Le 25 Octobre 2022 par BAKER

Merci Richard d'avoir eu le courage de dénoncer cette escroquerie. Avec le recul, ma kro sur D.D.S. était encore bien trop gentille (car il faut noter qu'en DVD ce concert est PIRE).

En BTS Electronique, Indo serait recalé : autant d'énergie gaspillée en vain, c'est indécent.

Le 25 Octobre 2022 par LE MERLE MOQUEUR

"Petite fille je regardais Mannix en famille, j'adorais le générique, aujourd'hui, ben, je sais pourquoi ! Quel génie Mr Schiffrin ! "

Ce commentaire n'est pas du MERLE. Mais adolescent comme cette petite fille je dévorais l'écran du téléviseur de mes parents pour cette MISSION IMPOSSIBLE dont la musique me galvanisais.

Le même effet se répéta avec MANNIX. Quelle fraicheur ! Je me demande d'ailleurs si ce
n'est pas ce genre de musique de générique qui inconsciemment me dirigea vers le Jazz.
Avec Mike CONNORS dans le rôle de MANNIX nous restons dans la musique, il était un
cousin de CHARLES AZNAVOUR

P.S : MANNIX version DJANGOLOGY avec aux guitares Serge Jardin, Michel Barbier, Arnaud Agullo et Jean Cortes à la contrebasse est plus que rafraîchissante

Le 23 Octobre 2022 par BRADFLOYD

Au sujet de Zbigniew PREISNER, c'est lui aussi qui a orchestré et dirigé la musique de Gilmour lors du concert de ce dernier à Gdańsk en 2008. Etrangement, cette collaboration apparaît très peu dans les recherches sur Internet au sujet de ce compositeur.

Le 23 Octobre 2022 par MENCLAY

Le titre éponyme est immense, celui qui m'a ouvert les portes de l'univers Coltrane.
Le thème est étalé, distordu, décliné sous toutes les formes sur plus d'une dizaine de minutes. C'est tantôt un déluge de notes dont on se demande ce qu'elles ont en rapport les unes avec les autres, tantôt des accalmies ; dans tous les cas Coltrane joue avec les limites physiques de son instrument, des lois de l'harmonie, de l'improvisation, de son corps. Il crée de nouveaux espaces de libertés, il élargit les frontières de l'univers (musical) connu.
Coltrane est la preuve qu'on peut être un virtuose, un monstre technique, tout en y mettant ses tripes. Comment est-il possible de jouer autant de notes tout en transmettant une émotion non feinte ?
On ressent une profonde joie, presque mystique, dans ce titre. Joie de l'artiste touché par la grâce, joie de l'auditeur qui se demande ce qui est en train de lui arriver.
Et les nombreuses écoutes n'altèrent en rien le plaisir ressenti.
Les autres morceaux sont un atterrissage bien agréable, une façon de prolonger l'expérience en se remettant de cette retentissante baffe qu'on n'avait pas vue venir.

Le 21 Octobre 2022 par NONO

@HUg : influences ou pas, c'était surtout un type de graphisme très en vogue dans les 70s ! Voir le 1er album d'Abba par exemple. Tout comme dans les années 80, c'était le style "néon" et couleurs flashy !

Le 21 Octobre 2022 par HUG

Mes parents possèdent ce disque. Pour ma part, c'est la chanson "Les voisins" que j'aime le moins dessus. Mais surtout en ce qui concerne la pochette, comme je suis également par ailleurs, fan de Sheila, je crois que son producteur Claude Carrère s'est inspiré de cette pochette d'album de Francis Cabrel sorti donc en 1979 pour le choix de la pochette de son 45 tours "Et ne la ramène pas" sorti au printemps 1981. Le principe est exactement le même. Il y a une photo de Sheila reproduite en surimpression. Sauf qu'ici, sur l'album de Francis Cabrel, la photo principale de Francis est reproduite en surimpression telle quelle, alors que sur le 45 tours de Sheila, la photo principale de Sheila est reproduite en surimpression mais sur des fonds de couleurs différents !

Le 20 Octobre 2022 par NEURASTHéNIC BITCH

Avec toute la meilleure volonté du monde, il y a 2 titres juste atroces... Sur 7 ça craint un peu. Sinon c'est que du bon, un EP excellent si on veut.

Le 19 Octobre 2022 par METALPROG84

"Around the Sun" n'est pas le meilleur album du groupe, loin s'en faut. Mais la moitié des titres sont plutôt bons (les 5 premiers, "Aftermath" et, à la limite, "Wanderlust" et "The ascent of man"). C'est vrai que le reste est peu inspiré et on s'ennuie ferme sur "I Wanted to Be Strong", "High Speed Train" ou "The Worst Joke Ever" par exemple. En plus, la plupart des titres sont des ballades, ce qui rend "difficile" l'écoute de cet album de presque une heure quand même (10 morceaux auraient amplement suffi !).

Le 18 Octobre 2022 par RICHARD

C'est ma période cyclique Souchon et naturellement, cette galette pépite tourne en rond, encore et encore et toujours. Tout a déjà été dit, donc...

Le 18 Octobre 2022 par TOMMY_CALE

À Nono,

Oui monstrueuse tournée qui a fait que Knop(fleur) était un peu fané du coup.
Il n'en demeure pas moins que ce On Every Street est un bon album des gars dans la dèche, et à dire vrai pour ma part, j'ai quand même assez vu d'un bon oeil et d'une bonne oreille cet album qui renouait avec les racines blues, folk et rock du groupe.
Love Over Gold et Brothers in Arms (et même Making Movies) sont des albums qui n'ont pas eu grand effet sur moi, question de goût.
Ainsi, Communiqué, l'album éponyme et celui en question dans l'ordre de préférence sont les 3 albums de D.S qui tournent chez moi.

Amicalement.

Le 17 Octobre 2022 par HUGUES

Mon premier album de Thiéfaine, que je venais de voir à l'Olympia.
Moi qui ne suis pas du tout folk et plutôt rock, c'est pourtant mon album préféré. On y retrouve la folie joyeuse et virtuose du groupe Machin, à qui Thiéfaine doit beaucoup, et que j'adore aussi.

Le 16 Octobre 2022 par LE KINGBEE

@ Au Merle Moqueur

Oui Pétulante convient bien à cette chanteuse diagnostiquée bipolaire

En tous cas bien plus pétulante que sa consœur Pétula Clark qui mériterait elle aussi une chronique car finalement pas plus mauvaise que certaines chanteuses contemporaines.

Par contre, que vais-je devenir si je n'arrive plus à surprendre l'oiseau sur sa branche ??

Cordialement

Le 16 Octobre 2022 par LE MERLE MOQUEUR

AVERTISSEMENT : ce commentaire sur le film n'est pas susceptible de contenir des informations sur la bande originale de film.

CINÉMA, CINÉMA...

YVES, tireur d'élite... Mais qui devait jouer ce rôle ? Jean, l'homme dont la moustache poussera après un voyage au Mexique.

JEAN, oui JEAN FERRAT devait interprété cet alcoolique ancien flic. Mais il refusa pour ne
pas laisser tomber les organisateurs de ses tours de chant et les municipalités avec lesquels
il avait signé des contrats.
Alors on pensa à PAUL MEURISSE, finalement YVES MONTAND sera à l'affiche.

p.s : L'info JEAN FERRAT est donnée par GÉRARD MEYS, elle vaut ce qu'elle vaut. Elle n'est pas du MERLE.

Le 16 Octobre 2022 par NONO

@TOMMY_CALE : Je suis d'accord avec toi sur le fait que DS (et particulièrement Knopfler), semblent en bout de course sur cet album. Le groupe était déjà ressorti lessivé de la gigantesque tournée précédente (Brothers in arms)... et il y avait de quoi ! Une des plus grosses tournées mondiales de tous les temps qui avait épuisé le groupe, et qui plus est, brisé la famille de John Illsley. Repartir pour une tournée semblable 5 ans plus tard était donc risqué... pourtant le groupe a dit "Chiche !"... Et à la fin de la tournée "On every street" : rebelote mais en pire : Knopfler avait bien déclaré à l'époque : "Plus jamais" !
L'album n'est pas mauvais, la tournée non plus, mais on sent clairement que c'est "l'album de trop" : groupe en pilotage automatique, tournée efficace mais d'une tristesse à mourir...
Pourtant intrinsèquement, j'ai même une certaine préférence pour cet album que pour le précédent qui sonnait trop "clean" à mon sens.
"On every street", c'est plutôt bon, efficace, mais le coeur n'y est plus.

Le 16 Octobre 2022 par METALPROG84

Ayant écouté l'album récemment par curiosité, j'ai été agréablement surpris par rapport à toutes les critique négatives: je m'attendais à bien pire. Les 6 premiers titres sont même très bons je trouve ! Bon, après çà se gâte un peu mais ce n'est pas catastrophique non plus, "El nino", "Bends like a willow" et "Far Alaska" étant pas mal aussi. Le reste est effectivement moins inspiré.
Pour moi, les 3 albums des années 90 du groupe sont plutôt bons et même supérieurs aux 3 albums précédents (Under wraps", "Crest of a knave" et "Rock Island").

Le 15 Octobre 2022 par LE MERLE MOQUEUR

Légèrement désoeuvré et par ce temps maussade un tantinet dépressif, je me suis attardé sur une des milliers de radios qui pullulent sur la planète.

Attardé sur une radio munichoise, dis-je, à écouter avec une bière du coin des "chansons nettes". Cette année à l'Oktoberfest pour un maß de bière (1,069 litre), il fallait débourser 13 euros. Eh oui, les Bavarois et touristes égarés dans la capitale de la saucisse blanche roulent à la bière plus onéreuse que le litre d'essence.

Patatras, je tombe sur une femme devenue poussière. DUSTY SPRINGFIELD. Je tombe et fonds comme lorsque j'avais de l'acné juvénile sur le visage. Elle chantonnait, cette muse poussiéreuse, " The Look of Love", et moi comme au ciné : et le MERLE créa la femme.

Non, je ne suis pas comme Prométhée resté "un fondu enchaîné" à broyer du noir, après avoir entendu DUSTY impossible, un petit coin de ciel bleuté réapparaît.
Coup de balai sur ma soi-disante dépression et de me projeter dans le public qui la dévorait des yeux. Parfois, "You Tube" a du bon.

P.S : Je n'ai jamais eu d'acné, qu'on se le dise. J'allais oublier : après l'écoute, je pianotais sur la recherche rapide de Force // et, finalement, ne fus pas surpris de retrouver une chronique de LE KINGEE sur cette pétulante Anglaise.

Le 11 Octobre 2022 par LE MERLE MOQUEUR

Bien sûr, il y a du beau monde : pour ne nommer que les plus connus, Jan Hammer, Lenny White, Paco de Lucia.
Bien sûr, il y a une virtuosité incontestable chez tous ces musiciens. Un régal !
Bien sûr, nous sommes dans les glorieuses années de la fusion, du jazz rock.

oui mais...

Bien sûr, mon admiration fut telle que ma discothèque s'est enrichie d '"Elegant Gypsy" et de "Land Of The Midnight Sun" comme d'autres albums de Fusion.
Bien sûr, il m'arrive encore fréquemment de les poser délicatement sur ma platine T...

oui mais...

Bien sûr, des morceaux comme "Midnight Tango", "Lady of Rome" ou "Mediterranean Sundance" m'enchantent.

oui mais, comme je l'ai déjà écrit à propos de Stanley CLARKE et d'autres musiciens qui remplirent cette période musicale de leur talent, je reste sur ma faim car (ne m'envoyez pas au bûcher) souvent il y a un manque évident... de profondeur.

Je ne parle pas de fonds abyssaux soyez-en sûrs.

Le 11 Octobre 2022 par BLUEMASK

Rien à ajouter à la chronique qui représente bien ce que je ressens : cette continuité dans l'excellence avec un son plus moderne qui ne renie en rien le passé.
Pourquoi alors est-ce que je me fends d'un commentaire ? Allez, je la ferme.

Le 11 Octobre 2022 par TOMMY_CALE

Ce dernier album studio de Dire Straits peut être considéré comme éclectique puisqu'on y trouve un large panel de genres avec des morceaux bluesy ("You and Your Friend" avec ses soli de Mark et de Paul Franklin à la slide, mon titre préféré de cet album), rock (l'enivrant "Calling Elvis" et "Heavy Fuel"), jazzy ("Fate to Black", "Planet of New Orleans" qui sont assez anecdotiques), rockabilly ("The Bug"), country ("How Long"), southern rock ("When it Comes") ou pop ("On Every Street"). Grosse sortie de route : "My Parties".
En fait, cela sonne comme une sorte de best of mais moyen avec un manque d'unité évident. L'inspiration est peu présente et on sent Mark Knopfler complètement lessivé, en bout de course.

Le clap de fin peu honorable d'un groupe dont les influences et les deux premiers albums furent importants pour moi.

Morceaux préférés : "You and Your Friend", "On Every Street", "Calling Elvis".

Le 10 Octobre 2022 par LE MERLE MOQUEUR

Dimanche 9 octobre, à 22 heures, tous à vos yeux, lunettes, jumelles, longues-vues et télescopes pour, à droite de la LUNE, découvrir JUPTER prise en sandwich par la constellation des POISSONS et de la BALEINE puis, encore plus à droite, dans la constellation du CAPRICORNE, s'émerveiller devant la resplendissante SATURNE.

Sans oublier d'écouter The Planets de GUSTAV HOLST. Ma version d'Eugène ORMANDY avec le Philadelphia Orchestra. (Ce vinyle nous offre aussi de RALPH VAUGHAN WILLIAMS , "Fantasy on a theme by Tallis" et "Fantasy on Greensleeves", le tout enregistré entre 1972-1975.

P.S : MARS, cette nuit-là, sera aussi présente sous la constellation du COCHER. Vers deux heures du matin, on pourra l'observer... avec prudence.