Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 ...>...>>... 1134
Comment poster un commentaire ?


Jean-michel JARRE
EQUINOXE


Le 27 Janvier 2025 par FINISHERFRANKY


Comparé à Oxygène, JM Jarre démarre son album comme moins à la découverte de son instrument, moins expérimentateur enfantin : on a moins de ces gimicks électroniques, bruitages divers à la limite du ridicule (vu avec le recul) qu’il joue à faire passer de gauche à droite comme l’aurait fait un enfant jouant avec les potentiomètres (sauf en plein centre d’Equinox 4, qui me gâche presque le titre). D’Equinox 1 à Equinox 4, 1ère face donc, JM Jarre m’apparait plus adulte que sur Oxygène et soutient la comparaison avec les compositeurs du genre d’outre-Rhin.
Mais, dommage, la seconde face démarre sur cet Equinox 5 disco tellement bateau et à nouveau truffé jusqu’à l’agacement de ces effets stéréophoniques puériles. Equinox 6 annonce avec tellement d’avance les sonorités des jeux électroniques à la Mario Bros qu’il faut lui reconnaitre cet intérêt novateur, sans quoi cette séquence me fatigue. Cette seconde partie d’album est à l’image du JM Jarre que je n’aime pas, popisant et niais. Elle me gâche la première.





WIRE
154


Le 27 Janvier 2025 par FOUDROCK


Encore plus structuré que le précédent, moins punk, plus new-wave et arty. Moins attachant, mais rien que pour "The 15th", "A Touching display" et "I should have known better", c'est à écouter.
Le titre de l'album ? Le groupe, au moment de l'enregistrer, avait fait 154 concerts depuis sa formation...





WIRE
PINK FLAG


Le 27 Janvier 2025 par FOUDROCK


Parvenir à faire un disque de 35 minutes offrant 21 titres, fallait le faire. Wire l'a fait, et l'album, qui plus est, a été majoritairement enregistré live en studio.
Le morceau-titre à lui seul est un monstre punk.
Je ne donne pas la note maximale parce que, quand même, par moments, ça fait un peu vite expédié (des morceaux semblent se finir sur un coup de frein brutal).





Jean-michel JARRE
OXYGENE


Le 27 Janvier 2025 par FINISHERFRANKY


Cet album, musique et pochette, me replonge comme beaucoup dans ma jeunesse (j’avais 13 ans en 1976) et il fait remonter les souvenirs personnels de l’époque, famille, matériel HiFi , TV, voitures ... une grosse madeleine de Proust. Jarre innovait et ses ambiances faisaient rêver. Mais très peu de temps après, ayant plongé dans les précurseurs, Klaus Schulze et Tangerine Dream, Jarre m’ayant ouvert la porte et se sera son mérite, j’ai relativisé. Je lui donne ses étoiles pour la nostalgie et la magie qu’il crée encore dans mon esprit mais je modère quand je retrouve dans Oxygène Part 3 et Part5 trop de Tangerine Dream créateur de ces ambiances depuis Phaedra…. Bien qu'elles étaient je pense dans l’air du temps je résiste mal à trouver un côté suiveur à Jarre à ce moment-là … Oxygène Part 4 et sa mélodie veloutée, plus typique de Jarre, me ramenant à la raison.





WIRE
CHAIRS MISSING


Le 27 Janvier 2025 par FOUDROCK


Un chef d'oeuvre de new-wave punkysante (le groupe vient de là, il vient du punk), des morceaux moins courts et expédiés que sur le vif "Pink Flag", plus structurés, mais toujours un peu branques. Un régal.





Jean-michel JARRE
REVOLUTIONS


Le 27 Janvier 2025 par BAKER


Même chose que pour Cousteau : je comprends le désintérêt surtout que l'album est très inégal, mais outre que la suite Revolution est quand même bien agréable (si à 50 ans t'as pas joué la part I sur un vrai D-50, t'as raté ta vie), je trouve que le titre Révolution, Révolutions (en version remixée, le second pressage CD donc) est purement génial.

Le son est immense, les relances à se damner (très difficile de ne pas air-drummer), et cette idée de séquence à laquelle on rajoute une note à chaque cycle est géniale. Gros, gros coup de coeur à tel point que c'est le titre qui ouvre mon best-of du monsieur histoire de bien brouiller les pistes.





Jean-michel JARRE
EN ATTENDANT COUSTEAU


Le 27 Janvier 2025 par BAKER


Je comprends qu'on n'aime pas cet album, et que les sonorités fassent hérisser le poil. En revanche j'attire l'attention sur la qualité d'écriture du premier morceau : au niveau des harmonies, de la mélodie, des relances, des breaks, des transposes, c'est complètement millimétré. J'ai essayé pendant des heures de faire un édit de ce morceau, je n'ai pas réussi à couper une seule mesure, c'est de l'architecture.

Et puis ça ne me concerne pas du tout, mais ce morceau a fait danser un million et demi de personnes un beau soir de 14 juillet, ça compte.





Julien DORé
Løve


Le 27 Janvier 2025 par BLUEMASK


On peut ne pas aimer le personnage, son maniérisme, sa nonchalance très étudiée, son goût pour le name-dropping agaçant. Mais avec un minimum d'objectivité, si tant est que cela est possible en musique, il faut avouer que Julien Doré sait écrire des chansons, des mélodies et faire de la pop grand public de qualité. Finalement c'est assez rare, les albums qui peuvent parler à la fois à Tata Monique, au cousin Leo, fan de pop indé US, et à la voisine Camille, fan d'electro funky.





Jean-michel JARRE
REVOLUTIONS


Le 27 Janvier 2025 par FINISHERFRANKY


J'ai voulu lutter contre mes aprioris en m'intéressant à cet album à la vue de la chronique. Mais les titres annoncés comme intéressants me semblent tellement sans intérêt que je retourne à mes aprioris. Pour l’anecdote, London Kid, avec sa batterie métronomique ennuyeuse à mourir et ses mélodies aux notes détachées me rappelle des musiques que j’entendais enfant dans les rues piétonnes sonorisées et les marchés de Belgique des années 80.





Beth GIBBONS
LIVES OUTGROWN


Le 27 Janvier 2025 par STREETCLEANER


C'est un très bel album, presque parfait, une des plus belle sorties de 2024 (que j'ai d'ailleurs oubliée de mentionner dans mon top -pourtant je l'avais acheté en vinyle- car elle remonte déjà à quelques mois). Note : 4.5/5.





SONIC YOUTH
EXPERIMENTAL JET SET, TRASH AND NO STAR


Le 27 Janvier 2025 par BLUEMASK


L'album avec lequel Sonic Youth a vraiment voulu percer, après 2 albums déjà plus construits, moins bruitistes. Donc, en tant que parrain du grunge, on prend Butch Vig, producteur d'un vague succès de Nirvana, et il applique la recette: de l'indie oui, mais avec un bon gros son bien poli, soyeux et pop.
Ainsi, 'EJSTANS' est bien l'album le plus pop du groupe, le moins hermétique. Cela reste Sonic Youth, on retrouve ces embardées bruitistes, cette volonté de sortir du chemin et déraper dans la boue, mais ici de manière plus mesurée, moins centrale.
L'alchimie prend, et si nous avons là l'album le plus accessible du groupe, il reste une des meilleurs également.





Neil YOUNG
ZUMA


Le 27 Janvier 2025 par SCHLOUQ


Zuma représente en quelque sorte l'achèvement de l'élaboration du style de Neil Young, et non pas son accomplissement (le Loner poussera le bouchon largement plus loin en matière de dualité acoustique/électrique et de saturation à partir de Rust Never Sleeps). C'est le deuxième album co-crédité avec le Crazy Horse, après Everybody Knows This Is Nowhere (1969). Frank "Poncho" Sampedro a remplacé Danny Whitten, décédé d'une overdose trois ans plus tôt. En réalité, le Crazy Horse avait déjà avec Neil Young depuis 1969 : sur quelques titres de After The Gold Rush, et sur Tonight's The Night et sa tournée sous le nom des Santa Monica Flyers, où Nils Folgren assure la guitare en remplacement de Danny Whitten, augmenté de Ben Keith à la pedal steel.
Le son de Zuma est plus dense, plus saturé que celui d'Everybody Knows This Is Nowhere : on sent que le hard rock est passé par là, mais aussi une forme de mûrissement musical. Ça reste plus doux que sur Ragged Glory, Weld, ou même Rust Never Sleeps, mais le Loner a trouvé son son, celui qu'il ne quittera plus.

L'ambiance du disque est celle d'une mélancolie amère mais sereine, moins tourmentée, plus réaliste que celle de la ditch trilogy. Les compositions sont pour la plupart très agréables sans être transcendantes, ritournelles rock doucement mélancoliques comme "Lookin' For A Love", "Stupid Girl" ou le plus heavy "Drive Back". Dans le même style, l'introductif "Don't Cry No Tears" et "Barstool Blues" sont deux titres particulièrement plaisants, à la beauté diffuse sécrétée par un rythme entraînant ou une harmonie au tournant d'un refrain. On trouve deux titres acoustiques, le final "Through My Sails", enregistré avec Crosby, Stills & Nash, et le magnifique "Pardon My Heart", abîme de quiétude nostalgique.

Mais les meilleurs moments du disque sont, à mon sens, ailleurs. "Danger Bird" est bâti sur une progression d'accord solaire, jouée avec une grâce indescriptible. Les soli de Neil Young, qui n'a jamais été aussi inventif (ce larsen au début, puis le motif mélodique principal...) et son chant fragile augmenté par les chœurs du Crazy Horse expédient ce titre parmi les tous meilleurs du canadien. À l'instar de "Cortez The Killer". Cette épopée de plus de sept minutes (souvent dix en concert) s'inscrit dans l'excellence la plus stricte de sa musique. Bâti sur seulement trois accords, répétés en boucle sur un rythme lancinant, à partir desquels se construise une mélodie d'une simplicité déconcertante et des soli longs, mélancoliques, à la sensibilité accrue par leur niveau de saturation troublant, ce titre est une anomalie. Une très bonne anomalie. Personnellement, je regrette qu'il n'existe pas une version définitive, ultime, du morceau : la version studio est structuré de façon un peu bancale, tandis que les versions live (mention spéciale à celle de Weld, à écouter absolument) sont mieux construites, présentent des ajouts au niveau des solos et du chant, mais pâtissent d'un son avec à mon sens trop de reverb.
Reste que Zuma est un album imparfait, un peu inégal mais très attachant.





REACH
PROPHECY


Le 26 Janvier 2025 par MADELEINE


J’ai cru rêver tant "Prophecy" commence comme "Supremacy" de Muse. On sent d’ailleurs parfois la même influence (sur leurs deux disques) mais ça part ensuite vers un rock plus solaire et musclé, voire hard rock pour certains ("Psycho violence", qui l’eût cru). Un vrai coup de cœur pour ce groupe découvert grâce à la sélection 2024 de Gegers. Merci !

Je trouve quelques morceaux un peu longuets et répétitifs, passé l’originalité des premières mesures. Mais l’album dans son ensemble est assez classe. Mes préférés dans l’ordre : "Prophecy", "Save the world" (j’adore), "Mama Mama" (pour se réveiller en douceur), "Grand finale" et "Eviga natt". Ce qui revient à un bon 4 étoiles.





The ROLLING STONES
GET YER YA-YA'S OUT


Le 26 Janvier 2025 par BLUEMASK


Avec ´Brussels Affairs’ le bootleg de 73, on tient là le meilleur live des Stones, avec quelques versions définitives de leurs meilleurs titres. Intemporel, court, essentiel, pas besoin d’en faire 1000 pages





PSY
GENTLEMAN


Le 26 Janvier 2025 par CLANSMAN57

"Après avoir apporté à l'humanité l'une des pires chansons virales, Kim Min-seok a continué son œuvre en montant un véritable empire médiatique. Avec ses 13 milliards de vues, le morceau Baby Shark (toudoudoudoudou), est LA vidéo la plus regardée de tous les temps sur Internet."

C'est beaucoup de monde avec qui je ne pourrais pas parler, car je n'ai jamais entendu ce méga tube.
Toi aussi, ressens la tristesse de l'inculte, ainsi que le rejet:D










PSY
GENTLEMAN


Le 26 Janvier 2025 par NONO

L'occidentalisation mondialisée à marche forcée... voilà ce que ça donne ...





PSY
GENTLEMAN


Le 26 Janvier 2025 par RICHARD

Et la torture mentale qu'est "Baby Shark", vous en faites quoi ???





PSY
GENTLEMAN


Le 26 Janvier 2025 par NONO

C'est peut-être PIRE que Crazy Frog, il y sont arrivés ! .... vachement balaise !!!
Pour la note, je préfère changer de sujet...





PSY
GENTLEMAN


Le 26 Janvier 2025 par SEB


J'ai eu l'occasion/le privilège/le malheur (rayez la mention inutile mais à priori gardez la 3ème !) au détour d'un clip sur une chaîne musicale de voir et surtout d'entendre cette sombre plaisanterie Made In Corea il y a quelques jours. Sniff.

Bon je n'ai rien de particulier contre la Corée du Sud au contraire, dans la K Pop la petite dernière "Rosé" est même plutôt intéressante (Apt...). Les pays asiatiques notamment le Japon ont offert ces dernières décennies des artistes musicalement ouverts à mon sens, en musique électronique entre autres (petite préférence pour Shingo Nakamura, Takkyu Ishino ou encore Ken Ishii par exemple dans des styles très particuliers et complexes). Mais là, LÀ !

Alors...

Euh comment décrire...

Donc vous vous habillez de votre plus beau costume (ou bel ensemble pour les dames), vous prenez la soupe "Gangnam Style", versez dans une vieille casserole de grand-mère et faites réchauffer mais pas trop fort attention aux projections ça serait dommage de tâcher votre beau costume. Bien chaude vous servez ladite soupe poliment à vos invités ou à votre public très crédule dans des bols bien décorés avec couverts en argent et voilà, Gentleman !

La soupe est toujours aussi insipide et fade mais bon qu'importe c'est de la conserve ! Autant le gag "Gangnam Style" prodigieusement ridicule a fait peut-être rire (moi oui j'avoue au début, devant cette connerie de 3 minutes), c'était passable, autant là devant ce "Gentleman" on perd son humour... Quelle tristesse devant pareille affligeance réitérée. À moins que Psy se catégorise en chanteur rigolo ce dont je doute fort ! La K Pop est un genre musical à part entière porté par la nouvelle génération, Psy me parait plutôt contrenature dans ce registre, qu'il persiste plutôt dans le Rap...

Est-ce besoin de noter l'intérêt musical de ce truc ? Va pour le minimum autorisé, 1. C'est déjà trop.





Neil YOUNG
TIME FADES AWAY


Le 26 Janvier 2025 par SCHLOUQ


Time Fades Away est un album à part, peu connu, mal aimé, mais beau. On n'est pas dans la même veine, façon de parler, que After The Gold Rush ou Harvest (qui néanmoins présentait de premières piqûres avec son ambiance crépusculaire), c'est plus sombre, plus éraillé, bien que toujours aussi honnête. Cette période est, à mon sens, assez intéressante : un son plus écorché que ses précédents albums, mais plus complexe que les épopées ultra-saturées auxquelles le Loner et son Crazy Horse nous habitueront plus tard. Aux guitares grésillantes se mêlent le piano et la pedal steel, et c'est beau.
Cela dit, Time Fades Away est un album inégal, et d'autant plus inaccessible que ses titres ne sont pas d'une immédiateté à toute épreuve et que les meilleurs sont placés à la fin.
Assez bon : 1) Time Fades Away ; 2) Journey Through The Past ; 3) Yonder Stands The Sinner
Très bon : 6) Don't Be Denied
Excellent : 4) L.A. ; 5) Love In Mind
Exceptionnel : 7) The Bridge ; 8) Last Dance.

"Time Fades Away" et "Yonder Stands The Sinner" sont deux blues rock bien crasseux chantés par un Neil Young qui part en vrille, le titre éponyme lorgne même vers le hard rock. "Journey Through The Past" n'était pas inconnue des fans, et pour cause : elle avait déjà été jouée en 1971. Un piano-voix agréable, même s'il n'arrive pas à égaler son criant et brillant modèle "After The Gold Rush".

"L.A." joue avec les contrastes et les nuances entre un riff d'ouverture un peu bourrin et des circonvolutions mélodiques délectables, sublimées par les dialogues entre le piano, la batterie et la pedal steel. Autre piano-voix - la guitare folk étant inhabituellement absente de l'album -, "Love In Mind" sonne comme une parenthèse enchantée. C'est le seul morceau à ne pas avoir été enregistré pendant la tournée qui suivit Harvest : durant à peine deux - courtes - minutes, la voix du Loner redevient douce et vierge, habillant d'une autre façon la beauté des harmonies. "Don't Be Denied" nous ramène à la réalité par un riff écorché, mais pas déprimant. Un excellent morceau, bien que son côté répétitif finisse par altérer son effet au fil des écoutes.

Enfin, les chefs-d’œuvre finaux, j'ai nommé "The Bridge" et "Last Dance". L'avant-dernier titre est remarquable de par... ce qu'il confine à la perfection ? Dans ce piano-voix, les accords et la mélodie sont juste fabuleux, tandis que l'harmonica et le chant accroissent cette sensation d'une sereine déchirure. À moins que ce soit la sérénité qui soit déchirante ? De sérénité, on ne trouve plus aucune trace dans "Last Dance", conclusion terrassante, dont le charme mortifère des riffs brutaux, des mots gueulés et des harmonies écorchées met plusieurs écoutes avant de se révéler. Une espèce de crescendo à la structure complexe et répétitive, joué avec un feeling particulier, le genre de morceau qu'on trouve "blues un peu bourrin" au début, puis cruellement addictif, sorte de délivrance dans la peine. No, no, no...







Commentaires :  1 ...<<...<... 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 ...>...>>... 1134






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod