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JUDAS PRIEST
BRITISH STEEL


Le 02 Novembre 2020 par LORAN


Bon, mais pas parfait, à l'image de tous les albums de JUDAS PRIEST, ou du Number of the beast de MAIDEN.
Typique de l'album culte dont l'aspect historique a occulté la réelle teneur, avec quelques faiblesses de compositions par-ci par-là, voire des fillers (comme tout album qui se respecte ?).
Enfin, qui aime bien châtie bien !





Pierre BACHELET
HISTOIRE D'O


Le 02 Novembre 2020 par FEELGOOD


Tout d'abord, merci pour ces excellentes chroniques.
À quoi reconnaît-on un film érotico/porno des années 70 ?
Au fait qu'il bénéficie souvent d'une musique soignée et groovy. Autres temps, autres mœurs.
Lorsqu'on évoque Pierre Bachelet, on pense spontanément aux « Corons » ou à « En l'An 2001 » et ses choeurs d'enfants, tout cela n'étant pas spécialement ma tasse de thé.
La plupart des gens ne connaissent pas la BO d' « Histoire d'O ». Pourtant, celle-ci et le long métrage qu'elle illustre connurent un réel succès en leur temps. Enfant, je me rappelle avoir contemplé, fasciné, l'affiche et les photos d'exploitation du film. J'ignorais naturellement le sujet exact du film, mais tout cela avait un parfum de fruit défendu. Lorsque je passe cette musique en fond sonore, les gens me demandent toujours de quoi il s'agit, trouvant cela très beau. La tête qu'ils font quand je prononce les mots « Pierre » et « Bachelet ». C'est toujours un grand moment.
Cette B.O, un pur produit de son temps, s'inscrit dans la lignée des musiques de Nico Fidenco (la série des Emanuelle Nera), Francis Lai (Bilitis), Gainsbourg (qui composera deux ans plus tard la B.O de Madame Claude du même Just Jaeckin). On pense aussi, entre autres, à Stelvio Cipriani (Femina Ridens) et Piero Piccioni (Camille 2000).
Des compositions moëlleuses relevant de l'easy listening, langoureuses et éthérées, une atmosphère onirique et feutrée, le tout parfois relevé par un morceau plus rock, aux choeurs emphatiques et grandiloquents, sorti tout droit d'un opéra rock (« She's A Lady ») ou de « Phantom Of The Paradise ».
On sent aussi l'influence du Floyd des années 70, mais il y a certainement pire comme influence.
Dès le morceau-titre, on est plongé dans une ambiance automnale, hors du temps, avec cette voix féminine (à la Nora Orlandi) sur fond de claviers et guitares feutrés. Suivent des instrumentaux incitant à la rêverie et à la volupté, ce qui dénote quelque peu avec la thématique SM du film, produit érotico-chic témoin de son époque, visuellement très soigné, voire « classieux » comme disait Gainsbourg, avec ses images vaporeuses très « hamiltoniennes ». Le trop lisse Udo Kier s'avère cependant assez peu crédible en bourreau des cœurs. Anthony Steel est plus convaincant dans le rôle de Sir Stephen.
Piano romantique (« O' Avec Pierre »), guitares, claviers, voix masculine sur « O' Et Sir Stephen », valse (« O' Et La Valse Du Gramophone », guitare électrique (« O' Et l'Amour d'Yvan »), l'ensemble est riche et varié. La reprise finale du thème introductif dans une version différente, plus enlevée, conclut ce bien bel album.
Mon édition numérique de 14 titres ne contient pas la chanson scandée par la délicieuse Corinne Cléry (à voir aussi dans l'excellent thriller italien « Autostop rosso sangue », aux côtés de Franco Nero et David Hess). Je l'ai découverte sur Youtube et elle me fait penser à la reprise (1977) du « Je t'Aime Moi Non Plus » de Gainsbourg par le groupe disco Saint Tropez.
Ce que je ne comprends pas, c'est la faiblesse relative de la note qui contraste avec un avis pourtant élogieux. Pour ma part, ce sera 4/5, sans problème.





Nick MASON
SAUCERFUL OF SECRETS - LIVE AT THE ROUNDHOUSE


Le 01 Novembre 2020 par BRADFLOYD


Merci à vous pour ces commentaires... j'ai juste un regret : l'absence de bonus où l'on voit Roger WATERS interpréter "Set The Control For The Heart Of The Sun" et jouer du Gong au Beacon à New-York le 18 avril 2019, par exemple. Malheureusement, seules des images amateurs traînent sur le net. Dommage.





SANTANA
BORBOLETTA


Le 01 Novembre 2020 par METALPROG84


Au niveau de "Welcome" mais quand même inférieur au magnifique "Caravanserai". Sur la première face, après une introduction ("Canto de los flores") réussie, on a droit à 3 titres assez pop ("Life is new", "Give and take" et "One with the sun") qui sont sympas à écouter malgré un léger manque de profondeur. Le jazzy "Aspirations" qui clôture la 1ère face est pour moi le titre le plus faible de l'album. La 2ème face est encore plus intéressante: on retrouve un jazz-rock débridé et inspiré (et on est parfois quasiment au niveau de "Caravanserai").
Un très bon album au final (à part "Aspirations").





La FEMME
MYSTERE


Le 31 Octobre 2020 par LE VIEUNE


Je commence à fondre sous le charme de La Femme, groupe qui me laissait indifférent durant ces dernières années. On surf entre les vagues de musique électronique et de pop rock.

Il y a des déclics, comme ça, qui viennent et qui font "pop!" comme un bouchon d'une bouteille de péteux qui saute.

J'ignore combien de temps cet album tournera en lecture auditive. C'est la 'faute' à "Septembre".





The ROLLING STONES
TATTOO YOU


Le 31 Octobre 2020 par METALPROG84


Légèrement meilleur que "Emotional rescue" et assez différent quand même (plus de disco ou de reggae ici). La première face est pas mal, avec "Start me up" bien sûr, "Hang fire" et "Little T&A" notamment. J'aime un peu moins "Slave" (trop longue aussi) et beaucoup moins "Neighbours" (limite bâclée). "Black limousine" est un titre blues-rock qui aurait pu figurer sur "Black & blue": honnête sans plus. La seconde face est vraiment étonnante pour un album des Stones: quasiment que des titres calmes. Mais contrairement à certains, je la trouve plutôt réussie quand même, à part "No use to crying" qui manque franchement d'inspiration.
"Tatoo you" est plutôt bon dans l'ensemble bien qu'assez inégal: j'aurai même mis 4 étoiles sans "Neighbours" et "No use to crying".





The ROLLING STONES
EXILE ON MAIN STREET


Le 31 Octobre 2020 par FEELGOOD


Au début des années 80, je ne jurais que par les Stones. L'essentiel de mon maigre argent de poche passait dans l'achat des chefs-d'oeuvre des Cailloux. « Exile... » figurait en bonne place sur ma liste d'achats mais son prix élevé – il s'agissait d'un double album – m'obligea à patienter quelques mois et à choisir l'option cadeau de Noël (1982) pour enfin posséder l'objet tant convoité.
L'opinion répandue en ce début de décennie, colportée par les critiques de « Best » et « Rock'n'Folk », était qu'il s'agissait à la fois du plus grand disque de rock de tous les temps et du dernier classique des « Stones », opinion d'ailleurs non partagée par Mick Jagger qui reproche à « Exile... » d'être quelque peu surestimé et moins cohérent que certains des albums précédents qui contenaient, selon lui, davantage de grands morceaux.
Dire que les premières écoutes furent laborieuses relève de l'euphémisme. Seuls quelques titres trouvaient grâce à mes oreilles : « Rocks Off », « Tumbling Dice », « Sweet Virginia », « Happy » et « All Down The Line ». Cinq chansons sur dix-huit ! Le plus gênant, c'est que les « derniers Stones », si décriés en leur temps (« Some Girls », « Tatoo You ») me plaisaient davantage...
Durant les mois et les années suivantes, et même s'il s'agissait de l'album du groupe que j'écoutais le moins (à égalité avec leur autre double, « Love You Live »), j'ai cependant réussi à apprivoiser la bête. « Casino Boogie », « Torn And Frayed », « Loving Cup » et l'intégralité de la face quatre finirent par révéler leurs beautés. L'album contient deux superbes ballades, poignantes : « Shine A Light » et la déchirante « Let It Loose ». Seule la chanson consacrée à l'activiste Angela Davis ne m'a jamais transcendé. Quant à « Tumbling Dice », son charme initial s'est estompé, ce titre ayant été exploité à fond sur scène depuis le grand retour du groupe en 1989, d'où une certaine lassitude de ma part...
J'écoute rarement « Exile... », une ou deux fois par an maximum, mais prends un réel plaisir à chaque fois. Si l'on met de côté « Tumbling Dice » et « Happy », l'album contient des morceaux peu connus, rarement joués sur scène, ce qui change des gros tubes incontournables, toujours les mêmes qui finissent par lasser certains auditeurs, surtout lorsqu'ils ont écouté ces titres durant plusieurs décennies (c'est-à-dire durant l'essentiel de leur existence).
En 1983, je n'aurais mis que 3/5 à cet enregistrement. En 2020, je ne peux lui mettre moins de 5.





Nick MASON
SAUCERFUL OF SECRETS - LIVE AT THE ROUNDHOUSE


Le 31 Octobre 2020 par VIV


Superbe idée de projet de Nick Mason magnifiquement réussi.
Vu a Nîmes en 2019, j'avais écris ces mots à chaud, qui restent tout autant valables à froid 1 an plus tard, apres réécoute du disque et visionnage du DVD hautement recommandable :

"Alors dans mon top 1 des concerts jamais faits : "Pink Floyd" en live hier soir... 🤩
Enfin quasiment ! Nick Mason derrière les fûts et ses amis revisitant le Floyd d'avant le Dark Side Of The Moon.

Près de 2h d'ambiance sacrée, hors du temps, qui sentait les années 60 / 70 à plein nez, même si je ne les ai pas vécues.
Frissons et setlist de rêve dans un lieu chargé d'histoire, illuminés par un light show psychédélique à en devenir dingue !

Quel pied de voir tous ces vieux titres ressuscités, pas joués depuis plus de 40 ans pour certains, avec beaucoup de puissance et de réinterprétation tout en restant dans l'esprit des débuts du Floyd. Et ça fait plaisir de voir ces vieux briscards s'éclater autant sur scène ! 😎 "





PRINCE
1999


Le 31 Octobre 2020 par ARTHODZAFT


Hello à vous tous!
Faut arrêter avec Prince, vraiment. Le génie, le Kid, le truc, le machin de Minneapolis, comme si Minneapolis était le centre du funky-monde. Ce type n'a fait que mal digérer tout ce qui avait été fait avant. J'écoute du funk, du rock, et même des trucs des années 60 avec du LSD dedans. Ben, quand j'écoute Prince, je m'emmerde. Mais grave. Il a voulu être Hendrix, et puis non, finalement Depeche Mode, c'est bien aussi. Il a bouffé un peu partout pour faire du pareil en moins bien. Allez, levez-vous les Prinçofiles et allongez le le putain de morceau qui lui vaut tant de vos louanges, le truc qui innove (pas dans le studio hein, non, en vrai, dans la musique puisque c'est de ça qu'on parle quand même un peu). Franchement, il me gonfle parce qu'il abuse des boîtes à rythme pourries, des plans de guitares entendus mille fois, d'un chant sans aucune personnalité. Putain, arrêtez avec lui, c'est juste un vampire.
Bon, 1999 je l'aime bien, j'avoue.





SHADOWS
THE SHADOWS TO THE FORE


Le 31 Octobre 2020 par ROLAND QURIER


Très bon E.P, mais si on veut choisir un disque qui représente le meilleur de ce groupe, c'est le Greatst Hits de 1963, une compilation qui reprend l'essentiel des singles sortis avant 1963, aucun de ces morceaux n'étant repris dans leurs albums.





The ROLLING STONES
EXILE ON MAIN STREET


Le 31 Octobre 2020 par METALPROG84


Après 3 chefs-d'oeuvre, c'était difficile de rester au même niveau sur un double album. Trop long avec beaucoup de titres se ressemblant, "Exile on main street" est difficile à écouter d'une traite d'autant plus que certains morceaux sont moins inspirés. En plus, je ne suis pas particulièrement fan de ce style blues/gospel qui revient souvent. Meilleurs titres: "Rocks off", "Tumbling dice", "Sweet Virginia", "Happy" et "Let it loose".
Un album correct quand même (que je trouve aussi surévalué). Je lui préfère même "Some girls" ou "Steel wheels".





Nick MASON
SAUCERFUL OF SECRETS - LIVE AT THE ROUNDHOUSE


Le 30 Octobre 2020 par M.S. SANS COMIC


Une superbe chronique, cher collègue BradFloyd, et un enthousiasme pleinement partagé.

L'idée d'une telle formation était excellente et musicalement, c'est brillant. Le fait que Guy Pratt à la basse rende hommage à John Entwistle et cite "5:15" des WHO en plein solo de "Arnold Layne" n'est qu'un détail parmi tant d'autres ici !

Je n'ai pas le DVD mais le coffret vinyle, un superbe objet !





Nick MASON
SAUCERFUL OF SECRETS - LIVE AT THE ROUNDHOUSE


Le 29 Octobre 2020 par MARTYGIL


Enthousiaste après avoir appris l'idée lumineuse de Nick Mason et de ses amis, fébrile à l'idée de découvrir le résultat sur scène aux Nuits de Fourvière, j'avais hâte de découvrir le résultat audio.
Que dire, si ce n'est que c'est une fantastique initiative ? Le concert fut un merveilleux moment intemporel : quel plaisir d'écouter ces morceaux de la fin 60's / début 70's ! Quel plaisir de sentir la joie partagée de ces musiciens de jouer ces compositions avec respect tout en leur donnant une nouvelle jeunesse, une modernité qui confère à certaines d'entre elles, parfois moins connues, toute leur place dans la construction du son PINK FLOYD et de la musique populaire en général !
On retrouve évidemment tout cela sur ce disque. L'enchaînement "If"/ "Atom Heart Mother"/ "If" est une très grande idée, de même pour "Obscured by Clouds" / "When You're In" et ses sonorités électro, quelle claque ce "Nile Song" ! Même des morceaux comme "Let There Be More light" prennent une autre dimension (à partir de 2'40) ainsi que "Point Me at the Sky" complètement réhabilité !
Certaines versions déjà rejouées pendant la période PINK FLOYD - D. Gilmour tiennent tout à fait la comparaison ("Interstellar", "Astronomy" ou "One of the days"), aucune gène pour ce qui est des parties guitares, ni des parties vocales (alors que j'ai été assez gêné des parties vocales dévolues habituellement à Gilmour pendant le concert de R. Waters).
Si le touché de R. Wright nous manque évidemment, vraiment rien à redire de Dom BEKEN, excellent choix de substitution, on sent que The Orb fait bien partie de la galaxie floydienne.
Enfin, dernier mot au sujet de Nick Mason. Ce qui me plait beaucoup aussi dans ce disque est qu'il rend - enfin - honneur au touché de ce batteur, démontrant ainsi qu'il avait toute sa place dans la définition du son PINK FLOYD et des visuels du groupe (quel graphisme pour ce projet !) Mieux vaut tard...
Bref, que du plaisir !





Peter GABRIEL
SO


Le 26 Octobre 2020 par LEO

@ NONO :

Mon préféré de tous reste le PG3. je trouve que toutes les compos sont d'égale qualité et la prod est vraiment à mon goût.
J'ai longtemps aimé le 4 mais avec les années je lui trouve pas mal de défauts. à commencer par deux morceaux qui ne me plaisent pas: "I Have The Touch" et "Kiss Of Life", ainsi qu'un son qui commence à être très marqué par les années 80 (ça s'entend tout particulièrement sur le pénible "I Have The Touch" et également sur "Shock The Monkey" que j'apprécie tout de même). et puis globalement je trouve les compos du 4 plus linéaires et beaucoup moins inspirées par rapport à l'album précédent. ce qui fait que le 4 est un album que je n'écoute quasiment plus et que je reviens bien plus souvent vers le 2, qui était au départ un album dans lequel j'avais un peu de mal à m'immerger, sans doute à cause de sa production sans fioritures, presque sèche, mais qui avec le temps me plaît bien plus et me donne envie d'y revenir (grâce également à des morceaux qui me parlent plus que ceux du 4).
Donc au final mes préférés de PETER GABRIEL sont le 3 puis en second le 2.





Peter GABRIEL
SO


Le 26 Octobre 2020 par NONO

Oui, en fait je trouve que le seul défaut de cet album est d'être trop déséquilibré entre un bon nombre de titres très (trop) calmes et planants, et puis tout-à-coup : SBAM ! deux titres pop/rock énergiques qui n'ont rien à voir, qui sont comme parachutés sur un ensemble plutôt cohérent mais ces deux titres nous font presque sursauter quand on commençait à s'endormir...
Personnellement mes 2 albums préférés de PG sont : le 3 (Melt) et le 4 (Security) : impossible de choisir lequel je préfère. "3" est plus classique mais plus homogène que le "4" qui est plus jusqu'au-boutiste mais un peu plus inégal aussi.
Par contre je n'aime pas trop le "2" ("Scratch").
J'ai récemment découvert "UP" avec un titre imparable : "I grieve"... absolument splendide.





Peter GABRIEL
SO


Le 25 Octobre 2020 par LEO

@ NONO :

Ben oui, il semble que "Sledgehammer" soit un morceau généralement fédérateur, mais nous ne devons pas faire partie de la catégorie de personnes qui trouvent ce truc "irrésistible" pour paraphraser MARCO STIVELL ! Personnellement, ce morceau et "Big Time" m'ont toujours gonflé et fait un effet repoussoir.
Même si je n'en suis pas fan, je trouve que dans ce style 'dansant', PETER GABRIEL a fait mieux avec "Steam" sur l'album US. Enfin, en tout cas il m'est plus supportable ! .-)





BLUR
PARKLIFE


Le 25 Octobre 2020 par PATATUS EMERITUS


Pas de mots assez forts pour cet album, écouté en boucle en 1994, jusqu'à 2 ou 3 fois par jour. Le témoignage ultime d'une superbe époque musicale, toute cette belle génération Britpop qui irradiait le MTV du début des années 90. Forcément, ma notation ne sera pas objective, mais ça fait du bien de le dire. Cet album contient simplement 16 joyaux. Damon Albarn et ses acolytes sont possédés par le génie de la pop, toute tentative ultérieure de rééditer l'exploit sera vaine, même si "The Great Escape" contient également son lot de pépites. "Parklife" est un tout. L'énergie ("Bank Holiday", "Jubilee", "Trouble in the Message Centre"), l'ironie ("Magic America", "Parklife"), l'émotion et la mélancolie ("End of a Century", "This is a Low"), la nonchalance psychédélique ("London Loves" et le tube de l'été "Girls and Boys"). On trouve toutes sortes de plaisirs sur ce disque témoin de l'Angleterre des 90's. Un album indispensable.





DEPECHE MODE
SONGS OF FAITH AND DEVOTION


Le 25 Octobre 2020 par PATATUS EMERITUS


Un album somptueux, sombre et planant. Depeche Mode y trouve un nouveau son, les guitares sont plus présentes, parfois saturées mais lancinantes, pour un rendu à la fois plus sophistiqué mais aussi plus menaçant. "Walking in my Shoes", "In your Room", "Rush" sont d'incroyables pépites, poussant encore plus loin le virage "pessimiste" que les britanniques avaient pris à partir de "Music for the Masses". Le rock gothique n'est jamais très loin, et les performances vocales de Dave Gahan sur les énormes et solennels "I feel you", "Condemnation" ou "Judas" sont simplement époustouflantes. "One Caress" et "Higher Love" se chargent d'enfoncer le clou. Cet album est beau





Peter GABRIEL
SO


Le 25 Octobre 2020 par NONO


@LEO : Ouf je vois que je ne suis pas le seul à ne pas spécialement aimer "Sledgehammer"... je trouve ce titre particulièrement poussif avec son côté big-band. Tout le monde a l'air d'adorer ce titre, j'ai jamais vraiment compris pourquoi.
Et "Big Time" tombe vraiment comme un cheveu sur la soupe, c'est quand même dingue que personne à la prod' n'a constaté que ce truc n'avait RIEN à faire dans cet album !
A part ça j'aime bien l'album mais mon avis a un peu baissé depuis quelques années (surtout que j'ai découvert d'autres albums de PG).
Allez... 3.5/5





Kenny DORHAM
TROMPETA TOCCATA


Le 24 Octobre 2020 par LE MERLE MOQUEUR


Un très bon disque que j'écoute ma foi assez souvent. Il est vrai que je suis un fan de Richard Davis, un bassiste dont j'ai déjà dit (voir Pat Martino) qu'il mérite amplement une chronique.

Papier collé : «Kenny était un sacré trompettiste, avec un style fantastique. J'ai aimé le son et le phrasé. Et il était vraiment créatif et imaginatif, un artiste sur sa corne. Kenny n'a jamais eu l'attention qu'il méritait. " qui louange Kenny de cette manière... Miles Davis, excusez du peu.







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