Le 03 Juin 2014 par SNAKEPIT

Ah, ben ça me rassure de constater que d'autres personnes pensent la même chose que moi de Yannick NOAH. Qu'est-ce que je déteste son côté moralisateur et donneur de leçons dont semble si bien se complaire la gauche caviar de notre pays ! En ce qui concerne ce disque, il apporte la confirmation qu'un ancien joueur de tennis ne peut pas être métamorphosé en chanteur compétent (tiens, pendant qu'on y est, à quand les footballeurs Ribery et Anelka se reconvertissant dans la chanson ? Après tout, en France, le ridicule ne semble pas avoir de frontières...). En plus de chanter comme une patate, Yannick NOAH n'oublie pas de se montrer détestable en faisant étalage de son côté démago de supermarché et donneur de leçons. Et dernièrement, voilà qu'il s'est mis à faire une chanson sur le FN ayant eu pour effet de rendre ce parti plus sympathique (du moins, auprès d'une partie de la population française). Avec ça, Yannick NOAH passe pour l'idiot utile du système et l'on en viendrait presque à regretter "Saga Africa", son premier tube qui était franchement naze mais sur lequel, au moins, il ne se prenait pas au sérieux.

Sinon, en tant qu'ancien joueur de tennis, Yannick NOAH restera à jamais le joueur d'un seul tournoi du Grand Chelem (son fameux Rolland Garros 1983). Malgré tout, ça ne l'empêche pas de péter plus haut que son cul, de donner son avis sur tout même quand on ne lui demande rien. Quel contraste saisissant avec le Suisse Federer et l'Espagnol Nadal, qui comptent respectivement à ce jour 17 et 13 tournois du Grand Chelem, mais sont malgré tout restés humbles et classes. En résumé, NOAH est un chanteur extrêmement mauvais, un démago de pacotille et un ancien joueur de tennis convenable, mais pas exceptionnel et, de surcroit, parfois capable de performances catastrophiques (Cf. sa piteuse élimination au 1er tour contre le modeste Brésilien Mattar à Rolland Garros en 1989, entre autres). Et sans son Rolland Garros victorieux en 1983, je suis persuadé que les médias ne lui auraient jamais déroulé le tapis rouge sitôt sa carrière terminée et que le grand public l'aurait oublié.

Le 02 Juin 2014 par TONIO

Du "métal en fusion", le terme de Red One est juste parfait pour qualifier ce disque. Les arrangements de guitares sont superbes, la batterie véloce et pleine de subtilité et c'est réellement le premier album sur lequel Halford se lâche à 100 %, même si Sin After Sin est lui aussi excellent. Il est nettement supérieur, je trouve, au disque suivant qui m'apparait comme moins fouillé, moins riche.

Et puis ce morceau, "Beyond The Realms Of Death", un monument de sensibilité et de puissance électrique. Un très grand morceau du Hard Rock et un des meilleurs titres de Judas.

2 ou 3 titres se montrent un peu en deçà du niveau général et développe un esprit un peu trop rock n'roll, un peu plus léger, ce qui fait parfois baisser l'intensité du disque. Dommage, le sans faute n'était pas loin...

Le 02 Juin 2014 par TOTO à LA WWII

Oui, enfin début des années 2000, moi Kyo je l'ai découvert en 2003 avec "La Derniere Danse", avant ça passait jamais à la radio et personne connaissait.
Pour moi c'est du "boutonneux-rock", détestant de a à z ce groupe, je m'étais dit aussi lors de l'annonce de leur retour qu'ils allaient peut être casser leur image de "rockeurs pour ados en crise", et montrer qu'ils étaient 10 ans plus agés, mais là non, il tournent comme Patrick Bruel, qui lui, à passé la cinquantaine fait encore des chansons d'ados pour ados.
Quand je pense qu'à une époque les groupes se devaient de sortir un album par an au moins et revoir leur style album par album, maintenant les groupes qui ont commencé 20 ans plus tôt, peuvent tout à fait garder le même style de con, avec le même public de débiles, et chanter les même rengaines, tout en s'en mettant plein les poches à coup de marketing.
Bref pour moi Kyo est un clou de plus dans le cercueil... et un bon (même si depuis 2004 on a eu le temps de goûter à bien pire encore...)

Le 02 Juin 2014 par B.

je comprend pas... commercial? allons donc. ce n'est tout de même pas ratt ou motley, ni, d'ailleurs, nirvana. je le trouve malsain, cet album. et hellraiser est un morceaux de lemmy, il n'est donc pas qu’interprète. perso, je trouve que si il y avait procès a faire sur la qualité d'un album de motorhead, ce serait sur r'n'r. et pour le coté "je cherche a faire de la thune", plutôt du coté de 1916... tres typé l.a., lui!

Le 01 Juin 2014 par BABAR LE LOUBARD

Un excellent disque qui se déguste comme un bon polar.

J'y reviens fréquemment sans m'en lasser, et ce depuis plus d'un an: Chaque nouvelle écoute apporte son lot de surprises tant il y a des détails auxquels on ne fait pas forcément attention la première fois (ni la deuxième, ni la troisième...). Aussi, comme tout bon concept album, l'histoire peut être interprétée à chaque fois d'une manière différente ce qui le rend d'autant plus intéressant.

Bref tout a déjà été dit dans la chronique, les kros-express, et les 3 commentaires précédent (seulement?!) mais j'en rajoute une cuillerée: Essayez de vous l'écouter au moins une fois, au casque, seul et d'une traite!

Par contre évitez comme le diable le film...

Le 01 Juin 2014 par FRANCK

Un des premiers grands albums de Chris rea. Paradoxalement je considère que le titre archi connu est le plus faible. " stainsby girls ", " steel river ", "all sumemr long " en fait les 9 autres sont extraordinaires.

Le 01 Juin 2014 par FRANCK

Le tout premier CD que j'ai acheté tout artiste confondu ; et depuis je suis resté fan absolu de maître REA. C'est dire la qualité de cet album d'une richesse absolue. La version CD contient 14 titres avec 2 grands instrumentaux pour le terminer. Pour qui veut explorer toute la richesse et la variété chez Chris REA il y en a pour tous les goûts dans ce disque. A posséder ABSOLUMENT.

Le 01 Juin 2014 par FRANCK

L'album du jackpot plus que mérité. Que des chefs-d'œuvre. C'est un avis personnel mais ce type est pour moi le plus grand et sa période blues le prouve c'est un maitre absolu.

Le 01 Juin 2014 par FRANCK

Je résumerais en une phrase. Pour moi le meilleur un album fabuleux indispensable et un tout meilleurs albums que je possède dans mon imposante Cédéthèque. Mériterait même 6 étoiles sur 5.

Le 01 Juin 2014 par FRANCK

Le digne successeur des deux monstres précédents. Un premier morceau à tomber, un dernier à ne pas se relever et dont pour l'anecdote j'ai fait ma sonnerie de portable. Et entre les 2 hormis le titre éponyme trop basique et répétitif rien à redire que du très très haut. Un must et 4 étoiles assurément.

Le 01 Juin 2014 par FRANCK

Tout à fait d'accord avec la chronique bien que n'étant toujours pas une ménagère de 50 printemps. J'aime tous les morceaux y compris les morceaux jazzy qui à la base sont loin d’être ma tasse de thé. Et c'est pour cela que j'admire à ce point chris REA ; parce qu'il arrive à me faire apprécier par ses multiples styles des courants musicaux que je n'apprécie pas.

Le 01 Juin 2014 par FRANCK

Une pochette superbe et un des grands albums de Chris après sa période "dorée ". Il n'y a aucune fausse note ou presque et des titres parmi ses tout meilleurs. " Square peg round hole " et ce riff plus musclé ou " as long as i have your love " qui me hérisse les poils. Je ne vois que 2 titres faibles c'est " Miss your kiss" et " stick by you ".

Le 01 Juin 2014 par FRANCK

Un album de chris REA ne peut être tout à fait mauvais et contient toujours quelques perles. Ce disque est celui que j'aime le moins de toute son œuvre ô combien magnifique. Ça sonne trop techno trop moderne trop artificiel et pas assez Rea et c'est un défaut majeur.

Le 01 Juin 2014 par FRANCK

Ce n'est pas mon album favori en tant que fan invétéré. Ayant acheté l'album le jour de sa sortie je reconnais avoir mis un peu de temps à l'apprécier vraiment dans sa globalité. Les titres sur lesquels j'ai immédiatement accroché restent mes préférés aujourd'hui ; je veux parler du titre éponyme , de " all summer long " , "sail away" , "the bones of angels " , " guitar street " et " god gave me angel ". Le reste est pour moi un peu en dessous mais mérite largement un 3 étoiles.

Le 01 Juin 2014 par TOTO à LA WWII

Encore un de ces albums dont les fan vomissent dessus et les moins/pas fan en disent que du bien.
Perso je suis les deux, je suis fan du groupe mais j'aime bien By The Way, surtout parce que c'est l'album que j'ai connu en premier du groupe (même si je connaissait déjà quelque chansons passant à la radio) j'ai connu les rhcp en 2002 à la sortie de cet album et même si il est plus mon préféré depuis longtemps, j'ai toujours un faible pour cet album.
Evidement quand j'ai découvert le reste de sa discographie, la période la plus adulée par les fan, BSSM, puis le retour au calme des années fin 90 avec le pré-BTW, Californication, et leur bétises de jeunesse dans les années 80, ma vision du groupe rock-fm assez talentueux a changé.
Non ce qui m'a le plus déplu de ce groupe c'est le dernier album très baclé.

Le 31 Mai 2014 par RAMON

Line Up:
Peter Green (gtr,v),Danny Kirwan (gtr,v), John McVie (b), Mick Fleetwood (d),Jeremy Spencer(piano), Christine (future) McVie(piano), Big Walter Horton (harmonica)

Track List:Un casse tête mais bon…

Coming your way
Closing my eyes
Fighting for Madge
When you say
Show-Biz blues
Underway
( One sunny day )
( Oh Well )
Although the sun is shining
Rattlesnake shake
( Without you )
Searching for Madge
My Dream
Like crying
Before the beginning

Les titres entre parenthèses figurant sur certaines éditions ou rééditions du LP (vinyle) selon le pays où il a été distribué.
Depuis il y eu les rééditions CD avec d'autres titres (Green Manalishi entre autres).
Jérémy Spencer n'étant crédité que sur "Oh Well" part II.

La fin du Mac ?
La période de transition après la déchéance de Green, n'étant pas à jeter aux orties (La suite Kiln house, Future games, Bare Trees n'est pas mal du tout), nous parlerons plutôt de la fin d'un Mac, déjà.
Marco Stivell n'a pas tort en évoquant un virage mélodique, lequel virage est en bonne partie négocié par Danny Kirwan, l'homme sur lequel reposera la lourde charge d'assurer la place de lead guitariste du groupe alors que Green démissionnaire se sera grillé les neurones et que Spencer ira s'enfermer dans une secte.
Kirwan se grillera lui aussi.
Bien avant le (Big) Mac cocaïné des tubes pops mais là, en dépit des qualités qu'on peut lui trouver ( Go your own way quoi ) on n'a clairement plus affaire au même groupe.

Cet album est un monument de blues/rock/psychédélique teinté de pop (When you say, Although the sun is shining), avec ses jams monumentales ( les deux Madge), ses moments où on plane là haut, très très haut (Underway, My dream), son classic/rock au riff assassin (Rattlesnake Shake prétexte aux impros héroïques sur scène), ses blues ruraux (Showbizz Blues, Like crying), ses titres écrits pour pleurer dans sa bière les soirs de spleen (Closing my eyes, before the beginning), son cachet vintage irrésistible (Comming your way).
Et puis il y a (ou pas) Oh Well Part I & II, morceau fleuve dont il se murmure que le riff aurait largement inspiré le Black Dog du dirigeable...

Les plages instrumentales sont donc assez nombreuses, ce qui conforte la sensation de voyage, sorte de road movie spirituel et puis le son (Martin Birch, un génie, à la console) est à tomber tant il colle à l'esprit de ce disque aux ambiances très variées mais tellement cohérent qu'il forme un ensemble jamais pris en défaut quelque soit la version que l'on écoute.
Pour toutes ces raisons, on peut aisément classer Then Play On parmi les chef-d'oeuvres incontournables du Rock, si ce n'est que celui-ci possède la particularité d'être un chef-d'oeuvre polymorphe.
Admirable.

Le 31 Mai 2014 par H.

Après Bastards et Sacrifice, Motörhead continue sur sa lancée et nous pond une nouvelle tuerie. Album ultra varié, moins lourd et plus rock que le précédent, Overnight Sensation est complétement indispensable. A part peut-être 1 ou 2 titres plus moyens (Broken, Listen to your Heart), il n'y a QUE des classiques.

Le 31 Mai 2014 par H.

L'un des albums de Motörhead qui m'a demandé le plus de temps pour rentrer dedans, mais ça en valait la peine. Passé les gros tubes immédiats d'ouverture et de fermeture, et en mettant éventuellement de côté le moyen Build For Speed, cet album est une usine à tuerie. L'énorme Mean Machine (qui n'aurait pas dénoté sur Ace of Spade), le furieux Ridin' with the Driver, cet album regorge de titres méconnus qui méritent d'être découverts.

La prestation de Pete Gill couplé au duo des nouveaux guitaristes apportent du sang frais nécessaires. Dommage que l'animal fatigué soit revenu si vite.

Bref, cet album sonne comme aurait du sonner Iron Fist. Album à découvrir pour sur !

Le 31 Mai 2014 par H.

Bon pour moduler un peu mon commentaire précédent, cet album n'est pas aussi mauvais que dans mes souvenirs, tout en restant dans le bas du panier de la disco du groupe. La face A est plutôt honnête, mais passé les 5 premiers titres, on tombe dans le vide intersidéral que je mentionnais dans mon commentaire précédent.

Mais même dans ces bons titres, c'est loin d'être ce que Motörhead a fait de mieux. Ma note reste la même, un album tout sauf indispensable.

Le 30 Mai 2014 par THIERRY

Découvert cet album que très récemment, j'étais parti avec pourtant de bonnes prédispositions, pensant qu'on avait dénigré cet album pour de mauvaises raisons.
Hélas, cet album est clairement ce que le groupe a sorti de plus décevant. Je les trouve même carrément à la ramasse et pour plusieurs raisons.

-Le son d'abord, typique des années 80, ce son synthétique qui met en avant la batterie et les horribles synthés du père Lord. Ce son F.M est des plus déplaisant et n'allait pas comparer cet album avec "slaves and masters", on est pas dans la même catégorie, le F.M de S&M était plus lyrique et inspiré alors que celui-ci est racoleur, répétitif, sans aucune profondeur.

-L'inspiration n'est pas au rendez-vous, Gillan ne fait que scander la plupart du temps le refrain et je trouve qu'il n'est pas au mieux de sa forme, pas vraiment de titres mémorables, de riffs et de soli à vous prosterner aux pieds du génial Blackmore (pas cette fois), peu de titres épiques à part "the spanish archer" que je ne trouve pas très bon et le plus intéressant dead or alive" qui relève un peu le niveau. Beaucoup de titres sur un tempo relativement rapide mais que je trouve facile et sans énergie.

-Jamais j'aurai imaginé deux titres aussi nuls de la part de DEEP PURPLE, ils sont sur cet album. Le premier "call of the wild" les BON JOVI et consorts auront fait beaucoup de mal, c'est du même niveau, c'est fait pour les radios U.S et ça vole pas haut, le second "Strangeways" Lord se fout de nous avec sa mélodie irritante au synthé à deux balles, comment peut-on avoir enregistré un titre pareil alors que Monsieur Lord a été capable d'enregistrer un concerto? Incompréhensible...

-Album avec 2 titres horribles, un bon paquet de titres convenus et sans magie, je sauverai tout de même de ce marasme "Bad attitude", "hard lovin'woman" et "dead or alive" qui auraient été encore meilleurs avec une prod digne de ce nom et sans les synthés bontempi.

Pour une douche froide, c'est une douche froide...