Le 20 Août 2011 par WALTER SMOKE

Un grand chef-d'oeuvre, certes, mais je trouve l'ensemble perfectible, surtout la face B un peu foutoir. Je préfère de loin Autobahn !

Le 20 Août 2011 par BENNETT

Broken, c'est un doigt d'honneur lancé aux maisons de disques.
Broken, c'est l'explosion stylistique de Trent Reznor.
Broken, c'est le plus vivant de tous les disques jamais fait.

Voilà un album qui transpire la colère et l’expérimentation, chose qu'on ne voit que trop peu ces dernières années. Respectable de bout en bout.

Le 20 Août 2011 par WALTARI

Pas d'accord avec la chronique. Certes, Belong est sans doute la plus noisy de l'album, et celle se rapprochant le plus de MBV.

Mais je considère que même si les autres le sont moins, Heaven's Gonna Happen Now, Heart In Your Heartbreak, Even In Dreams, Anne With An E et Strange sont de vraies perles dream pop.

4,5/5 pour moi.

Le 19 Août 2011 par CéDRIC

Un magnifique album comme seul Genesis sait en faire avec de belles mélodies et de belles pièces. Ecoutez The Cinema Show et Firth of Fifth pour ne nommer que ceux la. Cet album fait partie des incontournables du rock progressif avec Thick as a Brick, Close to the Edge et Wish you Were Here

Le 19 Août 2011 par TISSORA

C'est pas le genre d'album à écouter quand on a un coup de déprime !

Ou plutôt si, je m'en suis délecté étant ado m'apitoyant sur mon sort trop content d'avoir la bande son idéale à mon mal de vivre (Sentiment récurant, mais pas toujours justifié, chez les jeunes).

Ce disque est à faire passer un album de Doom Metal pour un petit blues du dimanche soir (et je sais de quoi je parle :)).

Aujourd'hui avec l'age -disons 23 ans en plus- je le mets fébrilement sur la platine, il me fait encore plus d'effet : y a un coté maso dans cet album !

J'aime... ;)

Le 18 Août 2011 par TT FORUM

C'est toujours très dangereux de faire un album-concept, surtout si le précédent l'était aussi.
Pourquoi ?
Parce que le contexte n'y est plus, cette motivation d'innover, de faire un concept, se moquer profondément des journalistes (d'apres une interview, Thick As A Brick avait été une idée de Ian Anderson car il n'aimait pas entendre dire de Aqualung que c'était un concept album, du coup, il voulait montrer ce qu'il ferait si il voulait faire un concept album, ce qui prouve encore une fois l'ambiance toute particuliere pendant la création de TAAB).

Ici ah que nenni, ici c'est un album qu'ils ont fait en étant flattés de constaté le succes énorme de TAAB, avec les critiques extremement positives, du coup, plus de grosse motivation, ils se reponsent sur leurs lauriers, et là, bah, ils ont repris le même concept, mais impossible d'écouter cet album avec le même enthousiasme que le précédent.

Le 17 Août 2011 par CODE

Tiens, 1975 n'était pas non plus une année de "début de la fin" du rock progressif en général ?
C'est normal que Gentle Giant groupe loin d'être commercial, se devait de faire plus "facile à avaler" sans complications volontaires comme sur In A Glass House.

Du coup bah, comme les fans de Gentle Giant étaient fans de rock progressif en général, ça plaisait pas trop de les voir se rabaisser au niveau plus commercial.

Il fallait voir sur scène ne fussent que les habits. Sur Youtube on voit un live de 72, puis un autre en 78 (donc quand ils étaient sur le point de tout plaquer). On remarque que ça colle pas, leur concept premier, mis en version "pop-commercialisée" ça colle pas ça fait limite ridicule.

N'empeche que j'ai toujours en tête Kite du Simon Dupree and the Big Sounds, ayant percé dans les charts en plein 60s' mais pourtant ne possédant presque rien des caractéristiques du cliché commercial (surtout pour l'époque...) .

Le 17 Août 2011 par KORAMA

Excellent album qui m'avait mis une grosse claque à l'époque de sa sortie. Et il reste toujours pertinent. J'aime beaucoup le second aussi, Going Blank Again, avec le morceau d'ouverture Leave Them All Behind qui s'étire sur près de 9 minutes à grand renfort de guitares distos. Un must.

Dans le shoegaze, il y a aussi les albums des Boo Radleys - mélange de pop ciselée à la Beatles et de riffs rageurs typiquement shoegaze.

Le 16 Août 2011 par ZHEUAZ

En réalité pour apprécier l'originalité de cet album, allez voir ailleurs ! Écoutez un Queen, un ZZ Top ou même un Led Zep de la même période et vous comprendrez que Thin Lizzy a pris avec Fighting un chemin, qu'il continuera jusqu'à Thunder and Lightning, que personne ne prendra après lui : agressivité, soul et mélodie !
Pour comprendre, il faut aller chercher chez Hendrix ou Otis. Pas évident.
Un gros défaut donc à signaler : beaucoup trop subtil pour la masse.

Le 16 Août 2011 par THIERRY

Entièrement d'accord avec toi Marco, souvent malaimé par les fans de Lizzy, cet album est pourtant une vraie perle tant on ressent l'inventivité à chaque seconde. Ce que je retiens aussi c'est l'éclectisme dont fait preuve le groupe, du hard, du blues, du folk et même de la country. Ben, moi je dis bravo car il maîtrise parfaitement tous les styles en amenant quelque chose de personnel, le signe des très grands groupes.

Autre chose, "Wild One" me fait toujours penser à une rythmique à la DIRE STRAITS, ce groupe n'existait pas encore et je suis presque sûr que Knopfler s'est inspiré de THIN LIZZY.

Contrairement à Nightfall qui ne lui octroie seulement 3 étoiles en moyenne, FIGHTING est le premier très grand disque de THIN LIZZY, pour moi il mérite largement ces cinq galons.

Le 16 Août 2011 par WALTER SMOKE

J'ai beau être chrétien catholique, le seul mot à dire ici est : apocalyptique.

Le 16 Août 2011 par TERRY

"Cagey Cretins" est horrible, mais le reste assure ! Un très grand cru du BÖC, mais c'est, des trois opus de la trilogie, celui qui me plaît le moins.
5/5 quand même !

Le 15 Août 2011 par POWERBEAUF

L'un des albums les plus innovants de l'histoire du rock, au sens le plus large du terme. Il suffit d'écouter les riffs d'intro de "Cornucopia" et d'"Under the Sun" pour s'en convaincre. Quant au reste, que de l'excellent, à part le bouche-trou "FX" (qu'est-ce qu'ils avaient fumé ce jour-là ?). Le pire, c'est que le groupe va encore faire mieux avec l'album suivant !

Le 15 Août 2011 par BLITZKRIEG BOP

Je vous trouve sévère avec ce disque, qui est pourtant bien sympathique ! Flaming Star est assez terne c'est sûr, mais elle se laisse écouter. Wonderful World est une chanson plutôt gaie et me fait un peu penser à Pocketful Of Rainbows... Night Life et sa guitare me font vibrer, All I Needed Was The Rain est peut-être la chanson faible de l'album, trop calme... La reprise de Chuck Berry, Too Much Monkey Business est juste excellente ! Je ne me lasse pas de l'écouter ! The Yellow Roses Of Texas me fait penser à une chanson traditionnelle, elle se laisse écouter, je l'aime bien pour ma part ! Les 3 dernières me plaisent énormément, mention spéciale à She's A Machine et ses cuivres que j'adore.

En conclusion (pour moi) : Un disque fort agréable et qui nous offre quelques bonnes chansons tirées de ses films, dont on se passera de commentaires.

Le 13 Août 2011 par TERRY

Un excellent album de VDGG, certes moins marquant que les deux précédents, mais il vient à point achever la trilogie qu'il forme avec "Godbluff" et "Still Life", je trouve !

Le 11 Août 2011 par ATOMDOOM

Un des grand live de cette période riche musicalement ou tout simplement un grand live de la musique rock. Ce disque représente bien la GRATEFUL DEAD en public avec ses excès dans les allongements instrumaux (et j'adore ça !) mais avec une maîtrise qui ne nuit pas à la musique même dans les passages plus expérimentaux. Rien que la version de "Dark star" mérite l'achat de cet album car la guitare de Jerry Garcia vous envoie planer dans l'espace et pas besoin d'une petite dose de produit illégal...
Un INCONTOURNABLE !

Le 10 Août 2011 par LEO

Music For The Masses est la suite logique de Black Celebration, même genre d'ambiances et sonorités similaires, cependant l'album précédent contenait pour moi bien plus de morceaux accrocheurs et mémorables tandis que celui-çi m'ennuie dans sa quasi-totalité!
L'excellent Never Let Me Down Again démarrait pourtant l'album sur les chapeaux de roue suivit par le très beau et atmosphérique The Things You Said.
et ensuite.... ben voilà, pour moi la suite est décevante et n'est pas à la hauteur de ce début pourtant très prométteur.
Le tubesque Strangelove n'est pas ma tasse de thé tout comme Sacred, Little 15 ou le très monolithique Behind The Wheel.
I Want You Now, To Have And To Hold et Nothing (qui porte bien son nom!)n'agissent pas mieux sur moi. je les oublie aussitôt!
Le meilleur (si j'ose dire!!!) pour la fin du vinyl d'origine: le disque se referme sur l'horrible instrumental Pfimpf! un truc qui porte bien sur les nerfs (comme si c'était pas suffisant avec tous ces morceaux décevants!).
Le CD lui, contient 2 inédits: Agent Orange, un instru complètement inutile et inintéressant et la grosse surprise que l'on attendait plus et qui aurait mérité de figurer sur le vinyl: Pleasure, Little Treasure. un truc mi-electro/mi-pop/mi-rock vraiment sympa et qui porte à 3 le nombre de morceaux que je retiens de cet album globalement médiocre et pourtant soit disant "mythique" de la part des fans et de la presse dite spécialisée!

Le 10 Août 2011 par LEO

Depuis fin 83/début 84, DEPECHE MODE s'est engagé dans la voie d'une electro-pop plus sombre dans laquelle les claviers numériques aux sons désincarnés et froids ont supplanté les claviers analogiques qui dégageaient un peu plus d'humanité et de chaleur sur les 3 premiers albums du groupe.
Je ne suis pas friand de ces sonorités indus par trop mécaniques et pour tout dire, bien désuètes aujourd'hui!
Dès le morceau-titre, le décor est planté : noir c'est noir! un peu comme si l'album était un pendant electro au Pornography de THE CURE, et comme pour l'album de Smith et sa bande, je trouve l'exercice de style plutôt forcé bien que ce titre passe la rampe au final, en revanche "Fly On The Windscreen" tourne rapidement en rond et lasse (même si l'idée de départ était sympa).
Pour ce qui est des sirupeux A Question Of Lust, Sometimes et It Doesn't Matter Two(tous chantés par Martin Gore et enchaînés à la suite), là c'est clair je n'aime aucun des 3 morceaux! (plutôt pratique pour zapper en un sens!).
Le très (trop) robotique A question Of Time est ma foi plutôt réussi!
Stripped est peut-être sorti en single mais perso je ne lui trouve rien d'accrocheur, par contre j'aime bien Here Is The House, World Full Of Nothing et Dressed In Black, peut-être les 2 morceaux qui rappellent le plus le groupe au temps de A Broken Frame ou Construction Time Again.
Le vinyl d'origine se termine par New Dress, un morceau à la rythmique très inspirée par Kraftwerk! pas exceptionnel mais pas désagréable non plus pour conclure ce disque que je préfère globalement au précédent mais dont les tendances indus m'empêchent de l'apprécier plus que ça.

Le 10 Août 2011 par WALTER SMOKE

Musique sombre pour film sombre...

Chargé de retranscrire en musique le film "The killing fields", Mike Oldfield s'est efforcé de rendre un travail en accord avec les attentes, et pour le coup, il a rempli sa part du contrat : moi qui ai vu le film, en plus d'avoir été éveillé par ce terrible chapitre de l'histoire qu'a été la tyrannie des Khmers rouges, je trouve que la musique est parfaitement adaptée, une vraie réussite sur ce plan.

Maintenant, la musique pour la musique ! Que dire de l'album ? Ma foi, l'homme de Reading est ici méconnaissable, avec des grattes qui sont allées au pub du coin, un orchestre presque omnipotent et un côté world music oblige. Parmi les morceaux, on notera Pran's Theme, trop mièvre à mon goût (du moins si je regarde pas le film), mais qui sera repris dans Pran's Theme 2, Pran's Departure et The Boy's Burial; de même on notera que l'excellent Requiem For A City, avec The Trek. Sinon, on a des tueries comme Evacuation, Capture et Bad News (et ses trop rares synthés), vraiment LES points forts de l'album; les autres morceaux sont loin d'être anecdotiques (sauf peut-être Étude), mais je vais pas les décrire un par un !

En résumé, Oldfield a fait du très bon boulot, perfectible et qui aurait été meilleur avec plus d'électronique, mais qui assure. Dommage qu'il n'ait pas réitéré l'exercice.

Le 08 Août 2011 par WALTER SMOKE

@Terry : un vieux proverbe parle des goûts et des couleurs. Donc j'ai parfaitement le droit de trouver ces deux albums pas bons. Si les beatles étaient aimés par tous, cela se saurait ! De plus, je remets en cause leurs chansons, pas forcément la manière dont elles ont été écrites, et encore moins l'aspect technique, où je suis on ne peut plus d'accord sur le très grand talent du groupe. Je ne voudrais en aucun cas te vexer, ou pire encore être ton ennemi, mais je pense que le terme d'inqualifiable ne saurait être appliqué, car selon moi il a une connotation péjorative et limite criminelle, et si je n'aime pas un disque, je ne vois pas pourquoi je m'abstiendrais de donner mon avis. Sur ce, bonne continuation.

	Par Forces Parallèles Chers camarades, tous les goûts sont dans la nature... Moi même je ne suis pas fan d'Abbey Road. Alors certes, Terry en grand ésthète musical, sur-réagit un brin, mais la démonstration de Walter Smoke se tient. Eh oui ! On a le droit de ne pas aimer les BEATLES, même si ça fait mal. Aucun groupe n'est intouchable. Erwin PS : en revanche, si l'un de vous descend Elvis, j'en fais de la chair à saucisse !