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DAEMONIA NYMPHE
KRATAIA ASTEROPE


Le 14 Mai 2022 par RICHARD


Merci Saska de mettre en lumière ce groupe précieux et atypique mais aussi à travers lui d'évoquer le label Prikosnovénie qui fut essentiel et passionnant , tenu par des artisans sonores et visuels passionnés.





Bonnie RAITT
JUST LIKE THAT


Le 13 Mai 2022 par BRADFLOYD

Je n’ai jamais compris pour quelle raison certains la critiquaient autant sous prétexte qu’elle ne respectait pas le blues… en tout état de cause, belle chronique, Erwin, qui donne envie d’écouter. Ne l’ayant pas encore fait, je ne mets pas de note, mais connaissant tes goûts, je ne doute pas de prendre plaisir comme lors de l’écoute de ses précédents albums.





Bob DYLAN
NASHVILLE SKYLINE


Le 12 Mai 2022 par TOMMY_CALE


Ah mince !

PS : Belle déclaration d'amour au dos de la pochette de l'Homme en Noir envers Bob !

Sorry! :D





Bob DYLAN
NASHVILLE SKYLINE


Le 12 Mai 2022 par TOMMY_CALE


Je ne peux que plussoyer le commentaire quindécennal (!) de Terry que je déterre donc (le commentaire hein, pas Terry). Bref. Longtemps un de mes disques de chevet, cet album antagoniste de ce qu'a pu produire le Barde jusqu'alors a été assez décrié et je peux le comprendre.
Auto-iconoclaste, 27 minutes soit quasiment la durée de la face A de "Highway 61 Revisited", cette voix croonerisée et surtout ce son trés countrysant ne plairont qu'aux fans inconditionnels du bonhomme et/ou aux amateurs du genre et, répondant à cette seconde condition, je le classe parmi mon quinté de tête de Bob. Le duo avec Johnny Cash revisitant "Girl From the North Country" est subtile de beauté, l'instrumental "Nashville Skyline" où chaque instrument y va de son solo : morceau rafraîchissant. Le ronronnant et irrésistible "One More Night" aux belles parties de dobro. Et comment ne pas kiffer le slow "Lay Lady Lay" à la pedal steel larmoyante et ce "I Threw It All Away" poignant ? Facilité oui, mais efficacité et hommage réussi de Dylan à une de ses idoles, Hank Williams.
Note maximale.

PS : Belle déclaration d'(ndc: ? d'igloo ? d'asperge ? d'oompa loompa ? Je ne vois vraiment pas ce qui pourrait suivre...)





CARPENTER BRUT
LEATHER TERROR


Le 12 Mai 2022 par CHIPSTOUILLE

Je découvre à l'instant que "The Widow Maker" est déjà un renvoi d'ascenceur de la part de GUNSHIP envers CARPENTER BRUT. En effet, ce dernier a déjà produit un remix de l'excellente "Tech Noir". Vous pourrez le trouver en titre bonus de l'album éponyme de GUNSHIP.

Je crois que je préfère la version d'origine, ceci étant.





Ted NUGENT
DETROIT MUSCLE


Le 12 Mai 2022 par SLEAZE


À en croire certains, Ted Nugent ne serait plus écoutable.

Ces personnes (nombreuses) n'y arrivent plus.
Les incessantes déclarations controversés du Nuge ont fait fuir bien des auditeurs.
En ce qui me concerne, Ted Nugent n'ayant a priori flingué personne (en tout cas pas d'êtres humains), il n'a pas franchi un point de non retour (quand bien même les déclarations à l'emporte-pièce de la grande gueule de Détroit lassent aujourd'hui plus qu'elles n'amusent).

Et cet album du coup ?
Et bien, il est à l'image de son géniteur : Va t'en guerre (Come And Take It), parfois grossier (le Nuge n'étant pas forcément la plus fine plume du Michigan, même s'il sait de toute évidence composer des chansons entraînantes) mais plein d'énergie et parfois surprenant.
Le problème avec cet album (en dehors d'une production pas toujours au point) est finalement récurrent dans la discographie de Ted Nugent : la rencontre du meilleur et du pire.
L'enchaînement "Leave The Lights On"/ "Feedback GrindFIRE" en est un parfait exemple.
La meilleure (sans doute) chanson de l'album (avec "Alaska"), que l'oncle Ted a écrite en hommage à son frère décédé il y a un ou deux ans, conclut un très chouette enchaînement de bonnes chansons ("Alaska", "Winter Spring Summer Fall" et donc "Leave The Lights On") bien plus calme que ce à quoi Sweety Teddy nous a habitués.
Et derrière, "Feedback GrindFIRE" (placé stratégiquement en avant-dernière piste afin de servir d'exutoire) ne présente que très peu d'intérêt (Nugent braille pendant 3 minutes).
La plupart des chansons sont bonnes ("Detroit Muscle", "Driving Blind", "Just Leave Me Alone", "Winter Spring Summer Fall", "Born In The Motor City", une très bonne version du "Star Spangled Banner") voire très bonnes ("Alaska", "Leave The Lights On") tandis que d'autres semblent moins inspirées ("Come And Take It", hymne MAGA qui a finalement plutôt bien marché en tant que single, "American Campfire").
Alors voilà, Ted Nugent en 2022, c'est un personnage symbolisant à lui seul la droite américaine la plus radicale dans tout ce qu'elle a de plus stéréotypée (et ridicule).
Mais c'est aussi un guitariste talentueux, un animal sauvage et libre, une bête de scène débordant d'énergie et un musicien dont certains détracteurs sont parfois (sans même le comprendre) tout aussi ridicules que le Motor City Madman.
Plus que jamais, Ted Nugent est le Dieudonné du hard-rock :
Un type piégé par ses obsessions qui deviennent des thématiques répétitives, que certains érigent (bêtement) en héros de la lutte contre le politiquement correct tandis que d'autres le perçoivent (bêtement) comme une bête immonde.
Mais, fondamentalement, et, avant tout, un type talentueux quoi qu'on en dise.





Joe SATRIANI
THE ELEPHANTS OF MARS


Le 12 Mai 2022 par ZEJACK

"Lorsqu'on s'intéresse à l'évolution de la guitare depuis quelques années, on tombe sur des vidéos YouTube de gars qui sont très largement, aujourd’hui, au-dessus techniquement de Joe SATRIANI, qui franchissent des caps impensables il y a encore peu."

Je suis toujours très dubitatif sur les youtuber / Tiktoker / Instagrammer qui postent des plans de guitare insensés en jouant à la vitesse de la lumière.
Je ne peux pas m'empêcher de penser à des retouches, playback et autre accélération de la bande son pour pas mal de ces guitaristes.

Des musiciens qui sortent des CD de manière classique mais sont capables de reproduire en live à la note près leurs albums sont quand même davantage impressionnants à mon avis.





MORRISSEY
VAUXHALL AND I


Le 12 Mai 2022 par IEN


Merci pour vos chroniques de Morrissey, elles m'ont enfin décidé à écouter sa discographie, je ne connaissais que "The Queen is dead" des Smiths et quelques singles de Morrissey en solo.

Pour l'instant, cet album me semble effectivement son chef-d'oeuvre. Je n'y vois aucune faute de goût et tout y est magnifique.

Si je devais faire ressortir quelques titres :
"now my heart..."
"Spring-heeled Jim"
"hold on to your friends"
"lifeguard sleeping..."
Mais le reste est tout aussi beau.

Le fan de Suede que je suis comprend mieux quelle a été leur plus grande influence :-)

J'espère que vous continuerez la suite de sa discographie, "You are the Quarry" me semble au même niveau que celui-ci.





Al KOOPER
I STAND ALONE


Le 12 Mai 2022 par CSAMSA


Al Kooper me fait penser à Todd Rundgren, deux génies dont la notoriété « grand public » est inversement proportionnelle à leurs talents et dont le CV est du genre à te dire « ah ouais, quand même… ». J’ai découvert tardivement les albums solos de Kooper (notamment grâce à un coffret pas cher regroupant les 5 premiers albums, tous absolument intéressants et recommandables) et j’ai regretté le temps perdu. Il faut que j’écoute ce qu’il a fait de plus récent (deux albums dans les années 2000) mais ce type qui cumule les savoir-faire (chanteur moyen mais multi-instrumentiste brillant), arrangeur, producteur au flair aiguisé, on le connait finalement plus pour ce qu’il a fait pour d’autres que pour ses oeuvres personnelles. Et à l’image de son premier album solo, ici bien chroniqué, très riche, melting-pot réussi et foisonnant, il couvre bien des styles, les maitrise avec une facilité déconcertante (un truc à la Beatles, des arrangements de cuivres inventifs, des cordes, de l’orgue, etc, etc.). Peut-être est-ce d’ailleurs la marque des génies de ne pas toujours être faciles à suivre. Finalement, il n’a manqué qu’un vrai tube pour qu’il casse la baraque. Mais était-ce vraiment sa priorité ? Reste qu’’un seul album chroniqué sur le site, ça en appelle d’autres…





The OUTLAWS
PLAYIN TO WIN


Le 11 Mai 2022 par ALEX


Un bon album, la première fois que je l'ai écouté, je ne savais pas que Mutt LANGE était à la prod', dès les premières notes de Take it Anyway you Want it, je me suis dit "tiens, on dirait une prod' à la LANGE", et bingo !
Je préfère néanmoins le groupe lorsqu'il sonne plus roots.





Ted NUGENT
DETROIT MUSCLE


Le 11 Mai 2022 par LE KINGBEE

J'aime bien la tournure claire comme de l'eau de roche du second paragraphe. Viré de la NRA, alors que ce lobbying a gardé à sa tête l'acteur Charlton Heston, victime d'Alzheimer devenu dément notoire, c'est dire l'état du bonhomme.

De ce taré, j'ai toujours en stock "Free For All", je me suis séparé du double live, album excellent mais qui prenait la poussière depuis trop longtemps.





HAWKWIND
HAWKWIND


Le 11 Mai 2022 par MAGNU


1er album de ce groupe génial. La suite sera stratosphérique.





Ted NUGENT
DETROIT MUSCLE


Le 10 Mai 2022 par NONO

Pareil pour moi, le gars est TELLEMENT caricatural, il a l'esprit tellement répugnant, cet espèce de tueur d'indien bouffeur de dollars, que je ne veux même pas l'écouter.
"Séparer l'homme de l'artiste" OK jusqu'à un certain point, mais pour le Nugent, c'est pas possible.





Ted NUGENT
DETROIT MUSCLE


Le 10 Mai 2022 par CULTOSAURUS

Ted Nugent est devenu un gros beauf trumpiste et complotiste, raciste et misogyne. Peut on séparer l'homme de l'œuvre ? Impossible ici pour moi, hors de question de jeter une oreille sur cet album même si c'est le meilleur de l'année ou du siècle...





MEGADETH
DYSTOPIA


Le 10 Mai 2022 par CHIPSTOUILLE


Après une série catastrophique, entendre un Dystopia d'un tel niveau tient du Miracle. Ce qui explique logiquement l'engouement qui me semble du coup tout de même un chouilla disproportionné.

Tous les problèmes qui ont miné les précédents albums ne sont pas résolus. Ca pêche toujours un peu au niveau des lignes de chant, notamment dans les couplets. Mélodiquement parlant, côté guitares, il y a également de gros passages à vide. Un peu comme The World Needs A Hero, Dystopia tient surtout grâce à ses béquilles. Une en particulier, elle s'appelle Kiko Loureiro. Si cet album n'est pas la meilleure preuve que MEGADETH brille surtout en fonction de la qualité de ses seconds guitaristes, je ne sais pas ce qu'il faut de plus...

Je conseille aussi aux intéressés de jeter une oreille à "Look Who's Talking", bonus track sympatoche. Qu'on retrouvera peut-être sur un futur album à la Thirteen ? Allez savoir...

Ca reste tout de même un peu bancal pour crier au génie. Exception ou retour en forme pour de bon ? Je n'ai pas d'attente particulière pour le prochain (normalement prévu cette année). Mustaine me semble tout de même avoir pris un sacré coup de vieux, après tous ses déboires niveau santé. On verra bien.





Steve VAI
INVIOLATE


Le 09 Mai 2022 par MAGNU


Idem que pour Satriani, je redécouvre le guitariste a travers cet album inspiré et concis. Très belle surprise.





Michel SARDOU
JE NE SUIS PAS MORT JE DORS


Le 09 Mai 2022 par NONO

@Bradfloyd : Tu parlais de cette super époque (1979), et j'abonde dans ton sens !
J'étais petit à l'époque, mais la période (musicale, et en général) allant de grosso-modo 1978 à 1985, je l'ai adorée. Souvent d'ailleurs l'art colle à une époque : cette époque-là était géniale donc la musique allait de pair. Puis la société à commencer à se gâter vers la fin des années 80, la musique était aussi (comme par hasard) moins intéressante, moins "vibrante", tout commençait à se standardiser, à se commercialiser un peu trop.





Joe SATRIANI
THE ELEPHANTS OF MARS


Le 09 Mai 2022 par MAGNU


Tout comme le commentaire de Nestor, belle redécouverte alors que je n'avais plus écouté le guitariste depuis The extremist. Bonne compos, jamais chiantes, presque pas de démonstration et toujours le petit truc pour rester accroché à l'écoute. A la limite, juste un peu long ses 14 titres.





Joe SATRIANI
THE ELEPHANTS OF MARS


Le 09 Mai 2022 par NESTOR


Cela faisait bien longtemps que je ne m'étais pas intéressé à ce que proposait Satriani, et je dois reconnaitre que cet album me fait regretter cette mise à l'écart du guitariste. Je suis assez impressionné par le fait qu'il est à même de se montrer toujours aussi intéressant après une si longue carrière, et ce dans un genre (instrumental) qui peut vite devenir redondant et barbant.
Au-delà des deux fantastiques single (Sahara et Faceless), l'album regorge de morceaux envoûtants et truffés de petites trouvailles. Ma seule déception est la seconde balade ("Memory Lane") un peu "facile". Pour le reste, c'est une excellente redécouverte.





George THOROGOOD AND THE DESTROYERS
Maverick


Le 09 Mai 2022 par CSAMSA


George Thorogood est une sorte de fils spirituel de Chuck Berry comme Robin Trower ou Frank Marino peuvent l’être de Jimi Hendrix. Marqué à vie. En vertu de cette lourde (mais irréprochable) influence, il trace sa route imperturbablement, sans être en rien influencé par tous les courants à la mode qui sont venus le côtoyer dans sa désormais longue carrière. Chez lui, aucune trace de rap, de techno, de haïr metal, de dance, que sais-je encore. Non, la recette est immuable : rock’n roll, boogie, blues et rock’n’roll, version des origines. Interprété avec fougue, sincérité et hommage toujours respectueux. Ce Maverick est le premier album que j’ai découvert de lui, à sa sortie, et ça faisait drôlement du bien en 1985 d’entendre un titre comme "Gear Jammer" quand des "Material Girl" nous polluaient un peu trop les esgourdes. Le raffinement ici est assez sommaire, c’est du brut. Mais réjouissant. Car, avec Thorogood (comme avec des Status Quo ou des Rose Tattoo), on sait qu’on est au ras des pâquerettes. On n’est pas candidat au Nobel de la subtilité, mais qu’importe. Ce qui compte, c’est le fun. Et Georgio et ses fidèles Destroyers savent y faire (sauf qu’étrangement il a réussi à rater tous ses live, enfin ceux que je connais, pas mauvais mais bizarrement insipides). Bon, à force, la recette a fini par s’épuiser faute de nouveaux ingrédients plus relevés, mais ce Maverick est dans le genre une totale réussite. Dans le même esprit (mais moins directement proche de Chuck Berry), les Georgia Satellites sortiront l’année suivante (en 1986) un très bon premier album (suivi de deux autres, aussi épatants).







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