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CAPTAIN BEYOND
CAPTAIN BEYOND


Le 11 Janvier 2017 par THIERRY RAOULT

Je remercie Forces Parallèles. Grâce à cette chronique, j'ai découvert CAPTAIN BEYOND. Je n'avais jamais entendu ce nom. Par la même occasion, j'ai réalisé qu'il y avait eu un chanteur avant Ian Gillian chez Deep Purple, qui en plus a quand même participé à 3 albums.

J'ai regardé et écouté un live (en Studio TV) de 1972 et je suis resté médusé. C'est véritablement un ovni. Les 4 musiciens sont excellents. Le chanteur, le guitariste, le bassiste et le batteur assurent grave. C'est étonnant que ce groupe n'ait pas percé.

Je vais écouter d'autres titres. J'ai vu qu'ils n'ont sorti que 3 albums.

Merci FP.

(je ne mets pas de note, je n'ai pas écouté l'album.)





CREAM
FRESH CREAM


Le 10 Janvier 2017 par CHRIS06


Que vaut ce premier album de CREAM?
D'un point de vu technique, c'est très fort.Les lignes de basse sont souvent incroyables et le jeu de batterie est au millimètre. Note spéciale pour le son incroyable de Clapton, le meilleur pour moi de sa carrière, un son chaud, crémeux, dû je crois au couple SG/Marshall.
Par contre, d'un point de vue artistique, c'est un peu mitigé. Certes, l'album possède des morceaux de grande bravoure comme "Sleepy time time" où clapton distille des licks terribles et un solo à se rouler par terre, ou encore la reprise "Spoonfull" complètement hallucinante. Mais il posséde aussi des morceaux insignifiants tels "Dreaming", voire insupportables comme "Toad" et son solo de batterie soporifique.
Cependant, ne faisons pas trop la fine bouche, on reste quand même présent devant un bon premier album qui annonce les deux chefs-d'oeuvre à suivre.





PINK FLOYD
WISH YOU WERE HERE


Le 10 Janvier 2017 par AZER


L'un des albums les plus estimés de la Musique. Et je tends à penser que ce presque consensus est tout à fait justifié.
Tout est superbe sur cet album.





LORDE
PURE HEROINE


Le 09 Janvier 2017 par AZER


Un bien drôle d'album que celui-ci. S'il dépasse de loin les produits pop actuels, il n'en évite pas pour autant certains écueils.
LORDE est assurément une jeune fille talentueuse, et sa voix, sans être exceptionnelle, reste très agréable à l'écoute, finement maîtrisée. La production est tout ce qu'il y a de plus honorable, assez minimaliste dans son approche malgré une large présence d'effets électroniques, ce qui ne peut être qu'un plus par rapport aux canons du genre dont le mot d'ordre est l'absence totale de subtilité.

Quand aux compositions, elles sont en dents de scie. Lors des écoutes, on remarquera que nombres de titres patinent allègrement au niveau des couplets: "Tennis Court" commence assez mal (ces couplets aux trois derniers temps muets sont très maladroits) avant d'être rattrapé par un très bon refrain, entraînant et racé, exploitant à merveille la voix de la chanteuse. Et si ce titre s'avère globalement réussi, cela n'est ni le cas de "Ribs" (aux claviers indigents), de "Buzzcut Season" ni de "Still Sane", qui sans être foncièrement ratés, manquent de fulgurances et de renouvellement. Cela s'avère être le principal problème de l'album; si son esthétique entre hip-hop minimaliste et électronique teinté de claviers new-wave épars fonctionne, trop de morceaux se contentent d'en reprendre les codes sans idées supplémentaires. L'album paraît ainsi assez répétitif, ce qui eut pu être évité si certaines compositions étaient plus travaillées.

Malgré cela, LORDE parvient à délivrer une Pop maîtrisée et intéressante sur bien des titres. "Royals" ne démérite pas de son succès, mis en orbite par un excellent refrain et des chœurs pertinents. "400 Lux" séduit par son aspect froid et éthéré, porté une fois n'est pas coutume par son couplet, et "White Teeth Teens" possède des chœurs réussis. "Team", malgré sa rythmique un peu linéaire, est assurément le meilleur morceau de l'album, son beau refrain soutenu par ces claviers très M83 fait mouche.

En définitive, un bon album de Pop mainstream, chose que je n'eus jamais cru prononcer (ou écrire) un jour, qui augure du bon pour la suite de la carrière de sa chanteuse. Le potentiel est présent, reste avoir si transformation il y aura.







QUEENSRΫCHE
CONDITION HUMAN


Le 09 Janvier 2017 par LJ


album que je redecouvre un an apres sa sortie , et , honnetement , il vaut largement 4 etoiles





PINK FLOYD
CRE/ATION - THE EARLY YEARS 1967-1972


Le 09 Janvier 2017 par LONG JOHN SILVER

@VIV
Oui, tu as parfaitement raison à propos des concerts du Floyd, déjà connus des bootleggers, couvrant toutes les époques et qui pourraient connaître un traitement identique à cette édition de Atom Heart Mother. La bande son de Live At Pompeï est restée longtemps "non officielle" d'ailleurs.
Bien à toi





PINK FLOYD
CRE/ATION - THE EARLY YEARS 1967-1972


Le 08 Janvier 2017 par VIV


Même si tout le contenu de cette compilation (version 2cd, pas le coffret) était déjà plus ou moins connu pour chaque floydiens avide de raretés, ce disque vaut quand même son pesant de cacahuètes. Pour ceux qui n'en ont pas eu assez avec "relics" quarante cinq ans auparavant, cette sortie amène de nouveaux os à ronger. Mention spéciale aux extraits de "zabriskie point' qui laissent présager certains morceaux de DSOTM et autres passages de echoes, surtout la version d'Atom Heart Mother sans les cuivres justifiant à lui seul l'achat de ce disque.
De la reconnaissance aussi à l'artwork soigné, en phase avec le contenu.
Bref, du bon boulot ; on en veut plus dans le genre. Les fonds de tiroirs se sont pas encore tous publiés. Pour Noël prochain on veut un live de la tournée "animals".





REM
UP


Le 08 Janvier 2017 par PETER STIPE


Le départ de Bill Berry et les problèmes de santé vécues lors des tournées précédentes ont failli aboutir au split de REM. Une configuration rappelant celle dont Depeche Mode fut victime à peu près à la même époque. C'est dans ces conditions que Stipe, Buck et Mills se sont lancés dans de nouvelles approches.

L'ambiance n'est pas au beau fixe et ça se sent tout du long. Contemplation et mélancolie imprègnent fortement chaque chanson. Des nappes de claviers et de divers effets de guitares survolent des boîtes à rythmes. On est dans la 2ème partie des 90's, l'électro a envahi le rock. Une véritable batterie vient parfois renforcer l'ensemble. Seuls titres péchus, "Lotus" (unique titre rock) et "Hope" se retrouvent bien esseulés. Si la 1ère partie de l'album se tient, la 2ème se perd un peu trop dans l'introspectif et des tempos soporifiques.
D'où l'impression d'être en apesanteur. "Parakeet" est presque floydienne. Pour les réussites : les singles "Lotus", "At My Most Beautiful", "Daysleeper", "Suspicion" et "Hope".

Le principal problème de "Up" vient de son hermétisme et de son manque de peps. L'électronique a permis au groupe de trouver une autre source d'inspiration. On aime ou pas. 2,5/5





DEPECHE MODE
CONSTRUCTION TIME AGAIN


Le 07 Janvier 2017 par MODE DE PECHE


Loin d'être mauvais, cet album de Depeche Mode n'est pas pour autant un chef-d'oeuvre de la pop. On sent un groupe qui se cherche encore, d'où le titre de l'album. On est dans l'expérimental teinté de new-wave. Martin Gore lui-même considère que le groupe n'a pas trouvé son style avant "Black Celebration". Les influences indus de "Construction Time Again" ont été digérées au fil des albums jusqu'à aujourd'hui. Sur cet album, le groupe est aussi bien capable de créer des titres intéressants et originaux ("Pipeline", "More Than a Party", "Told You So") que de replonger dans les erreurs des deux 1ers albums ("Shame", "Two Minute Warning", "The Landscape is changing"). Le reste s'écoute facilement sans être forcément très consistant. Le groupe a quand même progressé (surtout sur les arrangements) et l'arrivée de Wilder ne pouvait qu'être un atout majeur. Ce qui se confirmera très vite l'année suivante.





Elvis PRESLEY
SPEEDWAY


Le 06 Janvier 2017 par SGT JAKKU


Okay, "There Aint Nothing Like A Song" est le titre le plus dynamique de l'album mais on a tellement l'impression de quelque chose de forcé du genre "hey les gars, y a un morceau de rock ici, si si !" qu'on y croit moyennement à l'instar du morceau titre qui tente maladroitement de retrouver l'énergie et l'esprit du king du début des années 60. Pas très convainquant...

Seules 4 chansons ont retenu mon attention :
- "You're Time Hasn't Come Yet Baby", une ballade classique et agréable
- "Who Are You?" ma préférée, elle est un peu ringarde mais c'est aussi la plus intéressante mélodiquement parlant.
- "Let Yourself Go" pas très originale mais entraînante
- "You Groovy Self" qui fait la part belle à Nancy Sinatra, entre Jazz, Pop et Rock.

Le reste est soit médiocre, soit insignifiant. Conclusion, Speedway propose un contenu qualitatif assez pauvre et fait partie des BO les moins réussies d'Elvis.





NIRVANA
NEVERMIND


Le 06 Janvier 2017 par CéDRIC


ce nevermind m`a toujours laissé indifférent certainement un des albums les plus surestimés du rock selon moi





Steve ROACH
THE MAGNIFICENT VOID


Le 06 Janvier 2017 par NORTHMATHR


Steve Roach se lance à la conquête du grand silence infini. Ses claviers n'auront jamais sonnés aussi profonds, denses et dilatés, ils traversent littéralement l'espace en inertie sur des années-lumière ! Cet album préfigure ses futures œuvres, notamment l'incroyable et éternel "Mystic Chords & Sacred Places".





Steve ROACH
WELL OF SOULS


Le 06 Janvier 2017 par NORTHMATHR


Excellent album, qui se dénote du reste de sa discographie dans sa période 90's, mélangeant habilement ses sonorités plus chaudes et ethniques avec les sonorités froides types nappes spatiales (plus présentes dans les années 2000/2010).
Sûrement l'un des meilleurs de sa décennie avec "The Magnificent Void" et "The Serpent's Lair".





REM
OUT OF TIME


Le 04 Janvier 2017 par PETER STIPE


Ce qui fait qu'un groupe accède à la consécration mondiale, c'est une histoire de maturité, d'inspiration et de production. Après s'être révélé au monde anglo-saxon avec "Green" et 3 ans d'abstinence, le groupe décide de rentrer de plein pot dans les 90's en ajoutant à son style une richesse instrumentale qu'il avait plus ou moins approché au fil de ses albums. C'est encore Scott Litt, ayant oeuvré sur les 2 précédents albums, qui tient la production.

Il y a certainement eu une part de chance dans le succès de "Out of Time". Sans un "Losing My Religion", il n'aurait probablement pas connu ce succès. D'autres raisons sont expliquées plus bas. Le groupe n'a lésiné sur les moyens. On y trouve pas moins de 16 musiciens et (environ) 18 instruments. Sans oublier ceux du quatuor, y compris la fameuse mandoline. Les arrangements, y compris vocaux, sont superbes. Le clavecin sur "Half a World Away" est un avant goût de "Nightswimming". REM se fait un trip "alternatif-baroque" improbable. Cela dit, ce n'est pas le 1er groupe a avoir incorporé de tels instruments dans leur musique. Les Beatles ont sûrement fait partie des pionniers. Sur "Out of Time", il n'y a pas de chanson faible. Tout au plus des titres que l'on aimera moins mais qui, techniquement, sont irréprochables. Les meilleurs titres sont indéniablement, "Losing My Religion", "Texarkana" et "Country Feeback", que Stipe considère comme sa préférée. Une première : Mills chante en lead sur "Near Wild Heaven" et "Texarkana", tandis que Buck ânonne quelques couplets sur "Belong". D'un point de vue textuel, Stipe se pose, médite sur son existence, tout en cabotinant de temps en temps ("Shiny Happy People" par exemple). Il y a une forme de poésie, d'onirisme parfois.

Malgré l'immense succès de "Out of Time", le groupe n'a pas voulu faire de tournée promo, préférant se contenter de quelques 'unplugged'. Peut-être qu'il n'y était pas préparé. Son approche musicale et textuelle tirera sa conclusion sur l'album suivant : "AFTP".

PS : l'album est sorti en version remastérisée fin novembre 2016, pour ses 25 ans (déjà!).





Rick JAMES
STREET SONGS


Le 04 Janvier 2017 par JASPER LEE POP

"son mauvais goût et de son groove imparable " dis-tu cher Baron? Voilà qui est parfaitement résumé le personnage, ma foi.





REM
MONSTER


Le 04 Janvier 2017 par PETER STIPE


Bien qu'unanimement reconnu et apprécié, REM n'a jamais renié sa marque de fabrique : ne pas faire ce que les gens attendent de lui. "Monster" en est la parfaite illustration. Après un "AFTP" orchestral et acoustique, il lui fallait changer de style et son image. Un peu comme U2 entre "R&H" et "Achtung Baby".

Plus grunge dans l'esprit que musicalement, "Monster" est le plus rock de tous leurs albums. Stipe démontre encore une fois sa capacité à se renouveler dans le chant (et dans son allure générale aussi), notamment sur "Crush With Eyeliner", "King of Comedy", "You" ou un "Tongue" aux dérangeants falsettos. Ses textes sont à l'inverse de ceux de "AFTP" : tranchants, et abordant des sujets qui fâchent. Pas la peine d'y chercher de l'écolo ou de la grande poésie. Buck pousse ses overdrives et 'satus' à fond, delay en soutien. Son jeu n'est pas très relevé techniquement, mais toujours d'une fluidité et d'une efficacité désarmantes. Mike Mills se ballade dans n'importe quel registre. Ses lignes de basse sont toujours impeccables. Il est toutefois en retrait pour les choeurs. Bill Berry est fidèle à lui-même : métronome, puissant et posé.
Pour l'album lui-même, hormis les très péchus "Star 69" et "Circus Envy", les tempos sont rarement prononcés. Le problème majeur de cet album, c'est qu'il n'y a pas vraiment de titre qui fasse mouche. Aucun n'est mauvais (quoique "Tongue"...), mais aucun n'atteint les sommets. Les arrangements sont minimaux. Un peu de guitare acoustique n'aurait pas fait de mal pour alléger certaines compos.

Soyons clair, ce n'est pas le moins bon album du groupe. On dira plutôt que c'est le moins bon des 4 albums entre 1991 et 1996, période où le groupe fut à son apogée.





Felix MENDELSSOHN
SYMPHONIE N°5 RéFORMATION (ABBADO)


Le 04 Janvier 2017 par CLANSMAN57


La 4° est une ôde au soleil, celle-ci serait davantage dédiée à la lune et à écouter le soir dans le noir complet.

Dotée d'un caractère religieux (ou spirituel), la partition se veut plus mélancolique, plus profonde.

Le second mouvement est plus gai, le seul d'ailleurs qui soit romantique.
Le reste verse plutôt dans le baroque.

C'est marrant, mais j'ai plus rapidement accroché à celle-ci qu'à la précédente symphonie et pourtant, elle me semble bien plus complexe.
Une preuve qu'elle est parfaitement bien composée peut-être, malgré ses contrepoints et ses fugues empruntées à Bach?

Une petite merveille.






Felix MENDELSSOHN
SYMPHONIE N°4 ITALIENNE (ABBADO)


Le 03 Janvier 2017 par CLANSMAN57


Une symphonie très lumineuse qui semble réclamer la lueur diurne pour se dévoiler pleinement, voire la lumière de la table de chevet si on l'écoute le soir.

Dans le noir, il y a comme un manque, c'est pas compatible avec cette carte postale en provenance d'Italie.

Grandiose!






TALK TALK
SPIRIT OF EDEN


Le 03 Janvier 2017 par CLANSMAN57


Il est vraiment très beau ce disque.
Difficile de croire que c'est le groupe qui a composé "It's My Life" et "Such A Shame", qui sont d'excellents morceaux de Pop en passant.

"The Colour Of Spring", sous son aspect tubesque, démontrait déjà un travail sur l'atmosphère et le planant.
Ici, le tube s'en va et laisse place au rêve à 100%.

Et tout comme pour son prédécesseur, j'ai du mal à lui trouver ne serait ce qu'un seul cheveu gris.

Indispensable à tout bon rêveur, même si les premières écoutes ne sont pas très encourageantes.






Rick JAMES
STREET SONGS


Le 03 Janvier 2017 par LE BARON


Ahhh, Rick JAMES ! Merci d'avoir parlé de lui. Et de ses cuissardes, de son mauvais goût et de son groove imparable.
Pour les amateurs, on peut également entendre un sample de "Ghetto Life" sur "In The Ghetto", de Busta RHYMES, avec... Rick JAMES. Z'ont plus d'un point commun ces deux affreux.







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