Le 03 Avril 2015 par TERRY

Aussi, en effet !
;)

Le 03 Avril 2015 par EL PACHENKA

Deux titres sublimes : "Les Iles Aux Soleil" et "Comme Un Ange (Qui Pleure)". Pour les avoir vu jouer ces chansons en concert, c'était l'émotion garantie. J'aime le délire de "La Pluie Qui Tombe" avec ce passage d'une guitare tordue et hilare comme si elle était sous antidépresseur. En dehors de ça, on peut, oui, ajouter que Simple Et Tendre fait partie d'un des meilleurs albums des Wampas, moins délirant et plus 'sérieux' ou plus mature sans doute dans la forme. Mais l'émotion est là.

Le 03 Avril 2015 par MARCO STIVELL

J'ai volontairement laissé La Septième Vague et Recollection de côté, mais dans l'absolu, c'est vrai. Un peu comme le dernier en date en compagnie de SOUCHON. :)

Le 03 Avril 2015 par TERRY

Ce n'est pas le délai le plus court entre deux albums de Vouvoulz' : "La Septième Vague" date de 2006, "Recollection 77" de 2008, "Lys & Love", de 2011. Après, OK, les deux premiers albums que je cite n'ont pas du nécessiter autant de boulot que "Lys & Love", qui, lui, vient 10ans après "Avril", mais quand même, lol !

Remarquable album, sinon, pas mon préféré, mais il s'apprécie de plus en plus à chaque écoute. Deux-trois chansons un peu anodines quand même.

Le 02 Avril 2015 par METALINGUS

Un son au poil, une prestation correct d'un groupe mythique. Les incontournables sont là ainsi que quelques surprises.

Le 02 Avril 2015 par TERRY

Note réelle, 3,5/5. Avec le recul, j'aime beaucoup, voire énormément, "Deep in the motherlode" (avant, c'était pas le cas du tout), l'écoute des versions live (en bootlegs de 1978 et 1980) me l'ayant fait vraiment adorer, et j'adore "Undertow", "Many too many" et "Snowbound". "Followyou follow me" est belle aussi.
Le reste ne me plaît pas trop, voire pas du tout ("Say it's alright, Joe", "Scenes..."), et l'album est moyen, et surtout trop long (53 minutes).

Le 02 Avril 2015 par TERRY

Rarement Phil Collins aura aussi bien chanté que sur cet album...

Le 02 Avril 2015 par TERRY

Un des meilleurs albums de Bashung, un des plus sombres aussi, limite torturé, pas autant que "Play Blessures", mais pas loin. Ambiances glaciales, synthétiques, ce disque fleure bon la cold-wave et l'indus, et participations remarquées de Blixa Bargeld (Nick Cave & The Bad Seeds, Eisturzende Neubauten, pardon pour l'orthographe hésitant, c'est écrit de mémoire), Colin Newman (Wire), Jean-Marie Aerts (de TC Matic), Dave Ball (Soft Cell) et Phil Manzanera (Roxy Music).
Ici, il y à juste "Intrépide malgré la fièvre" qui me lasse un peu, et "Outrages" qui ne sert pas à grand chose (30 secondes d'instrumental), le reste est immense.
Un bide commercial retentissant à sa sortie, un album culte assez rapidement après...

J'ajoute que pour moi, "Etrange Eté" possède une des plus belles intros de l'histoire de la chanson française, voilà, c'est dit ! Et "By Proxy" et "Alcaline" (entre autres un hommage discret au "Aline" de Christophe, qui reprendra la chanson sur l'album "Tels" en hommage à Bashung, lequel avait repris "Les Mots Bleus" en 1992) me filent le frisson à chaque fois...

Le 02 Avril 2015 par PARASITE MIND

Placebo ça a jamais été ma tasse de thé, à part quelques titres ici et là... Alors même si la personnalité de Molko m'a toujours plus ou moins intrigué, j'attendais rien de l'album, j'en ignorais même jusqu'à son existence avant l'écoute il y a quelques semaines dans un Bar. C'est dire...

Oui mais voilà, c'est quand on attend rien justement qu'on se fait surprendre...

Pas vraiment très Rock, PLACEBO prends le temps... La plupart des titres insufflent à l'album de véritables émotions et ça fait mouche. "Exit Wounds" pour ne citer que lui, représentant parfaitement cela.

Alors peut-être qu'un fan de Placebo aura l'impression d'entendre de la soupe, voulant son "The bitter end", je sais pas...

Ca fait bien longtemps qu'un disque non métal ne m'avais pas autant accroché, la dernière fois c'était certainement ANATHEMA.
Je retourne rêver sur "Exit Wounds" et "Begin the end".

Le 01 Avril 2015 par FATJESUSONABIKE

Ce "collectif" ne fait aujourd'hui plus rien de bon. Passé l'enthousiasme suscité par leurs premières sorties ("Nuits fauves" et "Sainte anne" notamment), l'amateur de chansons à textes que je suis a vite eu du mal à trouver quoi que ce soit d'intérêt dans les titres de Fauve. Les instrus cycliques sont super chiantes et les paroles s'épuisent en clichés. C'est en fait tellement nul que les types finissent par vulgariser et ridiculiser le mal-être des jeunes paumés au lieu d'y donner plus de consistance. Une bien triste affaire.

Le 31 Mars 2015 par NONO

Pour faire suite à ma chronique du 6 mars, j'ajouterais que le titre "Christine" me fait penser, de loin, à une autre chanson qui m'a beaucoup ému à l'époque: "Love thy will be done" de Martika. C'était au début des années 90.
Quels points communs entre ces deux chansons?
Premièrement: un arrangement très sobre, minimaliste, mais redoutablement efficace: des nappes de synthés qui ponctuent la chanson çà-et-là, de manière juste suffisante pour créer une véritable atmosphère, sans en faire trop.
Deuxièmemement: une chanson qui monte en puissance: très éthérée et simple au début et devenant progressivement plus orchestrée.
Trosièmement: une mélodie originale et magnifique.
Quatrièmement: l'utilisation de la voix comme d'un instrument à part entière, finalement. Ici, on ne comprend pas forcément toutes les paroles, mais c'est la toute la magie: la voix se mêle à l'accompagnement et devient presque instrumentale en elle-même.
Arriver à créer une telle ambiance captivante tout en restant aussi minimaliste, là je dis: chapeau.

Le 31 Mars 2015 par MR TINKERTRAIN

Probablement le groupe électro français le plus créatif, le plus talentueux, le plus ouvert à tous les styles, le plus à voir sur scène aussi. Et le plus immersif, à condition de se laisser porter et d'avoir une hifi (et des basses !!!) à la hauteur, ou un bon casque. Le genre d'albums dont on découvre des parcelles magiques à chaque écoute. Moins Rock que Battlefields (le précédent) mais tout aussi génial... A découvrir, à soutenir.

Le 31 Mars 2015 par LEO

@ AIGLE BLANC

L'album Green Desert n'a pas seulement été remixé en 1984 mais Edgar Froese a aussi et surtout ajouté ou réenregistré des parties de synthés qui ne figuraient pas sur les pistes d'origine en 1973. D'où un compromis plutôt bâtard à l'arrivée, puisque se côtoient des sons vintages des 70's et d'autres bien plus contemporains de ce milieu des années 80 et c'est bien là l'un des problèmes de cet album ! (Pas si mauvais que ça pour ma part malgré son aspect inachevé, car j'en apprécie son p'tit côté psychédélique pinkfloydien).
J'aurais aimé entendre les pistes originales non retouchées pour avoir une idée plus précise de cet album de transition, mais il se peut que les enregistrements initiaux n'étaient pas exploitables en l'état car peut-être pas assez avancés... ou bien encore, comme l'a fait remarquer justement ARP2600 dans sa chronique, Edgar Froese a t-il exploité ici le même filon révisionniste que pour ses albums solo des années 70 qu'il remixait et réenregistrait partiellement !

Le 30 Mars 2015 par DARK SCHNEIDER

Hard Rock en charentaises, j'adore l'expression, vraiment bien trouvée ! Perso je rajoute le rocking chair, la petite laine, et la tasse de tisane.

Et oui, UFO c'est vraiment devenu du Hard Rock à papy (et non pas à papa), et franchement, moi là je passe mon tour. Tout cela est bien trop mou, et ne propose rien de franchement folichon. Alors parfois, Vinnie Moore nous balance un petit solo virtuose bien senti, mais cela ne suffit pas, il nous rappelle juste à quel point il gâche son talent. Et puis honnêtement, UFO, ça doit bien faire pratiquement 30 ans qu'ils n'ont rien sortis de véritablement marquant. Dans les albums de l'ère Moore, je retiens quand même The Monkey Puzzle, qui reste du domaine du sympa.

Le 29 Mars 2015 par SGTJAKKU

KOBAÏA est un excellent premier album et offre un rock progressif/jazz rock résolument moderne pour l'époque. Difficile de passer à côté même si le style symphonique et incantatoire de Magma n'est pas encore trouvé (le jusqu'au boutisme, le délire et l'exaltation, OUI!). Peu de déchets pour un double album, remarquable !

Le 29 Mars 2015 par TERRY

"Aux enfants de la chance" est une chanson remarquable, la reprise de "Mon légionnaire", je l'adore, et j'avoue un petit faible pour "Dispatch box" (la mélodie). Le reste ? Dans la cuvette, et on tire la chasse d'eau plusieurs fois pour que ça parte bien, tant pis pour les écolos...
Le pire de Serge.

Le 26 Mars 2015 par NY JETS

Album feutré...loin de Kingdom of desire. Mais quelle classe! Chaque note jouée est parfaite. C'est globalement tranquille, mais imaginez tout cela joué en intégralité dans un club, avec de belles nanas...Trop cool.

Le 26 Mars 2015 par SALOMON

Un dégoutant personnage qui fait du caca-prout (pets et beauferies au rendez-vous), comme un bébé qui s'amuse avec le produit de sa défécation.
N'oublions pas le communautarisme religieux à base de "c'est qui qui a la plus grosse"... intelligent, non ? Surtout avec des paroles aussi pauvres, des arrangements aussi clichesques...
Dire que c'est le même dégoûtant qui traitera C. Ringer de p... quelques temps plus tard... tiens, il ne la cite pas dans sa chanson, Catherine... Pas assez bien pour toi, Serge, la fille de Samy ? Et Marie-Madeleine, tu connais ?
Le début du naufrage de Gainsbarre, ou le drame de l'alcoolisme.
1/5 (pour les musicos).

Le 26 Mars 2015 par VICKERS GUN

Pas terrible. Rien à faire les tensions entre les membres d'un groupe lors de la production d'un album ça se sent à chaque fois, et ça gâche tout un album.
Le style ici est déjà loin de Regetta de Blanc, c'est pour moi le véritable premier album de Sting en solo. D'ailleurs le syndrome des albums créé sous tensions entre musiciens se fait souvent sentir par la totale dominance d'une personne (cf Peter Gabriel dans l'album The Lamb qui comme par hasard est parti du groupe en courant juste après).
Bref cet album est bien mais pour moi c'est pas un album de Police, c'est Sting le super musicien mult-instrumentiste génie, tout ce qu'on veut, en pleine crise d'auto suffisance (et ça ne fait que commencer !) qui claquent les deux autres musiciens au 3ème plan. Rien à faire cet album pue à plein nez la mort iminente du groupe.
Cet album est la suite logique du precedent, càd qu'on est toujours dans le tournant pop rock du groupe, mais tout aussi mauvais que Ghost In The Machine.
"Every Breath You Take" suinte la nostalgie, "Wrapped Around Your Finger" idem en 10 fois pire, "Mother" est un peu beaucoup déjanté (trop pour être appréciable), Synchronicity sonne comme un Police sans âme, bref, oubliable.

Le 26 Mars 2015 par LEWIS GUN

Remarquant toutes les éloges que tout le monde fait sur Falling In Between j'ai eu l'idée de me mettre à l'écouter aussi. Tout est bien, mouais, c'est du Toto qui reste fidèle à lui même, rien à redire là dessus, sauf qu'il y a un truc qui m'emmerde plus que tout c'est la compression. Qu'on écoute une chanson une fois de temps en temps, on s'en fout mais un album entier à ce niveau là de compression dynamique, moi je pourrai pas à moins de peter les plombs à la fin et lancer le disque par la fenetre ... C'est dommage.

Mais à part ça il est bien meilleur que la plupart des albums suivant la mort de Jeff Porcaro (d'ailleurs RIP Steve Porcaro)