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Bob DYLAN
PAT GARRETT & BILLY THE KID


Le 30 Novembre 2020 par FRED


"illustrer la fin d’une scène de Gun (pas encore n’Roses) fight au cours de laquelle une fermière regarde son époux, blessé au bord d’une rivière, expirer au soleil couchant".
Il ne s'agit pas d'une fermière, mais de l'épouse -et adjointe- du vieux shérif de la bourgade, interprétée par l'immense Katy Jurado (High Noon...). Son époux expire après avoir été requis par Garrett afin d'interpeller des complices du Kid. Il faut d'ailleurs voir Katy Jurado descendre un des protagonistes à bout portant avec son fusil à deux coups !
Sinon, je trouve Dylan assez inconsistant dans le film, dans son rôle de faire-valoir qui ne sert au final qu'à compter les coups. 'Faut dire qu'il n'a pas la carrure, dans tous les sens du terme, face à Coburn et Kristofferson (film revu hier).





Dick RIVERS
VIVRE COMME çA


Le 30 Novembre 2020 par INCONDICTIONNEL


je pense que vous feriez mieux de vendre du poisson au marché du coin.
Si vous détester DICK RIVERS ne faite pas de commenter.
merci Erwin.


Par Forces Parallèles

Hey !

Je ne vaux rien comme vendeur de poisson, ce sera donc non désolé !

Je ne déteste pas Dick, bien au contraire, j'essaye juste de faire preuve d'objectivité, quel que soit l'artiste. Un chroniqueur ne peut pas se permettre d'être Inconditionnel, contrairement à un commentateur... Mon idole Elvis - tu dois connaître - a pris 11 fois la note minimale, c'est le principe même du boulot !

Dick risque donc de prendre d'autres sales notes, et le poisson attendra !
Bien à toi
Erwin





Michael JACKSON
DANGEROUS


Le 29 Novembre 2020 par NONO


Album ultra-long, donc au final ultra-chiant. Avec cette production métallique typique du début des années 90. Quelques bons titres oui, mais l'ensemble est vraiment indigeste.
Depuis Thriller, bambi chute d'album en album. On est ici déjà très bas. C'est l'album "Invincible" quelques années plus tard qui enfoncera le clou.





Frank ZAPPA
APOSTROPHE (')


Le 29 Novembre 2020 par BORIS LE BORGNE


Trop court mais deux fois trop bon. Ce qui donne un excellent album au final.

Même note pour "Overnite Sensation", mais avec une préférence pour celui-ci, plus homogène dans son délire.






Joe JACKSON
LOOK SHARP!


Le 29 Novembre 2020 par BAKER


Un des meilleurs premiers albums de l'histoire.

Je kife même les TEXTES, * MOI *. C'est dire le niveau de la bête.

Le pervers narcissique sur One More Time, l'idiocratie version 1.0 (on est dans la 3.5) de Sunday Papers (NdDave Houghton : "Yeah !"), le dédain empli de fiel mariné aux larmes salées de Is She..., le reggae indolent et fataliste de Fools, cette intro plein pot du morceau-titre, cet album n'est qu'un long (mais court) orgasme pop-reggae-rock.

L'album suivant sera largement moins bon mais comment en vouloir à un Jackson qui, en prime, aura par la suite une des carrières les plus passionnantes qui soient ?





AC/DC
PWR/UP


Le 28 Novembre 2020 par VALEK


AC/DC a révolutionné la musique Hard Rock à plusieurs reprises durant sa carrière avec des rebondissements inattendus comme dans les années 90. Aujourd’hui même si la recette est la même depuis plus de quarante ans, le groupe se maintient en proposant de temps en temps quelques hits en guise de repas. AC/DC innove quelques idées par-ci par là. Il est inutile d’avoir une vision trop dure sur les dernières sorties car les albums s’écoutent facilement sans trop de difficulté. Je n’ai pas été déçu par la chronique qui reflète bien la qualité de cette œuvre.





Michael JACKSON
DANGEROUS


Le 28 Novembre 2020 par FRèRE TRUCIDUS


Le Vieune a tout dit. Sur cette bouse, Michael Jackson prône en plus le "plus c'est long et plus c'est con" tant la médiocrité de certains titres est flagrante. Et les 2 singles sont une torture aujourd'hui. Un étron de pop, et qui a osé dire sophistiquée ? Roxy music, No-man, Jamie cullum, voire Travis, là d'accord c'est sophistiqué. Enfin, le titre du CD aurait pu être Toxic tant mes oreilles saignent encore depuis l'écoute...





LUDWIG VON 88
HOULALA 2 : LA MISSION


Le 28 Novembre 2020 par ATOMIC PLAYBOY


J'avais complètement oublié cet album que mes potes écoutaient à l'époque et qui me faisait bien marrer. En tombant par hasard sur cette chronique, je m'en suis souvenu et rien que la lecture des titres m'a rappelé les chansons, du coup, je l'ai racheté et grand bien m'en a pris !

C'est du délire pur, total et assurément débile, mais totalement assumé. Un grand bol d'air frais venu d'il y a longtemps dans une galaxie très, très lointaine et aujourd'hui totalement étrangère mais que je regrette beaucoup. Merci donc à RED ONE de m'avoir rappelé ce disque, ce groupe, cette époque... et le Paris qui allait avec.

De plus la ré-édition CD propose une foultitude de bonus dont les géniaux "Oui-oui et la voiture jaune" et "Spock around the clock". Quatre étoiles seulement cependant en raison des trop nombreux titres à deux balles (notamment ceux cités dans la chronique) qui plombent un peu l'ambiance.

Mais quand même... quel album ! Pin pon pin pon pin ! Oui-oui's not dead !






Michael JACKSON
DANGEROUS


Le 28 Novembre 2020 par LE VIEUNE


Écouté et détesté. Du new jack, oui. De la pop sophistiquée, pourquoi pas ? Le problème que j'ai toujours eu avec Michael Jackson, et ce depuis la période post "Thriller" l'album, c'est sa déification médiatique bon gré ou malgré lui, l'émerveillement à saturation autour du personnage et de ses oeuvres, surcotés, même si Bambi a du talent. "Dangerous", c'est de la prétention en toc assurée par de la boîte à rythme incessante. De la m.... comme a fait sa soeur Janet.





AC/DC
PWR/UP


Le 28 Novembre 2020 par MB

AC/DC est un groupe sympathique dont on peut saluer la constance, l'énergie et la longévité, mais aussi critiquer la limite artistique. Album anecdotique, un de plus, qui s'écoute sans déplaisir mais sans donner envie d'y revenir.





ROXY MUSIC
MANIFESTO


Le 28 Novembre 2020 par NONO


Je suis un des rares à vraiment bien aimer Manifesto. Pas de grands titres, de gros succès ici, mais rien à jeter non plus : tout se tient plutôt bien. Je préfère un assez bon album homogène comme celui-ci, plutôt qu'un album médiocre "tenu" par 2 ou 3 tubes... comme ça sera le cas pour le suivant ("Flesh & Blood") que, par contre, je n'aime pas car beaucoup trop inégal.





ZAZIE
ZEN


Le 28 Novembre 2020 par C'éTAIT VIEUX AMANT

En termes d'enfonçages de portes ouvertes, elle se pose là, Isabelle de Truchis de Varennes...
Pour ce qui est des jeux de mots dignes de l'almanach Vermot, seul MC Solaar peut rivaliser.





ROXY MUSIC
FLESH + BLOOD


Le 27 Novembre 2020 par METALPROG84


Très bon ce "Flesh+blood". Bien sûr, la musique n'a presque plus rien à voir avec les premiers albums, mais ici tous les titres sont inspirés, contrairement à l'album précédent. Mention spéciale à "Oh yeah", "Same old scene" et "Over you". On peut reprocher à l'album ce côté formaté, mais force est de reconnaître que dans ce style pop-rock fm, le groupe excelle. Quasiment du niveau de "Avalon".





ROXY MUSIC
SIREN


Le 27 Novembre 2020 par METALPROG84


Pas franchement mauvais ce "Siren" mais pas franchement bon non plus. A part les excellents "Love is the drug" et "Both ends burning", les autres titres sans être mauvais manquent de folie ou/et d'inspiration. On dirait que le groupe est en pilotage automatique: il manque souvent le petit quelque chose pour rendre les titres vraiment passionnants. "Siren" donne l'impression d'un album un peu trop lisse. Le 2ème moins bon du groupe après "Manisfesto".





Michael JACKSON
DANGEROUS


Le 27 Novembre 2020 par THE NEW ANGEL D


Pour beaucoup, ce "Dangerous" est le Sergent Pepper's de Michael Jackson dans le sens où l'album est riche et aventureux (ce qui n'est pas faux). Et comme d'habitude, le perfectionnisme est au rendez-vous avec l'artiste.

Mais avec du recul, j'ai un peu de mal avec ce disque. Pour le style musical, on a du New Jack Swing (j'entends pas mal de Janet période "Rhythmn Nation 1814") et du Pop Rock.

Avec Quincy Jones (ou même sans lui si l'on regarde certains albums avec ses frères), les morceaux étaient triés et ciselés.
Ici, il y a quelques titres dispensables et certains sont inutilement répétitifs voire parfois longs (un peu à la manière du "Song In The Key Of Life" de Stevie Wonder).

Il faudra aussi aimer le choix de production : qui dit New Jack dit l'omniprésence, et le mixage très en avant, de boîtes à rythmes. Je n'en suis pas toujours fan.

La première partie de l'album, sans être mauvaise, n'est clairement pas à la hauteur des albums précédents.
A part l'énorme "Jam (un "Wanna be startin something" sauce New Jack? ) et les hits "Heal the world" et "Remember the time" qui sont bons, le reste manque de mélodies et de consistance.

C'est flagrant sur "In the closet" et les autres titres : "Why you wanna trip on me", "She drives me wild" et "Can't let her get away".

Heureusement, la deuxième partie est d'un autre niveau mais les morceaux sont globalement dans la suite logique de "Bad".
Toujours à l'aise dans le style rock ("Black or white" et "Give in to me" avec un Slash à la hauteur), des ballades d'envergures ("Who is it" et "Will you be there"). Le gospel "Keep the faith" est également de qualité tout comme la ballade "Gone too soon".

L'album se conclut sur le titre "Dangerous", très New Jack, sympa mais un peu redondant.

Au final, "Dangerous" ne manque pas de qualités, mais il a à mon sens pas mal de défauts.
Il mérite de toute évidence un 3.5, mais mon ressenti fait que je ne peux que lui mettre un 3.
Un très bon disque mais juste un bon disque pour Michael ?





GOBLIN
SUSPIRIA


Le 27 Novembre 2020 par FEELGOOD


Daria Nicolodi, scénariste de « Suspiria », nous ayant quittés en ce funeste 26 novembre (soupirs), il me paraissait logique de réécouter la B.O du chef-d'oeuvre (à égalité avec « Deep Red ») de Dario Argento.
Superbe bande sonore signée Goblin, l'un des plus singuliers groupes des années 70, aux confluences du rock progressif et du jazz-rock, décrite en son temps par le critique Pascal Mérigeau comme « musique métallique désagréable au possible » (dans « La Saison cinématographique 1977 »), ce qui nous conforte dans l'idée que la plupart des prescripteurs d'opinions officiels n'étaient que les médiocres grands-parents des influenceurs stipendiés de l'ère internet, elle entraîne l'auditeur dans un univers tenant à la fois du merveilleux et du cauchemar, les fameux « Démons et merveilles » chers à Lovecraft, illustrant remarquablement l'idée de départ, à savoir mettre en images un conte de fées.
Le thème principal, mini-symphonie synthétique, entrelacement de claviers et de soupirs, demeure l'un des plus mémorables et addictifs du cinéma fantastique des années 70 (mais pas seulement), à égalité avec le « Tubular Bells » de Mike Oldfield et le « Phantasm » de Fred Myrow et Malcolm Seagrave.
Suivent des thèmes étonnants, parfois discordants, d'une virtuosité et d'une luxuriance rares, parfois brefs (« Witch »), parfois dignes des parrains du progressif des seventies (les douze minutes de « Black Forest »). Citons aussi cette « Valse de la mort », si différente du reste et tellement indispensable, ainsi que la sinistre « Suspiria (Narration) » et sa voix maléfique qui filerait même des frissons à Alice Cooper, grand admirateur du film.
Cette B.O de « Suspiria », le seul, l'unique, demeure l'un des enregistrements majeurs des années 70.





JACKSON 5
GOIN PLACES( THE JACKSONS)


Le 26 Novembre 2020 par THE NEW ANGEL D


L'alchimie entre les Jacksons et le tandem Gamble and Huff est encore une fois au rendez-vous. Je dirais même mieux : les morceaux sont plus accrocheurs que ceux du précédent album.
Il est évident que le groupe et Michael (plus mis en avant sur cet album) monte encore en puissance.

La production est toujours au top (un vrai plaisir pour les oreilles) et le son "soul" de la Philly est là, mais on est en 77 : on lorgne de plus en plus du côté du disco-funk.
C'est palpable sur les pêchus et très bons "Music's Takin Over", "Goin'Places", "Different Kind Of Lady" et "Jump For Joy ".

Pas de mauvais morceaux sur ce disque. L'entraînant "Do You Wanna" est sympa et les ballades soul pop comme "Find Me A Girl" ou "Even Though You're Gone" (qui rappelle un peu le "Show You The Way To Go" de l'album précédent) sont de qualité.

Il y a peut-être un peu trop de sucre sur "Heaven Knows I Love You girl" et "Man of War" semble un peu secondaire, mais ces titres restent agréables à écouter.
Personnellement, j'aime beaucoup ce disque, mais il faudra attendre le prochain pour mettre tout le monde (ou presque) d'accord.

Note : un 3.5 arrondi à 4.





Nubya GARCIA
SOURCE


Le 26 Novembre 2020 par DERWIJES

@Anathema Is Dead:
Merci beaucoup pour ce commentaire, ça me fait très plaisir !
Ce n'est pas la première fois que des lecteurs nous font remarquer que le site est plutôt léger niveau Jazz Fusion, et c'est vrai qu'on pourrait faire mieux, à commencer par moi qui devrais en écouter plus souvent.
Pour l'instant j'aimerais me concentrer à finir Charles MINGUS, et dès que ce sera fait je compte alterner entre la discographie (spoiler alert !) de Joni MITCHELL et quelques albums de fusion pour varier les plaisirs, entre choix persos et les suggestions que pourront faire les lecteurs.





John FOGERTY
BLUE MOON SWAMP


Le 26 Novembre 2020 par PILGRIMWEN


Cet homme est béni des dieux ! Il a ce talent pour pondre des morceaux de qualité. Ce disque m'a été chaudement recommandé, puisque je suis grand amateur de CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL. La musique de "Blue Moon Swamp", c'est à mes oreilles celle de CCR magnifiée et réactualisée. Je résume grossièrement l'opus, bien entendu. Un incontournable du genre !

Ma FPnote : 5/5.
Ma note : dansant et délicieusement vôtre/5.





Miles DAVIS
THE MAN WITH THE HORN


Le 26 Novembre 2020 par THE NEW ANGEL D


J'aime bien cet album. Une sorte de "Jack Johnson" partie 2 mais avec des morceaux plus courts et structurés.

Le titre "Shout", funky et aérien, rappelle clairement le thème "Shaft" d'Isaac Hayes.
"Fat Time" est mémorable pour la ligne de basse de Marcus Miller et le solo de guitare de Mike Stern.
Mon morceau préféré reste " Aïda" : une sorte de trance groovy, violente et hypnotique, qui donne envie que la musique ne s'arrête jamais. Les musiciens ne font ici aucun cadeau.

Le reste de l'album me parle un peu moins, mais n'est pas mauvais ("Ursula" me donne l'impression d'être un peu trop alambiqué et il y a débat sur le mièvre "The Man With the Horn").

Voila un disque globalement plus accessible, où Miles n'invente rien, très sympa dans l'ensemble.







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