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MUSE
THE RESISTANCE


Le 23 Octobre 2009 par A+B=A-B


Sur cet album le chanteur a enfin abandonné les chants lourds, tremblants, et chante enfin normalement sur tout l'album.
Par contre je pense que c'est ça qui fait, entre autre, que l'album est moins apprécié par ses vrais fans.





KILLING JOKE
REVELATIONS


Le 23 Octobre 2009 par JUMBO


De l'aveu même de Jaz Coleman, Killing Joke c'est lui et Geordie, alors en effet sans lui le groupe n'est rien ! ^^
Sinon, j'aime bien cet album, mais je le trouve quand même un peu moins bon que le précédent, et donc beaucoup moins bon que le premier. Pour autant, il contient son lot d'excellents titres, toute la première face étant superbe avec surtout en introduction un "The Hum" magistral, selon moi une des meilleures pièces du groupe (et je ne suis pas le seul à le penser). J'aime aussi beaucoup "Chop-Chop" et "Good Samaritan", la première "ballade" du groupe.

Concernant les références à la guerre nucléaire, j'irai même plus loin que l'auteur : pour moi Killing Joke c'est la bande-son des années 80, la bande-son de la guerre froide, la description sonore du monde apocalyptique qu'aurait laissé un éventuel holocauste nucléaire. Ce fut mon impression dès la découverte du premier LP, et ça m'a été confirmé par Jaz dans des interviews que j'ai pu lire.





The CURE
PORNOGRAPHY


Le 22 Octobre 2009 par KINGSTALKER


Album culte, "Pornography" l'est.
Bon album, là je suis perplexe.

Le groupe, dans sa volonté de toujours vouloir aller plus loin se perd... Aucune finesse ou trace d'ombres (à la différence de Joy Division) "Pornography" ressemble à un gros déballage impudique de sentiments.

Aucun morceaux ne ressort réellement (à part un) de l'album, les rythmiques sont répétitives et se ressemblent sur tous les titres.
Je suppose que c'est pour faire rentrer en état de transe l'auditeur, cela ne marche pas sur moi en tout cas.
Néanmoins, le titre éponyme s'en sort magistralement bien !

"Pornography" est un album boursouflé et ennuyeux, je retourne sur "Seventeen seconds" et "Faith"...





Miles DAVIS
LIVE EVIL


Le 22 Octobre 2009 par KINGSTALKER


Très bonne intro de Juan.
En effet, Live Evil pourrait se comparer à un festin !
Un déferlement de sons et d'ambiances !

Jamais l'ennui ne se fait ressentir même durant les titres les plus longs.
Les musiciens sont exceptionnels (John Mclaughlin, hum) et sont au service de la musique et non pas l'inverse.

Un essentiel dans toute cdthèque qui se respecte... Fabuleux !





CAN
FUTURE DAYS


Le 22 Octobre 2009 par KINGSTALKER


Voici une analyse très juste de la part d'Oncle Viande sur ce "Future days".
Album à la beauté plastique irréprochable.
Les musiciens ont augmenté leur technique d'au moins deux crans... comparé à Tago Mago.
Malheureusement, il n'en a ni la force, ni l'aura mystique et démoniaque !

Nonobstant, son raffinement et ses ambiances diffuses (très venteuse si je puis dire) en font un indispensable !





NAKED CITY
HERETIC - JEUX DES DAMES CRUELLES


Le 22 Octobre 2009 par KINGSTALKER


Tiré du livre de Serge Nazarieff, "Heretic" ne fait pas dans la dentelle.
24 titres, tous expérimentaux et improvisés, autant vous dire qu'il faut être adepte du masochisme cityen, cela tombe bien, je le suis.

Je me délecte littéralement des onomatopées du sieur' Eye... Eye qui est en fait plus qu'un chanteur, il est musicien.
Zagouilli et barourou de toutes sortes.

L'ambiance glauque et malsaine qui se dégage d'un "Sweat, sperm + blood" est toute simplement délicieuse.
Néanmoins, cet inconfort constant empêchera l'auditeur lambda de s'y plonger pleinement, les structures sont là... Pourtant, elles se sentent plus qu'elles ne s'entendent... Mais ce ne sera pas assez pour une oreille non avertie qui stoppera sa chaîne hifi au bout de 5 titres !

J'adore cet album mais objectivement, il ne vaut pas 5.





NAKED CITY
LENG TCH'E


Le 22 Octobre 2009 par KINGSTALKER


Mon avis sur ce Leng Tch'e se rapproche sensiblement de celui de Oncle Viande.
Cet unique titre est bien trop long pour plaire totalement, un sentiment d'ennui et de lassitude s'installe rapidement chez l'auditeur renforcé par une construction assez maladroite...
La montée est bien trop longue.
Néanmoins, l'ambiance souffreteuse et glauque de l'ensemble m'empêche de mettre un 1...





PORCUPINE TREE
THE INCIDENT


Le 21 Octobre 2009 par CLANSMAN57


J'adore ce groupe ! Tout ce qu'ils ont fait depuis Signify est pour moi réellement prodigieux. Dommage que les quelques riffs métal apparus à partir de In absentia, gênent des soi disant fans (quoique, sur Lightbulb sun, il y a déjà quelques riffs costauds...). Étant moi même gros fanatique de métal, cela ne me dérange pas du tout ! Et puis je ne vais pas pleurer parce que ce groupe ne fait pas l'unanimité ! Tant pis pour les réfractaires, ils ne savent pas ce qu'ils loupent. Et peut être aussi qu'on voit ici que les musiciens issus de la scène métal sont parfois plus ouverts que les autres, contrairement à ce qu'on peut penser...

En ce qui concerne The incident... Je le trouve vraiment excellent ! Plus je l'écoute et plus il se dévoile !
Le son est, comme à son habitude, énormissime et les chansons sont hyper travaillées sur tout les points, ce qui est également habituel chez l'arbre à porc épic.
Rien est à jeter ici, je trouve le concept quand même bien maitrisé, tant sur les paroles que sur le plan musical. L'exercice du concept album est quelque chose de difficile et là, encore une fois, Steven Wilson nous démontre que quoiqu'il fasse, il le fait plus qu'honorablement !
Sinon je suis d'accord, "Time flies" est le point d'orgue de l'album ! Par contre, je ne vois pas cette chanson comme un plagiat Floydien, mais plutôt comme un bel hommage à ce groupe qui est si cher à Mr Wilson. Un groupe qui hante cet artiste jusque dans ses divers projets.

J'espère que Porcupine Tree continuera à produire des albums aussi jouissifs dans le futur. Décidément, je ne peux plus m'en passer depuis quelques années désormais... Leur musique me parle, je me sens plus que bien en les écoutant et...ils me font planer au max !
Je les remercie du fond du cœur d'exister!





QUEEN
QUEEN II


Le 21 Octobre 2009 par H.M.


2 étoiles pour QUEEN II, autrement dit, suivant le code, un disque moyen...
Pas d'accord. C'est pour moi, comme pour d'autres qui ont déjà posté leur commentaire, l'archétype du style QUEEN, presque à égalité avec ANATO. Je dis presque parce qu'en fait, je le place encore un peu au dessus de ce dernier. Aucun autre groupe ou artiste solo n'a jamais poussé aussi loin le travail sur les vocaux, aussi bien lead que chœurs. Je n'y trouve aucun titre faible. Seul celui de Taylor est disons, seulement moyen. Tout le reste navigue entre le bon ( Funny how... ), l'excellent ( Father to son, White queen, Some day one day ) et le grandiose ( toute la face II, qui fut un choc musical majeur pour moi en son temps ).
Après ANATO, ça commence à se gâter, ils passent moins de temps en studio ( News of... une merde indigne de leur talent, hormis 3,4 titres ), recherchent l'efficacité, avec un talent certain d'ailleurs, plutôt que l'inspiration.
Dans les années 80, j'ai longtemps souhaité qu'ils reviennent à leurs premières amours, les disques ultra complexes, ultra travaillés et ultra mélodiques, le tout avec cette débauche d'arrangements vocaux qui était à cette époque leur signature sonore. Les 4 premiers, quoi... Mais ils ne voulaient plus se casser trop la nénette. Tant pis.
Un chef-d'oeuvre méconnu et, à mon avis, bien plus facile d'accès que ne le dit le chroniqueur. 6 étoiles sur 5.





NAKED CITY
LENG TCH'E


Le 20 Octobre 2009 par FRYER


Et oui, l'écoute de Leng tch'e doit se faire dans des conditions spécifiques. Non, ce n'est pas Torture Garden. Ou ce dernier nous infligeait une violence brute ou tout était excès, Leng Tch'e est plus sournois, plus viscéral. Il atteint plus son but également
Il est clair que cet album s'apprécie non pas en fonction des notes jouées mais bien en fonction de l'atmosphère que celui-ci dégage. Je pense que l'aficionados de drone doom prendra parfaitement son pied ici. C'est pour cela que je trouve que la mention du style pratiqué ici un peu faussé. Drone Doom/jazz extrême conviendrai mieux


Je ne critique en aucun cas la chronique d'oncle viande (qui me fait le plaisir d'ajouter ce disque sur ce joli site) puisqu'ici c'est bien une note donné en fonction de son ressenti.
Il faut se dire, que je ne mettrais surement pas 5/5 à Absinthe qui, pour moi, est une vaste blague qui ne met fait ni chaud et surtout ni froid.





RENAUD
MISTRAL GAGNANT


Le 20 Octobre 2009 par EL PACHENKA

Erreur de ma part : "Allongé Sur Les Vagues" est sur l'album suivant, "Putain de Camion". Avec toutes mes excuses!





BAT FOR LASHES
TWO SUNS


Le 19 Octobre 2009 par A.T.N.


Ecouté récemment, après les avoir vus en première partie de Radiohead. Un très bon album. A suivre...





EMERSON, LAKE & PALMER
TARKUS


Le 19 Octobre 2009 par YEC'HED MAT


Je le trouve génial cet album: ce son inimitable, cette ambiance et le talent des musiciens. En 2009, écouter Tarkus c'est un véritable dépaysement, un voyage.





YES
RELAYER


Le 18 Octobre 2009 par FRANCK


Excellent !
La patte de Patrick Moraz, la folie de " The Gates of Delirium"...
Du grand Yes.





PORCUPINE TREE
FEAR OF A BLANK PLANET


Le 18 Octobre 2009 par OLILOL


Ça confirme bien ce que je pensais. Porpucine Tree est un très bon groupe, mais les morceaux "épiques" ne leur vont pas.
Anesthetize est beau, mais pas homogène, ça me rappelle aussi Rush dans les années 70. Ils faisaient des trucs supers, mais les morceaux longs ça équivaut à plusieurs chansons collées et puis pour rappeler que c'est le même morceau, on reprend le thème premier au final. Or, les vrais groupes de rock progressif ne faisaient pas ça. Quand on regarde Tarkus de ELP, Echoes, on comprenait, j'ai envie de dire, que c'était une seule chanson.





RENAUD
MISTRAL GAGNANT


Le 18 Octobre 2009 par EL PACHENKA


J'en garde quelques bons souvenirs de cet album que le chauffeur du bus scolaire passait souvent sur la route."Miss Maggie" avait scandalisé de l'autre côté de la Manche. Je le trouvais souvent marrant Renaud avant qu'il se prononce comme mitterrandien agaçant lors des campagnes pour les présidentielles de 1988. Il n'y a rien de plus pompeux de mêler souvent musiques et partis politiques. Reécouté il y a quelques temps, "Allongé Sur Les Vagues" et "Tu Vas Au Bal" restent drôles : "Petit pont.....de bois!".





GENESIS
DUKE


Le 17 Octobre 2009 par KINGSTALKER


Duke fait suite au premier album trio (l'agréable and then there were three) du groupe...
Et je dois dire qu'il est vraiment bien (comme la suite de toute façon, si on reste objectif).
Les compositions sont encore assez alambiquées et les ambiances sont là.
Seulement, si il y a un défaut que l'on peut trouver à ce Duke, cela reste sa trop grande longueur...
Qui le rend un peu dur à digérer et par la suite, surtout sur la seconde face. Grâce à cet album, le groupe atteignait la première place des charts anglais, on peut dire qu'ils y ont pris goût car ensuite, ils auront tout fait pour l'être encore.

Niveau visuel par contre, quel horreur...
Et ce sera une constante à partir donc de 1980 jusqu'à la fin de leur carrière.
Et la plupart seront encore plus moche que celle-ci (abacab, genesis, invisible touch)... Pour beaucoup, c'est le premier signe de la décrépitude artistique de genesis.
Faut avouer que après des albums plutôt travaillés (mais des fois très mauvais malgré tout) niveau compositions, la pop putassière fait un peu mal.

Mais jamais le groupe n'avait été aussi parfait (à partir de cet album jusqu'à invisible inclus), clean et pro...
Fini les longues épopées soit disant progressives (comme l'infiniment mauvais supper's ready) de la genèse, bienvenue aux morceaux de 4-5 minutes et je trouve que ce style sied parfaitement au groupe qui jamais n'a eu l'air aussi épanouis que durant les eighties.
Et cela s'entend, le trio s'entend à merveille.
Du coup, la cohésion et l'alchimie des membres est forte et du coup l'album. De ce fait, même szi un album de genesis était mauvais, il resterait agréable à écouter.


Duke représente la première phase de la métamorphose de ce groupe atypique qu'est genesis...
Cette période entre modernité et tradition, un duel entre synthé et quelques schémas progressifs!
Voilà ce qu'est Duke, une recherche du groupe qui n'a jamais en fin de compté été aussi expérimental que sur Duke et Abacab.
Expérimental pour le groupe, pas pour la musique en général... Expérimental dans le sens que passer de pop progressive à la pop que j'appelle américaine des eighties est déjà une expérience en soi.

Pourtant cette reconversion n'eut pas les effets escomptés sur les "fans" passéistes du groupe.
Ces même fans qui pensent que Peter Gabriel est le plus grand chanteur que la Terre ait porté...
Et que genesis fut le groupe le plus révolutionnaire du XXème siècle, ne rigolez pas, je sais que sur Terre, il en existe!

Musicalement, le groupe nous laisse où il nous a laissé avec and then there were three... C'est à dire à une pop teintée de schémas progressifs et de synthétiseurs.
Volonté d'évoluer du groupe, de passer du mellotron assez bordélique dans son fonctionnement à la simplicité du synthé.
Personnelement, j'ai toujours préféré le mellotron qui a un son beaucoup plus chaud que le synthé plus robotique, je dirais.
Mais Tony Banks n'a jamais su réellement se servir d'un mellotron, et ce n'est pas l'intro mal foutu de watcher of the skies (sur foxtrot) qui va prouver le contraire.
Et ne dites pas qu'on en était qu'au début... King Crimson dès 1970 avec le morceau the devil's triangle nous avait prouvé qu'on pouvait de belles choses avec un mellotron.
Et je ne vous parle même pas de ce qu'on trouve sur l'album Lizard (là, c'est carrément fabuleux... Bien foutu, clair et fluide).
Le premier qui me dit que l'intro de watcher of the skies est fluide, je rigole. Ce serait de la mauvaise foi...Et pourtant, cela se passait deux ans après les albums in the wake of Poseidon et Lizard. Faut pas déconner.
Par contre, Banks a toujours été un claviériste hors-pair (malgré quelques couacs) et donc un "synthétiste" talentueux.
La trio à Charterhouse a par contre augmenté d'un cran ses envies pop sur cet album...
bien sûr, il pouvait encore laisser penser à un retour vers le progressif (à partir d'abacab, plus la peine de l'envisager) comme le témoigne, ces deux tubes en puissance que sont misunderstanding et turn it on again.
Deux titres, simples, agréables et bien fait... Que demande le peuple?
Ce qui fait la force et l'originalité de l'album reste sa relative hétérogénéité... Dans le sens où, chaque compositeur à son titre...
Dans ce sens, on comprends vite que les titres mélancoliques sont de Collins qui était alors en plein divorce. Il en aura eu combien au fait?

Duke passe de titres mélancoliques comme Alone Tonight et please don't ask à des titres bien rythmés et burnés finalement, ce que genesis fait de mieux avec le très bon starter et qui sonne encore moderne aujourd'hui Behind the Lines.
Mais, la pièce de résistance reste Duchess, de son début lent et calme jusqu'à sa montée pleine de gaiété et de bonne humeur.
De la finesse dans ce monde de brut, cela ne fait aucun mal de temps en temps.

Malheureusement, quelques titres n'apportent rien et cause l'ennui comme cul-de-sac qui démarre en fait très bien avec une superbe intro au piano (qui ne vaut pas celle de firth of fifth toute fois) mais qui en fait est trop longue et cause l'ennui. Le titre est, je pense, mal composé... Et je trouve aussi que c'est le seul titre de l'album qui a mal vieilli. Le synthétiseur sonnant de manière assez poussive ici... Peut-être un peu long pour laisser l'auditeur endormi.
3 minutes auraient mieux convenu à ce titre.
Niveau mauvaise surprise, j'appelle Man of our times qui est mal composé elle aussi et qui est sûrement trop longue...Faire des chansons longues reste un des exercices les plus délicats que l'on peut demander à un compositeur car il faut faire tenir l'auditeur, évité de plombé sa musique avec un schéma trop simple et évidemment trouvé la bonne mélodie.
Certes man of our times n'est vraisemblablement pas un titre long mais bon... On retrouve quand même ce problème, je pense.

Finalement, les meilleurs titres que l'on peut trouver à l'album reste les ballades.
Comme la sincère et pleine d'espoir Please don't ask...Qui a atteint son but, c'es-à-dire toucher l'auditeur.
Après, cela change selon l'auditeur... Mais, objectivement, le titre est plutôt bien conçu.
Ou encore la suite qui clôt l'album à savoir Duke's Travel et Duke's end...
Deux titres donnant une vraie leçon de musique pour le coup.
Duke's travel est un morceau assez alambiquée dans sa structure et rythmé... Duke's travel est sûrement la meilleure pièce de l'album (même si je préfère duchess). Prenante de bout en bout, les 8 minutes de ce titre passent malheureusement trop vite.
Duke's end reprend l'intro de Behind the lines et clôt de manière magistrale un disque de haut niveau.

Le morceau initial devait durer 28 minutes... Elle comprenait les titres Behind the line - Duchess -Guide Vocal - turn it on again et le dyptique final mais les membres du groupe avait bien compris que cela ne collait pas avec ce qu'ils voulaient!
Ils ont donc éclaté le morcau en plusieurs parties disséminées dans l'album!
Ensuite, Duke aurait du être un album concept sur la star system de l'avènement jusqu'à la chute.
Mais, on ne peut parler de concept avec Duke car les titres conceptuels (qui sont les sous-parties de ce qui devait être la grande pièce) sont à côté de titres qui n'ont rien à voir avec...

Duke est aussi l'album le plus authentique de Genesis, toutes périodes confondues. Comme en témoigne, les dires de l'ami Rutherford:
« Avec Duke, tout coulait de source, on faisait notre musique sans chercher à coller à un modèle. Le disque le plus facile à enregistrer »
Duke est le manifeste d'un groupe de pop rock clairement doué, même si ils n'ont pas toujours été super (ils ont même été mauvais), mais aussi inégal.
Avec cet album, ils font ce qu'ils savent faire de mieux de la pop tout en se permettant quelques incartades progressives!

Malheureusement, Duke souffre quand même de quelques défauts.
Comme 2/3 titres plus faibles (mais toujours potables quand même) ainsi que d'une longueur empêchant l'auditeur de toujours s'y plonger pleinement...
Mais ne boudons pas notre plaisir, Duke reste un très bon album!
Ainsi que le premier jalon vers le succès ainsi que le premier épisode d'une série pop et commerciale pourtant terriblement accrocheuse et bonne!


PS: Si je posais une canditature, qu'est-ce qu'on me dirait?


Par Forces Parallèles

Cher Kingstalker, je te propose de venir sur le forum pour en discuter tranquillement.

Erwin





CAN
MONSTER MOVIE


Le 17 Octobre 2009 par POST N°LOG5+2COS(E)


C'est toujours étonnant de voir des professionnels en musique (professionnel dans le sens musiciens diplômés ce qui est souvent loin d'être le cas dans le rock), leur reconversion est certes étonnante mais en regardant un peu plus les bio des membres, on comprend pourquoi ce groupe de musique expérimentale, parfois vraiment pas accessible, a quand même su faire en sorte qu'on les remarque encore maintenant.
D'ailleurs je tiens aussi à dire que le fameux mouvement "krautrock" en allemande comprenait pas mal de cas comme Can, c'est-à-dire des Berlinois ayant eu des formations classiques mais s'étant quand même lancés dans le rock, sans toutefois avoir une bonne culture en pop rock, et accros aux drogues dures comme à l'époque du psychédélisme dans les années 60, ce qui expliquerait aussi les aspects assez innovateurs, et fort différents des autres mouvements progressifs de l'époque.





PINK FLOYD
THE WALL


Le 16 Octobre 2009 par KINGSTALKER


Au départ, il y eut Kapilavastu. Petit royaume mené de main de maitre par un roi nommé Shuddhodana. Sa femme, Mâyâ, eut un fils, elle mourût pendant l'accouchemet. Son fils fût appelé Siddhârta. Il était chétif et très malade. Il n'était pas comme les autres. Ohlala avant de continuer, faut que j'explique les castes.
Il y a 4 castes en tout, les Brahmanes, les soldats, les gens dits normaux et les esclaves. Ils vont dans l'ordre décroissant sur l'échelle de l'importance humaine.
Siddhârta était de la caste des soldats (nobles) et il ne comprenait pas pourquoi les hommes des autres castes leur étaient inférieur ( à part les brahmanes qui leur était supérieur).
Voici comment commença le parcours de notre jeune ami, SIddharta. Son père voulait qu'il se marie avec une jeune femme, très belle, elle se nommait Yashodara. Fille du conseiller du roi. Siddharta a accepté malgré qu'il n'aimait pas cette femme. Siddharta lui a même fait un enfant. De plus en plus en colère avec le monde qui l'entourt, il décide de ce rendre sur un des piliers du palais pour méditer. Son père fou de rage va essayé de le faire partir sans résultat. Sa mère, entre temps le roi s'est remarié, à tenter de le résonner rien à fair, il voulait devenir moine. Il partit en promettant de revenir à sa femme.
Durant ce résumé, j'ai oublié un détail important, durant un de ces nombreux coup de tête, il sortit du palais pour se promener. Il fit la connaissance d'un homme, Tatta. Ce dernier essayait de se servir de Siddharta pour anéantir le pays de Kosala, avec qui il avait eu d'énormes différents. De plus, Kapilavastu était rival au pays de Kosala, Siddharta en tant que futur ascète refusa.
Tatta n'allait pas s'arrêter sur ce refus, comme vous le constaterez plus bas.

Des années plus tard....
Siddharta a rencontré durant son périple, un moine du nom de Dêpa. Dêpa se trouvait dans une cabane de chasseur. La famille de ce chasseur, leur avait en fait accordé l'hospilaté. AInsi, Siddharta connut Dêpa. L'aîné du chasseur, le chasseur avait en fait 32 enfants, voulait aussi devenir moine mais avait l'air débile, il était petit et se nomait ASsaji ( je l'appelerai petit, nain, minus etc...). Cependant, Siddharta s'accrocha à lui. Dêpa n'en voulait pas.
Mais le petit les suivait et tombit malade. Siddharta le prit sur son dos et avec Dêpa se relayèrent la charge de porter le petit. Ils finirent par trouver une ville, dont j'ai encore une fois oublié le nom, au départ le général qui gardait la ville ne voulait pas d'eux. Mais Siddharta et Dêpa ne voulaient pas abandonner, ils empilèrent des pierres pour faire comme un escalier et réussirent à rentrer dans la ville. La ville n'était qu'un gigantesque cimetière.
Le général les vit et leur expliqua qu'une épidémie avait tué tous ces villageois. La princesse, car il y en avait une, arriva juste au moment où le général allait les tuer.
Elle fit preuve de clémence en voyant Siddharta, le général leur imposa alors un défi.
si ils n'arrivaient pas à soigner le petit avant demain, il les tuerait.
En fait, le petiot avait juste une égratignure qui s'est infecté, siddharta n'a eu qu'a retirer le pus malgré son dégout et à faire manger au petit de la moisissure.
Le petit était guérit et ils partirent. Le petiot, avait eu une vision pendant qu'il était mourant.
Des divinités lui avait annoncé la date de sa mort (dans 10 ans)et comment il allait mourir, il apprit aussi qu'à partir de maintenant, il aurait un pouvoir de devin jusqu'à la fin de ses jours.

Ils allèrent alors au pays de Mahgda (ou quelque chose approchant) où ils firent la connaissance du roi. Le petit avait alors une sacrée réputation. Le roi lui demanda quand il allait mourir. Le minus lui répondit qu'il allait mourir dans 20 ans. Assassiner par son fils.
Il fut pris alors de panique mais ne le montra pas.
Il a alors convoqué Sidharta qui avait une sacrée prestance, pour lui demander de lui enseigner à ne plus avoir peur de la mort. Il ne put rien lui répondre et ils parlèrent amicalement de leurs vies respectives à la place. Dêpa voulait partir, il voulair à la fôret de l'ascétisme. C'était un lieu terrible où les ascètes se rendaient pour justement pratiquer l'ascétisme, les épreuves étaient particulièrement difficile. Siddharta se posait de plus en plus de question sur la mort et sur les castes, ne comprenant pas cette discrimination dangereuse entre castes.
Il commença alors une épreuve difficile, faire un jeune pendant des mois avec seulement de l'eau.
Il voulait devenir comme un arbre et il le réussit. Pendant deuxmois, il fit jeun. Il deveint tout maigre et son teint, jaunatre.

Il fut sauver de la mort par une jeunne fille, Cujata elle s'appelait me semble-t-il. Cujata était amoureuse de lui et l'observait depuis longtemps, elle le nourrit dans un endroit caché, car elle n'a pas le droit de s'occuper des ascètes. Il ne faut pas les déconcentrer. C'est dans cette cachette qu'il revit Tatta.
Tatta avait un énorme problème, sa femme, Miguéla était gravement malade.
Siddharta s'occupit d'elle chaque soir. En fait, elle avait eu une fausse couche et devint gravement malade. Des abscès apparurent sur tout son corps et elle était souffrante et mourante.
Siddharta lui donnait des plantes médicinales et comprit ce qu'il fallait faire. Il fallait aspirer tout le pus que renfermait ses abscès qui lui rongeait le corps. Cela dura un an et Miguéla eut la vie sauf.
Bien avant,Dêpa avait observé Siddharta et l'avait vu aspirer du pus à Miuéla, il pensit alors qu'il s'adonnait au plaisir de la chair.
Dêpa était un vrai imbécile. Depuis le passage à la ville cimetière jusqu'à ce jour s'était passé 9 ans. Le petit n'avait plus que quelques mois à vivre. Et était souriant malgré tout, il continuait à faire des prophéties à ceux qui lui demandait.
Sujata est tombé, elle aussi malade. Un cobra l'avait mordu. Son père a alors appelé Siddharta, ayant eu vent de ses talents de guérisseurs. Il rentrit dans l'esprit de la fille, il avait presque atteint l'éveil, et il vut Brahmâ ( le cosmos en indien).
Il lui apprit que le cosmos n'était constitué que de fragments de vies. Les animaux, les plantes et les humains forment une grande famille. Brahmâ dit à Siddharta qu'il n'avait qu'à prendre un fragment de vie. N'importe lequel, nous sommes tous semblables. Et la vie revint à la vie et Siddharta repartit.
Le petit qui avait tout compris depuis longtemps était un génie. SIddharta lui demanda s'il pouvait pratiquer la méditation avec lui. Il accepta bien entendu.
Le petit avait dit, entre temps, à Siddharta comment il allait mourir. Il allait être dévoré vivant par des animaux. C'était la période de sécheresse.
Et ce serait ce soir. Toute affolé, Siddharta accrocha le petit à la branche d'un arbre. Et le surveilla toute la nuit. Au petit matin Siddharta s'endormit. Des rongeurs, rongèrent les cordes qui retenaient le nain. Siddharta se réveilla et vit qu'il s'était endormi. Il paértit à la recherche du petit et le trouvit.
Il était allongé devant un nid de louveteaux. Le petit vit qu'ils étaient affamé, un sourire apparût sur son visage quand il vit les parents arrivés. Il dit, allez-y mangez moi. Et il mourut devant Siddharta qui ne pouvait rien à faire.
Il allait alors sous un arbre pour méditer. Un géant du nom de Yatara vint à jour et compta son histoire à Siddharta. Siddharta lui apprit quelque chose.
Il dit:
"Comme les arbres, les plantes, les animaux, les montagnes, les rivières, les êtres humains existent et cohabitent sur cette terre, cela a une profonde signification. Les êtres vivants sont tous reliés les uns aux autres et au sein de cette relation chacun à un rôle unique à remplir, si tu n'existais pas, quelque chose serait déréglé dans l'univers. Ton rôle est donc très important."
Brahmâ apparut plus tard, Siddharta avait compris qu'il avait atteint l'éveil, il avait ouvert son coeur. Mais ne le comprenait pas. Il fallait que quelqu'un lui dise. Brahmâ lui dit alors qu'il avait atteint l'éveil et lui expliqua sa mission. Il devait enseigner son savoir aux autres, il enseignerait sous le nom de Buddha....qui signifie l'éveillé....


Alors pourquoi tout ça? Pour me demander quel est l'intêret de cet album. Bah oui, si nous avons tous une fonction à remplir chez les humains, ça fonctionne aussi dans la musique.
Moi je sais à quoi, il sert à remplir l'égo démesuré du notre ami Waters.
Franchement, des albums composés de morceaux si courts qu'on dirait des interludes, non merci.
Aie caramba, sûrement le pire album du floyd. Il a aucune utilité par conséquent, il sert à rien. Par conséquent, il n'a pas de raison d'être.





The ROLLING STONES
THEIR SATANIC MAJESTIES REQUEST


Le 16 Octobre 2009 par KINGSTALKER


Si on me demandait quel album des Stone j'emporterai sur une île déserte, ma réponse serait their satanic majesties request.
Leur album barge et psyché, leur chef d'eouvre quoi. Il faut savoi que je ne suis pas un énorme fan des Stones (ne me tapez pas) et que j'ai notamment du mal avec leur période plus "rock" ( je vous avais dit de ne pas me taper, aïe) qui est souvent considéré comme la meilleure.
J'ai toujours eu une préférence pour le rock psychédélique, c'est comme ça. Et tout le monde l'a compris, dans le genre psyché les Stones ne feront jamais aussi jusqu'au boutiste et réussi... C'est bien simple les perles "folkloriques psyché" (héhé) s'enchaînent du début jusqu'à la fin et c'est le panard.
Une douce odeur de folie se fait sentir dans votre chambre et salon, c'est normal, le diable est avec nous et il a envoyé ses suppaux (pas suppositoires, non) diaboliques pour nous guider dans son antre, voilà la requête de Satan, écoutez-là avec attention, des trucs comme ça, il n'y en a pas tous les jours.
Plus psyché que le sergent poivre des beatles, moins niais que les sons animaliers des garçons de plage, their satanic majesties request ( qui fait référence à la pochette du sergent poivre et du tour magic et mystérieux[merci clash pour le rapprochement]) est clairement le pendant de la force.

C'est aussi un album où nombres de guest font leur apparition, on pense notamment à nos amis John Lennon et Paul McCartney au niveau des cheours du premier titre (sing this all together) ainsi que de Jonesy (avant que le Zep' ne se forme) sur les orchestrations malgré tout ça, l'album fut un échec autant public que critique (bande de cons, va) et il est toujours un des albums les moins bien considérés du groupe londonien... Et je dois dire que j'essaye de comprendre encore pourquoi.
Sachant que, par exemple, she's a rainbow est encore fréquemment utilisé pour des publicités ( le premier qui me dit qu'il n'a jamais entendu ce chef d'oeuvre, c'est bien simple, je le dézingue).
Peut-être parce qu'ils font dans le psyché? Ridicule vu que c'était la mode de l'époque et que à peu de choses près tout le monde aimait ça (merci aux beatles). Ne pas aimer cet album relève de l'obscurantisme culturel le plus total. Peut-être est-ce le fait qu'en 1967, nombre d'albums sont sortis et que celui-ci est passé relativement inaperçu, je pense notamment à After bathing at Baxter des jefferson airplane, du premier album des doors ou encore du are you experienced? du jimi hendrix experience.

Comment résister à la seconde partie (si je puis dire) de sing this all together totalement barré, à la mélodie de in another land qui nous envoie effectivement dans un autre pays...La Mongolie peut-être et ses steppes glacées. Et puis bien sûr à la si jolie she's a rainbow et son refrain culte de chez culte ainsi quà ses violonnades sonnant résolument médiéval surtout quand elle se la joue à la John Cale!On ne peut pas où alors faut vraiment se récurrer les oreilles avec un balai à chiottes (comme l'avait dit en son temps koamae en le sein du royaume rock fever, mené d'une main de maitre par clash et ses 3 conseillers)...

L'ambiance médiéval de l'album en fait sa force (je pense au rythme de la seconde partie de sing this all together) ou encore aux sonorités sonnant très orgue de Barbarie sur in another land...
En fait, their satanic majesties request est un voyage d'une finesse rare assez court néanmoins (41 minutes). Un voyage éblouissant dans le passé autant dire que Satan va être content, ses suppaux ont bien répondu à sa requête...







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