOHN SILVER

Un disque à découvrir absolument, mon vieux vinyle craque un peu (un gros peu) mais qu'à cela ne tienne. Pour les amateurs de prog/folk/psyché, la première incarnation d'un groupe dont il ne restera plus un seul membre original moins de deux ans plus tard.

Le 10 Avril 2015 par YANN 77

Très, très bon premier album, celui que je préfère en tout cas, tout ce qu'ils présenterons ensuite (ce n'est que mon avis personnel bien sûr) est un cran en dessous à mon goût (mais d'excellente qualité tout de même).