Le 08 Juin 2021 par LE FéLON MASQUé

Les rappeurs font exprès d’être ridicules pour que l’on s’intéresse à leurs musiques. Ils font exprès de faire des polémiques pour créer le Buzz. Tout est calculé d’avance. D’Après mon point de vue, ce ne sont pas des gens qui aiment faire de la bonne musique. Ceux qui maîtrisent le mieux le buzz, c’est JuL et Booba. Booba fait exprès de faire la racaille, comme ça il donne du foin à son bétail. Maître Gims nous donne des leçons de morale avec des paroles proches de l’islamisation. Au secours, soutenez la bonne musique, c’est urgent.

Le 08 Juin 2021 par NONO

Je n'ai jamais vraiment réussi à "entrer" dans cet album. Oui, c'est pas mal dans l'ensemble. Certes, mais c'est trop formulaire : on est dans une synth-pop très froide et automatisée, ça manque de profondeur. La raison "de l'époque" n'est pas suffisante, rien n'empêchait Polnareff d'y intégrer une dose de lyrisme comme quelques belles ballades au piano par exemple.
J'aime bien "Radio" et "Où est la Tosca", mais "Tam Tam", bien que souvent plébiscité, ne me parle d'aucune manière.
Mais n'allons pas croire que Polna est mort à l'aube des eighties : son album Kama Sutra est excellent, bien meilleur que celui-ci par exemple.

Le 07 Juin 2021 par IEN

J'adore vraiment cet albumL Le fait qu'il n'y ait que 8 titres est plutôt un avantage : on évite les titres de remplissage.

J'aime les sonorités des 80', mais c'est agréable de retrouver avec Bulles un son encore assez chaud typé 70' avec une vraie batterie et des guitares.

Incognito sera bien plus marqué par le son typique des années 80, Bulles pas tant que ça finalement.

Le 07 Juin 2021 par POPOLOUTCHO

Pour moi, Polnareff c'est surtout les albums jusqu'en 1974. Je serais d'ailleurs incapable de citer plusieurs titres de chansons parmi ceux qui ont suivi. Pourtant, ce Bulles, j'ai eu pas mal l'occasion de l'écouter, car en 81 j'avais un pote de Fac qui en était raide dingue. Il y avait là quelques chansons que je trouvais plutôt sympas, même si par la suite je les ai totalement oubliées. Récemment, je l'ai trouvé en vieux vinyle et je l'ai acheté pour une petite poignée d'euros (nostalgie des jeunes années). Franchement, arrivé à la moitié de l'écoute, j'ai abandonné ! Ce truc a pris 100 ans à tous les niveaux : musiques, paroles, prod'. 2 sur 5, mais vraiment parce que c'est Polnareff !

Le 07 Juin 2021 par NESTOR

J'ai le souvenir d'un son d'excellente qualité et de chansons facilement mémorisables.
Peut-être un peu trop facile, avec du recul. Mais pour moi, cela reste un très bon album.

Le 07 Juin 2021 par FRANçOIS

Comment mesurer une surface : en mètre carré.
Comment mesurer un volume : en mètre cube.
Comment mesurer une musique de m.... : en Maître Gims.
Joey Starr, auteur de cette vanne, n'est peut-être pas le mieux placé mais bon, je prends...

C'est dans le suivant où l'on trouve ce magnifique vers en duo avec Vitaa : "Pour m'arrêter de t'aimer, il faut que je t'imagine en train de ch..." ?

Le rap, c'est encore Fred Chichin qui en parlait le mieux, un peu avant sa mort.

Le 07 Juin 2021 par FEELGOOD

Très bon disque de rock, carré et efficace, avec des moments purement jubilatoires, Muscle of Love a le seul tort d'être sorti quelques mois après Billion Dollar Babies, indiscutable sommet commercial du groupe.
"Big Apple Dreamin" ouvre agréablement l'album avec son tempo moyen embelli par un violon nostalgique. Le brûlot et stonien "Never Been Sold Before" balance bien avec ses arrangements de cuivres. L'insidieuse et vénéneuse ballade "Hard Hearted Alice" est l'une des grandes réussites de l'album. Quant au cuivré "Crazy Little Child" et à son côté 'cabaret', il démontre que le Coop' n'est plus un simple chanteur de rock mais un artiste complet et polyvalent, à l'aise dans tous les domaines. Car si le reste du disque propose d'excellents titres de 'hard rock'n'roll' à l'image de "Working Up a Sweat" (et non pas "Working On A Swamp"), "Muscle of Love" et "Woman Machine", on retient surtout les mémorables "Teenage Lament'74" et "Man with the Golden Gun", le premier dans une veine 'soul pop' irrésistible et le second demeurant l'un des meilleurs thèmes "bondiens" de tous les temps (même si elle fut refusée par des producteurs frileux).
Muscle of Love est un album varié et entraînant, même s'il n'a pas été produit par Bob Ezrin. Le travail des deux Jack (Richardson et Douglas) mérite d'être salué. De plus, si l'on veut bien mettre le grandiloquent Billion Dollar Babies de côté, ce disque ne se distingue pas tant que ça de ses prédécesseurs, le groupe continuant de nous proposer des chansons aux arrangements étonnants, ce qui prouve qu'il a bien retenu les leçons de son génial ex-producteur.
Si un nouveau groupe sortait un album d'un tel niveau en 2021, beaucoup de critiques crieraient au génie.

Le 06 Juin 2021 par PILGRIMWEN

J'ai possédé l'entièreté de la discographie de KISS et, ces dernières années, j'ai revendu certains opus. J'ai constaté que d'un album à l'autre, la qualité n'est pas toujours au rendez-vous. C'est un peu au petit bonheur la chance : une fulgurance, un quelconque ou un raté. Le propre du consumérisme, à vrai dire.

Ventre-mou comme album. "Love Gun" ne m'a jamais enthousiasmé au même titre que "Hotter Than Hell".

Le 06 Juin 2021 par LE MERLE MOQUEUR

Une culture musicale époustouflante voilà ce qui caractérise ce grand enfant prodige d'origine gréco-arabo sicilienne qu'est FRANK ZAPPA et qui ressort de STUDIO TAN.

Contrairement à beaucoup d'avis je ne trouve nullement que ce vinyle soit chargé de lourdeurs d'écriture musicale. Si ces dites lourdeurs apparaissent il faut, à mon sens, les placer en relation avec le thème et le texte/histoire qui charpente l'ensemble.

Si le pécari est un animal à la sociabilité reconnue comme celui de ZAPPA, il se trouve qu'en sa qualité d'innovateur intégré au mode du néo-libéralisme toutes ses inventions ne seront pas toujours bien perçues car dérangeantes, ce que son "pécari" n'avait pas pris en compte. Ce que l'on peut considérer comme un manque de réflexion de son Greggery. (Ainsi le calendrier, qui permet à la population de s'orienter dans le temps et aussi dans l'espace/ le lieu, à pour conséquence de remettre en question les tâches et les occupations imposées et de routine par "l'état")

Musicalement c'est là que Zappa place sa dite lourdeur musicale, elle n'est que le reflet du manque de réflexion de son Greggery Peccary dons parfaitement admissible, même nécessaire .

Le 06 Juin 2021 par FRANçOIS

Comme quoi, ne pas se fier aux a priori (groupe de hippies originaire de France - même si international -)... C'est vachement bien, à la fois planant, psyché, funky et déjanté. Un peu moins bien que "Flying Teapot" (on attend la chronique !) mais mieux que "Angel's Egg" dans mon classement perso de la trilogie. J'ai plus de mal avec le jazz-rock de "Shamal".

Le 06 Juin 2021 par JACQUES GASSENG

L'album est médiocre, c'est entendu. Il faut attendre selon moi le dernier morceau pour retrouver une inspiration musicale d'un niveau supérieur à tous les morceaux précédents : "An Awful Thing to Waste. Du pur Supertramp.

Le 05 Juin 2021 par LE FéLON MASQUé

En tant que passionné du Metal, il m’est arrivé de quitter cet horizon pour découvrir des groupes de rock, de pop des années 70 et 80. Je n’ai aucune honte d’aimer beaucoup de styles. Je me cultive avec des pépites.

Le 05 Juin 2021 par BAKER

Normal qu'il y ait un petit air BUGGLES sur cet album, puisque l'Amiral y a été secondé par le matelot Hans Zimmer, alors petit jeunot qui a réussi l'exploit d'apparaître sur le tout premier clip jamais passé sur MTV alors qu'il ne jouait PAS sur la chanson !

Le 05 Juin 2021 par LE KINGBEE

J'ajoute que le gars était chaleureux et plein d'humour. J'ai eu le plaisir d'ouvrir pour lui dans des pubs gigantesques. Son fils a pris la relève durant un temps.

Le 05 Juin 2021 par THE NEW ANGEL D

Un album basique et brut mais aussi un disque enregistré à la va-vite, beaucoup trop homogène dans ses compos. Il y a juste "Hard Luck Woman" qui sort du lot. Avec "Rock' n' roll over", le groupe fait clairement un pas en arrière. A tous les niveaux.

Dans l'absolu, les morceaux sont pas oufs mais sympas. C'est le Kiss de la grande époque quand même. De bons riffs ("Take Me", "Makin' Love"), des solos terribles ( notamment sur le très bon "Love 'em' and Leave 'em"), j'aime beaucoup aussi le "Baby Driver" du catman.

Mais à force de vouloir faire de l'efficace, ça en devient pas si efficace que ça finalement car ça manque un peu de consistance et c'est un peu trop basique dans les arrangements donc (ce n'est pas pour rien à mon avis que Gene à réenregistré "See You in Your Dreams" sur son album solo).

Même le son d'Eddie Kramer n'est pas terrible. Comment vanter cette production ? Elle est ridicule si on la compare à "Destroyer" ou à l'album "Rocks" d'Aerosmith.
Par contre, le travail de Kramer sera excellant sur l'album solo de Ace. Un disque tout aussi hard mais bien plus consistent à mon avis que la doublette "Rock n Roll Over - Love Gun".

Donc "Rock n Roll Over", c'est bien mais c'est pas l'extase.

Le 04 Juin 2021 par THE NEW ANGEL D

Pas d'accord avec la plupart des commentaires. Ce "Destroyer" est à mon sens le meilleur album du groupe. Il suffit d'écouter les terribles "Detroit Rock City" et "God of Thunder" pour voir que le groupe est en pleine possession de ses moyens. Et au niveau prod', le son de Kiss n'a jamais eu autant de relief.

J'aime bien les 3 albums précédents (surtout le 1er qui ne contient quasiment que du lourd) mais on voit ici que le groupe cherche à avancer et le progrès est au rendez-vous.

Au niveau du contenu, c'est efficace et plus varié que d'habitude. Les ballades "Beth" et "Great Expectations" (qui sonne un peu à la "Beatles") sont de qualité. Pour le reste, rien à jeter non plus : la plupart des morceaux sont soit rock ou hard rock mais fonctionnent bien. Et surtout, ils ne se ressemblent pas.
Destroyer, c'est le top du Kiss en studio.

Note : 4.5 arrondie à 5.

Le 04 Juin 2021 par JERONIMO

Bien que pas du tout issu de sa génération, je n'ai pu que tomber sous le charme de Ian Dury et cet album toujours aussi percutant aujourd'hui. Ses comptines comiques sur la classe moyenne de l'époque, racontées avec un accent british à couper, sont enrobées de medleys funk savamment construits, de plus en plus pêchus au fil des morceaux (Clevor Trever et son effet de phaser à retourner la tête) jusqu'à dériver au punk le plus sauvage sur Blockheads où guitares et synthétiseurs crachent tous ce qu'ils leur ont. Plus malin que les Sex Pistols sans tomber dans le côté austère du post-punk.

Le 03 Juin 2021 par CLANSMAN57

"Abraxas", c'est du Rock, du soleil, du groove, de la bonne humeur, de l'inspiration sur chaque piste, de très bons musiciens qui n'en font pas trop, de l'originalité et en plus c'est accessible.

Donc note maximale pour moi aussi.

Le 02 Juin 2021 par CLANSMAN57

Quelle horreur... Je partais confiant, je me retrouve hyper déçu et complètement ennuyé par la majorité des chansons gravées sur ce dernier album de Dire Straits.
"Calling Elvis" est bien, mais s'éternise, "On Every Street", c'est okay et "Heavy Fuel" aussi.
Pour le reste, certaines interventions à la guitare sont magiques, comme souvent avec ce musicien, mais les chansons sont vraiment trop peu accrocheuses.

Zzzzzzzzzzz.....

Le 02 Juin 2021 par LE BARON

Merci à vous deux, Merle et Baker, pour vos commentaires. Content de lire que DURY n'est pas totalement oublié !