Le 24 Septembre 2022 par 1975

L’album studio que je préfère.
Effectivement il s’écoute comme un tout. ( qui a dit album concept? )
Les arrangements, les sons, rien n’a vieilli je trouve.
La qualité des textes n’a d’égale que les compositions.
Goldman est décidément un artiste intelligent qui après l’album de la maturité en solo (entre gris clair et gris foncé) a su prolonger sa carrière en s’entourant
de deux bons compagnons.
A noter que les rééditions vinyles de « rouge » et de «  chansons pour les pieds » sont magnifiques.

Le 24 Septembre 2022 par 1975

Meilleur live de la carrière de Goldman.
Les deux ambiances différentes à savourer suivant l’humeur.
La setlist.
J’ai quand même un problème avec l’articulation de Fredericks.
( j’ai bien conscience qu’elle parlait peut-être mieux français que moi l’anglais.)
Jones est le meilleur des trois au chant je trouve.
En tout cas ce concert n’ a pas pris une ride, c’est toujours un réel plaisir à écouter.

Le 24 Septembre 2022 par 1975

Émouvante chronique.
J’ai une préférence pour Goldman en concert pour ses arrangements musicaux, mais je trouve sa voix parfois fébrile.
Heureusement qu’il est très bien soutenu par le groupe.
Il a eu l’intelligence de s'arrêter à temps.
Ce live conclu une belle carrière.
Chapeau l’artiste.

Le 24 Septembre 2022 par BALDRICK

Un disque exceptionnel gravant dans le marbre un concert extraordinaire. Bienheureux sont ceux qui ont pu assister à ce moment de grâce. Cet album est magique... et pourtant frustrant : on n'a que le son... On ne peut pas reprocher à un vinyl de ne pas contenir d'images, mais qu'est-ce qu'on aimerait pouvoir admirer de nos yeux les prouesses du trio tout en les écoutant !!!

Le 23 Septembre 2022 par CSAMSA

Un excellent opus que ce 10è album de Mister Plant. Il mérite plusieurs écoutes avant de rentrer dans l'atmosphère, de profiter de la richesse des textures sonores, de l'inventivité dans les arrangements et d'une production très réussie. Rien de trivial ici, toujours une recherche aventureuse et pour ça, Plant et ses acolytes, vraiment chapeau. Un ou deux titres un peu moins passionnants ('Pocketful of golden' par exemple) mais voilà un album dense, dont on ne fait pas le tour en deux écoutes et dont j'apprécie le mélange foisonnant, entre un riff de guitare saturé ('Turn it up') presque rassurant parce que conventionnel, des contre-chants aux parfums celtique ou africain, des rythmiques combinant électro et folk. Contrairement à la critique, je trouve que Plant assume parfaitement son passé, en ne s'y accrochant pas, refusant toute nostalgie et restant éloigné d'un recyclage confortable. Qui d'autre suit un tel parcours ? Peter Gabriel peut-être.

Le 23 Septembre 2022 par LE MERLE MOQUEUR

Aux lecteurs et lectrices de mes comment taire...

"Adieux"... à diable l'orthographe fait déraison... "as"... quel malheur , je suis incorrigible... Il est vrai que mon clavier est allemand de là et d'ici ces fautes... de petites frappes qui feraient hausser les épaules de Bond.

Pour m'en remettre il me faut un "Quantum of Solace" avec la musique de David Arnold.

Le 23 Septembre 2022 par LE MERLE MOQUEUR

@ ERWIN

Pan sur le bec comme dirait un "gentil" petit canard. Oui tu as raison ERWIN, les Saintes Catherine, célibataires, vierges et martyr, laissons-les un instant de côté et rabattons-nous sur cette Caroline chérie.

Nous pourrons toujours revenir vers les SAINTE CATHERINES groupe canadien de punk rock qui fit ses adieux au public en 2012. Le nom du groupe vient d'une grande artère de Montréal, la rue Sainte Catherine.

Cette rue marchande porterait son nom en souvenir d'une belle Catherine Elisabeth, belle fille du gars qui était responsable du nom des rues en 1813. Si cette rue regorge de sex shops qui feraient rougir nos Saintes Catherine et non nos Sainte Catherines, elle est aussi un haut-lieu culturel ouvert à la musique. Cette trouée de plus de 11 kilomètres s'ouvre pratiquement à tous les goûts.

À quand une chronique sur les SAINTE CATHERINES ?

Le 23 Septembre 2022 par PIGO

J'ai longtemps considéré ANATO comme l'Album de référence de QUEEN, avec son originalité de ton, sa modernité en s'appuyant sur des bases patrimoniales (musiques issues des répertoires populaire, classique, jazzy...) et un travail studio de dingue cornaqué par un magicien du son, Roy Thomas Baker.
A force de fatiguer mes esgourdes avec mon groupe british favori, j'ai réalisé que Jazz était pour moi la meilleure œuvre que Fred, Brian, Roger et John aient créée. De l’enchaînement des morceaux à la texture musicale assumée, je n'ai jamais écouté Jazz en prenant une pause (sauf à l'époque vinyle où je flinguais "Dead on Time" à force de lâchage frénétique du bras de ma platine sur les sillons creusés!).
Je ne vais pas reprendre un par un les titres mais plutôt m'attarder sur un constat : le groupe a collaboré sur les 5 premiers albums avec RT Baker (RTB), a fait un break sur "News of the World" pour refaire équipe ensuite sur "Jazz". Je ne veux pas faire injure à Reinhold Mack et à sa méthode "Giorgio Moroder", mais RTB apporte une finesse, une touche subtile qui allège la partition et met en évidence le génie des 4 musicos sans que l'un écrase l'autre.
En cela, "Jazz" est l'Everest atteint par QUEEN...Baker assurant le rôle du Sherpa. Je ne retrouve pas dans la suite de leur discographie cet esprit d'une œuvre vous invitant dans son aventure. Seule, peut être, "Innuendo" s'en rapproche (hélas...).

Le 23 Septembre 2022 par BRADFLOYD

Totalement d’accord avec toi, disque à écouter, réécouter sans arrêt. Un des 10 albums que j’emporterais sur une île déserte… s’il y avait de l’électricité… ce qui est patadoxal pour un disque acoustique :-)

Le 23 Septembre 2022 par MS SANS COMIC

Eh oui cher collègue. La triste et dure réalité, les clichés éculés...
Mais il faut croire que j'aime toujours bien continuer de me dire que l'artistique comme la fiction peuvent proposer autre chose, parfois de simple et dans ce goût-là - quoique, où il y a du rock progressif, ce n'est jamais complètement simple -, tout en faisant du bien.
"Ma" Provence, je la vois toujours comme celle très fantasmée de Daudet ou de Pagnol. Et pourtant JUL est devenu le grand nom parmi tous.
Quant à la mièvrerie, ou romantisme/esprit fleur bleue comme je l'appelle de préférence, ça me correspond bien depuis l'enfance nourrie de Disney et j'y tiens toujours malgré tout (les années qui passent, le mépris des femmes modernes).

À bientôt donc, pour un éventuel prochain album mièvre et pas du tout réaliste sur la Bretagne. :)

Le 22 Septembre 2022 par JOVIAL

Rien à redire sur la musique, de qualité mais que je n'aime pas, mais j'ai trouvé le spectacle comme l'album d'une mièvrerie stupéfiante, un concentré de clichés féériques sur la Bretagne : les légendes, les phares, les menhirs, le beurre frais, les maisons de pierre ... C'est parfois très Disney en effet !

"La Bretagne est souvent citée comme équilibre entre modernité et conservation de la nature" ... C'est oublier les algues vertes, les pesticides, les porcheries géantes, un littoral de plus en plus urbanisé ... Bretagne, première région émettrice d'ammoniaque !

Absolument pas convaincu par ce genre de choses, c'est dommage au vu des artistes et de moyens engagés.

Le 22 Septembre 2022 par CéDRIC

Ce Firepower est vraiment excellent du début à la fin. Les membres de Judas Priest nous offrent un très bon album de heavy metal, le meilleur du groupe depuis Painkiller.

Le 20 Septembre 2022 par TOMMY_CALE

Je m'adresse à la rédaction : y'a t-il une possibilité de mettre la main sur l'edito de Ziggy évoqué dans son commentaire ? Ça ne nous rajeunit pas je sais lol

Merci !

	Par Forces Parallèles Bonjour, Malheureusement, non, ce n'est pas possible. Ziggy a quitté le site en 2008 et nous a demandé de supprimer tous ses écrits. Saskatchewan

Le 20 Septembre 2022 par LE KINGBEE

Bonjour Hervé,

Cette chronique marquait mes débuts chez F.P et je n'étais alors guère porté sur les notes. Je regrette aujourd'hui certaines notes attribuées à certains albums. S'il m'est arrivé de ne pas être assez sévère sur certains disques, j'admets avoir été quelque peu sévère avec le 1er BLACK PEARL qui mérite un 3. Quant au Live, le 5 ne serait pas galvaudé.

Mais comme vous le savez, certaines écoutes dépendent aussi de notre humeur du moment, l'une des raisons pour lesquelles l'exercice de la chronique reste subjectif.
Cordialement.

Le 20 Septembre 2022 par LE MERLE MOQUEUR

Mes BOND préférés :
Sean Connery et Pierce Brosnan

Mes GIRLS préférées :
Daniela Bianchi et Catherine Munro

Mes MÉCHANTS préférés :
Gerd Fröbe et Christoph Waltz


Mes MUSIQUES GÉNÉRIQUES préférées :

Paul Mc CARTNEY (Wings) avec "Live and Let Die" 1973
et avec ... John Barry l'incontournable " James Bond theme" 1962

p.s : Selon mes humeurs, mes préférences peuvent changer. Quant aux films, impossible de choisir lorsqu'on est un fan décervelé.

	Par Forces Parallèles Cher volatile, Une immense rectification pour la seule, l'unique Caroline - et non Catherine - MUNRO. Fabuleuse brunette pilote d'hélico... le plus beau clin d'oeil de l'histoire du cinéma. Certaines choses sont essentielles. Bien à toi Erwin

Le 20 Septembre 2022 par MARCO STIVELL

Merci à toi, cher Aigle Blanc à l'écriture précieuse et ajustée, avec ta sensibilité, de rendre si vibrant(s) hommage(s) à cette saga parmi les sagas, en offrant un joli survol musical et pas des moindres. Ces 'tubes', bien que marqués par leurs époques respectives, sont intemporels et méritaient d'être mentionnés ensemble - même au prix des titres secondaires - et à part, comme tu le dis !

Dommage que le show d'il y a dix ans (007 in Concert: Flemish Talent Sings James Bond) ne soit pas disponible en support physique. Il aurait fort bien accompagné cette compilation et cette chronique avec une pour lui.

Le 18 Septembre 2022 par TOMMY_CALE

Album encore de haute qualité du Dead qui s'affirme comme l'un des plus grands groupes de son époque.
Avec cet album concept autour du mysticisme d'orient, l'éclectisme, la musicalité et ses textes (des traductions présentes dans la pochette du LP en perse, hébreux et arabe quand même !) on aurait pu tenir là le meilleur skeud studio de la bande à Jerry, si la face B n'aurait pas été si aventureuse. Les deux derniers instrumentaux (j'aime beaucoup "Angel & Spirit" et la flûte de Steven Schuster) à l'ambiance inquiétante peut rappeller les varii Dark Star ou autres libertés du groupe mais de façon moins captivante à mon sens. Dommage !
Sinon la face A avec l'atypique reggae "Crazy Fingers", le bien groovie "The Music Never Stopped", la suite "Help on the Way/Spliknot" qui démarre l'album et nous plante ce décor oriental désertique et Franklin's Tower aux accents funky (écoutez moi ces premières notes !).
Tout y est parfait...Ah et le "Solomon King's Marbles" avec ce riff à la "Cocaine" de J.J. Cale en plein milieu du morceau (un an avant sa sortie, tiens tiens ☺ ).

Bref, un album qui aurait pu être le must du groupe. Insh'Allah !

Le 17 Septembre 2022 par HERVé

Notation assez rude même si le Live lui est largement supérieur. Le second disque édité par Atlantic mérite un 5, celui ci un 3,5. On retrouve les 2 squeuds en CD chez Lion records.

Le 17 Septembre 2022 par NONO

Ah ces albums avec une liste des musiciens crédités longue comme le bras, c'était bien de cette époque ! Du genre : "Tartampion au Yamaha DX7", "Duchmolle au synthé Yamaha CS80", "Ducon à la programmation du Synclavier", "Duchêne au transfert des données entre la Linn DRum et la connection du Fairlight....."
Bon sinon l'album : ça s'écoute, c'est assez bon souyons honnête !

Le 17 Septembre 2022 par BLEK LE ROC

Je ne connaissais que par le biais de pub. Inintéressant et musique souvent insipide.