On ne va pas y aller par quatre chemins pour l’annoncer haut et fort. Voila mon album préféré de l’immense David BOWIE – Rien que de le dire je frissonne de partout –. On y jouxte la perfection de bout en bout, Commençons plutôt par les titres qui sont « considérés » comme des classiques :
C’est bien entendu « Life on mars » qui tient la corde, son piano aérien, le chant quasi crooner , ce refrain irrésistible, tout au long des trois malheureuses minutes que dure ce chef d’œuvre, on ne s’ennuie pas une seconde. A écouter en boucle toute la journée.
Mais « Changes » est toute aussi belle, et propose une avalanche mélodique comme nul autre que le Duke ne sait les faire. On embraye sans tarder avec la fabuleuse « Oh you pretty things » et ses influences scarabéennes à la Maca. A chanter, une vraie merveille, et ce refrain est une petite pierre précieuse qui ne saurait laisser personne indifférent.
« Kooks « est savoureuse, on y retrouve l’influence de Bob DYLAN, ce petit coté Folky que David maitrise aussi, et qu’il associe si bien avec l'approche particulière de la musique qui le caractèrise, plus loin il y a d’ailleurs la «Song for Bob Dylan ». Puis c’est « Quicksand » ou David jouxte une forme de minimalisme dans l’intro, mais assume ensuite une capacité unique à la mélodie héritée des sixties. Encore une compo qui passera à la postérité.
Nous trouvons aussi un petit hommage à Andy Warhol, sans être un die hard comme son frère musical Lou REED, l’anglais se fend de cette chanson parfois dissonante, hommage parfait pour l’homme aux faux cheveux.
On repart sur des sentiers très glam rock avec « Queen bitch » et sa guitare Hard.

Bref, en substance, vous aurez compris mon opinion.
A voler d’urgence !