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GRAND CORPS MALADE
ENFANT DE LA VILLE


Le 01 Février 2025 par DRAGON BLANC

Bonsoir Archangel,
J'apprécie toutes tes parutions. J'aime beaucoup tes analyses et ton style. Notamment sur l'album Enfant de la Ville.
Continue.
Dragon Blanc.





The STRANGLERS
BLACK AND WHITE


Le 01 Février 2025 par MASTERFAN


Sur ce troisième album des Stranglers, BLACK AND WHITE, figure un titre que j’affectionne particulièrement, dans mon Top 5 du groupe toutes époques réunies. La puissance de la basse, niveau son ou mélodiquement, est phénoménale. J’espère que les remastérisations les plus récentes (s‘il y en a eu) n’ont pas trop foutu ça en l’air.

L’évocation de ce gigantesque « Nice’n slazy » me renvoie toujours au mythique concert du Battersea Park de 1978, où s’est quand même produit une scène inouïe et unique dans l’histoire des concerts-rock (seul Hawkwind, au début des 70’s, avait timidement osé). Dans sa bio, Jean-Jacques Burnel explique que les filles étaient des amies choquées de voir les Stranglers descendus pour misogynie, alors qu’ils étaient des ‘gentlemen’. Elles ont proposé de prouver que ce n’était pas les Stranglers qui les exploitaient mais l’inverse (sic). Devant la foule ébahie, Jane (la blonde aux longs cheveux blonds, seulement 16 ans) et ses copines effectue une prestation mémorable. On peut juste regretter qu’il y ait toujours un connard qui monte sur scène pour embêter la jeunesse au travail. Les personnes prudes (et les hommes mariés) sont invités à ne pas regarder cette vidéo (ou alors en cachette).

Cette info fondamentale ne doit pas faire oublier l’album car il vaut le coup aussi. Enfin surtout la face ‘A’ qui est imparable. « Tank » est déjà une petite claque, Dave est au taquet, le refrain déchire, le son est d’une pureté qui vous claque aux oreilles, comme sur tous les morceaux ici. « Outside Tokyo » est une première tentative de valse très réussie même si elle ne vaut pas le futur « Golden Brown » (qui cartonnera mondialement trois ans plus tard).

« Hey » et « Sweden » poursuivent dans la même veine que NO MORE HEROES, ça joue encore vite et bien. Et puis il y a cet autre classique, simple et efficace, ce « Toiler on the sea » entêtant où Dave va inventer une nouvelle expression : ‘riff de synthés’. Un autre grand moment de l’album sans aucun doute.

La face ‘B’ commence par le percutant et efficace « Curfew ». La suite dévoile trois morceaux moins mélodiques que sont « Threatened », « In the shadows » et « Do you wanna », lesquels préfigurent une tendance plus expérimentale à venir. Pas essentiels, pas inintéressants non plus. L’accessibilité se réduisant, il ne faut pas ménager le nombre d’écoutes à produire pour ceux qui veulent en retirer quelque chose de substantiel.

Retour ensuite au punk pur et dur qui remplissait NO MORE HEROES, le bien nommé « Death and night and blood », avant une ultime plongée cette fois dans le post-punk de « Enough time », pas le genre de truc conseillé pour les fêtes de famille.

Mon ressenti 2025 : TRIPPANT (5) : Nice ‘n sleazy. DELECTABLE (4,5) : Tank, Toiler on the sea, Curfew. SEDUISANT (4) : Outside Tokyo, Sweden, Hey, Death and night and blood. PLAISANT (3,5) : Néant. INTERESSANT (3) : Threatened, In the shadows, Do you wanna, Enough time. Bilan 3,88 et Top 5 à 4,50 : BLACK AND WHITE cote pour moi 4,19 soit 16,76 /20.

Si les versions CD ne joignent pas encore en bonus la vidéo du Battersea park, elle contiennent néanmoins surtout l’incroyable « Walk on by » (5), ou l’art de transformer une citrouille en carrosse, un crapaud en prince charmant. Et ça, c’est rarissime, c’est pas donné à tout le monde. La longue partie instrumentale façon « Light my fire » est un régal, rien à jeter tout au long de cette improbable reprise.





Nina HAGEN
NINA HAGEN BAND


Le 31 Janvier 2025 par LE MERLE MOQUEUR


J'étais un Berlin à cette époque. C'était un album incontournable de la belle fille du parolier-troubadour Wolf Biermann lequel comme Nina adorait l'homme à l'éternel cigare, Bertolt Brecht.

Le seul disque à mon humble avis de Nina qui peut figurer dans nos rayons... Pour le reste de sa carrière... Bof.





TELEVISION
MARQUEE MOON


Le 31 Janvier 2025 par BLUEMASK


Attention, Chef d'oeuvre, avec un grand C. Un disque mythique qui mérite l'appellation. Tout est parfait, les titres en deça y compris, ce qui fait des titres forts du plus-que-parfait, et ce n'est pas du subjectif. 'Torn Curtain' est probablement le plus grand titre de fin du monde (espace " " du monde et non de la fin du monde)
Après se pose une question vertigineuse. 'Marquee Moon' est classé dans la mouvance punk, parce que la date, parce que NY, parce que ce CBGB, parce que Richard Hell etc etc... A l'écoute, ce rock élégant, racé, aux guitares fines, est autant punk que ma tante Jocelyne, qui d'ailleurs a été hospitalisée dernièrement pour la grippe, mais elle est sortie, que tout le monde se rassure . Donc, qu'est ce que le punk?





Mireille MATHIEU
SWEET SOUVENIRS OF MIREILLE MATHIEU


Le 31 Janvier 2025 par MARTIN LA BOTTE

La chanson de Mireille MATHIEU que j'aime le plus dans les années 60 avec "La Dernière valse", c'est une autre adaptation, justement en 68, "Je ne suis rien sans toi" qu'elle vient d'emprunter à Tom JONES ("I'm coming home"). Pas de bol, elle parait seulement sur 45t et je n'aurai donc pas le plaisir de lire le ressenti de Marco sur ce titre.
Aucun coup de coeur sur l'album chroniqué même si j'aime bien l'air de "C'est à Mayerling" (on n'entend heureusement pas Mireille dans le film). J'extrais un autre morceau qui me fait plutôt bonne impression, " Tu m'as donné la vie", mais loin de valoir une future et énième resucée de ce thème récurent dans le répertoire de la chanteuse, "C'est l'amour et la vie que je te dois" qui donnera son titre à l'album de 73. Je ne doute pas que Marco n'en dira que du bien ;).
Pour le reste, je trouve qu'on tombe encore trop souvent dans le travers du "J'ai du coffre et je sais gueuler", donc les envolées rageuses de la demoiselle, certes impeccables, ne sont pas toujours justifiées ou en tout cas assez nuancées à mon goût. Et entendre Mireille MATHIEU dans la langue de ShakesPagnol est une curiosité à assouvir avec extrême modération...

(Pour l'illustration, c'est le médiocre visuel du pressage allemand qui s'affiche)

1 étoile et demie.





Julien DORé
BICHON


Le 31 Janvier 2025 par BLUEMASK


Au chapitre des qualité, Julien Doré est doué. Même si il est sorti d'un télécrochet grand public, il écrit et écrit bien ,compose et compose bien, chante et chante bien et a une vraie personnalité qu'il personnalise bien.
Au chapitre des défaut, Julien Doré est un peu agaçant, avec son goût trop systématique pour un second degré malgré tout consensuel et adore aligner ses références, sa culture avec un usage là aussi systématique du name-dropping.
Ce second disque en est l'image parfaite.
Pourquoi forcement mettre en exergue le cachet Yvette Horner, pour quelques notes d'accordéons qui s'insèrent super bien, doubler cela avec un titre de provoc de classe élémentaire 'Homosexuel'.. Double second dégré facile sur cette chanson qui n'a pas besoin de cela pour être bonne.
'Glenn Close', 'Bergman' sont deux chansons superbes, vraiment superbes, mais forcement, il faut les appeller 'Glenn Close' et 'Bergman', c'est plus classe.
Etc etc...
Pourtant, malgré tout, néanmoins, nous tenons là un vrai bon disque de pop française, varié, riche en superbes mélodies et en bon textes, sous haute influence Gainsbourg et Flaming Lips. Merde... du name-dropping...





MON P'TIT LOUP
MON P'TIT LOUP


Le 31 Janvier 2025 par RICHARD

Un grand merci cher collègue sudiste pour tes 150 chroniques de qualité et pour celle-ci, courageuse, émouvante et portant à une salvatrice réflexion.





NURSE WITH WOUND
INSECT AND INDIVIDUAL SILENCED


Le 31 Janvier 2025 par JOVIAL


Impossible pour moi d'écouter "Mutilés de Guerre", c'est insoutenable. "Alvin's Funeral" est par contre un bordel qui s'apprivoise assez bien, par endroits. Je ne sais pas trop pourquoi, mais ça me plaît. Tu as cependant raison, la curiosité l'emporte ici souvent sur le reste.





Thomas KÖNER
DAIKAN


Le 31 Janvier 2025 par JOVIAL.

Merci pour ce commentaire (et les autres !), Borahkreth.

Je suis bien d'accord avec toi et je crois que tu as parfaitement résumé la difficulté autant que le côté illusoire de noter de l'ambient, en particulier dans ses franges les plus minimalistes. C'est d'autant plus vrai en ce qui concerne un artiste tel que Thomas KÖNER, dont la démarche reste assez ambigüe. Tout en expliquant que ses albums ne racontent absolument rien, en souhaitant ainsi laisser l'auditeur se faire sa propre idée, il donne quand même quelques clés de compréhension (références à l'Arctique, au froid ...), ce qui oriente inévitablement notre esprit vers certaines images et pas d'autres.

Personnellement, je peux écouter cet album d'une traite sans problème, sans rien faire, les yeux rivés sur le plafond. J'apprécie ce côté cyclique, ce froid qui envahit progressivement l'espace à plusieurs reprises. Je le trouve cela très prenant et très relaxant. Mais je conçois tout à fait qu'on puisse aussi s'ennuyer, ce n'est clairement pas le genre de disque que l'on écoute tous les jours, ni à n'importe quel moment.

Histoire de ne pas repartir les mains vides, je te conseille les albums Permafrost, Nuuk et Teimo.





KRAFTWERK
THE MIX


Le 31 Janvier 2025 par SEB


Pour beaucoup une revisite ratée, ignoble, horrible... La galette laser de l'incompréhension-indigestion chez Kraftwerk est bleue et s'appelle "The mix".

Au sortir d'un "Électric café" en 1986 pas mauvais mais qui n'aura pas forcément marqué les esprits, les allemands Von Düsseldorf se taisent durant 5 ans. 5 longues années qui n'auront pas été profitables à leur inspiration puisqu'en guise de nouvelle production en direct du Kling Klang Studio ils nous sortent... Une compilation de leurs tubes en remix ! D'aucuns diront une compil' après 5 ans, c'est du foutage de gueule là ! Y a intérêt à ce que ça en vaille la peine !

Ben même pas. Pire, je trouve que les titres remixés ont été massacrés par la sonorité du début des 90's, qui a très mal vieilli il faut le reconnaître. Et pour un groupe qui fut précurseur dans la musique électronique, arriver à enlaidir son oeuvre au lieu de l'étoffer c'est dramatique. Alors attention tout n'est forcément pas à jeter direct ! Tout dépend de son propre degré d'exigence...

En me replaçant dans le contexte musical du début des années 90 je sauve "The robots" redynamisé par une rythmique assez efficace, "Trans Europe Express+Abzug+Métal on métal" le triplé magique qui aura été bien revu et qui sauve à lui tout seul l'album du naufrage total. Et à la limite dans une moindre mesure "Radio-activity" mais ça sera tout. Le reste est purement sacrifié sur l'autel de la médiocrité, mais même les titres sauvés sont assez dispensables avec le recul !

Dans ces conditions difficile de ne pas noter au minimum syndical ! À mon sens, Kraftwerk n'était pas en perdition. Mais sur ce coup le groupe s'est clairement loupé par des reprises deshumanisées trop commerciales, pour coller à la sonorité tech-house en vogue à l'époque. Les morceaux historiques ont fait la gloire des Allemands, mais leurs remix étaient juste mauvais !

Je reste partagé sur ma note mais il faut trancher. À titre perso "The mix" mérite un 1,5 pour être aimable, pour les titres et le groupe. Mais même si je ne peux me résoudre à tirer sur l'ambulance, je vais malgré tout arrondir à un 1 représentatif de la déception.





Thomas KÖNER
DAIKAN


Le 30 Janvier 2025 par BORAHKRETH

Il est toujours difficile de noter du dark ambiant, de surcroît quand il est dans une veine extrêmement minimaliste. La chronique est très sympathique, mais pour ce qui est de la musique, j'aurais bien du mal à crier au génie. Déjà parce que sans la chronique, je ne suis pas sûr que les images convoquées auraient été les mêmes*, mais surtout parce que je trouve ça sympathique sans être renversant pour autant.

Les textures sont belles et bien produites, l'ambiance est réussie, ça passe très bien au casque pour une promenade dans le froid ou lire un livre, mais on ne me fera pas croire que qui que ce soit écoute ça en écoute active sans absolument rien faire d'autre pendant 66 minutes vu comme il ne se passe pas grand chose. Et honnêtement, de l'ambiant minimaliste en musique de fond, il y en a au kilomètre sur Youtube et ailleurs, et malheureusement pour cet album, il est souvent mieux produit et plus varié.

Noter de l'ambiant me paraît illusoire tant la grille de lecture est au-delà du subjectif, mais on va dire que si je devais donner une note, ça serait probablement entre le 3/5 et le 4/5, parce que bon, quand même, il est très sympathique ce drone dans les graves. Mais c'est pas le genre d'album qui va m'obséder et tourner en boucle, il y a eu largement mieux depuis.

*et c'est un truc que je reproche souvent à l'art contemporain : sans le contexte de l'oeuvre et l'intention de l'auteur, ça perd beaucoup d'impact, ce qui est problématique quand par définition l'art doit procurer une réaction viscérale, mais c'est un autre débat qui nécessite d'avoir quelques heures devant soi





The LA'S
THE LA'S


Le 30 Janvier 2025 par RICHARD


La Pop est anglaise. Un point c'est tout.





Jean-michel JARRE
EN ATTENDANT COUSTEAU


Le 30 Janvier 2025 par DEJAVU


Fan de "Thursday Afternoon" de Brian Eno, j'apprécie énormément le morceau "En attendant Cousteau" qui pour moi justifie à lui seul l'achat de cet album, en 2021 Jean-Michel Jarre nous livrera un second album d'ambient-music "Amazonia", étrangement absent de Forces Parallèles.





IRFAN
SERAPHIM


Le 30 Janvier 2025 par CLANSMAN57

C'est vrai que cet album est superbe.
Merci de nous le rappeler Mr Tinkertrain! Euh pardon, Heart Of Steele. Oups, je voulais dire Full Moon Madness.
Ou Peter Greenlight. Ou Peter Steel. Ou Pizza Base Eau Svp. Ou Pseudo avec Macron dedans et j'en passe 36 autres:D Selon l'humeur sans doute et ça permet d'attribuer la note maximale plusieurs fois à ses albums préférés, histoire de faire monter la moyenne hein:)

Bouh la balance que j'suis! Pas bien!












OPETH
THE LAST WILL AND TESTAMENT


Le 30 Janvier 2025 par SWISSIDOL


J'aime surtout la période dite "prog", chez OPETH, celle qui va de "Heritage" à "In cauda venenum" avec un gros faible pour le sublime "Pale communion" qui est l'étalon avec lequel je mesure les autres albums du groupe. Eh bien ce "Last will" ne lui arrive pas aux genoux ! Akerfeldt est un génie mais je trouve qu'il mouline dans le vide et rares sont les passages qui accrochent vraiment l'oreille : un bon solo de clavier ici, un coup de harpe et de flute là mais aussitôt entendu, aussitôt oublié. Et puis ces growls... Heureusement qu'il les emploie avec parcimonie car c'est d'un ridicule achevé.
Je prends bien plus de plaisir à écouter la bande originale que le chanteur a composé pour la série "Clark" sur Netflix qui, elle, est vraiment captivante.





IRFAN
SERAPHIM


Le 30 Janvier 2025 par FULL MOON MADNESS


Je ne voudrais pas dire mais quand même.... Cet album mystique existe. Et même remasterisé sur le bandcamp du groupe !





LED ZEPPELIN
IN THROUGH THE OUT DOOR


Le 29 Janvier 2025 par NONO


@FOUDROCK : Ah... ça c'est sûr : il vaut mieux "black dog" que "hot dog" :-)
Sinon cet album je l'aime bien quand même.





MC5
HEAVY LIFTING


Le 29 Janvier 2025 par JASPER LEE POP


Quel album! C'est évidemment davantage un disque solo de Wayne Kramer qu'autre chose ("Edge of the Switchblade" est d'ailleurs une compo extraite de "The Hard Stuff") mais quelle vitalité avec des textes toujours engagés ("Barbarians at the Gate") mais jamais pontifiants et avec une pointe d'humour ("Because of your Car") principalement écrits par Brad Brooks, un compagnon de chimiothérapie de Brother Wayne. Et puis ça n'intéressera que moi mais derrière les guests têtes de gondole habituelles pour rameuter le chaland (au demeurant ici tous réellement inspirés), tout le monde oublie de citer la section rythmique impeccable qui accompagnait déjà Kramer lors de ses dernières dates constituée de Stevie Salas, de la bassiste et choriste de luxe Vicky Randle et de l'ancien batteur du COLORCODE de Salas Winston Watson Jr. parti ensuite chez Bob Dylan et ces trois-là ne sont pas étrangers au fait que ça groove aux petits oignons.





URIAH HEEP
DEMONS AND WIZARDS


Le 29 Janvier 2025 par FOUDROCK


De ce groupe, je ne connais que jusqu'au live de 73. Pas après. Autrement dit, je ne connais pas grand chose.
Et ce que j'ai écouté m'a plu, mais pas au point de me faire sauter au plafond non plus.
Sauf cet album, vers lequel je reviens souvent, très souvent, à ma grande surprise par ailleurs. Il est vraiment remarquable, rien à dire. Même si "Easy Livin'", parfois, m'énerve un petit peu. Et même si "Circle of hands" sonne un peu trop comme le "Thank you" du Zep pour être honnête.





LED ZEPPELIN
IV


Le 29 Janvier 2025 par FOUDROCK


Mon préféré derrière "Physical Graffiti", et le meilleur du groupe, un album d'une rare perfection. Allez, pour le coup, je ferme ma tronche, j'ai tout dit.







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