Le 27 Avril 2015 par HEART OF STEELE

Ce premier vrai album de Gathering est frustrant... Car il offre de merveilleux moments de metal raffiné, car la plasti... euh pardon la voix d'Anneke est déjà merveilleuse malgré un chant peu maitrisé (ce dont on ne peut absolument pas se rendre compte si on ne connait pas les albums suivants), et des morceaux qui, comme le dit si bien mon respecté camarade Aigle Blanc, trainent la patte.
Disons que cet album à l'époque était d'avant garde. En 2015, je trouve qu'il a mal vieilli et la production n'est pas en cause. Mais cela reste plus qu'une curiosité... Une porte d'entrée?

Le 27 Avril 2015 par AIGLE BLANC

Merci Erwin de rendre la place qui lui est due dans ces colonnes à cet artiste exceptionnel auquel me lie un attachement viscéral. Calvin a dit un jour à un journaliste du défunt Crossroads (magazine que je regrette infiniment) que si une seule de ses chansons parvenait au statut d'hymne ou de standard éternel, il s'estimerait satisfait à vie. Le bougre, il peut dormir tranquille sous l'humble pelouse qui le berce dorénavant : cette chanson, il l'a composée : c'est la putain de bouleversante, la magnifique et authentique "Crossroads".

Le 27 Avril 2015 par TERRY

J'ai changé d'avis (depuis mon commentaire de 2011, ici même) : cet album est devenu mon préféré de Lennon, et probablement un de ses meilleurs, voire son meilleur à égalité avec "JL/POB" de 1970. Un grand disque que je suis bien content d'avoir en vinyle (les volets latéraux) !

Le 27 Avril 2015 par EMMA

Je les ai vu il y a moment avec un ami qui habite sur Paris ! Ce fut un très bon concert.

Le 27 Avril 2015 par TERRY

Au sujet de "You can't catch me" : "Come together" était un plagiat de cette chanson et le possesseur des droits de la chanson, Morris Levy, intentera un procès à Lennon. Ce dernier sera quasiment obligé par voie de justice de faire une reprise officielle de la chanson. ..et dans son élan, et pendant une assez longue période, accouchera dans la douleur de cet album !
La chronique laisse a penser que ce fut l'inverse !

	Par Forces Parallèles Hello Terry, non non, nous sommes bien d'accord, il me semblait pourtant que mon laïus était clair... Je vais peut-être en reprendre qqs phrases du coup ! Bien à toi Erwin

Le 27 Avril 2015 par TERRY

Je change d'avis : ce disque est probablement le meilleur de Lennon. Il faut quelques écoutes mais au bout du compte, c'est évident (du moins pour moi). Magnifique album !

Le 26 Avril 2015 par TERRY

Quelle daube que ce disque ! Je sauve "I Am The Storm" et "The Great Sun Jester" (dans mes journées de grande clémence, et aujourd'hui n'en est pas une rien qu'à cause de la météo, je sauve aussi "The Vigil"), mais le reste est vraiment affligeant. Avec "Club Ninja", on tient assurément le pire du BÖC. Comment ont-ils pu passer de "Spectres" à ça ? "Spectres" était déjà un peu moyen par moments, mais ça allait encore quand même, il reste vraiment écoutable et respectable.
Mais là... J'aurais du me douter, à regarder la pochette (je ne parle même pas de ces dégaines et expressions faciales - Lanier, Albert Bouchard... - au verso), que "Mirrors" serait mauvais. Mais à ce point !

Le 26 Avril 2015 par AIGLE BLANC

Cet album n'est surtout pas celui par lequel il faut débuter pour découvrir l'univers de Klaus Schulze.
Malgré le fait qu'il présente un Schulze désorienté par l'alcoolisme qui le ravageait à cette époque, donc n'étant devenu plus que l'ombre de lui-même, je ne puis m'empêcher de nourrir une certaine affection pour cet opus. "Colours in the darkness" est même un excellent titre à l'ambiance dark à souhait particulièrement dérangeante. Une réussite majeure.
En revanche, le dernier titre éponyme de 24 minutes souffre d'un essoufflement bien avant la fin qui rend agaçant le principe de répétition qui le génère. Alors que le mixage, les sons et les effets sont excellemment agencés. Ce titre aurait été excellent dans un format de 10 minutes, pas de 24 interminables minutes.

Le 26 Avril 2015 par AIGLE BLANC

Quel ennui cet album ! Schulze ici, sans aucune once d'originalité, compile tout ce que sa musique a d'ennuyeux depuis une bonne douzaine d'années. Des titres à rallonge dont la durée ne se justifie jamais. D'insondables passages à vide où l'auditeur côtoie le pire néant qui soit. Seuls les sons valent le détour. La musique de Schulze est devenue avec les décennies aussi veloutée que délicate. Mais l'inspiration s'est tarie semble-t-il définitivement.
Je déconseille l'achat de cet album.

Le 25 Avril 2015 par TERRY

J'avais dit que je ne commenterais plus sur ce disque (mon dernier comm', de 2007 ; déjà !), mais entre temps, il y à environ 3 ans, je me suis payé la version anglaise originale (double 45-tours avec, dessus, l'équivalent de la face A de l'album 33-tours, qui est la version américaine), et je dois le dire (et je précise, il ne s'agit pas d'une réédition, mais de la version 1967, stéréo, que je me suis acheté), c'est du grand art.
Définitivement, la version américaine (le LP) est génial, même si la face B vient briser la cohérence de l'ensemble (pas des chansons de la bande-son du film). La version anglaise n'offre que la bande-son, et c'est 19 minutes, à peu près, de bonheur total. Avec un ordre légèrement différent, qui est : "MMT", "YMSK" sur la face A, "IATW" sur la B, "TFOTH" et "Flying" sur la C, "BJW" sur la D ! Mais ça, tout le monde ou presque le sait...

Le 25 Avril 2015 par AIGLE BLANC

Cette chronique est fort bienvenue. Irfan est un groupe culte en effet et ardemment défendu par le label français PRIKOSNOVENIE, label passionnant et fort original car spécialisé dans les musiques du Monde éthérées.
Merci à toi Heart Of Steele d'intégrer ce courant musical hérité de Dead Can Dance et Cocteau Twins.
Bonne continuation pour tes prochaines chroniques.

Le 25 Avril 2015 par KIT

assez d'accord....même si je pense que le grand mérite de ce disque est avant tout d'être
la bande son fidèle du monumental dvd .
ici, les foo fighters se révèlent en gardiens du temple rock tout à fait crédibles,
il y a un beau savoir faire dans les parties de grattes,et Grohl reste un excellent chanteur de rock,c'est déja pas si mal...si on ajoute une humilité non feinte ainsi qu'un réel talent pour
accoucher de titres à la fois mélodiques et puissants,et bien on obtient une chose pas si courante de nos jours...un excellent disque rock us.Merci les gas

Le 25 Avril 2015 par BAYOU

Pour la disco c'est en projet....

Le 24 Avril 2015 par TERRY

"Cover me with flowers of mauve", le 'truc bizarre' avc Lanegan, est une version altternative de "Oraison funèbre", qui est sur "La Mort D'Orion" (1970).
J'adore Manset, mais cet album de reprises/nouvelles versions de ses anciennes chansons ne me branche pas. Il ferait mieux de sortir enfin ses albums en CD (certains, beaucoup même, ne l'ont jamais été, et ceux qui l'ont été l'ont souvent été avec des titres en moins par rapport aux vinyles, vinyles que j'ai et dont je ne me séparerai jamais) que de faire ça ! Enfin, si ça peut le faire découvrir à certains...

A quand ses albums sur FP ? Je pense notamment à celui de 72, à "2870", "Lumières" et "Matrice".

Le 24 Avril 2015 par GURTU

Souvenirs,souvenirs...

J'ai vu ce concert au stade couvert de Liévin (Pas de calais) à l'époque.

Je m'en souviens comme si c'était hier,un Peter à la voix incroyable,la révélation paula Cole,des musiciens extraordinaires,Katché le métronome,Rhodes aucune note à côté,Shankar monstrueux (et quelle voix sur "across the river"!) et Tony dont je ne dirais rien,ce gars est au delà des superlatifs.

Le DVD est trés correct mais il valait mieux assister au concert pour avoir une vu d'ensemble.

Pendant "Secret world" j'ai eu peur que le stade,le public et même la ville soient propulsés en orbite!

En revoyant le live en vidéo,je me pose encore la même question qu'à l'époque: Est-ce vraiment un concert?

Peut-être plutôt un magnifique spectacle comme le cirque du soleil.

Le 23 Avril 2015 par LA GRIOTTE

Groupe presque anachronique... je veux l'adresse des bretelles du chanteur. Je ne m'en lasse pas. On y retourne en mai ! Pas envie de noter. j'aime et puis c'est tout et j'ai envie de mettre 5/5 à tous ceux que j'aime, justement parce qu'ils réussissent à m'accrocher, à ne pas me lasser et me ravissent écoute après écoute. Un peu comme les fleurs ; le maximum pour le pissenlit comme pour la rose. Ceux qui ne passent pas la barre de mes oreilles délicates, je n'ai pas envie de poster de commentaire. Et puis, les récompenses, les médailles et tout le tralala, c'est pour les sportifs et les militaires !

Le 23 Avril 2015 par TERRY

Je me souviens encore de ma première écoute de cet album. Des trucs tels que "c'est quoi ces claviers de daube ?", "le claviériste semble sous l'emprise de celui des Doors", "rhâââââ, ces claviers, put...de zob !", et autres allusions pas sympa-sympa envers un des musiciens (devinez lequel) du groupe, me venaient à l'esprit. Et me gâchaient l'écoute. Par la suite, c'est curieusement vers ce premier Stranglers que je revenais le plus souvent, quand j'avais envie d'écouter un de leurs albums. Rien que pour la violence de "Sometimes", le long et quasiment progressif (pour un disque de punk, car ç'en est un, fallait le faire !) "Down in the sewer", ou bien "Hangin' around" que même ma mère, en l'écoutant un jour qu'elle entrait dans ma piaule alors que le morceau passait, trouva vraiment bien. Sans oublier "Goodbye Toulouse", "Princess of the streets", le délirant (les paroles) "Ugly"...et "Peaches".

La pochette ne cessait (et ne cesse toujours) de m'interpeller, je la trouve des plus étranges, entre les teintes, le décor très glauque, ce IV chelou et quasiment inexplicable que le groupe a mis sur la pochette alors que ce disque est leur premier (apparemment, ça serait parce qu'ils sont quatre...un peu facile), ce titre latinisant qui en jette... Les voix, celle de Cornwell ou de Burnel, sont parfaites, la basse de Burnel aussi, seuls les claviers de Greenfield sont, en alternance, de vrais coups de génie (l'intro de "Down in the sewer", "Sometimes", "Hangin' around"), ou des foirades quasiment risibles, faisant penser à de la muzak de fête foraine ("(Get a) Grip (on yourself)" m'insupporte, l'intro pourtant courte de "Goodbye Toulouse" aussi), du limonaire, en quelque sorte. Mais les Etrangleurs sans leurs claviers, c'est comme les Doors sans le même instrument, pareil.
Au final, ce premier Stranglers est un sommet, malgré deux-trois fausses notes (comme je l'ai dit, les claviers sur certains titres) et une certaine tendance à la misogynie qui, présente sur quasiment tous les titres, va vite cataloguer le groupe en 'bande de petits connards'. Mais ils sont aussi, limite, plus punks que les punks (Philippe Manoeuvre en sait quelque chose, lui qui, en 1979, fut scotché à un pilier de la Tour Eiffel par ces 'petits connards' alors qu'il les interviewait, pour Rock'n'Folk, au sujet de leur album "The Raven"), tout en offrant une alternative à leur musique des plus simplissimes. Un des disques de 1977.

Note réelle : 146/5

Le 23 Avril 2015 par TERRY

Avant, j'adorais presque ce disque. Maintenant...Bof. M'en suis lassé. En revanche, "Rattus Norvegicus" et "The Raven", "No More Heroes" aussi, sont des disques qui s'apprécient de mieux en mieux au fil des années, mais "Feline" est trop daté.
Note réelle, 2,5/5.

Le 23 Avril 2015 par AIGLE BLANC

TOXIMINAL écrit : " le groupe n'a jamais composé d'album aussi diversifié avec des chansons presque progressives mais terriblement prenantes quand même." C'est l'emploi de la conjonction de coordination "mais" suivi de "quand même" qui m'agace dans sa phrase. Libre à notre commentateur de ne pas aimer le Rock progressif (après tout, je n'aime pas le Rap moi aussi), cependant dans sa phrase le fait que les chansons soient prenantes malgré leur caractère presque progressif est présenté comme antinomique. Ce n'est pas parce qu'une chanson est progressive qu'elle ne peut pas être prenante. Il n'y a là aucune tautologie. Une chanson n'est pas prenante à cause d'un ensemble de facteurs (manque de conviction des musiciens et du chanteur, carence de l'écriture ou de la composition, production inadaptée...) mais sûrement pas parce que la chanson est d'influence progressive. C'est un peu comme si des fans de Hard Rock ou de Raggae reprochaient à un Fado portugais de ne pas sonner comme la musique qu'ils affectionnent tant.

Le 21 Avril 2015 par TERRY

Un disque absolument magistral, sans doute le sommet du groupe. Une claque du début à la fin.
J'adore la voix de Steven Wilson (et sa guitare, oeuf corse).