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Alain SOUCHON
JAMAIS CONTENT


Le 13 Juin 2021 par BAKER

"Poulailler's song" est un petit chef-d'oeuvre. Dommage que les générations présentes ne puissent pas comprendre tout le sel de ce truc bizarre à dessein. Même moi qui suis pourtant de la génération Bebete Show, soit un septennat de retard, j'ai dû me remettre dans le contexte.

De nos jours, pas sûr que ça passerait. Enfin si, dans des vidéos youtube bien encadrées et bien censurées avec, entre autres, oh stupeur ! la désactivation des commentaires. Je vais vous aider et vous la faire courte : si on vous demande pourquoi, répondez que ce n'est pas de la censure, mais de l'écologie car les commentaires des vidéos youtube consomment beaucoup trop d'énergie. Merci qui ? Merci Baker !





The INMATES
MEET THE BEATLES


Le 13 Juin 2021 par LONG JOHN SILVER


Merci pour la dédicace, cher camarade. Quand je te lis, je préfère néanmoins que tu aies finalement écrit cette chronique. Déjà je n'ai pas assisté à ce concert. Du coup, ton témoignage apporte une plus value considérable à l'objet. Enfin, toutes les références que tu mentionnes sont autant de points qui font que ce texte est de grande qualité !





SHEILA
SHEILA - RINGO (AVEC RINGO)


Le 13 Juin 2021 par MARCO S.

Martin, dès qu'une chronique d'un classique du hard/metal paraît sur Forces Parallèles, il y a au moins une trentaine de commentaires à son sujet (pourcentage réduit encore par rapport à sa chro soeur jumelle publiée sur le site Nightfall).

Tu peux tout à fait t'autoriser à laisser un commentaire sur chaque disque d'un/une même artiste, à plus forte raison si tu es seul et en montrant bien à quel point tu es passionné, chose très appréciable à chaque fois !





TIN MACHINE
TIN MACHINE


Le 12 Juin 2021 par FEELGOOD


Sorti en 1989, ce premier Tin Machine était censé nous rappeler que Bowie était un rocker. Après un album surproduit et peu inspiré (Never Let Me Down), on allait avoir droit à du bon gros rock des familles, brut et sans concession. Sur le papier, ça aurait pu marcher... Dans les faits, c'est différent. Autant avouer que je ne suis pas fou de ce premier Tin Machine (je lui préfère même - un peu, pas à la folie – son successeur). Rien ne me touche vraiment sur ce disque dont je n'ai jamais aimé le son. Les compos se suivent et il m'est impossible de mémoriser le moindre refrain, la moindre mélodie. Ce disque ne touche ni mon corps (embêtant pour un album supposé flirter avec le hard rock), ni mon esprit (on est évidemment loin de Life On Mars ou de Starman).
Allez, je vais me réécouter The Man Who Sold The World et Scary Monsters.
2,5/5.





TRI YANN
LE PéLEGRIN


Le 12 Juin 2021 par CLANSMAN57


Je ne saurais dire si c'est leur meilleur album, car je ne connais que celui-ci, mais ce que j'entends me plait beaucoup.
C'est certes copieux, la qualité est cependant au rendez-vous jusqu'au dénouement.
Le concept est sympa, absolument pas du tout prise de tête.

C'est un réel plaisir que de suivre le héros dans cette histoire toute simple.






Mike OLDFIELD
CRISES


Le 11 Juin 2021 par VIV


La version Live à Wembley 1983 de Crises présente sur l'édition Deluxe est vraiment dingue. La partie instru planante et le final de Simon Phillips aux drums sont à couper le souffle !





TRUST
EUROPE ET HAINES


Le 11 Juin 2021 par THE NEW ANGEL D


Pas un mauvais disque mais on entre dans la seconde partie de carrière du groupe avec un Bernie omniprésent et un Nono devenu plus économe à la guitare.
Peu de soli, aucune traces de heavy métal mais des compositions souvent mid tempos et rock, qui lorgnent parfois sur la hard et parfois sur le blues.

Ce n'est pas mauvais mais voilà, c'est parfois redondant, ça ronronne et on n'en retient pas grand chose. Mais bon, c'est comme ça, c'est un peu le syndrome des vieux groupes.





Yann TIERSEN
LE PHARE


Le 11 Juin 2021 par CLANSMAN57


J'aime énormément la BO d'Amélie, j'ai donc logiquement pensé que ses albums devraient me plaire. Allons y pour "Le phare" et "L'absente" trouvés en magasin.
Et bien non. Ni l'un ni l'autre ne me conviennent totalement.
Sa musique part trop dans tous les sens et les airs ne sont pas tous mémorables. Certaines pistes sont vraiment trop courtes, mais je ne pense pas qu'elles auraient été meilleures rallongées.
Les chanteurs choisis, assez rares sur "Le Phare" contrairement à "L'absente", me paraissent très soporifiques.
Les meilleures chansons se retrouveront sur la fameuse BO...
"La dispute", "La noyée" et "Sur le fil" pour cet album.
La dernière citée sera amputée de sa longue première partie au violon, ce qui fut une très bonne idée.

Tant pis.





TRUST
ROCK 'N ROLL


Le 11 Juin 2021 par THE NEW ANGEL D


Un bon disque de Trust en vérité. C'est un album plus léger que ce soit au niveau des textes et de la musique, une carte postale que ce qu'est le rock en 1984. On note donc sur une bonne moitié de l'album des titres plus "FM" et le reste est orienté rock et hard, conforme à ce qu'on peut attendre de Trust.

On peut ne pas aimer surtout qu'il y a par moment quelques facilités (le titre "avenir" est un remake de " Idéal" qui était sur l'album précédent, le morceau "serre les poings" sonne trop comme du Jean Jacques Goldman). Mais ça passe. L'ensemble est varié et agréable mais surtout jamais redondant (ce qui ne sera pu le cas par la suite mais finalement, comme tous les vieux groupes ).

Trust sait être efficace ici et à encore des choses à dires . Vivi compose pas mal de titres dont l'excellant "paris", pêchu et très rock n roll.
Les riffs de hard rock et même de heavy métal sont toujours là (le très bon "i shall return") même si la prod atténue leurs puissances. Les solis et les riffs de Nono sont de qualité.

En fait, c'est juste que ce disque est plus faible que les précédents (le classique "Répression" où le sophistiqué "IV"). Mais malgré tout, ça reste de qualité et l'orientation en partie plus "FM" est une évolution presque logique pour le groupe.





Daniel BALAVOINE
UN AUTRE MONDE


Le 11 Juin 2021 par BAKER


L'énormé révélation, tellement supérieur aux précédents (je ne compte pas Gunther que j'aime beaucoup mais différent) que c'en est indécent.

Du tube, du tube, du tube, et de qualité, intelligent, prenant, la totale.

Je suis moins fan de Lipstick Polychrome, mais je compense avec 10.000 Mètres et Détournement qui sont deux petits joyaux sous-estimés, terriblement bien foutus, où Balavoine montre son amour du prog et du rock 70s tout en restant fidèle à son style. Même Robot finalement est sympa, tant il y met du sien côté choeurs, arrangements...

L'instru de fin n'est pas parfait, mais il est pour moi la réunion de Jean-Michel Jarre et Vladimir Cosma, et c'est un très gros compliment.

Un album indispensable. Franchement. Et pourtant, je l'ai écouté pas mal de fois, c'était mon premier et pour longtemps seul Balavoine en vinyl. Donc c'est avec un gros recul que je lui donne ses 5 étoiles, voire 6 vu que son auteur les a rejointes...





Kanye WEST
GRADUATION


Le 11 Juin 2021 par THE NEW ANGEL D


Je ne connais pas vraiment la musique de kanye West à part cette album qui est plutôt pas mal. Il y a ici une approche assez pop, avec des morceaux accrocheurs et du chant sur quelques refrains.

Je comprend donc son succès, typiquement le disque qu'on peut écouter sans être un mordu de hip hop où de Kayne. Les morceaux sont entrainants et l'album est varié avec un choix de samples de qualités (Steely Dan, Michael Jackson,Can, Daft punk...).
On remarque quelques sonorités électros sur une poignée de titres (notamment sur les singles "stronger" et "flashing lights" qui sont réussis). Sinon, il y a aussi d'autres bons morceaux comme la doublette "i wonder" et "good life".

Pour ma part, j'aime beaucoup le très pop "homecoming" avec son piano et son refrain irrésistible et "big brother", très aérien avec un bon riff que guitare. Un morceau qui sonne plus "Jay Z" que "Jay Z".

Mais il faut avouer qu'il y a aussi quelques creux car il y a pas mal de titres qui s'écoutent mais sans plus. Ça donne donc au final un album très abordable (peut être un poil trop?), varié et agréable mais qui manque peut être un peu de régularité et de consistance.





INDOCHINE
LE PERIL JAUNE


Le 10 Juin 2021 par LE VIEUNE


Le plus exotique, peut-être, des albums d'Indochine ? Le son n'est pas top mais donne cette impression de lointain, d'être à l'autre bout, tout là-bas, dans cet extrême orient de rêve et d'aventure. C'est comme de ressortir une bonne vieille BD pulp voire un comics d'antan.

Les deux premiers albums d'Indochine semblent très proches niveau ambiance, mais on pressent un horizon sonore qui s'étendra davantage sur l'album, 3.

Deuxième album de la trilogie exotique d'Indochine, un peu en dessous des deux autres, Le Péril Jaune, relève tout de même quand on écoute du petit plaisir innocent, loin des jugements élitistes parfois d'un pointillisme exaspérant.





ALICE COOPER
LOVE IT TO DEATH


Le 10 Juin 2021 par FEELGOOD


Dès les premières secondes, on réalise que le groupe a radicalement changé et progressé, au point d'en être méconnaissable. Merci Bob Ezrin ! Caught In A Dream et son riff accrocheur nous emportent dans une autre dimension, fort éloignée des deux premiers albums. La première face – je possède la version vinyle – est très réussie. Même Long Way To Go, le titre le moins mémorable, s'écoute avec plaisir. Ce qui n'est pas le cas de l'infernal Black Juju, insidieux et malsain à souhait, véritable cauchemar de près de dix minutes, l'une des grandes réussites de l'album. Quant à I'm Eighteen, il s'agit non seulement du premier tube du groupe, mais aussi d'un classique inaltérable, exprimant à merveille le trouble adolescent.
Et surtout, la deuxième face s'ouvrant sur le « stonien » Is It My Body s'avère aussi réussie que la première, grâce à son triptyque central Hallowed/Second Coming/Dwight Fry. L'interprétation de Ballad of Dwight Fry demeure l'un des grands moments des prestations scéniques du Coop' et relève de la performance au sens théâtral du terme.
Premier chef-d'œuvre d'Alice Cooper, « Love It To Death » n'a rien perdu de sa flamboyance cinquante ans après sa parution.





SHEILA
SHEILA - RINGO (AVEC RINGO)


Le 10 Juin 2021 par MARTIN LA BOTTE


Même topo que pour le "Spécial Sheila & Ringo" de 73. Quand on aime ses artistes, on donne à chacun(e) de quoi remplir un écrin complet de perles homogènes pour que la parure ne fasse pas toc . C'est aussi bien plus respectueux pour l'acquéreur. Une fois de plus, vraiment pas de quoi féliciter Monsieur Carrère, ce qui me pousse à attribuer à nouveau l'étoile minimale pour sanctionner le désolant principe.

Il n'empêche que les titres de Sheila de cette première cuvée giscardienne, comme ceux de Ringo, à défaut d'être toujours aussi délivrés avec parcimonie, sont globalement meilleurs que ceux de l'année précédente. Les ventes de singles de Sheila repassent nettement devant celles de son époux qui connaitra tout de même le tube en voix de fausset avec le singulier et assez envoutant "Tentation". Pour ma part, j'ai un petit faible pour "Remets ce disque".

Côté Sheila, rien à jeter, les 3 faces A ont finalement plutôt bien vieilli, tout en restant joliment kitsch. "Le Couple", chanson tendre et plaintive que j'aime beaucoup, rappellera sans doute "La Déclaration d'amour" qui a remis en selle France Gall la même année grâce à Michel Berger, mais le single de Sheila était sorti plusieurs semaines avant celui des "Hamburger" et s'était mieux vendu, donc attention à ne pas dénoncer trop vite qui a plagié qui... même si c'est "La Déclaration" qu'on a retenue. Le pailleté "Tu es le soleil" et le très métaphorique "Ne fais pas tanguer le bateau" (carton en fin d'année 74) font figure de "classiques" des années "pattes d'eph" pour tout fan de Sheila. Mon coup de coeur sera pour une face B, le dansant "Samedi Soir" aux accents "shaftiens", co-signé par Ringo et annonciateur de la "Sheila disco", imparable !

Bon, avant de donner à nouveau mon avis sur des albums de Sheila, je vais peut-être attendre que d'autres amateurs de son répertoire se manifestent, je me sens un peu seul et je ne voudrais pas lasser. ;)





Billy IDOL
KINGS AND QUEENS OF THE UNDERGROUND


Le 09 Juin 2021 par JASPER LEE POP


@ Nestor
Et pourquoi tu n'aurais pas le droit de rêver? Un nouvel album est bel et bien déjà écrit, enregistré et produit par Butch Walker.
Bien d'accord avec ton enthousiasme sur cet album qui mélange adroitement fraîcheur et nostalgie. Lui attribuer la note maximale et le mettre au même niveau que Rebel Yell ne me paraît en revanche pas concevable.





MAîTRE GIMS
MON COEUR AVAIT RAISON


Le 09 Juin 2021 par GLADIUS

En voyant les commentaires sur cet album, je me rappelle subitement pourquoi j'ai freiné de manière quasi définitive les chroniques sur ce site. Les morales de comptoir me font vraiment douter sur l'utilité que j'ai à tenter des chroniques.
Sinon, belle chronique Marco ;).

Et pour ce qui est de l'avis perso, je n'accroche absolument pas avec cet album, mais ça me donne une raison de réécouter ce que pouvait nous pondre ce gars, il y a certaines années. Toujours brillant en featuring, très bon avec la Sexion D'assaut !


Par Forces Parallèles

Hey camarade !

Il y a des milliers de lectures, et seulement quelques malheureux commentaires de ce style. Je vois depuis toujours quelques uns des chroniqueurs - souvent les jeunes - réagir de manière beaucoup trop forte à ces interventions. Franchement, quelle importance l'avis de quelques trublions ? Chacun a le droit de donner le sien, une goutte d'eau dans l'immensité de l'océan. Il faut rester zen, les goûts ne se discutent pas le moins du monde, il faut en rester là.
Bien à toi
Erwin





Billy IDOL
KINGS AND QUEENS OF THE UNDERGROUND


Le 09 Juin 2021 par NESTOR


Huit années pour sortir un nouvel album, c'est peut-être un peu beaucoup ?
Mais pas au regard du résultat.
Car le peroxydé nous sort un excellent album de Rock qui parvient à piocher certains éléments de son époque glorieuse pour les agréger avec un Rock apaisé et charmeur.
Bitter Pill, King And Queens Of The Underground, Postcards From The Past, Can't Break Me down... autant de morceaux accrocheurs, efficaces et totalement contemporains.
Certes les guitares de Steve Stevens, son guitariste historique, sont un peu moins folles que par le passé. Mais l'ensemble tient sacrément bien la route et l'album est certainement à classer parmi ses meilleurs.
Et la bonne nouvelle, c'est que s'il continue à ce rythme, son prochain album est pour l'année prochaine.
On a le droit de rêver.





SHEILA
LE SIFFLET DES COPAINS


Le 09 Juin 2021 par MARTIN LA BOTTE


ll y a une fraicheur, une candeur et une énergie dans la voix de Sheila en plein mouvement yéyé qu'on ne retrouve peut-être que chez les Surfs dans ces sixties encore bien sages. Au delà du caractère historique et quasi "hymnesque" des premiers tubes comme "L'École est finie" ou la "Première surprise-partie" (2 titre originaux) on peut facilement se laisser entraîner par l'optimisme décapant des adaptations "Chante, chante, chante", "Viens danser le hully gully" et "La Vie est belle" ou par l'effronterie soft de l'original "Papa t'es plus dans l'coup". C'est sans doute très "bubble gum" mais c'est aussi très efficace.
On peut aussi préférer (ou aimer tout autant) la toute jeune femme sur un versant plus tendre, se révélant convaincante pour exprimer avec beaucoup de sensibilité les rêves adolescents, les premiers émois amoureux, les premières désillusions du coeur comme elle le fait sur 2 covers "Le Ranch de mes rêves" et "Pendant les vacances" et surtout sur "Cette année-là" (un Must original !)"; une fois qu'on a mis ses préjugés et/ou son austérité de côté, ça pourrait bien faire fondre même les plus réticents parce que ça garde vraiment un putain de charme suranné.

(Petit ratage pour l'illustration, Marco, tu proposes en fait le visuel d'une réédition assez récente en CD au moment où ces chansons étaient passées dans le domaine public, la pochette originale de l'album était beaucoup plus belle avec, dans la même série, un sublime gros plan signé Sam Levin de cette Sheila "couettée" mais à l'expression plus triste.)





PARABELLUM
BORDEL INSIDE


Le 08 Juin 2021 par NESTOR

C'est un groupe qui tenait effectivement bien la scène.
J'ai le souvenir d'un concert à la Locomotive, avec l'Opium du peuple et Tagada Jones, où pour la seule fois de ma vie j'ai quitté la salle avant la fin du concert parce que le son était trop fort...
Et la vision d'un Schultz bien bourin et goguenard, et d'un Sven tout en excentricité qui semblait dans son monde.





PARABELLUM
BORDEL INSIDE


Le 08 Juin 2021 par DAVID


Ah PARABELLUM, quel groupe ! Je l'avais découvert au concert du Bol d'Or en septembre 2000, en 1ère partie de MOTÖRHEAD et NASHVILLE PUSSY. Excellente prestation de PARABELLUM, beaucoup de patate, leur concert était presque meilleur que celui de MOTÖRHEAD, c'est dire. Quel souvenir ! Je venais d'avoir mon permis B. J'avais vu le concert de MOTÖRHEAD annoncé sur Internet une semaine avant. Sans Internet, je n'aurais jamais su l'existence de ce concert :). Le premier batteur de PARABELLUM venait de décéder, remplacé au pied levé et un hommage lui avait été rendu pendant le concert. La complémentarité entre Schultz, bien punk dans l'esprit (chant franchouillard bien graisseux et guitare cradingue), et Sven, un guitariste très rock'n'roll et chaleureux, cette complémentarité était parfaite, aussi bien sur disque qu'en concert. C'est ce qui faisait la force de PARABELLUM, et sa personnalité. J'ai du mal à croire que Schultz et Sven soient tous les deux décédés, c'est dingue !

Bordel Inside, c'est un bon album, assurément. Mais l'album éponyme Parabellum (de 1990) était bien meilleur à mon sens : beaucoup plus speed, énergique, avec pas mal de classiques. Autant de qualités que n'a pas Bordel Inside qui sonne plus 'normal', 'ordinaire', PARABELLUM ayant perdu sur disque la folie de ses débuts depuis cette reformation de 1998. Par contre, comme je le disais plus haut, en concert, PARABELLUM envoyait toujours du lourd, grosse ambiance assurée. En tout cas, la qualité est bien présente sur Bordel Inside, les compos, le son, l'esprit PARABELLUM... Mais l'énergie n'est plus la même, PARABELLUM se 'normalise' sur Bordel Inside', c'est juste ça le problème. L'album éponyme de 1990 était beaucoup plus speed, c'est d'ailleurs un des plus grands disques de rock français (si si !). Bien des années plus tard, j'avais essayé de revoir PARABELLUM en concert à Issy-les-Moulineaux (en première partie de GUERILLA POUBELLE), mais, pas de bol, le concert était complet, à cause des jeunots fans de GUERILLA POUBELLE.







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