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ALICE IN CHAINS
FACELIFT


Le 15 Août 2024 par PET_EN_GUEULE


Bizarre quand même de ne pas évoquer "Love, Hate, Love" qui est un sommet d'Alice In Chains.





Kate BUSH
THE RED SHOES


Le 15 Août 2024 par FOUDROCK


Album souvent mal-aimé. Bin, ce n'est pas aussi grandiose que ce que Kate a fait avec ses quatre précédents opus. Mais sincèrement, il y a du terriblement bon ici ("Lily", "Rubberband girl", "Top of the city", le morceau-titre, "Why hould I love you" avec Prince...). Après, je ne peux pas encaisser "Eat the music" et l'album est un peu trop long, 55 minutes, il me semble.
Mais dans l'ensemble, "The Red Shoes" mérite qu'on s'y attarde.





Kate BUSH
NEVER FOR EVER


Le 15 Août 2024 par FOUDROCK


Le premier chef-d'oeuvre absolu de Kate (non pas que les deux précédents ne soient pas bons, "The Kick Inside" est même totalement remarquable ; mais "Lionheart" nettement moins). Rien à jeter. Des chansons qui filent des frissons ("Breathing", "Army dreamers", "Delius", "Egypt" et son final chelou), des moments de folie pure ("Violin" ; un seul morceau est concerné par cette folie, mais bordel, il n'y va pas par quatre chemins, Kate y est vocalement débridée).
Un album magique, magnifique.





Kate BUSH
HOUNDS OF LOVE


Le 15 Août 2024 par FOUDROCK


Un double chef-d'oeuvre. Double car en fait, on a ici deux mini-albums, un par face, et très différents l'un de l'autre, ils sont tous deux exceptionnels. La face A, titrée du nom de l'album, est la face "pop", avec les hits, notamment le monumental "Running up that hill" qui est incontestablement ma chanson préférée au monde, tous genres, artistes, périodes confondu(e)s. "Cloudbusting" et "The big sky" pas loin derrière.
La face B, "The Ninth Wave", assez expérimentale par moments, exige quelques écoutes, mais des morceaux comme "Hello Earth", "Watching you without me", "And dream of sheep" sont à tomber. Et on ne se remet jamais totalement de "Waking the witch".
"Mais quel album, putain !", comme le dirait très certainement le roi d'Angleterre si on le lui faisait écouter.





Bernard LAVILLIERS
ETAT D'URGENCE


Le 15 Août 2024 par FOUDROCK


Un des albums les plus torturés et sombres de Lavilliers, et un des meilleurs (mis à part la chanson "Vegas", que du super bon ici). Encore une fois, après "Pouvoirs", une chronique incompréhensible, mais je constate que je ne suis pas le premier, loin de là, à m'en plaindre.





Kate BUSH
THE DREAMING


Le 15 Août 2024 par FOUDROCK


Un des meilleurs de Kate. Entre le précédent opus et "The Sensual World" en 1989, on a quatre albums très différents et, tous, absolument essentiels et mémorables.
Celui-ci est le plus chelou, le plus difficile d'accès, carrément pas commercial (le single, "Suspended in gaffa" n'est pas du genre radio-friendly, avec ses cris de fauvette prise dans un filet électrifié), mais c'est une vraie merveille ("Putt out the pin", le morceau-titre, "Houdini", "There goes a tenner") dont je ne me lasse pas. Mais la première écoute fut dure.





Mike OLDFIELD
FIVE MILES OUT


Le 15 Août 2024 par MARCO STIVELL

Réécoute nécessaire de deux fois en deux jours, et toujours autant de plaisir.
On peut refuser toute sa vie de prendre l'avion, mais ici, le commandant Oldfield peut nous amener où il veut, au gré de ses humeurs et même dans les tempêtes, manquant plusieurs fois de se crasher...
"Taurus II" est génial de bout en bout, ce mélange de mélodies douces et de riffs acérés comme seul lui peut en faire, la voix de Maggie Reilly utilisée de façon multiple (Fairlight compris), la cornemuse de Paddy Moloney dans sa seule (?) transposition au rock et peut-être encore plus émouvante depuis son décès... et puis ce "trois-quarts pop" en décollage optimiste, même si souvent surnommé "passage Michèle TORR", QUEL PIED !!!
"Family Man" et son groove imparable, chanson collective en plus, "Orabidoo" dont on a toujours trop tendance à occulter la seconde moitié (pourtant ce final Maggie-guitare acoustique, quelle merveille, si rare chez Oldfield depuis l'époque The SALLYANGIE avec sa sœur), "Mount Teide" qui donne vraiment l'impression de tourner dans les airs autour du volcan, enfin "Five Miles Out" pour un duo de voix et Mike qui se démultiplie lui-même avec ses effets.
Un voyage aérien qui ne requiert que l'attachement de la ceinture. Ensuite, ce n'est que magie (et parfois Maggie)...





INTERPOL
ANTICS


Le 15 Août 2024 par RICHARD


Je reste intimement persuadé que les Américains ont tout donné à travers leurs deux premiers albums. J'ai toujours la faiblesse d'acquérir chaque nouvelle production mais je n'y retrouve jamais cet univers élégant, racé et mélodique. A sa sortie, j'avais trouvé Antics en deçà de Turn On car plus hétérogène dans ses ambiances. Avec un recul de deux décennies, c'est justement cet aspect qui me séduit. Si l'ensemble demeure froid (dans un sens très positif), ses effluves pop le rendent terriblement attachant. Antics est sans conteste un classique des années 2005 à l'image du superbe "A Time To Be So Small " qui le conclut.





SLASH
ORGY OF THE DAMNED


Le 13 Août 2024 par LONG JOHN SILVER

Je cite : "Oh Well" de FLEETWOOD MAC période Peter GREEN, un morceau probablement trop british pour SLASH"...

Ok mais ce bon vieux Saul Hudson est anglais !

Il vrai qu'il est arrivé à L.A. assez jeune, donc je comprends le motif.

Sans quoi cet album est plutôt une bonne denrée en dépit du fait qu'il entasse les tartes à la crème.

Moi qui baillait à l'écoute des Snakepit, Velvet Revolver et autres Myles Kennedy and the Conspirators, me voilà déçu en bien !





Bernard LAVILLIERS
NUIT D'AMOUR


Le 13 Août 2024 par BERTRAND


Si ma mémoire est bonne, cet album a remporté le Prix de l'Académie Charles Cros, même s'il est un peu en dessous des deux précédents. A cette époque, les concerts de LAVILLIERS sont démentiels. Sur "C'est du Rock'n'roll", il fallait le voir porter son guitariste, Jean-Paul Drand dit "Hector", sur ses épaules et parcourir la scène de cette façon en vociférant son texte. A part ça, ce disque est sombre comme sa pochette. Le chanteur entre dans une période chahutée.





INTERPOL
ANTICS


Le 13 Août 2024 par BLUEMASK


Finalement, le temps fait de ce disque une des pierres angulaires de cette période revival-new wave du début des années 2000. Bien sûr, Joy Division saute aux oreilles, mais pas seulement. Interpol se fait plus élégant, plus racé, pas forcement moins sombre, mais plus pop, en tout cas avec sa personnalité propre. Et puis, au final, une fois retirés les oripeaux du contexte, de la légende, de l'histoire, je prends plus de noir plaisir avec 'Antics' qu'avec n'importe quel disque de la bande à Curtis. Superbe





Bernard LAVILLIERS
O GRINGO


Le 13 Août 2024 par BERTRAND


Pour s'initier à l'oeuvre du Stéphanois (il n'est jamais trop tard), quel album choisir? Ne cherchez plus, c'est celui-ci. Rock, salsa, bossa nova, reggae : comme déjà relevé dans les commentaires précédents, il y a tout ici. Un album "Live Tour 80" suivra, mais les versions originales enregistrées avec la crème des musicos de Kingston, Rio ou New York s'imposent. Des stars internationales comme le pape de la salsa Ray Barretto (congas) ou le Jamaïcain Robert Lyn (piano) jouent dans cet opus.





PINK FLOYD
PULSE


Le 12 Août 2024 par BLUEMASK


En terme de musicalité, ce live mérite un vrai bon 5. L'artwork est magnifique, le groupe symbiotique, l’interprétation parfaite, le son parfait. Il y a des versions folles de leurs meilleurs titres (celle de 'Comfortably Numb' est grandiose), et même les titres de 'Division Bell' et 'Momentary' sont grosso-modo excellents (à part 'What do you want from me', mais le titre est moisi, il y a avait bien d'autres titres à piocher sur ces albums post-Waters).
Mais 2 choses viennent ternir l'enthousiasme.
Le côté 'best of' de la set-list, accru par la répartition des titres, avec 5 titres du dernier album/2 du précédent sur le premier disque, histoire de justifier la tournée, et les 16 autres, dont l'intégralité du second disque composé de ce que l'on espère tous (c'est paradoxal, je sais), et de l'intégralité de D.S.O.T.M. Zéro prise de risques, et j'aurais aimé être surpris. Je sais pas, un ou deux titres d' 'Animals', moins de D.S.T.O.M, ou dans le désordre, un truc punk, quoi!
Et le second truc, c'est justement cet aspect très policé, très propre. Ca fait partie de Pink Floyd, c'est leur ADN, et on imagine mal un wall of death sur "Us and Them" ou Gilmour qui saute dans le public en hurlant 'noooowwww I wish you were here'. Mais sur 2h30, on aimerait parfois sentir la sueur sur les couilles du voisin, et assister à un concert, pas seulement à un spectacle.
Je chipote, cela reste un vrai bon disque.





George MICHAEL
OLDER


Le 12 Août 2024 par BLUEMASK


Album honnête, un peu trop smooth à mon goût, avec cette impression d'écouter une version masculine de Sade, ce qui n'est pas forcément un compliment. Reste un grand chanteur racé, de grande classe et qui, bien-au delà du marketing initial, savait écrire.





UFO
OBSESSION


Le 12 Août 2024 par METALPROG84


Un poil moins bon que les 2 albums précédents en raison d'absence de titre exceptionnel (on avait "Can you roll her" et "Belladonna" sur 'No heavy petting', "Lights out" et "Love to love" sur l'album précédent). Néanmoins, beaucoup de morceaux sont très bons : "Only you can rock me", les pêchus "Pack it up" et "Hot'n'ready", "Looking out for no 1" avec ses orchestrations, "One more for the rodeo" (celui que je préfère) et la ballade "Born to loose" dans la même veine que "Try me". Même l'interlude "Arbory hill" est particulièrement réussi. Les 3 autres titres sont un peu moins bons mais très écoutables quand même.
Note réelle: entre 3.5 et 4.





GENESIS
THE LAMB LIES DOWN ON BROADWAY


Le 12 Août 2024 par FOUDROCK


La première fois que j'ai écouté cet album, je n'étais pas dans les meilleures conditions : je venais de passer une épreuve d'un examen scolaire (BTS), j'étais exténué de la journée, stressé à l'idée de rebeloter ça le lendemain avec une autre épreuve, j'aspirais à me détendre un petit peu si c'était possible, en plus il faisait chaud, très chaud, etc, bref. C'était mon premier Genesis. Je me suis dit que je n'avais pas commencé par le plus facile. Un double album conceptuel de 95 minutes. Progressif. Moi qui, à l'époque, étais en pleine phase Iron Maiden, qu'est-ce qui m'avait pris ?
Bref, j'ai détesté, mais d'une force... j'ai tellement détesté cet album que j'avais envie de tuer des bébés phoques avec un marteau sans retour.
Ce n'est que deux-trois ans plus tard que j'ai réussi à entrer dedans. Depuis, je n'en suis jamais ressorti.
L'histoire de ce concept (l'histoire racontée, pas la genèse de l'album) est tellement bizarre et complexe que je ne vais pas m'y risquer. Du Jodorowsky mélangé avec du Philip K. Dick.
Musicalement, c'est ahurissant, hors du temps, inexplicable, prodigieux, monstrueux. Genesis et ses membres peuvent être fiers de cet album.





Lenny KRAVITZ
LENNY


Le 12 Août 2024 par FOUDROCK


Un album décevant, trop de remplissage. "Stillness of heart" me sort par tous les trous, oui, même CELUI-LA.
En fait, je n'ai quasiment pas d'avis sur ce sixième opus. Il m'est totalement indifférent, tellement je ne m'en souviens jamais après chaque (rare) écoute.





Lenny KRAVITZ
5


Le 12 Août 2024 par FOUDROCK


Un cinquième opus dans l'ensemble pas très convaincant. La reprise des Guess Who ("American Woman") et "I Belong to you" et "Black velveteen" sont très bien, mais on a pas mal de remplissage. Je pourrais dire la même chose de l'album suivant. D'ailleurs, je vais le dire de ce pas.





Bernard LAVILLIERS
POUVOIRS


Le 12 Août 2024 par FOUDROCK


Effectivement un sommet, le meilleur de Lavilliers (avec le suivant, "O Gringo"), et comme les précédents commentateurs, je ne comprends vraiment pas du tout la chronique, qui semble ne pas avoir compris grand chose à l'album et à son statut pourtant universellement reconnu parmi les connaisseurs en Lavilliers.





Bernard LAVILLIERS
POUVOIRS


Le 12 Août 2024 par BERTRAND


Imaginez un seul morceau d'une vingtaine de minutes sur la face A du vinyle, avec des textes ciselés, acérés, précis, chirurgicaux, et pas une seule seconde pour souffler. LAVILLIERS à son sommet! En plus, la face B présente six chansons aux tempos variés, souvent courtes, faussement légères, de petits délices.







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