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Catherine DENEUVE
SOUVIENS-TOI DE M'OUBLIER


Le 20 Juin 2021 par MARTIN LA BOTTE


Ce qui m'a toujours posé problème sur cet album (en plus d'une bonne moitié de titres sans le moindre intérêt), c'est que Gainsbourg ne me semble pas avoir eu - le temps ? la volonté ? les moyens ? - de revenir sur les ratages de son interprète, certes aux capacités vocales limitées, mais qui s'était pourtant montrée capable du meilleur quelques mois plus tôt sur l'envoûtant "Dieu, fumeur de havanes". Je ne sais pas si Catherine chantait plus faux ou avait moins de voix que Jane, Isabelle ou Brigitte, ce qui me paraît évident en revanche, c'est que "Baby Alone in Babylone" ou le "Pull marine" n'auraient pas été aussi classieux s'il n'y avait pas eu un sérieux travail de peaufinage avant parution. En tout cas, je doute fort que Birkin et surtout Adjani en auraient offert un rendu aussi juste que cristallin en live alors que Deneuve en direct sur "Ces petits riens " ou "Alice hélas", je ne suis pas certain qu'on aurait perçu beaucoup de différences avec le disque.
Et j'en veux d'autant plus à Gainsbourg qu'effectivement, "Dépression au-dessus du jardin" mais aussi "Souviens toi de m'oublier" avaient un réel potentiel. Une "dépression" assez adéquate ici qui aurait pu avoir davantage mes faveurs mais que je me contenterai de ne pas détester. Je l'apprécie en tout cas plus que la version proposée par Birkin 15 ans plus tard, à l'emballage plus délicat et moins risqué mais certainement pas plus convaincante.
Je n'ai cité que les titres que je trouve plus ou moins écoutables selon l'indulgence de l'auditeur. Mon (petit) coup de coeur sur cet album qui ne pouvait susciter que regrets et impression de gâchis, ce sera pour "Monna Vanna et Miss Duncan", sur lequel Deneuve se contente de "slamer" et on l'on retrouve le phrasé si élégant et séduisant de notre star (inter)nationale.

Un MUST à mettre en avant dans sa discothèque, uniquement pour la sublime et unique photo de la pochette signée Helmut Newton.





The DISPOSABLE HEROES OF HIPHOPRISY
HYPOCRISY IS THE GREATEST LUXURY


Le 20 Juin 2021 par THE NEW ANGEL D


Un album de hip hop expérimental et pas inintéressant ... mais difficile pour ma part d'apprécier totalement les compositions. Il y a de bonnes idées mais l'ensemble me semble trop froid, décousu et peu accrocheur.

On sent l'influence de Public Enemy mais avec le groove et le tranchant en moins. C'est encore plus flagrant quand on écoute le flow du MC mais en largement plus monocorde toutefois.





Ludwig Van BEETHOVEN
SYMPHONIE N°3 HéROïQUE (KARAJAN)


Le 19 Juin 2021 par BAKER


Symphonie impaire de Ludwig, Karajan 77, les auspices ne pourraient être meilleurs.

C'est effectivement une oeuvre ardue mais on y trouve toujours de quoi s'y accrocher sans se faire des noeuds au cerveau.

La Marche Funèbre pourrait être considérée comme le premier hit single de la mouvance darkwave ;)





Russel SHAW
FABLE II OST


Le 19 Juin 2021 par BAKER

Je pensais avoir écrit des kros sur cette trilogie mais non ! C'est malheureux mais autant j'ai beaucoup aimé la première OST, autant la 2 est de loin la plus faible des trois (en sachant que le disque du III possède en son sein un truc intitulé Reaver Mansion qui est agréable mais totalement déplacé, voire inexplicable).

Pour ce qui est de l'influence du rouquin Boingesque, c'est normal car j'ai appris assez récemment que le premier titre du CD était officiellement attribué exclusivement à Danny Elfman.





DOROTHEE
CHAGRIN D'AMOUR


Le 18 Juin 2021 par FRANçOIS

... De Didier Barbelavie et Félix Grave !
Tiens, en parlant de Chagrin d'Amour, à quand le duo du même nom ?





FOREIGNER
CAN'T SLOW DOWN


Le 18 Juin 2021 par NONO

@JESTERS TEAR : Je te suis sur un point concernant FOREIGNER : ce groupe est certes efficace, mélodique, énergique... mais leur gros, gros point faible est un cruel manque d'originalité. Même avec l'ancien line-up, les compos étaient plaisantes, mais extrêmement passe-partout, la faute certainement en bonne partie à leur ancien batteur Dennis Elliott qui balisait le tempo de leurs titres de manière totalement métronomique et prévisible.
FOREIGNER, c'est un bon groupe certes, mais ça manque clairement d'originalité.





Wolfgang Amadeus MOZART
CONCERTO POUR VIOLON N°5 (FISCHER, KREIZBERG)


Le 18 Juin 2021 par CLANSMAN57


Encore meilleur que le troisième? A voir avec le recul, mais pour l'instant, il a ma préférence, même si je préfère le mouvement lent de l'autre.
La conclusion est encore plus osée avec son incursion exotique.
C'est probablement l'un des meilleurs mouvements de Mozart.
Un bel air chantant qui reste en tête et qui touche, une petite séquence novatrice qui se fond là-dedans sans aucun souci et t'as un petit bijou qui traverse parfaitement les siècles:)









Wolfgang Amadeus MOZART
CONCERTO POUR VIOLON N°3 (FISCHER, KREIZBERG)


Le 18 Juin 2021 par CLANSMAN57


C'est cool de pouvoir entendre des oeuvres de personnages qui semblaient aimer la vie. C'est vif et léger. Amadeus, au même titre qu'un Jean Seb, savait ouvrir les portes du Paradis.
Le second mouvement s'écoute au royaume céleste, plus précisément allongé près de la rivière qui s'y écoule.
Le dernier contient de jolies surprises, c'est le plus inventif des trois.

Tout est très bon.





Joseph HAYDN
LES SEPT DERNIèRES PAROLES DU CHRIST (HARNONCOURT)


Le 18 Juin 2021 par CLANSMAN57


Je me suis procuré la version pour quatuor à cordes.
C'est mélodique, pas trop inabordable, voici pour les bons points.
Concernant les bémols, c'est quand même assez long (pratiquement 73 minutes) et mis à part le mouvement conclusif, bref et rapide, tout est très lent.
Même pour un amateur de ce tempo, on finira possiblement par regarder sur sa montre à quelques reprises.
Certes, il s'agit des derniers instants de Jésus sur la croix, le tempo rapide n'a pas sa place dans ce contexte, on ne visionne pas Eric Idle qui trouve le moyen d'être optimiste dans ces moments-là. :)
Idem pour le ton global de l'oeuvre, c'est logique.

Mes "Sonates" préférées sont "Femme, voici ton fils. Voici ta mère!"(N° 4) qui dégage de la tendresse malgré le ton dramatique. C'est un joli dialogue entre Marie et Jésus.
"J'ai soif" (Donne-moi une bière et qu'ça saute!) (N° 6) me convient également avec ses cordes pincées en arrière plan, ainsi que "Tout est accompli!" (N°7).
La N° 8, "Père je remets mon esprit entre tes mains", ne me convainc pas totalement, malgré sa luminosité.
L'introduction est chouette et la conclusion sans plus.

Pas mal dans son ensemble, mais un peu répétitif.





DOROTHEE
CHAGRIN D'AMOUR


Le 18 Juin 2021 par BAKER

Citons Didier Bourdon : un chagrin d'amour.... putain, ça fait mal !





Michel POLNAREFF
LOVE ME, PLEASE LOVE ME


Le 18 Juin 2021 par JERRY OX


On parle là d'un album magique que je réécoute en ce moment (comme les 4 suivants !). Que de belles et grandes chansons et ce, pour un premier album, chapeau à Polnareff ! Et que de tubes "Sous quelle étoile suis-je né?", ''Love me, please love me ", "La poupée qui fait non ","L'amour avec toi " qui fut censurée ou, plutôt, il était de bon ton de programmer ce titre sur les ondes après 22 h. Un must !





BURNIN RED IVANHOE
BURNIN RED IVANHOE


Le 18 Juin 2021 par K-ZEN

Je ne connais que le W.W.W. de 1971 mais le commentaire de celui-ci donne diablement envie de s'y intéresser ! A noter que le dernier titre donnera son nom à un autre collectif plus jazz fusion fondé par certains gars de Burnin Red : Secret Oyster !





JAMES BOND
VIVRE ET LAISSER MOURIR (GEORGE MARTIN)


Le 16 Juin 2021 par DERWIJES


J'aimais beaucoup Vivre et Laisser Mourir quand j'étais plus jeune, maintenant c'est peut-être le Roger Moore auquel j'accroche le moins. Trop long, trop lent, je n'aime pas du tout Jane Seymour en James Bond Girl et les scènes d'action sont molles. Yaphet Kotto est un méchant excellent, dommage que ses deux sbires, le proto-Requin avec son bras en fer et le Baron Samedi au rire très énervant, lui volent du temps d'écran alors qu'il les surpasse largement.
Mais Feelgood a bien choisi ses adjectifs dans ses commentaires, malgré ses défauts le film est effectivement "soyeux et groovy" et il a cette classe "so british" qui fait qu'il se regarde quand même avec plaisir. Et l'affiche du film est une des meilleures de la série pour moi !

Je n'avais jamais fait attention à la musique du film si ce n'est pour la chanson-titre, toujours aussi efficace malgré son âge. La musique de George Martin n'a pas la classe de celle de John Barry mais elle se défend franchement bien. On sent qu'il est content d'avoir cette opportunité et on y découvre quelques passages/pastiches savoureux de la blackexploitation comme ce "Fillet Of Soul" suivi du "Bond Drops In", ou le romantisme de "Bond Meets Solitaire"...De quoi justifier son appellation de "Cinquième Beatle" !





RED HOT CHILI PEPPERS
CALIFORNICATION


Le 16 Juin 2021 par CSAMSA


Au niveau compos, rien à redire, c'est du très bon sur toute la longueur. Là, où mon ressenti a changé, c'est au niveau production. Cet album est exemplaire de la "loudness war", la guerre du volume, (il est souvent cité avec le Death Magnetic de Metallica comme l'exemple ultime du son "brick-walled) qui a abouti dans les années 2000 et ultérieures à ultra-compresser les masters (ou les remasters) pour donner l'impression d'une plus grande puissance, quitte à aller dans la saturation. Compresser c'est réduire la dynamique (écart entre les niveaux faibles et forts, la bande FM abuse de cette technique pour avoir plus d'impact) et ce son assez caractéristique de l'époque, flatteur à première ouïe, finit par fatiguer les tympans. C'est vrai qu'au moment de sa sortie, je trouvais qu'il sonnait bien, qu'il avait une sacré patate et aujourd'hui, je trouve l'écoute épuisante. Rick Rubin a vraiment exagéré, mais pas dans le bon sens.





Marketa IRGLOVA
QUINTESSENCE


Le 15 Juin 2021 par MR LARSEN


J'adore traîner sur FP car c'est une source inépuisable de découvertes musicales, tous genres confondus. Mon dévolu se porte cette fois sur une pépite folk, en l'occurrence ce "Quintessence" de MARKETA IRGLOVA. La vache, j'ai été touché en plein cœur par la beauté et la grâce de ce titre ! C'est une composition à la fois onirique et vectrice d'un sentiment de plénitude absolu. C'est tellement beau et apaisant, ça fait du bien en ces temps troublés ! Et le clip est à l'avenant! Je m'en vais plonger plus avant dans la discographie de la jeune femme, qui n'a apparemment enfanté que de grands albums, donc j'ai hâte ! Encore merci Gegers et FP de m'offrir de tels instantanés musicaux, c'est tout à fait rafraîchissant !


Par Forces Parallèles

Hey,
j'en profite pour en rajouter un peu sur Marketa : la jeune femme vit à Reykjavik depuis bientôt 10 ans, est mariée avec un islandais, collabore pas mal avec Emilianna Torrini - leurs univers musicaux se jouxtent -, je l'ai croisé le mois dernier à Lucky records, on a échangé quelques mots, elle est discrète et modeste, étonnée qu'un webzine français écrive sur elle. Les islandais la considèrent comme une des leurs, elle vient d'ailleurs de demander la nationalité islandaise.
Bien à toi Mr Larsen.
Erwin





JAMES BOND
VIVRE ET LAISSER MOURIR (GEORGE MARTIN)


Le 15 Juin 2021 par FEELGOOD


Je réécoutais justement cette B.O. il y a quelques jours. Il s'agit de l'une de mes « bonderies » préférées avec You Only Live Twice, Diamonds Are Forever et Moonraker. Sauf qu'ici, c'est George Martin qui remplace John Barry. Outre la célébrissime chanson des Wings, dont la partie instrumentale servit de générique à la défunte Heure de Vérité, le disque regorge de délicieuses pépites à la sauce seventies/blaxploitation. L'ensemble, à la fois soyeux et groovy, « so british » et exotique, avec ce côté vaudou de pacotille, constitue un plaisir de tous les instants. Dommage que G. Martin et Macca n'aient pas réitéré l'expérience.





The FIRM
MEAN BUSINESS


Le 15 Juin 2021 par LE MOUNGEPEDOUN


Que ça fait du bien du rock'n'roll sans fioritures, interprété par des musiciens hors-pair, un super-groupe. Ah que oui, un pur bonheur à contre-courant des productions sorties à cette époque.





JAMES BOND
VIVRE ET LAISSER MOURIR (GEORGE MARTIN)


Le 15 Juin 2021 par J.B. D'AUVERGNE

J'ai arrêté de lire à "Jane Seymour plus superbe que Diana Rigg". Où allons-nous ?





SHEILA
ÉCOUTE CE DISQUE


Le 14 Juin 2021 par MARTIN LA BOTTE


(Aparté préalable pour une petite question intérieure suscitée par la réaction du "KINGBEE" qui s'étonne que Marco puisse donner une note élevée à cet album de Sheila qui serait forcément en dessous de l'oeuvre des Brassens, Brel, Ferrat... Si on était sur un site de critiques cinéma, et qu'un chroniqueur avait mis 4 étoiles à un film de Zidi ou de Molinaro avec De Funès, un Denys de la Patellière avec Gabin ou un Lautner avec Belmondo, est-ce que sa perplexité l'aurait poussé à intervenir pour demander combien d'étoiles seraient alors attribuées aux films de Renoir, Carné, Ophüls, Godard, Melville, Resnais, Demy... ? )


Alors, ça serait plutôt 2 étoiles et demie pour ce 2e LP de Sheila mais comme j'ai été généreux avec 2 des 5 albums de cette artiste que j'ai déjà commentés, je vais arrondir à la note inférieure pour celui-ci.
Principalement, parce que je trouve qu'il y a une régression dans les thèmes abordés par rapport au précédent, il devient clair ici que Sheila et surtout Carrère veulent davantage cibler les familles, de la grand-mère au petit-neveu, plutôt que la jeunesse ado jusque là privilégiée par les idoles yéyés. Fini, la rébellion face à Papa, les demandes insistantes de surboum, le plaisir de jeter les cahiers en fin de scolarité, l'aveu de se sentir "troublée par le printemps" et d'avoir "des désirs cachés tout au fond de soi..." Maintenant, on se souvient des beaux jours passés dans une chorale, on ne sort pas avec d'autres garçons pour "rester une enfant très sage" et se réserver pour celui qu'on aime, on clame qu'on a très envie de se marier à l'église et on prévient déjà les copains qu'on pourrait bien se séparer un jour, même si on affirme ne pas avoir changé...
Difficile d'être élogieux ou sévère avec "Vous les copains...", mega tube (adapté) faisant partie du patrimoine presque autant que "Petit Papa Noël", on sait qu'on aura toujours plaisir à l'entonner pour un départ à la retraite ou un enterrement de vie de garçon. Mais on en a tellement entendu l'intro jusqu'à saturation que ce n'est peut-être pas le morceau qu'on privilégiera pour aborder cet opus.
Pour cela, je conseillerai davantage 3 coups de coeurs : une autre cover, "À la fin de la soirée", courtissime morceau (1'44"), nerveux, choeurs hoquetant, asséné par une jeune Sheila déterminée à larguer son petit ami. "Écoute ce disque", joli slow rétro et réconfortant avec sa mélodie de berceuse et ses choeurs masculins un tantinet gospel, le seul titre qu'une Françoise Hardy aurait pu éventuellement créer. Et ma préférée, "Chaque instant de chaque de jour", cover de Dionne Warwick sur de l'élégant Burt Bacharach (pléonasme), enregistrée la même année par Dalida. Je sais bien que cette dernière est devenue indépassable pour beaucoup depuis sa mort et surtout sa résurrection "orlandesque" mais contrairement à ce que j'ai pu lire parfois, je préfère la version de Sheila, aux harmonies moins marquées mais plus touchante, plus authentique; et puis, ça me parait plus logique qu'une fille de 18 ans ose dire pour la première fois "je t'aime" à celui qui doit partir, qu'une femme de 31 ans.
Moins convaincu en revanche par "Oui il faut croire", reprise médiocre de Dusty Springfield, aux paroles aussi optimistes que poussives. J'aime plutôt bien 2 autres originaux, le sensible "L'Ami de mon enfance" et le dynamique "Oui c'est pour lui" qui pourra surprendre avec sa dernière demi-minute allant crescendo vers l'euphorie que d'aucuns assimileront davantage à une soudaine crise d'hystérie comme d'ailleurs la fin de "Je n'ai pas changé". Marco, tu ne détectes pas de titre "indigent" très en dessous comme "Ouki Kouki" sur le précédent, ben il y a quand même ici "La Chorale", aux paroles aussi niaises que la mélodie est pénible.
La pochette conserve le charme désuet de la plupart des titres alors que 64 et 65 comptent pourtant parmi les années les plus délicates pour Sheila, capillairement parlant... ;)






Alain SOUCHON
JAMAIS CONTENT


Le 13 Juin 2021 par BAKER

"Poulailler's song" est un petit chef-d'oeuvre. Dommage que les générations présentes ne puissent pas comprendre tout le sel de ce truc bizarre à dessein. Même moi qui suis pourtant de la génération Bebete Show, soit un septennat de retard, j'ai dû me remettre dans le contexte.

De nos jours, pas sûr que ça passerait. Enfin si, dans des vidéos youtube bien encadrées et bien censurées avec, entre autres, oh stupeur ! la désactivation des commentaires. Je vais vous aider et vous la faire courte : si on vous demande pourquoi, répondez que ce n'est pas de la censure, mais de l'écologie car les commentaires des vidéos youtube consomment beaucoup trop d'énergie. Merci qui ? Merci Baker !







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