Le 24 Novembre 2020 par BAAZBAAZ

Quelle musique merveilleuse ! Cette ambiance, ces voix, cette richesse instrumentale... "La Moda" ou "Come Quando Fuori Piove"... Lounge, Cocktail, Easy Listening, peu importe : c'est la grande classe. Merci Aigle Blanc pour cette chronique

Cela me fait un peu penser à la compilation "C'est Merveilleux" de Luxophonic, que je recommande à tous les gens de bon goût (ceux qui aiment Roger Nichols, Jobim...). D'ailleurs on y trouve "Fruscio Di Foglie Verdi" de MORRICONE, composée pour le film Teorema.

Le 24 Novembre 2020 par STEAK A CHIER

Angus and co font le job, point barre. On ne va pas crier au génie ni catapulter ce skeud dans les flammes de l'enfer. Un juste milieu s'impose : AC/DC donne ce qu'il a à donner après pas loin d'un demi-siècle de carrière. La face A envoie bien la purée mousseline, à part le médiocre "Rejection". La face B est plus feignante sur les bords, ça ronronne. "No Man's Land" beurk ! Et lorsqu'on s'y attend le moins, la pépite surgit. "Code Red", mama mia ! Voilà un titre tout simplement extraordinaire, jouissif, jamais entendu. Un titre aussi phénoménal depuis Back In Black, après 40 ans donc, oui oui. Rien que pour cela, merci les boys.

Le 24 Novembre 2020 par JOVIAL

Il faut bien noter tout de même, comme je le précise dans la chronique, que le groupe refuse cette étiquette de post-hardcore (que je ne comprends pas d'ailleurs ... l'étiquette étant elle-même devenue un fourre-tout pas possible). Mais c'est sûr qu'en s'attendant à du Fugazi ou du At The Drive In, on risque d'être très déçu !

Bien à toi.

Le 23 Novembre 2020 par METALPROG84

Album en demi-teinte: de très bons titres ("With you there...", "Nothing to say", To cry you a song" et "Sossity, you're a woman") côtoient des morceaux pas très inspirés ("Son", "For Michael Collins..." ou "A time for everything"). Sinon, les 3 autres sont pas mal, mais sans plus. Aqualung sera à mon sens bien meilleur.

Le 23 Novembre 2020 par LE MOUNGEPEDOUN

Un des meilleurs albums du groupe assurément : des compos béton, de l'excellent AOR, très rock, avec un Lou Gramm au sommet de son art. Vraiment, un bien beau disque qui passe encore très bien !

Le 23 Novembre 2020 par FRANCK

Merci, belle chro pour cet album qui a marqué mon adolescence. Sur le juke-box, ça sonnait bien.

Le 23 Novembre 2020 par ISABELLE CHAVEROT

Zazie, c'est une écriture avec des textes forts comme la chanson "Je suis un homme".

Le 23 Novembre 2020 par DABRIUS

Cet album c'est un peu au post-hardcore moderne ce que nanowar of steel est au heavy power épique sauf que c'est pas volontairement parodique. J'aurais bien aimé rigoler pour mettre quelques étoiles... sauf que c'est pas rigolo... c'est juste... gênant.

Le 23 Novembre 2020 par CLANSMAN57

Elle a de très bonnes chansons la Zazie, je la découvre un peu plus avec son "Zest Of".
J'avais peur que seules quelques titres me plaisent, mais en fait, j'en apprécie pas mal au final.
Jolie voix.

Le 22 Novembre 2020 par CLANSMAN57

Je me suis procuré un double best of de lui, un p'tit 43 titres...
Et no way...
J'ai juste réussi à écouter le premier disque.

Je préfère Michel Jonasz, bien que je n'en sois pas dingue.

Le 22 Novembre 2020 par THE NEW ANGEL D

Bien que ce soit l'album que Robert Smith préfère de l'artiste (toujours à contre-courant ce bon vieux Rob), je ne partage pas son enthousiasme car il faut dire que ce disque ne contient malheureusement pas beaucoup de moments mémorables.

Toutefois, la voix de Michael commence vraiment à être au top en cette année 1975 et on trouve sur ce disque deux pépites : "We're Almost There" qui me fout des frissons à chaque fois (ah ces violons...et quelle voix!) puis la superbe ballade "One Day In Your Life". Facilement dans les meilleurs morceaux du King of Pop.

Sinon, j'aime bien "Take Me Back" et dans une moindre mesure "Cinderella Stay Awhile".
Le reste de l'album est moins marquant, l'ensemble reste un peu trop convenu et sirupeux même si l'écoute n'est jamais désagréable.

Au final, ce "Forever Michael" est un album trop moyen mais ça aurait pu être un excellant EP par contre .

Le 21 Novembre 2020 par BAKER

Je suis presque entièrement d'accord avec cette chronique :) Le presque résidant dans Never Walk Alone, qui est pour moi un des plus grands joyaux des années 90, joyau déjà poli sur l'album précédent avec la sensationnelle "Fall into velvet"

Le 21 Novembre 2020 par BAKER

@LEMOUGEPENDOUN (scusé l'ortograffe)

Je me mets à ta place et effectivement, on partage une certaine amertume envers cette période. Par contre, une question importante : tu as écouté la version simple ou double de cet album ?

Le 21 Novembre 2020 par STEVEN

J'adooore Stapelton quand il est en mode intimiste, j'ai un peu de mal avec cet album très orienté Blues/Rock n' Roll.
En fait, on a quasiment une alternance de titres country et de titres blues-rock sur toute la durée du CD.

Dans mes coups de coeur, la chanson titre est géniale, typiquement ce que j'aime chez lui, avec les belles harmonies de sa compagne, c'est juste parfait !
"Cold" est aussi très agréable à l'écoute avec ses jolies nappes de cordes du plus bel effet.

Je salue sa polyvalence dans les deux styles car il le fait très bien. Mais j'ai du mal avec le côté biker peu original de "Arkansas" ou "Worry B Gone". Il avait bien plus sa patte sur un titre comme "Parachute", une vraie tuerie !

Je critique mais ce mec a quand même une voix incroyable. Quel dommage qu'on n'ait quasiment aucune chance de le voir se produire dans notre pays un jour !

Merci en tout cas pour cette chronique, comme quoi il y a un public pour cette scène en France !

Le 21 Novembre 2020 par CROQUIGNOL

A l'inverse de pas mal de gens, je trouve Fly on the Wall plutôt bon. Alors c'est vrai, le son est pas top, Brian "chante" tellement mal que ça m'étonne pas qu'il soit devenu sourd, et Simon Whright a de la peine à adapter son jeu au style d'AC/DC.
Par contre, il est assez varié, propose quelques surprises comme le refrain de Shake your Foundation, ou des ambiances à la ZZ Top par ci par là, et a une bonne patate. Du coup, pour ma part, c'est un des rares albums d'AC/DC post-Back in Black qui soit recommandable.

Le 21 Novembre 2020 par CROQUIGNOL

Un album a réhabiliter, paraît-il. J'ai tenté de le réécouter et franchement, mon pied et ma tête n'ont pas bougé d'un poil et je me suis vraiment emmerdé. Pas un brin de groove et d'excitation à l'horizon, ce qui n'arrive pas souvent chez moi avec AC/DC.

Le 21 Novembre 2020 par CROQUIGNOL

Déjà peu fan de la prod' des deux albums précédents, ici ça sonne trop années 80 pour moi. Tout dans la puissance au détriment du grain sonore et une basse peu audible en conséquence.
De plus, si Brian avait eu une prestation honorable sur "Back in Black", là, on dirait qu'il s'est déjà cramé les cordes vocales. S'ajoute un coup de mou en début de face B.
Bref on frôlerait la cata, si ce coup de mou n'était pas entouré de titres tout à fait recommandables qui auraient trouvé sans honte leur place dans l'album précédent.

Le 21 Novembre 2020 par LE MOUNGEPEDOUN

En 2006, Renaud est amoureux de sa blonde, et voici des titres plus blaireaux les uns que les autres, type 'je t'aime et tu m'aimes, les oiseaux chantent et le ciel est bleu'... j'exagère à peine, et ça situe le tableau.

Après un 'boucan d'enfer' réussi où l'artiste dévoilait ses états d'âme post dépressif d'un alcolo repenti, ici le choc culturel est déconcertant... S'en ressort, une écoute difficile, impossible pour moi d'adhérer à une telle histoire, ce disque en devient grotesque et pénible.

Surtout quand on connaît la suite de cette idylle avec cette blonde, on a envie de rayer cet album de la discographie du monsieur, un ratage complet révélant sa bipolarité , dur par conséquent de comprendre le non-sens de sa démarche intellectuelle.

Le 20 Novembre 2020 par FABRICE BAUDINOT

Une petite précison en 1985 il s'est produit au Casino de Paris et le Zenith était en 1988 et non 1986 ;-)

Le 20 Novembre 2020 par NONO

@NEW ANGEL D : Je suis d'accord sur le changement pas très heureux du groupe après "1984". On a beau trouver de supposées qualités à l'arrivée de Hagar (chant notamment), moi je préfère la période Roth. Roth est vraiment l'ADN du groupe. Après 1984, c'est assimilable à, disons ...., Europe.
Peut-être que Hagar chante plus "juste", mais je préfère le mi-chant / mi-gueulante de Roth. Quoi qu'il en soit, Hagar est à Roth ce qu'un chat de gouttière est à un tigre !