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QUEENSRΫCHE
DIGITAL NOISE ALLIANCE


Le 30 Octobre 2022 par ELK


Merci Fightitback pour le rappel sur le bassiste, je vais faire corriger.
@Baker : tu peux y aller, j’avais moi aussi une tonne de rétiscences pour les mêmes raisons que les tiennes !





QUEENSRΫCHE
DIGITAL NOISE ALLIANCE


Le 30 Octobre 2022 par BAKER

Je l'écouterai, évidemment, mais j'ai très peur... Car le coup du "génial retour aux sources", on nous l'avait déjà fait en 2013 avec un album terriblement ennuyant, en 2016 avec un autre guère plus enthousiasmant, et enfin avec The Verdict qui était, il est vrai, sur une bonne pente quoiqu'encore bardé de fillers.





QUEENSRΫCHE
DIGITAL NOISE ALLIANCE


Le 30 Octobre 2022 par FIGHTITBACK


TOP cet album, une sacrée SURPRISE !!!  :) P.S. Par contre, M. WILTON n'est pas le seul d'origine car il reste également E. JACKSON à la basse !  ;)





AVANTASIA
MOONGLOW


Le 30 Octobre 2022 par BAKER

Le dernier numéro de Rock Hard





AVANTASIA
MOONGLOW


Le 29 Octobre 2022 par PILGRIMWEN

@Baker : d'où tiens-tu l'information ? La source stp ?





Jean-jacques GOLDMAN
CHANSONS POUR LES PIEDS


Le 29 Octobre 2022 par PILGRIMWEN

Un album d'une incroyable richesse et variété d'ambiances. Album ambitieux pourtant baptisé "Chansons Pour Les Pieds". Quel taquin notre Jean-Jacques ! Mon titre favori est "Les Choses", morceau empreint de sagesse : le consumérisme, l'identification à nos possessions financières, matérielles, voire notre statut social qui en découle.





James BROWN
THE PAYBACK


Le 29 Octobre 2022 par THE NEW ANGEL D


Quel dommage! James Brown et son casting de stars (Fred Wesley, Maceo Parker...) nous propose avec "The Payback" ce qu'il sait faire de mieux : un funk fiévreux et hypnotique.

Et à part un "Forever Suffering" un peu mineur, tous les titres ont un potentiel de dingue. Mais où est le problème alors ?

Le problème, c'est que James et ses potes font tourner les grooves jusqu’à plus soif. Les gars étirent inutilement les morceaux. Ils ont tous entre 3 à 4 minutes de gras (si ce n'est pas plus parfois). Ca peut fonctionner et c'est parfois nécessaire sur certains titres (comme le up-tempo "Shoot Your Shot", génial) mais ça alourdit la majeure partie des compos.
Par exemple, la ballade "Doing the Best i Can", archi-répétitive au possible. Quel dommage car, sans cela, la qualité serait encore plus au rendez-vous.

Par ailleurs, la question que je me pose, c'est de savoir si James Brown à un album studio à la hauteur de son talent (si on met de côté les albums live et les best of ?).





KING CRIMSON
DISCIPLINE


Le 29 Octobre 2022 par LEO

@ AIGLE BLANC :

La réelle influence ici sont les TALKING HEADS (Fripp a joué sur le morceaau "I Zimbra" des T. Heads sur leur album Fear of Music en 1979 et l'idée a vite fait son chemin que telle était la voie à suivre).





IRON MAIDEN
BRAVE NEW WORLD


Le 28 Octobre 2022 par THE NEW ANGEL D


Il me fait un peu l'effet de "Steel Wheels" des Stones ce disque. Il est bon mais trop sage et millimétré. "The X Factor" innovait, "Virtual XI" ronronnait et ce "Brave new world " joue la sécurité au maximum. Le retour de Bruce et Adrian et les 3 guitares (qui n'apportent pas grand chose) sont les nouveautés au programme. On mélange des ingrédients des deux derniers disques et d'autres plus 80's : MAIDEN en donnent pour tout le monde.

C'est sympa, c'est joli mais bizarrement, je n'y reviens pas souvent. On rentre comme le dit la chronique dans une formule, dans du calcul .... que les albums suivants vont appliquer méthodiquement. Toujours les mêmes qualités mais aussi toujours les mêmes défauts avec toujours plus d'auto plagiat, de clins d'œil au passé et surtout de moins en moins de rigueur dans l'écriture et l'enregistrement.

Ce disque, c'est un "Senjutsu" avant l'heure en étant toutefois plus frais et meilleur.
Mais il y a déjà là trop de gimmicks, pas de nouveautés ...





AVANTASIA
MOONGLOW


Le 28 Octobre 2022 par BAKER

Je profite de ma relecture de cette kro pour annoncer que ça y est, après avoir tourné autour du pot pendant des années (toute ressemblance avec ma première ex serait fortuite), Tobias a plus ou moins annoncé qu'EDGUY était décédé et enterré.

Et "qu'ils restaient amis". Ben voyons. Toute ressemblance avec....





Dimitri CHOSTAKOVITCH
QUATUOR à CORDES N°8 (QUATUOR BORODINE)


Le 28 Octobre 2022 par LE MERLE MOQUEUR


Comme nous le propose SASKATCHEWAN, on se doit absolument d'écouter ce Quatuor à cordes n° 8.
Moi, je l'écoute en visionnant des vues aériennes de Dresde juste après la fin de la seconde guerre mondiale. La ville est un amas de ruines. La capitale baroque de l'Europe du nord détruite compte jusqu'à 25000 morts civils. Historiens, philosophes débattent encore de nos jours pour savoir si les raids aériens des alliés ont constitué des crimes de guerre à l'encontre de la population civile. Les bombes au phosphore encore un progrès de l’humanité.

Vous allez me dire que cela n'a rien à voir avec DIMITRI CHOSTAKOVITCH. Oui et non. Au mois de juillet 1960, le musicien se rend en Allemagne de l’Est pour assister au tournage d’un film de propagande. "Cinq jours, cinq nuits". Il doit en composer la musique. Il n’est pas inspiré. Cette commande, un devoir, ne le séduit nullement.

Par contre, en ce mois d’été, la vue de la ville de Dresde défigurée le détourne de son obligation première. Il écrit en 3 jours son Quatuor n° 8. Du 12 au 14 juillet 1960.

Dans une lettre adressée à Isaac Glikman, il révèle que

"J’ai beau me casser la tête à écrire la musique du film, pour le moment je n’y suis pas arrivé. À la place, j’ai composé ce quatuor idéologiquement condamnable et dont personne n’a besoin."

Les quatuors à cordes sont des sortes d’oasis où CHOSTAKOVITCH peut s’exprimer, respirer. Le stalinisme est là, présent. Pour éviter la censure et les représailles, le musicien appose une dédicace qui contentera les censeurs :

«à la mémoire des victimes du fascisme et de la guerre»

Mais en réalité, ce Quatuor, il se l’offre :

«Je me suis dit qu’après ma mort, personne sans doute ne composerait d’œuvre à ma mémoire. J’ai donc résolu d’en composer une moi-même.» On pourrait écrire sur la couverture : “À la mémoire du compositeur de ce quatuor.»

Cette œuvre abonde en situations dans lesquelles la vie du compositeur est présente, de la répétition DSCH sans cesse imprimée, de citations de ses œuvres antérieures (plusieurs de ses symphonies) et de celles aussi des maîtres passés comme celle de « BEETHOVEN dans le dernier mouvement du Quatuor à cordes n° 16 op.135. (voir le quatrième mouvement on retrouve le même profil mélodique des trois notes, ainsi que les trois accords successifs, pesants.) » et d'un « chant pré-révolutionnaire : Torturé à mort dans une cruelle captivité » qui est une citation qui apparaît dans le quatrième mouvement.
Tout est tragique, lugubre et sombre dans ce Quatuor à cordes n° 8 bien que l’humour grinçant de CHOSTAKOVITCH soit au rendez-vous :

«Le caractère pseudo-tragique de ce quatuor vient de ce qu’en composant, j’ai répandu autant de larmes que je répands d’urine après une demi-douzaine de bières.»

À Leningrad, le 2 octobre 1960, le Quatuor Beethoven crée le Quatuor à cordes n° 8, maintenant une œuvre majeure du répertoire de l’immense DIMITRI.

P.S. : Citations de CHOSTAKOVITCH, livre de Krystof MEYER.





KING CRIMSON
DISCIPLINE


Le 28 Octobre 2022 par AIGLE BLANC


Je suis en train de découvrir cet album de KING CRIMSON (mieux vaut tard que jamais, me direz-vous). Et quelle n'est pas ma surprise d'entendre des rythmes, un jeu de guitare, un feeling proches dans l'esprit et le style du Manuel Gottsching de "Correlation", l'album de 1978 signé du groupe ASHRA !
Est-ce un crime de lèse-majesté que de citer cette comparaison ? J'aimerais savoir ce qu'en pensent Waltersmoke et Arp2600. Robert Fripp et sa bande ont-ils pu en être influencés ? Cela n'enlève rien à mon goût aux qualités indéniables de cet excellent album, de plus étonnant quand on le replace dans la discographie de KING CRIMSON.





TEARS FOR FEARS
SONGS FROM THE BIG CHAIR


Le 27 Octobre 2022 par NONO

@SGT JAKKU : Mon approche du groupe a été très similaire à la tienne : je n'étais pas super fan au départ. J'aimais assez mais sans trouver au groupe le moindre 'relief'. A l'époque, je ne connaissais que 3 tubes : "Shout" que je n'ai jamais vraiment aimé (bien trop répétitif à mon goût), "Everybody wants to rule the world" (que j'aime bien mais sans trouver ça extra non plus), et enfin "Sowing the seeds of love" que j'adore.
Pourtant, 2 éléments m'ont fait davantage m'intéresser au groupe :
1) Grâce à "Sowing..." et à l'album du même nom, je me suis dit, vu la qualité de ce titre, je veux bien écouter l'album entier, que j'aime d'ailleurs beaucoup !
2) J'ai redécouvert avec un immense plaisir le titre "Head over heels" que j'adore vraiment, je l'avais totalement oublié (entendu 2/3 fois à la radio en 1985/1986), et pendant 15 ans, je ne savais pas que c'était d'eux !
A partir de là, j'ai exploré tous les albums du groupe et je ne regrette pas !
Ce groupe est génial, et bien plus créatif que Depeche Mode par exemple qui n'est essentiellement qu'un "groupe à tubes" !





TEARS FOR FEARS
SONGS FROM THE BIG CHAIR


Le 27 Octobre 2022 par SGT JAKKU


Je suis d'accord avec NONO : à l'écoute des arrangements sophistiqués et riches et des idées d'enchainements et de répétitions des thèmes entre les titres, on peut souligner dans cet album une approche progressive remise au goût du jour (des années 80).
Personnellement, je pencherais plus pour le genre Art Rock que le progressif. On sent aussi l'attachement profond des TFF pour le Sergent Poivre, une influence qui sera encore plus évidente avec l'album suivant.
Curieusement, je n'étais pas très fan du groupe à l'époque. C'est en réécoutant les albums vingt ans après que j'ai réalisé que ce groupe était assez exceptionnel et avait fabriqué trois grands albums classiques des années 80, trois chefs-d'œuvre coup sur coup.





PAT METHENY GROUP
STILL LIFE TALKING


Le 27 Octobre 2022 par LE MERLE MOQUEUR


Il évident que ce qui était un germe d'une élégante finesse qui annonçait un végétal multiple et aérien en 1978 allait se métamorphoser en une plante luxuriante et multicolore en 1987.

Le germe secrète les beautés à venir... En 1978 ce fut pour moi irrécusable avec l'album éponyme.





LUNA SEA
LUV


Le 26 Octobre 2022 par BAKER

Ce serait bien qu'un volontaire se dévoue pour continuer car c'est un groupe attachant (...en plus d'être, euh... légèrement essentiel dans l'histoire du j-rock).

A noter que leur dernier album, Cross, a été produit par Steve Lillywhite. Sachant que, dans les grandes lignes (pas dans les détails), Luna Sea est grosso modo le U2 japonais, c'était un pari à tenter et le résultat est tout à fait charmant !





INDOCHINE
3.6.3


Le 26 Octobre 2022 par NONO

Indochine, pour moi, c'est DEUX bons albums : "Le Péril Jaune", et "Paradize".
En dehors de ça, je suis épaté par autant de longévité et d'endurance de la part d'un groupe qui, somme toute, ne vaut pas tripette.





David HALLYDAY
TRUE COOL


Le 26 Octobre 2022 par CSAMSA

L'album qu'il a sorti avec ses potes sous le nom de groupe de Blind Fish en 1994 (intitulé '2000 BBF') est une totale réussite dans le genre FM-AOR, parfaitement produit avec des compo's bien accrocheuses, ce qu'il fallait de tubes potentiels ("Pain and Pride"). Hélas, malgré de bonnes critiques à l'époque, ça fit flop, semble t-il. Dommage.





INDOCHINE
3.6.3


Le 25 Octobre 2022 par BAKER

Pour tenter l'aventure, je conseillerais de débuter par la période 83-96 avec la compilation The Birthday Album, mais dans sa version double et en SACD.

Bonne chance pour la trouver Jim, sans compter qu'il faut le lecteur adéquat. Mais le résultat vaut la peine.

Pour la seconde période, c'est BEAUCOUP plus compliqué. Mais vraiment. Je n'ai AUCUNE idée d'un album que je pourrais conseiller, à part peut-être Alice dans sa version double uniquement.





INDOCHINE
3.6.3


Le 25 Octobre 2022 par RICHARD


C’est justement parce que ce groupe compte énormément pour moi (période 1981-1999) que ces quelques lignes peuvent apparaître peut-être comme dures, voire infondées si le fait indochinois n’est pas nécessairement son centre d’intérêt.

Ce que je reproche en tant que fan surtout de la période citée ci-dessus, c’est la relecture complète et permanente que Sirkis fait de son groupe et de sa propre histoire. Sans exposer de multiples détails rébarbatifs, on pourra entre autres juste noter que le lider maximo dans un souci permanent de main mise « mémorielle » ne parle par exemple aucunement des personnes qui ont aussi et surtout fait INDOCHINE. Pas un mot depuis 1995 sur Dominik Nicolas le compositeur des six premiers albums, ni sur Jean-Pierre Pilot (le socle sur lequel Sirkis s’est appuyé confortablement durant la traversée du désert), le talentueux producteur Philippe Eidel et tant d'autres personnes pourraient être citées.

Toute l’histoire du groupe se fait maintenant à travers le prisme de Sirkis et c’est tout. Il n’existe d’ailleurs aucune voix discordante que ce soit dans les livres, reportages, hommages touchant au groupe si on excepte les critiques par principe de Libé, les Inrocks, etc. Tout y est hagiographique. La seule voix différente que j’ai pu trouver est l’excellent blog soleywhy-indochine.blogspot.com, blog extrêmement poussé et factuel, de grande qualité décrivant le cas Sirkis et ses paradoxes.

Que l’on soit bien d’accord Fred, qu’une entité de plus de quarante ans soit traversée par des crises, des joies, que l’on prenne parti pour tel ou tel membre, rien de plus naturel. Ce qui me gêne le plus en fait, c’est de constater que la plupart des fans ne voient pas le cynisme qui anime Sirkis depuis plus de vingt ans. Aucun sentiment de supériorité de ma part, ni de pseudo-élitisme mal placé. J’ai trop « souffert » ado de passer pour un attardé parce que j’aimais ce groupe. Juste l’impossibilité de dire par exemple sur les sites officiels, forums que non Sirkis n’est ni un dieu, ni un ange. C’est par essence vain.

Cynisme, oui. Le temps était à la britpop, il a sorti Wax. Les ados des années 2000 étaient pseudo goths. Dancetaria et Paradize sont apparus. Le revival new-wave n’en finit plus. On met des gros claviers sur les derniers étrons discographiques. En concert, on joue 95% de morceaux crées à partir de 2002... C’est l’un des problèmes majeurs des fans d’INDOCHINE. Ils ne font majoritairement aucune différence entre la subtilité des titres des années 1981-1993 par exemple et la redondance permanente et sans âme des décennies 2000-2010. Sirkis gére sa chose comme il gère une entreprise. Il n'y a plus de notion réelle de groupe. Tout le monde est interchangeable et certains musiciens disparaissent du jour au lendemain sans aucune explication (Mr Shoes, Jean-My Truong). J’insiste sur le fait (mais ce n’est que de la musique après tout) que pour appréhender cette situation, il faut voir l’histoire indochinoise dans sa globalité.

Si le succès d’INDOCHINE dans les années 80 était sans conteste artistique et commercial, il n’est depuis plus de vingt ans que commercial. Par essence, tout avis est subjectif mais que ce soit avec 13 le dernier album sans nom ou le dernier single imbuvable en duo avec MOBY , il n’est pas près pour moi de changer. Que ceci ne t’empêche surtout pas quand même Fred de tenter l’aventure indochinoise car elle contient beaucoup de très belles choses…mais avec toujours avoir bien en tête ce même recul salvateur.








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