Le 18 Novembre 2020 par LE MERLE MOQUEUR

On bout de tant d'années de carrière, tous ces groupes finissent par être et même
AC/DC... BCBG.

Le 16 Novembre 2020 par NONO

Fair Warning est probablement l'album dans lequel Eddie est le plus démonstratif dans son jeu de guitare. Des soli totalement incroyables.
Un excellent album, dans lequel tout se tient, rien à zapper, pas même les deux derniers titres un peu plus faiblards...
Un album assez sombre aussi, et lorgnant souvent légèrement vers le funk, donc moins hard-rock que les autres albums.
Dans mon trio de tête, avec le 1er album et Women & Children First.

Le 16 Novembre 2020 par RICHARD

Ce week-end sur France 5 est passé un reportage relativement intéressant quoique parfois un brin hagiographique sur le rap marseillais d'IAM à JUL. L'occasion de conforter un peu plus l'importance évidente de ce groupe dans la démocratisation de ce style (sans se vendre pour autant) et de (re) voir avec plaisir l'essentielle et formidable Keny ARKANA.

Le 16 Novembre 2020 par CLANSMAN57

C'est le premier album que j'ai écouté de ce groupe, ce fut un coup de coeur immédiat.
Retour en magasin très rapide pour m'en procurer d'autres que j'avais aperçu.
Je trouve aussi que Brassens est une influence, comme pour certains autres groupes de cette jolie scène.

Je copie donc sur Ramon pour la note:)

Le 16 Novembre 2020 par THE NEW ANGEL D

Plus le temps passe et plus j'ai un peu de mal avec celui là. Autant, "1984" flirtait avec le fm et ça apportait un petit truc nouveau mais celui ci s'embourbe totalement dans le genre.

Quand on regarde les albums d'avant, c'était toujours un peu inégal et bancal mais c'était fou, varié, imprévisible. Ici, on a un album formaté et homogène de A à Z ou Van Halen perd son identité.

Et puis la production? difficile de faire plus anti rock n roll. C'est synthétique de partout !
Tout ceci est trop rigide. Quand au chanteur, Sammy Hagar : le mec assure mais il est d'un sérieux ... où est passé le fun, le big rock ? Bref, où est Van Halen ?

Là, c'est quasiment un tout nouveau groupe . Et c'est souvent d'ailleurs quand il fait sa soupe FM qu'il se montre convaincant. Car les singles "dreams" et "why can't this be love" sont clairement réussi si on aime ce genre . Par contre, le groupe pousse le bouchon un peu loin sur "love walks in", pas mauvais mais un peu banal et très cul cul.

Pour les titres plus rock, j'aime bien le mid tempo "5150" qui se démarque un peu avec des passages à la guitare ou Eddie montre qu'il est Eddie. Quand à "Inside" et son groove synthétique, idem.

Par contre, quand le groupe fait du hard...ça ronronne et c'est pas génial.
Le titre "good enough" est tout juste moyen et le nerveux "get up" est à la limite de l'écoutable. Quand au mid tempo "summer nights" et "best of borh worlds" avec son coté acdc sous tranxène, c'est correct mais guère plus.

C'est pour ça que la suite de Van Halen ne m'intéresse pas. Ce hard rock convenu et souvent chiant m'ennuie.
"5150" reste toutefois un album correct, sauvé par quelques bons titres et quelques pirouettes d'Eddie.

Note : 2,5 arrondi à 3

Le 16 Novembre 2020 par NONO

@Fred : c'est vrai : il y a des albums qui eurent tant de succès, qu'ils symbolisent en eux-mêmes toute une époque, tous les souvenirs rattachés à l'année de leur sortie.
Cela tient, pour beaucoup, au fait de la fréquence de passage radiophonique des tubes d'un album. Un peu comme un parfum fait immédiatement penser à une période, une circonstance précise.
"The Joshua Tree", c'est clairement les années 87 /88, tout comme "Diesel and Dust" de Midnight Oil juste un pue après, ou bien Brothers in arms pour 1985 (Live Aid, etc.) ou encore "Thriller" pour les années 1982 / 1983 (debut de la MTV...)

Le 16 Novembre 2020 par K-ZEN

La chronique retransmet parfaitement l'aspect dangereux de cette musique. Pour qui ne connait Nick Cave seulement via le prisme des Bad Seeds, la découverte risque d'être surprenante.
Un must-have, la bande-son parfaite pour embarquer sur l'embarcation douteuse de Charon.

Le 16 Novembre 2020 par FINISHERFRANKY

Je voudrais pointer la contradiction de la revue de JASPER LEE POP : dire en 1ère moitié que c'est vu et revu pour dire dans la seconde moitié qu'on ne peut pas s'en passer. C'est difficilement possible. Quand un AC/DC joue le même titre depuis 50 ans on trouve ça effectivement chiant et on se contente des vieux albums. La seconde moitié de la revue montre que ce n'est pas le cas ici. Parce qu'évolution il y a selon moi : les ambiances sont plus planantes, les parties métal sont moins agressives à l'image d'un Maynard James moins vociférant, les montées en tension et les parties progressives sont plus nombreuses. Je trouve qu'il y a accentuation, concentration même, de l'univers esthétique des albums précédents et qu'ici, cette esthétique m'apparait plus pensée et travaillée pour donner un album d'une grande homogénéité. Quand les intermèdes sonores ne sont pas comptés comme partie intégrante de l'album par JASPER LEE POP alors que je les trouve non accessoires, nécessaires à la construction de cette esthétique je pense qu'on n’a pas (encore) saisi la portée de cet album comme j’ai pu la saisir. Je me trompe peut-être mais tant pis j’y prend plaisir. Dans la continuité de cette idée, le débat sur le packaging m'agace: je n'ai pas acheté un maxi single de pop musique avec 2 refrains et 2 couplets, et je n'ai pas peur des mots, j'ai acheté une œuvre. On peut trouver ça ridicule, ne pas le voir comme on a trouvé les Fauves et les Impressionnistes ridicules en leur temps. Donc comme pour tout autre artiste des arts plastiques, je plonge pour posséder l'objet. Je suis un vieil amateur qui aimait manipuler les vinyles durant mes écoutes alors ici je retrouve le même plaisir, décuplé par un bloc musique + artwork unique. Le prix ? Pour moi il n'y a pas débat, ça dérange qui quand la musique est disponible par ailleurs pour rien, comme le prouve JASPER LEE POP.

Le 16 Novembre 2020 par THI

Je rejoins le chroniqueur, c'est un put*** de bon album. Comme toi, Erwin, il est particulier à mes yeux car c'est le 1er album de VH que j'ai connu. Un copain l'avait acheté peu après sa sortie et m'avais fait une copie K7. Sur le dernier titre ne tenait pas sur cette cassette de 30 minutes.
Rien à jeter, tout est bon, beaucoup de pêche, de rythme, des bons solos de guitares et des super riffs.

Le 16 Novembre 2020 par CHRIS06

Simplement le meilleur album des stones. Le style recherché par les cailloux atteint ici son point d'orgue, à savoir ce savant mélange de blues, de rock et de soul. Au travers de cet album on voyage d' est en ouest dans une Amérique idéalisée. Richard y est incroyable, laissant libre court à son imaginaire et ses influences, Taylor est discret mais magistral. Cette album contient un sacret paquet de chansons géniales, mais surtout, aucunes de mauvaises. De plus j'adore cette production qui sonne brute, sincère.
Comme dirait Jagger cet album shine a light on you...Le denier grand album des stones...

Le 16 Novembre 2020 par CHRIS06

Pour beaucoup le sommet du groupe, pour ma part beaucoup moins bon que ses prédécesseurs. L'album contient des tubes intemporels comme "Billion Dollar Babies","Elected" ou "No more Mister NIce Guy", mais aussi, des morceaux insipides comme "Raped and Freezing", "Unfinished Sweet" (mortellement long) ou "Mary Ann" (La ils se moquent de nous ).Résultat: contrairement à KILLER ou LOVE IT TO DEATH impossible de l'écouter sans sauter de plage. L'osmose entre les musiciens n'est plus là et Vincent Furnier prend de plus en plus de place en témoigne le dernier morceau qui annonce ça carrière solo.
Pour moi clairement le début de la fin.

Morceau préféré: "Billion Dollar Babies" vraiment énorme quand même !

Le 16 Novembre 2020 par BAKER

@FRED je comprends le sens global de la remarque, mais on ne peut pas dire que Back ressemblait à Flick, qui ne ressemblait pas à Fly, qui avait de grosses différences avec Razor.

Pour moi c'est à partir de BallBreaker qu'AC/DC a commencé à s'auto plagier. Ce qui fait 20 solides années de carrière avant le déclin, et c'est déjà un très beau score.

Le 15 Novembre 2020 par FRED

J'aime bien Acédécé. Plus que ça même.
Mais bon, pour en avoir entendu quelques extraits, quel intérêt ? Musicalement, encore et toujours la même musique entendue 200 000 fois depuis Back in Black.
Quel intérêt ?
Le style de galette qui sera écoutée 3 fois avant de finir sur l'étagère à prendre la poussière.
Je ne note pas. Trop de respect pour ce qu'ils ont représenté pour moi fut un temps.

Le 15 Novembre 2020 par FRED

Superbe album de "Rock héroïque", comme on disait en ces temps-là.
Il y a ce côté épique qui ressort de la musique, cette sensibilité néanmoins exempte de sensiblerie. Seul U2 pouvait faire cela à l'époque : Rock et à la fois nuancé, sans tomber dans les excès techniques hardos bien connus, confère le jeu de guitare très subtil et travaillé de The Edge, inspiré mais jamais pompeux ou envahissant, sans esbrouffe : un style unique, à l'image de la musique proposée par le groupe.
L'album d'une génération, qui se reconnaissait dans ces Irlandais qui lui ressemblaient, en ville comme sur scène. Et cette fois-ci, en route pour l'Amérique, dans une manière de pèlerinage mystique sur les traces de leurs ancêtres, dont l'arbre de Josué leur désignait la terre promise. Incontournable !

Le 15 Novembre 2020 par THE NEW ANGEL D

L'énigme "extrême". Je n'ai jamais compris la hype autour de ce groupe. Si Nuno Bettencourt est un bon guitariste, ça prouve une fois de plus que de bons musiciens ne font pas forcément de la bonne musique. Quant à la voix de Gary Cherrone, elle me laisse totalement de marbre.

Au programme, on a du hard-rock convenu et très ancré dans son époque. Il y a beaucoup d'énergie, mais ça mouline à qui mieux mieux et souvent dans le vide. Le groupe pompe beaucoup sur Van Halen et ajoute aussi quelques trucs funky qui font un peu trop penser au Red Hot (comme sur "Get the Funk out" ou "When i'm President"). En tout cas, le chanteur et la section rythmique n'ont rien à voir avec le funk et comme dirait le bon vieux Willie Brown, ça swingue comme un paquet de biscottes.

Voilà à mon sens un album typique de D2 qui montre que le hard n'avait, hélas, plus grand-chose à offrir. Heureusement qu'il y avait les Gun's à la même époque pour démontrer le contraire.

Le 15 Novembre 2020 par THE NEW ANGEL D

Vous voulez de la musique de très bonne qualité qui fait du bien au moral et qui détend ? On ne trouve pas de meilleure potion que le Jefferson Airplane, avec la voix magique de Grace Slick et ses musiciens de haut niveau (le jeu jazzy de Spencer Dryden à la batterie et celui, mélodique, de Jack Casady à la basse sont un pur régal).

Cet album, c'est l'équilibre parfait entre folk-rock et rock psychédélique. Une musique enjouée et planante qui enchaine les merveilles mélodiques.
Que de la qualité au programme : le fameux "Somebody to Love" et le cultissime "White Rabbit" que tout le monde (ou presque) connaît. Mais aussi les excellents " She Has Funny Cars", "Today" ou le puissant "3/5 of a Mile in 10 Seconds".

L'album ultime du flower power ? Pour moi, indiscutablement.
4,5 arrondi à 5.

Le 15 Novembre 2020 par THE NEW ANGEL D

Si "Thriller" est le disque ultime des années 80 de mon point de vue, "The Dark Side of the Moon" est celui des années 70.

C'est un album irréprochable à tous les niveaux. La production, futuriste, est phénoménale et le groupe trouve ici le compromis parfait entre expérimentations et musique plus accessible. Résultat : pas un bout de gras sur cet album. Les expérimentations sont au service de la musique et tout semble fluide et couler de source. Personne ne peut nier ça à "Dark Side" tout comme sa cohérence en tant qu'album concept ou encore ses titres d'envergures.

Il y a, bien sûr "Money" : ce morceau de rock très groovy et accrocheur mais pourtant qui propose une rythmique complexe, la ballade "Us and Them", planante et très jazzy, où le saxo de Dick Parry fait des merveilles ; l'excellant "Time" où David Gilmour montre qu'il est un grand guitariste, notamment sur le cultissime solo de guitare. "Breathe" et "Brain Damage" sont de magnifiques ballades qui conservent une saveur psychédélique.

On atteint l'orgasme avec le spatial et psyché "Any Colour You Like", morceau instrumental où Gilmour et Wright régalent et ne lésinent pas sur les effets sonores, pour mon plus grand plaisir. Non, vraiment, rien à jeter dans "Dark Side of the Moon".

Le 14 Novembre 2020 par THE NEW ANGEL D

C'est vrai qu'en 2012, j'étais content de retrouver David Lee Roth et le style fun et "big rock" du vrai Van HALEN. En plus, l'album est de qualité (même s'il manque un petit truc pour que ce soit encore meilleur).

C'est à mon avis la production de Ted Templeman qui manque à ce disque et la présence de Michael Anthony (même si Wolfgang fait bien le taf).

Quant au jeu d'Eddie, il est de très bonne qualité mais rien qui ne rivalise avec certains passages des premiers albums ("Atomic Punk", "And the Cradle Will Rock", "Mean Street", "Push Comes to Shove" Not For Teachers" ect.).
Et puis, la durée de l'album : 50 minutes. C'est peut-être un peu trop long pour un album de Van HALEN et c'est une des raisons qui, à mon sens, pénalise un peu le disque.

Pour la plupart des titres ici (à part deux ou trois tentatives plus modernes et métal), ce sont en réalité de vieux morceaux des années 70 plutôt bons ou corrects dans l'ensemble.

L'enchaînement "As i", "Nonetbabysweetiedoll", et "The Trouble With Never" me semble un peu lourd par contre. D'ailleurs, cette dernière n'est pas indispensable à l'album, tout comme le dernier titre "Beats Workin' ".

Sinon, je retiens surtout le très léger "Tattoo", le groovy "She's the Woman" ou encore "You and Your Blues" mélodique et travaillé.
Plus costaud, "Blood and Fire" est sympa tout comme "China Town" et "Bullethead" : du pur Van HALEN.
Mon morceau favori reste le très vitaminé "Big River" avec la guitare d'Eddie qui part en vrille comme à la bonne époque.

J'aime.

Le 14 Novembre 2020 par LEO

Pour moi 1984 est vraiment plus que limite, même s'il relève un chouïa le niveau face au pitoyable Diver Down ! (ce n'était pas bien difficile).
Par contre l'album démarre très mal avec l'instrumental soporifique "1984" qui est du sous-Jean-Michel Jarre, qui lui même est du sous-Tangerine Dream ! (c'est dire le niveau affligeant !).
"Jump" et ses synthés au premier-plan est également une monstruosité absolue avec ce son abominable d'OB-X qui pue les 80's à plein nez. même à l'époque, j'avais ce truc en horreur et je n'ai toujours pas changé d'avis en 2020 !
La guitare se fait enfin entendre distinctement sur l'alerte "Panama", qui s'il n'est pas un morceau exceptionnel, reste tout de même très sympa (surtout après ce qui a précédé !).
"Top Jimmy" se laisse écouter mais la compo ne brille pas par son originalité. juste passable.
"Drop Dead Legs" baisse encore d'un cran en terme de qualité tant je ne lui trouve rien de particulier. pas d'accroche, pas de truc mémorable.
"Hot For Teacher" à la pêche mais fait un peu téléphoné sur les bords. c'est du déjà entendu chez Van Halen et dans ce style, je préfère m'en retourner écouter les quatre premiers albums.
Retour de l'horrible OB-X sur "I'll Wait". bon, cette compo est naze à la base mais en plus ces sonorités vraiment moches n'arrangent rien ! donc au final, pour moi c'est direct à la poubelle.
"Girl Gone Bad" n'est pas géniale mais par rapport au morceau précédent, c'est Byzance !
Idem avec "House Of Pain" qui referme l'album. ça ne casse vraiment pas des briques mais ça reste écoutable face aux Kitscheries "1984", "Jump" et "I'll Wait".
Voilà. 1984 est un album vraiment très moyen dans lequel on sent que le groupe n'a plus rien à dire, ce qui était déjà le cas sur Diver Down qui contenait pas moins de cinq reprises et des originaux plus que médiocres.
De toute façon pour moi VAN HALEN ne s'est distingué essentiellement que par ses quatre premiers albums. le reste m'indiffère. A Different Kind Of Truth l'album du retour avec David Lee Roth contient quelques pistes passables et l'album est légèrement supérieur à 1984 mais en même temps, pas de quoi sauter au plafond pour autant.

Le 14 Novembre 2020 par JUAN

Moi qui suis grand fan d'E-J.W, qui apprécie tous ses albums depuis le début, je dois dire que j'ai toujours du mal avec Blood Lines. Mais bon, il en faut pour tous les goûts. Par contre, je suis toujours sous le charme de "They all Moved in Shadow" ainsi que de son petit dernier "Immanent Fire", sans oublier, malgré parfois quelques maladresses, les 3 albums précédents. J'ai eu l'occasion de la voir en concert à Bruxelles avant la pandémie et je dois dire j'ai passé une excellente soirée. Je reste parmi les admirateurs incontestés. Ses albums sont à écouter de toute urgence si vous ne la connaissez pas.